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Revue de Presse du 20 Mars 2025 avec Fabrice Nguema

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00:00Sénégal, bonjour, dékété yo, dékété yo, Amadou Moustapha Ndiékesaré, ouarétino toit toit,
00:07boule de conner, oua laï ta laï, en tout cas, Tribune Quotidien ce matin de renseigner que selon
00:11Sawai, le ministre porte-parole du gouvernement Ndiékesaré, Amadou Moustapha, Mamadou Moustapha
00:16Ba, ancien ministre des Finances et du Budget, a été tué dans des conditions troubles, y a-t-il
00:21lieu là de dire un peu l'eau, ou encore un peu de l'eau ? Bon, les avocats de la veuve de Moustapha
00:26Ba dénoncent la sortie irresponsable, pour ne pas dire la sortie à l'emporte-biaise du ministre
00:31porte-parole du gouvernement. Bon, scandaleuse et irresponsable selon Babacar Gaye, informe toujours
00:37Tribune Quotidien, le soldat du groupe délégué de Soulier, la sortie au vitrion, pour ne pas dire
00:42le pavé dans la barre, ou encore le coup de pied dans la fourmilière, signé mon confrère et doyen,
00:47Magdian Baldiagne, à savoir, cette affirmation laisserait croire que les autorités de la France,
00:52pays où Moustapha Ba est mort, auraient fermé les yeux sur un meurtre. Aïe, semble tenter de dire,
00:59en tout cas, Basse-Québec, l'enfant chéri de cœur Magabelle, d'après toujours Tribune Quotidien,
01:05demande, et pour ne pas dire, au procureur de s'auto-servir. En d'autres termes, Basse-Québec,
01:14comprenez Basse-Québec, ami de Moustapha Ba, exige un bachungerté judiciaire suite à la
01:21sortie de M. le porte-parole du gouvernement, comprenez Amadou Moustapha Ndiyeke Saré,
01:27son envoi, cette fois Tribune, d'où l'intérêt pour nous de prendre critique. Le journal en appelle
01:32à la une, d'indiquer assassinat, assassinat entre guillemets, de Moustapha Ba, l'audition
01:37Racking Time, Fast Track de Moustapha Ndiyeke Saré, porte-parole du gouvernement, exigeait une
01:43exigence qui intéresse à plus d'un titre, le point actuel quotidien sauvateur. A la une du journal,
01:48il est écrit, mort de Moustapha Ba, M. le porte-parole du gouvernement, sème le trouble,
01:54bon, il, Moustapha Ba a été tué dans des conditions troubles, déclare Moustapha Ndiyeke
01:59Saré, porte-parole du gouvernement de son état et en l'état. Le point actuel de renseigner,
02:04l'ancien Argentier de la République a avoué au Président de la République et à son Premier
02:09ministre le maquillage des chiffres. Selon toujours, Amadou Moustapha Ndiyeke Saré a la question de
02:15savoir s'il s'agit des effets du Ramadan. Pour l'instant, retenons tout simplement et tout
02:19modement le titre de l'info quotidienne, à savoir Moustapha Saré jette un pavé dans la barre. En
02:25quoi faisant? Eh bien en jurant la main sur le cœur avant de dire à haute intelligible voie que
02:29l'ancien ministre des Finances et du Budget a été tué dans des conditions troubles. Ce qui permet
02:34au journal le Dakarois quotidien à propos justement de cette déclaration signée M. le porte-parole du
02:40gouvernement de titler que le procureur s'autosaisisse. En tout cas, Moustapha a été
02:46tué dans des conditions troubles. Voilà ce qu'a avancé Moustapha Ndiyeke Saré, porte-parole du
02:53gouvernement d'après bien entendu le Dakarois quotidien et l'as quotidien de renseigner que
02:58Moustapha Ndiyeke déraille grave. Pour l'instant, il s'agit dans l'as quotidien de la réaction au
03:07vitriol signé Bassirou Kébé. Amis du défunt à savoir, nous demandons au procureur de l'entendre
03:15et au président de la République de le débattre à la question de savoir pourquoi Saouaï mérite le
03:2045 de Bassirou Dioumaï Gahen Faï. Là où ça fait très très mal, eh bien l'observateur l'obse de
03:25renseigner Moustapha Ndiyeke Saré la parole, eh bien la parole fuyante d'un porte-parole. Et sur ce
03:31point, il y a le grand Lénine qui s'en contourne dans l'observateur l'obse déclare, le ministre
03:38porte-parole du gouvernement doit immédiatement, eh bien immédiatement être entendu dans le cadre de
03:44l'enquête ouverte. Surtout que nous livrons le jour de là les échos à sa une déclaration
03:49intempestive du porte-parole du gouvernement, Moustapha Ndiyeke Saré dérape, eh bien dérape
03:55encore. Bon, WOLF quotidien, pour ça pas déniquer, sorti sur la mort, eh bien la mort de Mamadou
04:00Moustapha Saré s'écoue la république. Action, réaction, la veuve, eh bien la veuve du ministre
04:06Moustapha Ndiyeke Saré exige son audition ici et maintenant. Note bien entendu WOLF quotidien,
04:11le quotidien, le quotidien pour sa part. Le retenir, et faire retenir la sortie ignoble,
04:16eh bien ignoble de Ndiyeke Saré. Sortie ignoble à quel sujet? Eh bien au sujet du décès de Moustapha
04:22Ndiyeke Saré. Bon, retenons également dans le quotidien, le quotidien, les explications de l'homme,
04:27monsieur le porte-parole du gouvernement, Ndiyeke Saré, qui dira que oui, quand on manque d'arguments,
04:33on fabrique des polémiques, oui, n'a pas dit n'a pas dit. Bon, à côté de Moustapha Ndiyeke Saré,
04:40il y a un autre Moustapha normal, comprenez, Moustapha Diop, ministre maire de Lugolo,
04:46qui intéresse à plus des titres, l'actualité de Direct News, le journal, en tout cas,
04:49de révéler à ça une, Moustapha Diop, après son passage, devant, eh bien devant,
04:53la commission ad hoc n'a pas usé de la langue de bois avant de dire à haute intelligible voix,
04:58l'accusation a été grande et les preuves inexistantes. En d'autres termes, eh bien,
05:02en d'autres termes, l'homme a été accusé à tort. Si on en croit ses propos dans Direct News,
05:06le journal de Soulié, en tout cas, dans cette affaire, la plaignante parlait de 700 millions
05:11et a fini par soutenir que je lui devais 300 millions de francs CFA sans été aucune preuve.
