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00:00d'amnistie et toute cette polémique autour de la question,
00:04les validités de manifestation devant l'Assemblée Nationale le 2 avril,
00:08le jour où il a été examiné à l'Assemblée Nationale en plein air.
00:12Quelle est ta vision par rapport à la loi d'amnistie?
00:16J'ai entendu Amadou Mbappé, député,
00:20qui a fait une explication
00:25en disant que pour chaque cas de figure, il y a des conséquences.
00:30C'est ce que j'ai pensé et je ne suis pas une juriste.
00:35Mais ce qu'il faut savoir
00:39c'est qu'il n'y a pas d'amnistie aujourd'hui.
00:44C'est la politique des politiciens.
00:47Comment on va faire pour qu'ils ne se réveillent pas?
00:52C'est toi qui as tué tes enfants.
00:57Si tu dis qu'on va l'entendre aujourd'hui,
00:59on va les tuer.
01:04Ils sont là pour le défendre.
01:09C'est ce que j'ai vu, ils sont là pour le défendre.
01:13En tout cas, l'événement est un magistère.
01:17La loi d'amnistie est votée par eux.
01:20Mais ce qu'on veut aujourd'hui, c'est qu'on manifeste
01:23sur une loi honteuse comme celle-là.
01:28Ce n'est pas possible.
01:30Après 80 mois de loi, il n'y en a plus qu'une.
01:36Ils doivent raser les murs.
01:40Ils doivent s'en occuper.
01:44Ils sont là pour tous les sujets.
01:47Mais l'opposant n'a qu'à attendre.
01:50Ils doivent s'occuper du boulot.
01:54Ce qu'on veut reprocher,
01:56c'est que j'ai lu un titre de Madjambal Gagne
02:00qui dit que la société civile
02:05n'est pas la bonne chose pour eux.
02:08Pour eux, c'est juste qu'ils veulent s'en occuper.
02:12Mais la société civile leur a dit qu'ils ne peuvent pas s'en occuper.
02:16Qui a cité?
02:20Madjambal Gagne.
02:22C'est bon.
02:24Si tu veux être crédible, tu dois être crédible.
02:28Mais tu n'es pas crédible.
02:30Je ne dis pas que tu n'es pas crédible.
02:32Pour moi, Mme Moussa est crédible.
02:34On n'est pas d'accord, mais elle est crédible.
02:36Par contre lui,
02:38sur les affaires de justice,
02:42il parle de télécom.
02:44Il parle des biens des uns et des autres.
02:49Au Sénégal, c'est le 24 mars 2024.
02:53Ils sont là.
02:55En 2012.
02:57Avec le bashing qu'ils ont fait
02:59les premières années de 2012
03:01dans les journaux,
03:03c'est ça qu'ils veulent recommencer.
03:05C'est là qu'on est.
03:07Regarde la presse suisse,
03:09depuis le début de la guerre.
03:11C'est des maîtres chanteurs.
03:13Aujourd'hui, le robinet est mort.
03:15Il y a beaucoup d'erreurs,
03:17on verra.
03:19C'est une erreur,
03:21on ne peut pas se critiquer.
03:23On ne peut pas répondre à tout.
03:25Aujourd'hui,
03:27on ne peut pas s'étonner de ce qu'on entend.
03:31On entend bien qu'il y a des gens
03:35qui disent que
03:37pour eux,
03:39la loi
03:42fait viser les autres.
03:46On l'entend.
03:48Mais qui dit qui?
03:52C'est comme si on n'avait pas vu
03:54la mort de quelqu'un.
03:56On ne peut pas s'étonner.
03:58C'est la guerre.
04:00C'est là qu'on est.
04:02Mais pas que.
04:04On ne peut pas se rendre compte
04:06de ce qui s'est passé.
04:08On est tous là-bas.
04:11On ne peut pas se rendre compte
04:13de ce qui s'est passé.
04:15C'est ce qu'on entend.
04:17On ne peut pas s'étonner.
04:19La société civile,
04:21Yann Amar,
04:23JLU, Birame Seyke,
04:25et d'autres,
04:27ils enrichissent le débat.
04:29On va les écouter.
04:31Il n'y a aucun souci.
