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Transcription
00:00En Suisse, vous pouvez passer au feu rouge à pied et les voitures s'arrêtent et on ne vous clac sonne pas.
00:05Bonjour, c'est Joël Dicker pour ce soir.
00:07Belle diseigneur de Albert Cohen, un livre sur l'amour extraordinaire.
00:11100 ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez.
00:15Est-ce qu'il est de lire ou pas ?
00:16Moi, je prendrais un livre de Roald Dahl parce que je sais que ça plaît toujours, pour les petits comme pour les grands.
00:21Un bon policier, Arnald Dur, Indri Larsson.
00:24Je crois que je dis mal son nom, pardon si je l'écorche, je dors à un auteur islandais à qui je demande pardon si j'ai mal prononcé son nom.
00:31Mec, j'aime beaucoup.
00:32C'est le matin dans le soir, quand je lis, je m'endors.
00:35Et depuis quelques temps, je consacre une heure le matin, quand je me réveille, à lire le bord de mer.
00:42Des scènes drôles, je trouve que c'est très très difficile de faire rire parce que le rire survit mal à la relecture.
00:49Le propre livre, c'est de se relire.
00:50En fait, je suis très lié à mes rêves d'enfant, très en contact, très conscient de ces rêves d'enfant.
01:00Parce que notamment, le métier que je fais aujourd'hui est un rêve d'enfant auquel je me suis accroché malgré tout.
01:09Avec cette difficulté aussi, alors de rêver enfant, c'est facile.
01:13Mais quand on se confronte, qu'on est un jeune adulte à la réalité de son rêve, et qu'on s'y accroche, et qu'au final ça marche, mais par une espèce de magie de la vie.
01:26Bien sûr qu'il y a beaucoup de travail, mais il y a aussi des rencontres, des personnages, avec du suspense.
01:32Et à ce moment-là, il ouvre la porte et la suite au prochain rendez-vous.
01:36Sous-titrage Société Radio-Canada

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