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01:00C'est pour ça qu'on a fait l'économie de ce cas-là de Mohamed Oulamine Bara.
01:05On a pris les enfants de ces jeunes-là.
01:09On les a emprisonnés et on leur a donné des lois.
01:14Il y a eu aussi des difficultés dans la pursuite judiciaire entre le Sénégal et le Maroc.
01:20On a donc préservé les droits de ces jeunes-là.
01:23On a donc demandé à l'agence de l'IGF de les démentir immédiatement.
01:35Pour qu'ils prennent la lettre immédiate.
01:38On a donc demandé à l'agence de l'IGF de les démentir immédiatement.
01:47Je vais vous donner de l'information parce que je suis venu ici.
01:52Si tu veux bâtir ton argumentaire
01:57soit tu as besoin de ça ou tu vas prendre des hypothèses.
02:03Je l'ai entendu ce matin.
02:09C'est qui qui l'a entendu?
02:12Je ne l'ai pas entendu.
02:14C'est un Mauritanien mais je ne l'ai pas vu.
02:17C'est lui qui a les informations.
02:20Il n'y a pas d'organes de presse sénégalaise qui l'ont entendu.
02:28C'est juste qu'il n'y a pas eu d'information.
02:31Bref, je ne suis pas sûr de sa fiabilité pour le moment.
02:41Par contre, si rien n'est au-dessus de la loi
02:48il n'est pas au-dessus de la loi.
02:52Deuxièmement, il n'y a pas d'extradition.
02:58En ce moment, c'est la vérité.
03:02Ce qui a dépassé Macky Salle
03:05c'est qu'à l'ordre du jour, il n'y a pas eu de court de justice.
03:11C'est lui qui a été en charge de Macky Salle et je ne l'ai pas entendu parler.
03:16Je n'ai pas entendu parler d'un homme qui a été en charge de Macky Salle.
03:19C'est ce qu'il faut faire pour se fier à la norme procédurale.
03:26C'est ce que je veux dire.
03:28Cette semaine, il y a eu beaucoup de choses à faire.
03:34C'est tellement facile et très compréhensible.
03:36Je vais vous en parler.
03:40Je pense que Omar Dioum a déjà parlé de ça.
03:48Il a dit qu'il allait attaquer la sortie de Moustapha Sarey.
03:56Car la sortie de Sarey a des conséquences.
03:58La conséquence est la plus importante pour Macky Salle.
04:02C'est la plus importante.
04:06Macky Salle cherche toujours à se voiler d'une crédibilité à l'international.
04:12Il a les relations, il est crédible et on le respecte.
04:20Il y a des conférences et on l'invite à s'entendre.
04:28C'est ce qu'il faut faire.
04:32Je crois qu'il y aura des conférences où les dirigeants du monde
04:40pourront s'entendre et s'assurer d'une crédibilité.
04:48C'est ce que je crois car c'est tout ce qu'il faut.
04:51Quand le porte-parole du gouvernement a dit
04:56que la presse internationale devait reprendre l'affaire
05:01et que Macky Salle devait être appelée à la justice
05:05c'est ce qu'il faut faire.
05:09Ca l'a bouleversé.
05:11La presse internationale a réagi et ça l'a bouleversé.
05:14Elle a laissé la crédibilité à l'international.
05:16Si on se réjouit, on se rend compte de ce qui se passe.
05:21Si on se réjouit, on se rend compte de ce qui se passe.
05:28Si on se réjouit, on se rend compte du crime qui a été commis.
05:34La presse internationale l'a appelée à l'international
05:41car ce sont des organes qui fabriquent l'opinion.
05:47Qui orientent l'opinion.
05:50C'est ce que Macky Salle n'a jamais fait.
05:52C'est la réaction de la presse internationale.
05:56Elle a réagi de manière très agressive.
06:02Car l'affaire a été répandue.
06:05C'est ce qui n'est pas bon à mon avis.
06:10C'est pour cela qu'il y a un gouvernement
06:15qui a été réformé par Ousmane Song.