04:33Est-ce qu'au fond,
04:35ce que vous voulez prendre
04:37pour l'éliminer,
04:40c'est le problème de Yann?
04:42Parce qu'il veut des amendements civils
04:44et des contestations.
04:46J'aurais beaucoup aimé que ces personnes-là
04:48se battent pour que notre calice revienne ici.
04:54Plutôt qu'ils se battent pour que
04:56la loi d'amnestie
04:58soit faite par principe politique
05:00et pas de terrain politique.
05:02Pour qu'elle rentre dans le dossier.
05:04J'aurais aimé que,
05:06si c'est le cas,
05:09qu'on fasse autant d'énergie
05:11pour l'argent caché
05:13et la dette cachée.
05:15C'est ce que les Sénégalais attendent.
05:17Pour avoir de l'électricité,
05:19pour avoir de l'électricité.
05:21On ne peut pas se battre pour ça.
05:23Si on se battait pour ça,
05:25qu'allions-nous faire?
05:27Un procès par force.
05:29On ne peut pas se battre pour ça.
05:31On ne peut pas se battre pour ça.
05:33On ne peut pas se battre pour ça.
05:35On ne peut pas se battre pour ça.
05:37La force de l'ordre
05:39est la cible.
05:41Mais qui a dit que les forces de l'ordre
05:43sont les autres?
05:47Je rappelle que le jour où on est allés ici,
05:49c'est là qu'on a fait l'émission.
05:51C'est là qu'on a fait le rendez-vous.
05:53C'est là qu'on a vu le pick-up.
05:55C'est là qu'on a vu l'autoroute.
05:57C'est là qu'on est allés.
05:59C'est là qu'on est allés.
06:01On a sorti le matin
06:03de la razia de Dakar.
06:06On a parlé de tout.
06:08On a parlé de tout.
06:10Tu te souviens?
06:12C'est là qu'on a fait l'émission.
06:14C'est là qu'on a vu le pick-up.
06:16On a pris notre argent
06:18pour faire des autos pour la campagne.
06:20On a fait des nervis
06:22pour aller à la razia.
06:24On a fait des nervis pour aller à la razia.
06:30Si on se bat,
06:32la preuve est que
06:35les modifications sont là.
06:37Personne ne l'a entendu.
06:39Il faut prendre ses responsabilités.
06:49La vie démocratique, c'est comme ça.
07:01C'est ce qu'on a dit dans la publication.
07:05C'est ce qu'on a dit dans la publication.
07:07Maintenant, si vous voulez
07:09qu'on arrête de parler de la FMI
07:11et qu'on arrête de parler de la Sénégalaise,
07:13après ce que vous avez dit,
07:15nous voulons que les jeunes
07:17fassent leur procès.
07:19Vous avez dit autre chose.
07:21On va voir si les Sénégalaises...
07:23C'est moralement injuste.
07:25Donc, on l'accepte.
07:27Il y a des interprétations
07:29que l'on ne peut pas
07:31laisser passer.
07:34Il faut convaincre les Sénégalais
07:36qu'ils doivent le voir.
07:38On peut l'accepter.
07:40Il y a des expériences,
07:42des caractéristiques.
07:44Mais il faut le voir.
07:46Nous devons prendre en compte
07:48quand même.
07:50Pour qu'ils le voient,
07:52on doit faire un point.
07:54C'est-à-dire qu'à un moment donné,
07:56il faut prendre ses responsabilités
07:58par rapport
08:00à une situation donnée.
08:03Les députés doivent voter.
08:05Nous avons stabilisé la loi.
08:07Le 2 avril, on en parlera.
08:11Il n'y a pas eu d'amendements
08:13sur un côté.
08:15Il y a eu des crimes
08:19et des tortures.
08:21Est-ce que cette interprétation
08:23suffit pour vous
08:25concernant la loi?
08:27Là, par exemple,
08:29on nous dit que de toute façon,
08:31tout ce qui est crime
08:33et torture,
08:35c'est dans la loi.
08:37Mais avant de parler de la loi,
08:39est-ce que dans la tête des gens,
08:43nous devons dire
08:45que les meurtriers
08:47sont tous dans l'amnesty?
