Revue de Presse du 28 Mars 2025 avec Fabrice Nguema
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00:00Sénégal, bonjour. Au menu de l'actualité de Vox Populi, une information qui poussera plus d'un à faire du turpi turpi, fait tout monter.
00:07En tout cas, le quotidien de Vox Populi de révéler politique des prix de distribution et de consommation, le kilogramme de riz va passer à 350 francs CFA.
00:16Wallah, wallah, wallah, wallah, wallah, bok.
00:18Sans plus tâter de dire. Que dire autour de cette actualité sinon ?
00:21Le ministre du Commerce et du Fogedjaï, pardon, le ministre du Commerce annonce une baisse prudente d'où ses propos à lire dans Vox Populi, comprenez ?
00:29C'est au Président de la République de faire les annonces nécessaires, d'où la nécessité pour nous de prendre tribune quotidienne ce matin à la une du jour là du groupe Demeya.
00:38On peut lire que Ndéketeyo, Ndéketeyo, la baisse du prix du riz annoncée avec tambour et trompette par Saouaï peut s'apparenter à du Pachal Foroch, à Stafourla, à du Narembaï.
00:50Vous le connaissez ? Wallahi, talahi, bon.
00:52Coup dédoré de première nécessité, une fausse baisse, une fausse baisse du riz en gesticulation, pardon, une fausse baisse du riz en gestation.
01:00Voilà le titre qui barre la une, la une de tribune quotidienne ce matin dans le journal Seb Moustapha Tal, importateur de riz qui sent qu'on tourne 10 000 i, wallahi, talahi.
01:11Si le prix du riz a baissé, c'est parce que l'Inde, l'Inde a réautorisé les exportations.
01:18C'est le riz non parfumé, le moins consommé qui est conservé par la baisse annoncée avec tambour et trompette par M. le ministre du Commerce, Edwin Gay-Diop, dira toujours Moustapha Tal dans Tribune Quotidien.
01:28Le journal de ce lundi, en tout cas, cette interdiction d'exporter prise par l'Inde depuis 2022 a été levée le 7 mars 2025, en tout cas.
01:36Cela a induit, eh bien, induit une baisse des cours mondiaux et les autres sont obligés de s'allier car l'Inde est leader en la matière, informe toujours Tribune Quotidien ce matin.
01:46Le journal du groupe Démédiat de s'intéresser à la célébration de l'Aïd el-Fitr.
01:50Bon, crise économique, chèreté de la vie, perte d'emploi, la corité célébrée, eh bien, célébrée dans la dèche.
01:56D'après Tribune Quotidien qui renseigne, l'Aïd el-Fitr célébrée dans un contexte particulièrement, eh bien, particulièrement difficile pour les Sénégalais.
02:04Bon, la crise économique, la chèreté de la vie et les pertes massives d'emploi gâchent totalement, pour ne pas dire complètement et voir carrément, carrément la fête.
02:13Au même moment, Tribune Quotidien revient en long et en large sur le rappel à Dieu de maître Houré Chiba.
02:18Et là, il s'agit dans le journal du groupe Démédiat de l'hommage, eh bien, de l'hommage de Moussa Diakhate, ancien président de la commission des lois à l'Assemblée Nationale.
02:26Actualité nationale avec la loi Amadouba numéro 2.
02:30Et sur ce point, il y a dans Tribune Quotidien le Mbatchoum Gherte, eh bien, le Mbatchoum Gherte signé Adji Diara,
02:37En tout cas, Adji Diara, Bergan Kadouté, coordonnatrice de la coalition Ensemble pour Demain.
02:42De considérer à plus d'un titre dans Tribune Quotidien que cette loi, eh bien, cette loi d'interprétation est dangereuse.
02:48En d'autres termes, un oujoubila imminent.
02:50Loi Amadouba numéro 2, Rajim, voilà ce que dit Adji Diara, Bergan Kadouté, coordonnatrice de la coalition Ensemble pour Demain dans Tribune Quotidien.
02:59De prendre suite quotidienne à la une du journal du groupe Sud Communication.
03:02Il a écrit, proposition de loi interprétative de la loi d'amnistie numéro 2024-09.
03:08Le débat, eh bien, le débat ne s'estompe pas.
03:10En tout cas, le débat sur la proposition de loi interprétative de la loi d'amnistie est très loin.
03:15Nos connaissances en épilogue nous livrent, en tout cas, suite quotidienne ce matin.
03:19Ce matin, le quotidien, le quotidien de révéler, en tout cas, interprétation de l'amnistie par Steph Namadouba.
03:26Bon, retenons tout simplement et tout bonnement d'après le quotidien, le quotidien, que le collectif des victimes demande la brogation pure et simple de la loi.
03:35Et c'est au nom de la loi relative aux droits à l'information que le quotidien, le quotidien renseigne.
03:39La CNDH et le bureau du HCDH veulent, eh bien, veulent la publication des rapports d'enquête sur les morts.
03:48Et c'est avec la mort dans l'âme qu'il conviendrait de lire dans le quotidien, le quotidien, ce que dira Maître Aïssata Talsal.
03:55Le président du groupe parlementaire Taku Walu, à savoir que ce sont eux qui ont peur, qui ont la touille de la brogation.
04:02Bon, abrogation, non, proposition de loi interprétative de l'amnistie, oui, voilà la position claire et nette de l'initiateur de la loi.
04:10Et aujourd'hui, dans ce quotidien, on peut lire la CNDH, comprenez, la commission nationale des droits de l'homme, dirigée par le professeur Amsatou Sosinibé, demande l'avis des sages, comprenez, l'avis du conseil constitutionnel.
