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00:00C'est aussi ça qui m'a sauvé.
00:30C'est aussi ça qui m'a dit qu'il y a un certain nombre de critères à remplir.
00:42Il faut saisonner sur le pays en respectant les lois du pays.
01:00Les cinq dernières années que tu es là-bas, au moins les trois ans,
01:03tu es là-bas de manière continue sur le territoire national.
01:07Tu as besoin de l'impôt, être en règle avec les lois du pays.
01:10Si tu as un djéker ou un djéker, si tu es là-bas, si tu es là-bas,
01:14si tu es là-bas, tu es là-bas, tu peux te demander la nationalité.
01:18Tu as besoin de l'adoption, tu as besoin de parents étrangers,
01:23mais tu as besoin de l'impôt, tu fais là-bas ta vie,
01:27dans un certain âge, tu peux te demander la nationalité suisse.
01:30Donc, la nationalité suisse, on a besoin de l'impôt comme un petit bout de pain,
01:34ce n'est pas ça.
01:35Donc, ça, c'était une fausse information.
01:37Tu es en difficulté, ça ne peut pas le faire.
01:41Bon, mais tu es en difficulté pour le droit d'asile,
01:43droit d'asile avec nationalité, c'est deux choses différentes.
01:46Oui, mais je veux dire, vous pouvez voir ce qui est...
01:49Oui, mais ce qui est le droit d'asile, nous ne nous donnons pas.
01:50Ce qui est le droit d'asile, nous donnons de nationalité.
01:51Et ce qui est le droit d'asile, nous donnons de nationalité.
01:54Non, pour nous donner une nationalité, il faut...
01:56Vous avez le droit d'asile, nous donnons que nous devons...
01:58C'est le droit d'asile. Tu as le droit de rester sur le territoire suisse, ou sur le territoire américain, ou sur le territoire canadien d'Iran 5 ans.
02:07Tu es là, tu es protégé et tout quoi. Mais ça ne te donne pas automatiquement le droit à la nationalité.
02:11Elle n'a pas la nationalité, elle n'a pas le droit d'asile non plus.
02:17Ça tu refuses, tu n'as pas en Suisse.
02:19Non, non, non. C'était des fausses informations qui ont été véhiculées simplement à cela.
02:24Alors, c'est une bonne situation, c'est-à-dire qu'elle n'est pas en Suisse, elle n'est pas en Suisse.
02:31Non, bon, les dernières informations que j'ai, qui m'ont été partagées par un certain nombre de proches, c'est qu'elle serait en France.
02:40Ah, elle n'est pas en Suisse ?
02:41Non, elle n'est même plus en Suisse, elle serait en France.
02:44Elle n'est pas en Suisse, mais elle n'est pas en France.
02:45Elle a quitté la Suisse pour aller en France.
02:47Mais bon, il faudrait l'appeler pour la voir, pour avoir la certitude qu'elle est là-bas, qu'elle est en France.
02:52Mais bon, d'après les dernières informations que j'ai eues à propos de cela, il serait en France et non pas en Suisse.
02:59Est-ce qu'il y a des conditions qui ont été partagées par la Suisse pour aller en France ?
03:03Non, les conditions exactes de son départ de la Suisse vers la France, ça, je l'ignore.
03:10Mais vu que l'on est en difficulté, est-ce qu'il y a aussi des difficultés ?
03:16Oui, ça serait en difficulté. Non, c'est ça. On n'a pas la certitude de sa vie personnelle comme elle vit actuellement.
03:23On n'en a pas les détails de sa vie privée actuellement, on ne les a pas.
03:28Oui, moi, à titre personnel, je ne les ai pas.
03:31Mais cette affaire...
03:31C'est probablement qu'il n'y a pas la nationalité ni le statut de réfugié en Suisse.
03:35Cette affaire est revenue au bout du jour avec la sortie de Ndeye Khadi Ndiaye.
03:40Elle a fait une de certains journaux.