08:51Est-ce que c'est vrai?
08:53Que les meurtriers et les torturés
08:55sont tous dans l'amnesty?
08:57C'est une question qui est posée.
09:00C'est une question qui est posée.
09:02Si on la précise,
09:04on va dire que
09:06la portée de la loi
09:08est de toute façon
09:10signée par la convention du Sénégal.
09:12Mais est-ce que c'était le cas?
09:18Est-ce que c'était le cas?
09:20On a évoqué l'élection de loi.
09:24On a évoqué l'élection de loi.
09:26On a évoqué l'élection de loi.
09:29C'est tout ce qu'on peut faire.
09:33Donc aujourd'hui,
09:35je ne dis pas que c'est parfait
09:37mais je dis que
09:39avec les limites que ça a,
09:41nous allons y aller.
09:43A un moment donné, tu décides.
09:47Mais là,
09:49on voit une approche solitaire.
09:51Parce que ce n'est même pas l'exécutif
09:53qui l'a portée.
09:55Contrairement à ce qu'on pensait
09:58autour de la loi d'admission.
10:00Mais c'est encore moins
10:02le groupe parlementaire.
10:04C'est un député.
10:06Il n'y a pas un député qui l'a portée.
10:08Ce n'est même pas le groupe parlementaire passif.
10:14Non, c'est la perception.
10:18C'est très technique.
10:20C'est très technique.
10:22Si tu l'écoutes aujourd'hui,
10:24tu comprends, tu prends des notes.
10:27Mais si tu l'écoutes aujourd'hui,
10:29tu dois l'écouter.
10:33Donc c'est extrêmement technique.
10:35C'est vrai que c'est technique.
10:37Mais la loi d'admission,
10:39il n'y a pas un député qui l'a portée.
10:41Parce que c'est toujours comme ça.
10:43C'est comme quand on dit la loi EZAN,
10:45la loi etc.
10:47Mais ça passe
10:49d'abord
10:51entre députés,
10:53ensuite en commission technique,
10:55non, jamais.
10:57Non, ça ne peut pas se faire.
11:03Parce qu'on est sur le plateau
11:05parce qu'on pose des questions techniques
11:07extrêmement pointues.
11:09Par exemple,
11:11c'était un administrateur
11:13et je ne l'ai pas parlé,
11:15mais il y a des choses
11:17qu'il faut parler.
11:19Donc ce qu'il a dit,
11:21sur des émissions,
11:24il a posé des questions
11:26extrêmement précises.
11:28Est-ce qu'il n'y a pas d'erreur?
11:30C'est une affaire juridique.
11:32C'est le droit qui touche la société.
11:34Je suis d'accord.
11:36Mais de toute façon,
11:38on veut tout simplifier.
11:40Mais les choses ne sont pas toujours simples.
11:42C'est-à-dire que le droit
11:44est compliqué.
11:48C'est vrai qu'en 12 ans,
11:50on est devenus tous des...
11:53Des experts.
11:55On a appris plein de termes
11:57que nous n'avons jamais entendu.
11:59On les a oubliés.
12:01On les a dit comme si
12:03on était des experts.
12:05Mais
12:07moi je veux dire que
12:09en tout cas,
12:11les gens qui peuvent le dire
12:13jusqu'à ce qu'ils le comprennent,
12:15c'est eux qui doivent le dire.
12:17Il faut qu'on aille chercher
12:19des connaissances et qu'on arrête de parler.
12:22Je n'ai pas l'habitude de parler
12:24et d'attaquer sans avoir
12:26des arguments solides.
12:28Donc il faut qu'on aille chercher
12:30des connaissances.
12:32C'est ce que nous voulions dire.
12:34Tout à l'heure, Diallo m'a évoqué
12:36que si nous avions pu le faire
12:38et qu'on avait pu l'expliquer
12:40à ce qu'il s'agissait,
12:42il y aurait eu plus de connaissances.
12:44C'est impossible.
12:46Il y a des gens qui viennent
12:48de la dépression ou de l'amnestie.
12:51Il y a des gens qui viennent
12:53de l'amnestie.
12:55Au final,
12:57Fasteb est obligé de faire
12:59des conférences de presse
13:01chaque jour pour expliquer
13:03ce qu'il fait.
