Je suis la Bête
Flash de présentation de "Je suis la Bête" spectacle de l'Ensemble Fa7 d'après un roman d'Anne Sibran.
Avec Sophie Daull interprétation et danse, Patrice Jardinet et Pierre Ragu pour la musique.
Dans un monde déserté par la parole, tout est musique ; dans la solitude d’une forêt profonde, seuls les sons (les odeurs aussi) façonnent la mémoire, l’inconscient, l’imaginaire, aux origines de la perception sensorielle et de la connaissance, du savoir…
Ainsi le récit s’organise-t-il en volutes et bouffées intimement conjuguées à la musique, qu’elle soit suggestive ou décalée : tantôt transparente comme celle d’un lied, elle laisse au texte une partie soliste; tantôt active, elle mène l’action, le texte progressant par incrustation.
La musique incarne l’inconnu de ce je qui parle, l’identité secrète de cette « analphabête », de ce narrateur bizarrement hors du temps du récit.
Avec Sophie Daull interprétation et danse, Patrice Jardinet et Pierre Ragu pour la musique.
Dans un monde déserté par la parole, tout est musique ; dans la solitude d’une forêt profonde, seuls les sons (les odeurs aussi) façonnent la mémoire, l’inconscient, l’imaginaire, aux origines de la perception sensorielle et de la connaissance, du savoir…
Ainsi le récit s’organise-t-il en volutes et bouffées intimement conjuguées à la musique, qu’elle soit suggestive ou décalée : tantôt transparente comme celle d’un lied, elle laisse au texte une partie soliste; tantôt active, elle mène l’action, le texte progressant par incrustation.
La musique incarne l’inconnu de ce je qui parle, l’identité secrète de cette « analphabête », de ce narrateur bizarrement hors du temps du récit.
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