03:45Par rapport à cette affaire, depuis 2021, on a parlé, ça a été dit qu'elle a fait.
03:48Elle a fait la dernière sortie de Ndeye Khadi Ndiaye.
03:50Elle a fait la sortie de Ndeye Khadi Ndiaye.
03:52Comment faire pour se débarrasser définitivement de ce débat ?
03:57Bon, à titre personnel, je dirais que la sortie de Ndeye Khadi Ndiaye, elle a été inopportune, quoi.
04:03Bon, Gaï, vous avez dit, vous avez dit, vous avez dit, vous avez dit, etc.
04:09Boudé, tu avais agi à titre personnel parce que, bon, tu as dit pour prévaloir que la vérité triomphe.
04:16Je pense que ça a été dit, je l'ai remercié et tout.
04:19Et l'année dernière, elle a été mise au devant de la scène.
04:24Elle a été remerciée, son comportement a été magnifié, sa posture a été magnifiée.
04:32Bon, on va être, chaque année, vous attendez aussi, 8 mars, vous avez dit, Gaï, vous avez la félicité, etc.
04:36Je pense que sa sortie, elle était inopportune et vraiment pas à la hauteur, quoi.
04:45À titre personnel, voilà ce que je pense de sa sortie.
04:47Je pense que le sujet là il sera dépassé à un moment où il y a eu des choses beaucoup plus graves comme l'assassinant de Médicé, ça on n'en parle plus, la loi AESAN a été votée ici, on n'en parle plus, donc c'est jusqu'à un certain moment après les gens vont passer à autre chose, parce que Sonko est au devant de la scène, le le voir, et il y a beaucoup de gens qui lui en veulent, pour X raisons,
05:17ça peut-être, mais on verra que les gens évoquent souvent le sujet aussi pour le nuire, pour le mettre en mal.
05:24Ah, on a vu qu'il y a une main derrière Gruby D'Amier autour de ce sujet.
05:28Bon, oui, oui, je pense que les gens évoquent souvent le sujet pour simplement le mettre mal à l'aise, quoi, simplement, et aussi mettre le mal à l'aise, les militants et les sympathisants de passif, c'est simplement ça en fait.
05:41Mais dans l'article, j'ai vu que vous avez dit qu'il y a une presse alimentée par Maké Salah et Niena Djaye Nitum,
05:48il y a des gens qui sont derrière tout ce qui...
05:50C'est juste pour s'expliquer par rapport à l'aise, ou il y a des gens qui sont payés ou bien qui sont dans les règlements de comptes,
06:03comment t'as ni agiré d'eux ?
06:04Non, il y a des gens qui sont dans une logique de règlements de comptes depuis Maké Salah et Niena Djaye, quoi.
06:10Parce qu'ils ne digèrent pas les avantages qu'ils avaient sous le régime de Maké Salah,
06:14que ces avantages-là soient perdus, perdus au moins pour cinq ans ou bien plus, si le régime reste.
06:20Et au vu de l'actualité, au vu des récentes élections, et au vu de la posture des opposants,
06:30pour le moment, on n'a pas un opposant à la hauteur qui pourrait déboulonner ceux qui sont là, du moins pour l'instant.
06:37Dans cinq ans, on ne sait pas ce qui va se passer, mais pour le moment.
06:40Il n'y a pas un opposant qui est à la hauteur des enjeux.
06:43Il y a un beau Khamneni, véritablement, il pourrait faire mal au régime d'ici cinq ans.
06:48Peut-être que la perspective de rester ici au moins dix ans et d'ici,
06:52et qu'on ne peut pas se passer à la hauteur des enjeux, peut-être que ça aussi fait mal.
06:57Si tu ne peux pas avoir un certain nombre de clous, tu ne peux pas être content.
07:06Tu peux garder une certaine aigreur, une certaine rancune.
07:08Ce sont des choses qui sont compréhensibles aussi.