05:16Bon, ce sont les accusations sans fondement. Alors, pourquoi? Eh bien, pourquoi lever mon
05:21immunité parlementaire? Interroge, bien entendu, Moustapha Diop, qui n'a pas manqué de dire à qui
05:26veut et à qui ne veut le savoir. Je peux moi-même, moi-même, aller répondre. En tout cas, ça va,
05:32monsieur le député maire de Lougol, Moustapha Diop, qui aura probablement de quoi dire à ses
05:38détracteurs au regard de l'actualité de Direct News ce matin. Le journal de Renseigné, après
05:42cette péripétie, la date de la plaignante est fixée ce vendredi 21 mars 2025. Alors,
05:48qu'est-ce qui se cache derrière cette volonté de lever l'immunité parlementaire de Moustapha
05:52Diop? Si on sait que le dossier souffre de consistance et le juge parle d'allégations.
05:57Bon, serai-t-on en face d'une commande politique? Voilà l'interrogation Courmaïphane et Mboné
06:02Bouride de Direct News à propos de la demande de lever de l'immunité parlementaire de monsieur
06:07le député maire de Lougolo. Moustapha Diop, est-ce la pression des inspecteurs du Trésor qui
06:11avaient programmé une conférence de presse qu'ils n'ont jamais au grand jamais tenue,
06:15qui produit des effets tout compte fait? L'autre interrogation autour justement de la
06:20levée de l'immunité parlementaire du député maire de Lougolo. D'après Direct News,
06:23pour tirer fait clair, comprenez? Eh bien, l'emballement vers une levée de l'immunité
06:27parlementaire de Moustapha Diop, en réalité des réalités, une manière de satisfaire les
06:31inspecteurs du Trésor dont une frange soutient Tabas Kingom. En attendant, c'est le point actuel
06:37qui s'entretient avec l'ancien conseiller spécial à la présidence, Abdul Aziz Diop. Plus que c'est
06:41de lui qu'il s'agit, s'exprime sans détour dans le point actuel. Le journal de soutien,
06:46les propos de l'ombre, comprenez? Si elle était adoptée par l'Assemblée nationale,
06:49la loi interprétative constituerait un précédent dangereux. Bon, la solution au problème politico-
06:55judiciaire que pose la loi interprétative passe par la saisine sans délai du conseil
07:00constitutionnel. Renseigne également l'ancien conseil spécial à la présidence, Abdul Aziz
07:05Diop. Dans le point actuel quotidien, restons avec le journal qui parle de restriction continue
07:09contre les médias. Avant d'indiquer le CEDEPS, le CEDEPS s'en prend encore, eh bien, encore au
07:15gouvernement. Eh bien, retenons tout simplement et tout simplement le paré dans la main. Pour ne
07:19pas dire le coupier dans la fourmilière, signe le CEDEPS. Aller dans le point actuel, à savoir,
07:23à ce rythme fou, l'artisan du séparatisme politique deviendrait l'artisan de la ruine
07:29qu'il n'a de cesse de proclamer. Et ce que proclame Tribune quotidienne graphique, bien
07:33entendu, autour de la réaction du CEDEPS. En tout cas, coupure de signal, menace de
07:38poursuite pénale contre, eh bien, contre des entreprises de presse. Le CEDEPS crie au scandale
07:43et annonce des manifestations. Renseigne Tribune quotidienne ce matin, ce matin, le quotidien du
07:48groupe des mégas de s'intéresser à la politisation de la haute administration. Pour quoi faire? Eh
07:53bien, pour retenir et faire retenir un grand mal contre la bonne gouvernance et comme gouverner
07:59c'est prévoir. Il y a dans Critique Quotidienne les propositions magistrales, pour ne pas dire
08:03monumental et voire cardinal de Doudouka, ancien ministre de l'économie de son état. Et en l'état,
08:09il s'agit de la décote de trente-cinq pour cent de l'euro bon émis en deux-mille-dix-huit par le
08:13Sénégal. Sur ce point bien précis, Doudouka, surtout Aline Sitoé, de son état, préconise
08:19l'érection d'un front national pour la défense économique. En abrégé FNDE. Bon, ma loyauté envers
08:26la République me conduit à rester constructif malgré, eh bien, malgré mon opposition politique
08:31sans concession au régime. Dira en tout cas Doudouka, surtout Aline Sitoé, de son état, nous livre
08:37critique ce matin. Ce matin, il conviendrait de terminer avec enquête. Le journal d'indiqué a fait
08:42Greentech les contours, eh bien, les contours d'un scandale. De quoi s'agit-il exactement? Eh bien,
08:47Greentech, Greentech quitte le Sénégal sans préavis, laissant soixante-cinq employés sans
08:52salaire, ni explication. Et là, mais là, t'es dongue, mais là, t'es dongue, t'es, t'es à là. Foutu
08:57diabati. Bon, que Dieu préserve le Sénégal.

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