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Bizarrement, contre Metz, l’Estac a montré plus de vitalité dans les cinq minutes d’arrêt de jeu que lors des 90 du temps réglementaire. Trop tard pour empêcher la défaite (2-1) ce vendredi 28 mars. Intervenants : Mattéo Clochard & Alan Mangin

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Transcription
00:00Il y a eu une première occasion au bout d'une minute trente de la part d'Irie et là on s'est dit tiens l'ESTAC commence bien son match
00:06dans la lignée aussi de ce qu'elle proposait depuis quelques semaines même plus et en fait c'était la première et dernière incursion croyenne de la première mi-temps.
00:17En deuxième mi-temps il y a eu quelques tiers cadrés mais surtout en fait ces arrêts de jeu qui laissent des regrets parce qu'on se dit pourquoi
00:23finalement avoir presque plus montré en cinq minutes d'arrêt de jeu qu'en 90 minutes.
00:29Parce que pour ceux qui n'ont pas pu suivre, Asumu touche la barre transversale, deux prévilles marquent et puis un médecin alors sur une action où l'arbitre aurait pu laisser l'avantage,
00:38un médecin se fait expulser pour un gros gros tacle, un attentat comme on entend parfois dans le football sur Youssouf ou Shangama.
00:46C'est étonnant en fait qu'il ait fallu attendre si tard pour voir un peu de vitalité, un peu d'allant, un peu d'énergie.

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