• il y a 14 ans
Camerounaises, Camerounais, chers compatriotes, je ne peux que vous dire avec justesse et fermeté de marcher à nos côtés tout au long de cette année et des années à venir pour la conquête de notre souveraineté car, ce n’est plus du sang qui coule dans mes veines mais les souffrances de mon peuple – ce n’est plus le sang qui coule dans mes veines mais vos désirs, ceux de nos souvenirs communs que je viens d’évoquer.

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