04:23Bon, pourvu que tout cela ne tombe dans l'oreille d'un sourd, si on en croit cette fois le point actuel ce matin, ce matin, le journal, en tout cas, d'indiquer la loi interprétative de l'amnistie, professeur Amsatou Sosinibé déconseille, eh bien, déconseille le passage en force, force est de retenir d'après le point actuel quotidien que le professeur Amsatou Sosinibé invite l'État au dialogue et l'Assemblée nationale à s'assurer devant les sept sages de la constitutionnalité de la loi interprétative.
04:50Restons, eh bien, restons avec le point actuel qui affiche, qui affiche, les points que l'imam Moukouroubaï Fallenga, l'imam Mbombole des Bourides, signait Mansour Faï. Bon, ça vaille.
04:59Le Gouvernement national alerte la société civile sur les dérives du régime et c'est à plein régime qu'on tourne. Mansour Faï, histoire de déclarer, vous n'avez pas le droit, alors là, pas du tout le droit, du tout, du tout le droit de faire profil bas.
05:11Depuis quand, eh bien, depuis quand dire à un menteur qu'il ment est devenu une insulte? Voilà l'interrogation, en tout cas, de Mansour Faï dans le point actuel. Ce matin, ce matin, lors de souligner l'autre point aux allures de bombes à fragmentation signée Sawaï, Mansour Faï, comprenez, la presse libre est en train d'être maillonnée et ostracisée.
05:31Mon cher concitoyen, nous n'avons pas le droit, alors là, pas du tout le droit, de fermer les yeux sur ce qui est en train de se passer dans ce pays, dira aussi Mansour Faï avant d'ajouter et je m'adresse singulièrement à cette respectable intelligentsia et c'est avec beaucoup d'intelligence et de science, avec conscience que Direct News, eh bien, Direct News s'intéresse à Badara Gadiaga, chroniqueur international et universel mondial de son état et en l'état.
05:58Direct News de révéler, paysage médiatique, Badara Gadiaga, chroniqueur, une voix, eh bien, une voix qui s'impose, détaille, wow, wow, wow, c'est à travers l'émission Jack Carlotti sur la TFM que le grand public a découvert son talent, le talent de Badara Gadiaga.
06:12Explique bien entendu, Direct News, au jour-là, d'ajouter, ses interventions toujours basées sur des faits précis et irréfutables, témoignent de sa perspicacité. De toute façon, son franc-parler a parfois suscité des réactions vives, informe toujours Direct News avant d'ajouter, l'illustration la plus parfaite a été servie avec sa dernière sortie qui a soulevé un tollé.
06:31Monstre du côté des pastéfiens, bon, fidèle à ses convictions et ses principes, il refuse catégoriquement de céder à une quelconque pression. D'où qu'elle vienne, note toujours, eh bien, note toujours Direct News, le journal piloté par Pape Diogoy Faye ou le lion de Giacord, d'ajouter, il est le fils Badara Gadiaga et le fils de Bachi Gadiaga, Bachi Gadiaga, oualaï, fils de Bachi Gadiaga, Bachi Gadiaga.
06:54Ancien secrétaire national chargé des affaires sociales et religieuses du parti Reoubi, qui a fait, eh bien, qui a fait les années de braise du PDS, en d'autres termes, bon sang ne saurait mentir. Si on en croit, bien entendu, Direct News à propos de Badara Gadiaga.
07:08Ainsi, c'est donc naturellement qu'il a suivi les traces de son père, Bachi Gadiaga, l'immense Bachi Gadiaga, le balèze Bachi Gadiaga, en intégrant le parti Reoubi, où il a occupé pendant 16 ans des fonctions stratégiques au sein du secrétariat national et de la cellule de communication. Précise également Direct News que retenir d'autres autour de Badara Gadiaga, hymne Bachi Gadiaga.
07:30Sinon, ce que nous livre le journal Direct News, comprenez, le giant galard, le gros scorpion, le giant galard de Grand Dakar, à l'image de l'équipe navigante de giant galard de Grand Dakar, fidèle à ses principes et droit dans ses bottes. Ainsi, Dawul Cho, biétiste du journal, d'expliquer qu'on l'aime ou pas, Badara Gadiaga, hymne Bachi Gadiaga, est en train de tisser sa toile avec perspicacité.
07:53Que dire d'autres autour de l'actualité des chroniqueurs de l'heure ? Sinon, ce que nous livre Tribune Quotidien, ce matin, le journal du groupe des médias, en tout cas, dédiqué, plainte d'Azura Fall, libéré après son audition, le chroniqueur champion, toute catégorie confondue, au plan mondial de son état, comprenez, Abdounger, maintient ses propos.
08:11Voilà, voilà, voilà, voilà, bon, ce qu'on nous a tenté de dire, que dire ? En tout cas, sinon, ça ouais, Abdounger, c'est comme qui dirait le Gorfit, aux allures de Foulaye Yai Dakar, si on en croit, bien entendu, Tribune, ce matin, ce matin, le journal du groupe des médias, en tout cas, de nous intéresser à une situation bizarre, de choses bizarres, de quoi s'agit-il, ouais, et bien, le saltan pour les finances publiques, en tout cas, snobé, et bien, snobé par le FMI, PROS, la porte du groupe, comprenez, Ousmane Sonko, lance un emprunt obligataire à un taux très élevé, c'est-à-dire 6,40%,
08:41et là, mais là, c'est donc, mais là, c'est donc, c'est Allah, Fougitio Bati ! Bon, que Dieu préserve le Sénégal !