Après l'évacuation des migrants par la police de la Gaité Lyrique, certains journaliste ont pu entrer à l'intérieur du bâtiment pour constater les dégâts et comment les murs, le sol, le mobilier ont été dégradés mais surtout, et c'est sans doute le plus surprenant pour des gens qui demandent à rester en France... des messages anti-Français.
Les forces de l'ordre sont entrées à l'intérieur de la Gaîté lyrique mardi vers 6 heures 15, alors que l'on a pu voir de jeunes migrants sortir du bâtiment avec leurs affaires personnelles pour se diriger vers une rue adjacente. Vers 8 heures 30, une source policière a indiqué que l'évacuation de la Gaîté lyrique, qui appartient à la Ville de Paris, était terminée, ajoutant que la salle de spectacle "pourra être restituée à ses gestionnaires".
Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants encore présents aux abords du bâtiment, selon un journaliste de l'AFP.
Ce mardi matin, sur France Inter, la maire de Paris Anne Hidalgo a estimé qu'"à ce stade, c'est ce qu'il fallait faire parce que la situation était très compliquée, tendue et dangereuse à l'intérieur, y compris pour ces jeunes migrants."
La maire PS poursuit en indiquant que "dans une ville comme Paris, on a chaque année environ 8.000 jeunes qui arrivent dans ces parcours de migration. Sur ces 8.000 jeunes, il y en a environ 2.500 reconnus mineurs et sont immédiatement pris en charge".
Les forces de l'ordre sont entrées à l'intérieur de la Gaîté lyrique mardi vers 6 heures 15, alors que l'on a pu voir de jeunes migrants sortir du bâtiment avec leurs affaires personnelles pour se diriger vers une rue adjacente. Vers 8 heures 30, une source policière a indiqué que l'évacuation de la Gaîté lyrique, qui appartient à la Ville de Paris, était terminée, ajoutant que la salle de spectacle "pourra être restituée à ses gestionnaires".
Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants encore présents aux abords du bâtiment, selon un journaliste de l'AFP.
Ce mardi matin, sur France Inter, la maire de Paris Anne Hidalgo a estimé qu'"à ce stade, c'est ce qu'il fallait faire parce que la situation était très compliquée, tendue et dangereuse à l'intérieur, y compris pour ces jeunes migrants."
La maire PS poursuit en indiquant que "dans une ville comme Paris, on a chaque année environ 8.000 jeunes qui arrivent dans ces parcours de migration. Sur ces 8.000 jeunes, il y en a environ 2.500 reconnus mineurs et sont immédiatement pris en charge".
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00:00Après l'évacuation qui a eu lieu le mardi 18 mars au matin, nous nous sommes procurés, en exclusivité, des images de l'intérieur du centre culturel que les migrants ont laissé dans un piteux état.
00:17Sur les murs de la salle de spectacle, des insultes envers le président Macron et des messages de haine contre la France et l'Europe.