07:12Mais comment est-ce que tu as dit dans l'ensemble le journal Yor Yor à travers la personne de Serine Sialou ?
07:17Ils sont considérés comme des mercenaires de la plume.
07:21Ils sont japonais, ils sont venus à des ordres de la plume,
07:24comme si vous étiez des politiques encaugoulées.
07:27Quelle est-ce que tu as dit dans votre considération ?
07:28Et parfois, tu as dit dans le journal Yor Yor.
07:30Bon, ça aussi, ce sont les accusations.
07:33On va savoir qu'au début, tous les gens qui soutenaient Mack Sall, ils n'avaient pas sur vous.
07:39Parce que si vous étiez des milliards, vous n'avez pas dit qu'il y avait 15 millions, 5 millions, 20 millions.
07:44Mais vous savez, si vous étiez des milliards, des centaines de millions,
07:49vous avez des preuves, un rapport qui a été fait par des codes de contrôle de l'État.
07:53Il y a des preuves de ce qu'on a fait.
07:55Moi, je me suis dit qu'on a fait un travail de menace des portes de plainte.
08:00Finalement, il y a des portes de plainte.
08:02Ils ont été convaincés.
08:03Vous savez, c'est une bataille politique et médiatique.
08:08C'est ça, parce que les gens, si vous étiez des milliards, ils ne l'ont pas dit.
08:13Ils ne l'ont pas dit, ils ne l'ont pas dit.
08:16C'est simplement ça.
08:18On a eu à avoir un certain nombre d'informations.
08:21On les a mis sur la place publique.
08:23Certains gardent une rancœur, d'autres même voire une haine envers le journal.
08:28Ça se comprend aussi.
08:30Est-ce qu'on a dit que les japonais, c'est le meilleur journal.
08:32Non, les japonais.
08:33Vous savez, c'est le plus important.
08:34Les Sénégalais aussi.
08:36Les Sénégalais qui savent lire et écrire couramment en français ne sont pas très nombreux.
08:43Donc, nous sommes très nombreux.
08:45Quand on a vu la télé, ils ont dit qu'ils ne sont pas les plus grands.
08:48Ils ont dit qu'il n'y a rien.
08:50Il y a des journalistes professionnels qui sont là-bas.
08:54Ils ont dit qu'ils ne sont pas les plus grands.
08:56Ils écrivent en fonction de l'actualité.
08:59C'est simplement ça.
08:59Vous êtes indépendants là-bas.
09:01Mais vous êtes orientés justement.
09:03Vous devriez dire qu'il y a un gouvernement qui est là-bas.
09:07Comme certains, nous l'avons vu.
09:09Non, ce n'est pas simplement.
09:11Ce n'est pas ça.
09:11Ce n'est pas ça en fait.
09:14On n'exécute pas des commandes politiques.
09:16Quand tu as été à l'école, je peux dire à une bonne école, je salue au passage les enseignants que j'ai eus là-bas au CECI.
09:31Donc, il y a des choses que tu ne peux pas te permettre de faire.
09:33Tu as un minimum de retenue.
09:35Il y a un minimum d'éthique, de déontologie à avoir.
09:42Mais pour autant, il ne faut pas aussi reconnaître qu'on a une ligne qui est beaucoup plus proche du pouvoir que de l'opposition.
09:50Ça dérange l'opposition, le fait qu'il y ait une orientation.
09:54Non, ça dérange l'opposition.
09:56Mais dans tous les pays du monde, il y a même une France en libération.
10:00Il y a des journaux de gauche, des journaux de droite, des journaux même d'extrême droite.
10:04En France, comme CNews, il y a des droits d'extrême droite, il y a des gens qui parlent de la télé et des gens qui parlent d'une autre chose.
10:14Il y a des critiques chaque jour, Macron et la gauche, il y a des choses comme ça, mais pour autant, il s'arrête des journaux.
10:21D'accord, on peut parler de notre métier avec Simon Fay.