13:05Bon, c'est bien.
13:07C'est peut-être
13:09qu'il y a un bon point
13:11et un mauvais point.
13:13Peut-être qu'il y a un bon point
13:15et qu'il y a un mauvais point
13:17et qu'il y a un bon point
13:19C'est bien.
13:21On peut se faire la paix
13:23mais on ne peut pas le faire.
13:25C'est la politique.
13:27Les gens qui sont en train de se faire la paix
13:29veulent se faire la paix
13:31dans l'affaire
13:33dans le conflit
13:35et ne pas faire la paix.
13:37Donc, quand on veut se faire la paix,
13:39il faut se faire la paix.
13:41Il n'y a pas de problème.
13:43Donc, on ne peut pas la laisser faire la politique.
13:45On va faire la paix.
13:48Tu l'as dit?
13:50J'ai entendu
13:52Abou Adoubou le dire.
13:54Je te le répète.
13:56Quand la commission technique
13:58arrive à cette chambre
14:00et qu'elle parle,
14:02pourquoi est-ce qu'elle est là?
14:04Aïb Davé.
14:06Quand la commission technique
14:08arrive à cette chambre
14:10et qu'elle challenge tout le monde
14:12pourquoi est-ce qu'elle est là?
14:14Non, c'est le costume.
14:17Elle est là pour se faire la paix.
14:19Est-ce que tu as vu
14:21qu'on lui avait donné
14:23tellement de crédits
14:25pour qu'elle se fasse la paix?
14:27Parce que c'était un fils de jeune
14:29et qu'elle ne l'avait pas annoncé.
14:31Tu sais que c'est lui
14:33qui a fait la proposition.
14:35C'est de bonne guerre.
14:37Il fait de la bonne politique.
14:39On verra bien.
14:41En 2027,
14:43on verra ce qu'il va faire.
14:46On verra bien.
14:48En janvier 2027,
14:50on verra ce qu'il va faire.
14:52On verra bien.
14:54On verra bien.
14:56On verra bien.
14:58On verra bien.
15:00On verra bien.
15:02En tout cas,
15:04c'est lui qui pose des actes.
15:06Il dit qu'en tant que
15:08parlementaire,
15:10c'est lui qui fait
15:12de la bonne politique.
15:15C'est ça.
15:17C'est lui qui voulait
15:19mendier la loi.
15:24Après avoir entendu,
15:26tu vas faire un bon travail.
15:28C'est ça.
15:32Après avoir entendu,
15:34tu ne fais pas
15:36que de la communication
15:38mais que tu fais du travail.
15:40On va faire voir la loi
15:42et après l'avoir encore
15:44Il y a l'incidence financière, le coût humain, le coût médiatique, le coût, le coût, le coût, le coût.
15:55Je vous le répète, dès le soir, l'essentiel, c'est de savoir qui a tué qui, nous rendre des comptes, nous torturer, nous rendre des comptes, nous leur donner des ordres, nous leur donner des ordres.
16:10C'est ce que le ministre de la justice a dit aujourd'hui.
16:15Parce que c'est trop facile.
16:17C'est trop facile de donner des ordres à des gens qui sont dans leur destin.
16:23Nous allons faire, après nous allons les tuer, toi tu restes là où tu restes, nous venons tous ensemble.
16:29Donc, c'est un peu ça quoi.
16:32Maintenant que nous travaillons pour dire ça, nous ne sommes pas d'accord.
16:38Nous avons pris la loi, toi tu restes là où tu restes.
16:43Tu n'es pas là pour travailler.
16:46Tu n'es pas là pour comprendre.
16:48Les Sénégalais ne sont pas là pour savoir ce qui se passe.
16:54Donc, ça diminue un peu la crédibilité.
16:57La sincérité, parce qu'elle n'est pas sûre de ce qu'elle va faire.
17:02Si elle était sûre, elle n'aurait pas été là.
17:07Elle n'aurait pas été là pour communiquer.
17:10C'est plus difficile.
17:12Mais bon, il faut l'utiliser pour faire de la politique, y compris sur des cadavres.
17:17Et ça, moi je n'apprécie pas vraiment.

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