Née à Paris, où ses parents étaient venus faire leurs études supérieures puis restés travailler, Annaig Renault baigne, dès l’enfance, dans les milieux de la culture bretonne. Elle participe au mouvement scout Bleimor d’où sont issus bon nombre d’artistes, de chercheurs et de responsables associatifs. *
A l’instigation de ses parents et sous la houlette d’Ivona Galbrun, elle débute, à sept ans, l’étude du breton au centre Kêr-Vreiz, rue Saint-Placide. . A vingt ans, elle quitte Paris pour la Bretagne et devient, dans les années 80, directrice adjointe du Centre de la Briantais à Saint-Malo, organisant des rencontres avec des écrivains, des philosophes, des artistes et des scientifiques. Elle y débutera l’étude de l’hébreu biblique qu’elle poursuit toujours avec le plus vif intérêt car il lui parait vital de croiser les cultures, les langues et leurs façons de dire le monde. Annaig Renault sera, de 1991 à 2000, secrétaire générale de l’Institut Culturel de Bretagne. Aux côtés de Bernard Le Nail, elle participera à la vie des sections, à l’organisation de colloques et de salons du Livre, en Bretagne, à Paris, à l’étranger, y animant souvent des rencontres avec quelques auteurs.
Elle aura, plusieurs fois, l’occasion de présenter à l’Eisteddfod national du Pays de Galles des ouvrages en langue bretonne sur un stand géré par l’Institut. Ce dernier faisant, à l’époque, office de Centre Régional du Livre, elle aura régulièrement l’occasion d’échanger avec les structures hexagonales qui travaillaient alors au développement des métiers du Livre.
Titulaire d’un doctorat d’Etudes Celtiques consacré à l’œuvre du poète Maodez Glanndour, elle est, elle-même, écrivain de langue bretonne. Ses publications, romans, nouvelles et textes poétiques lui ont valu le prix Pêr Roy et le prix Imram. Plusieurs de ses nouvelles ont été traduites en gallois par Rhisiart Hincks, de l’université d’Aberystwyth.
A l’instigation de ses parents et sous la houlette d’Ivona Galbrun, elle débute, à sept ans, l’étude du breton au centre Kêr-Vreiz, rue Saint-Placide. . A vingt ans, elle quitte Paris pour la Bretagne et devient, dans les années 80, directrice adjointe du Centre de la Briantais à Saint-Malo, organisant des rencontres avec des écrivains, des philosophes, des artistes et des scientifiques. Elle y débutera l’étude de l’hébreu biblique qu’elle poursuit toujours avec le plus vif intérêt car il lui parait vital de croiser les cultures, les langues et leurs façons de dire le monde. Annaig Renault sera, de 1991 à 2000, secrétaire générale de l’Institut Culturel de Bretagne. Aux côtés de Bernard Le Nail, elle participera à la vie des sections, à l’organisation de colloques et de salons du Livre, en Bretagne, à Paris, à l’étranger, y animant souvent des rencontres avec quelques auteurs.
Elle aura, plusieurs fois, l’occasion de présenter à l’Eisteddfod national du Pays de Galles des ouvrages en langue bretonne sur un stand géré par l’Institut. Ce dernier faisant, à l’époque, office de Centre Régional du Livre, elle aura régulièrement l’occasion d’échanger avec les structures hexagonales qui travaillaient alors au développement des métiers du Livre.
Titulaire d’un doctorat d’Etudes Celtiques consacré à l’œuvre du poète Maodez Glanndour, elle est, elle-même, écrivain de langue bretonne. Ses publications, romans, nouvelles et textes poétiques lui ont valu le prix Pêr Roy et le prix Imram. Plusieurs de ses nouvelles ont été traduites en gallois par Rhisiart Hincks, de l’université d’Aberystwyth.
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