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Le producteur Guillaume Genton, était l’invité de Morandini Live ce lundi 17 mars sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet de l'occupation de la Gaieté Lyrique par des migrants : «C'est une zone de non-droit, en plein cœur de Paris».

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Transcription
00:00Ils ne se demandent pas, ils prennent la caméra, ils la cassent et ils suppriment les rushs.
00:02Vous, c'est ce qui s'est passé pour vous ?
00:03Bien sûr, c'est ce qui s'est passé. Vous avez très bien résumé, c'est une zone de non-droit.
00:06C'est-à-dire que, pour que les téléspectateurs comprennent bien, on est en plein cœur de Paris,
00:09à 10 mètres de là, il y a un square avec des enfants,
00:11et vous avez devant une trentaine de migrants qui errent toute la journée,
00:14qui dealent, qui ne sont absolument pas mineurs pour 80% d'entre eux, et qui font la loi.
00:19Ils le disent, c'est chez eux, c'est eux qui décident de ce qui se passe.
00:21Vous n'avez pas le droit de passer devant, vous n'avez pas le droit de leur parler,
00:24vous n'avez pas le droit de filmer, non pas, parce qu'évidemment, il y a un droit à l'image,
00:26mais filmer l'établissement pour faire un travail d'information, de journaliste,
00:28vous n'avez pas le droit de le faire, sous peine de vous faire casser votre matériel
00:32et de vous faire frapper comme ce pauvre journaliste.
00:34C'est n'importe quoi. Et le pire, c'est la police municipale.
00:36Alors, la police fait un travail formidable d'une manière générale,
00:39mais la police municipale est très gentille avec eux,
00:41et on a même vu un policier être presque complice
00:44et taper dans la main, faire ce qu'on appelle un check à un des migrants.
00:46Enfin, c'est complètement mineur.
00:47Oui, parce qu'ils ont des ordres, de toute façon.
00:49Ils ont des ordres de ne pas les déranger.
00:51Ils ont des ordres de ne pas intervenir, de ne pas les déranger.
00:53Bien sûr. Non, non, mais ce qui se passe, c'est honteux.
00:55Et nous, on était en tournage, donc nous, on s'est fait aussi insulter,
00:58traiter de tous les noms, surtout par les membres des associations
01:00qui mettent de l'huile sur le feu.
01:01Je tiens à le dire, parce que les migrants, je pense qu'ils ne sont pas là par choix,
01:04mais les membres des associations, on dirait qu'ils se réjouissent de cette situation,
01:07qu'ils ont envie de faire la guerre, qu'ils ont envie d'opposer les gens.

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