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Regardez le coup de colère de Christine Kelly ce matin sur CNews face à Rachida Kaaout dans "Morandini Live"

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Transcription
00:00Le deuxième point, parce que Christine Théry, je sais ce qu'elle veut dire, je sais ce qu'elle veut dire, je termine, j'interromps rarement, mais cette histoire de mettre une cible dans le dos des mots, je refuse, je termine, je refuse d'entendre ça, puisque, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, parce que toute la journée, nous journalistes de CNews, on a des cibles dans le dos, et je ne vous entends pas nous défendre.
00:29Je ne vous entends pas dénoncer ces cibles sur le dos, toute la journée, dans tous les médias, on est cités, on est harcelés, on est acculés, on est critiqués, on est montrés du noir, on nous ment, on nous crache dessus toute la journée, on a des menaces de mort, où êtes-vous pour nous défendre, où êtes-vous pour dénoncer, pour dire la vérité, où êtes-vous pour venir en soutien aux journalistes qui ne font que leur travail,
00:57Où êtes-vous, lorsque tous les médias de gauche se mettent contre médias, où êtes-vous, je suis désolée, je refuse d'entendre qu'eux, frontières, ils mettent une cible sur le dos, parce que la cible du hurle-dos, on l'a toute la journée, c'est par tous les médias, et je n'entends personne nous défendre.
01:13Et nous les politiques, madame Kelly, nous avons aussi une cible sur le dos.
01:20Moi je parle de journalistes, je parle de journalistes qui font leur métier, il y a deux ans et demi, au conseil municipal d'Ivry-sur-Seine, j'avais une cible sur le dos, j'étais harcelée, j'étais poursuivie par justement ces activistes propolisario.
01:32Je vais vous dire, mes enfants ont été interpellés dans la rue parce que j'ai pris des positions.
01:36Mais moi aussi, ma fille aussi, moi aussi, moi aussi, je tiens à dire, moi aussi j'ai eu des gardes du corps, j'ai des gardes du corps, tu ne peux pas aller en public sans que tu ne sois pas protégé.
01:46C'est pour vous dire que je comprends la situation.
01:49Oui mais il ne faut pas dire qu'il n'y a qu'un côté qui mette les cibles sur le dos, on en a tout le temps et on ne dit rien, on subit, on ne dit rien.
01:56Je suis désolée, on en a marre nous aussi d'avoir des cibles sur le dos.
01:58On en a marre, on en a marre, mais il faut rappeler que la libre personne n'a une expression concernant des journalistes qui aujourd'hui diffusent l'information
02:07et sont écoutés par, peu importe en fait quels sont les partis politiques ou encore les mouvances politiques, et bien ils ont une responsabilité.
02:14Et aujourd'hui je tiens encore une fois à rappeler qu'il y a deux enjeux sur le volet juridique où on ne peut pas non plus tout dire par rapport au fait qu'il voulait...
02:23Et on peut tabasser un journaliste, ça oui on peut.

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