06:20Le ministre des Finances Cheikh Diba
06:24car l'IGF est sous sa tutelle
06:27a demandé aux Sénégalais d'être plus prudents sur ce qui se passe au Sénégal.
06:35Ce qu'ils ont dit n'est pas vrai.
06:39Notamment sur le budget.
06:43Tout ce qu'ils ont fait n'est pas vrai.
06:47Ce qu'ils ont dit c'est qu'ils ne sont pas habilités à le faire.
06:53Il ne faut que le courer des comptes.
06:58Ce n'est pas confirmé par Ousmane Song.
07:05Il a dit le pire de ce qu'il a dit.
07:09Il a dit que la dette au Sénégal est de 83%.
07:15Je lui ai dit que la dette n'est pas bonne.
07:18Il a dit que la dette au Sénégal est de 83%
07:23et au Sénégal, c'est de 99%.
07:29Il a dit qu'il n'avait pas les compétences pour le faire.
07:34Il a dit qu'il allait travailler sur commande.
07:40Il a dit qu'il allait faire des rapports en 2022.
07:46Mais il n'a pas dit ce qu'il a dit.
07:50Lorsque la cour des comptes fait des rapports
07:56c'est sur la base des informations qu'il a.
07:59Il n'a pas accès à faire des rapports.
08:02Après, il a fait une vérification sur les comptes de l'IGF.
08:09Il a dit qu'il allait faire des transferts au nom de l'Etat.
08:14Il a dit qu'il allait faire ce qu'il voulait.
08:18Mais en réalité, il n'a pas fait ce qu'il a voulu.
08:26Toutes ces conséquences ont eu des conséquences.
08:32C'est pourquoi j'ai confirmé une chose.
08:37Mais je dis que le terme chef d'un gang
08:44c'est l'expression appropriée.
08:47C'est pourquoi, à la lueur, on l'écoute.
08:52Quand on est là, on l'écoute.
08:57Quand on voit qu'il y a un président ou un premier ministre
09:02et qu'ils veulent répondre au nom de la justice
09:07au nom du peuple sénégalais, c'est pourquoi on l'écoute.
09:10Parce que c'est la guerre.
09:14Si je suis là, je l'écouterai et je le dirai au grand théâtre.
09:21Mais qui peut le plus ou le moins?
09:26On l'écoutera et on verra ce qu'il va se passer.
09:33Le seul argument qu'on a, c'est que c'est une commande politique.
09:42Il ne faut pas oublier qu'il a déjà donné sa version
09:46parce qu'il a dit qu'il n'allait pas parler de la cour des comptes aujourd'hui.
09:50Il a dit qu'il allait parler de l'amalgame.
09:51Je t'ai dit que ça dépend de l'information qu'il a.
09:57Ce n'est pas pour rien que le président de la république est un super-puissant.
10:05Si le président se lève et s'assure qu'il est sous sa coupe
10:12et qu'il s'assure qu'il va salver toutes les institutions du pays
10:17et c'est ce qu'il avait fait dans ce pays, je suis désolé de le dire.
10:21Dieu le sait.
10:22On parle d'institutions mais entre 2021 et 2024
10:28il n'y a jamais eu de constance pour Mbappé d'abattre Stéphane Ousmane.
10:34Il n'a pas réussi à faire autrement.
10:41On a vu ce qui s'est passé et on s'est dit qu'on allait parler au Sénégalais.
10:45Mais je ne vais pas mettre mon argumentaire sur notre FMI
10:53car j'ai l'impression que c'est ce qu'on développe.
10:56Mais ce que vous savez d'inexactité de l'information
11:00nous l'apporterons parce que c'est la transparence.
11:05Aujourd'hui, les organismes internationaux félicitent notre régime
11:12mais on l'a fait parce que c'est notre identité.
11:21C'est ce qu'on a oublié au Babacar.
11:26Quand je dis nous, je dis PASTEF.
11:34On trahit notre identité et ce qui nous appartient.
11:41C'est pour ça que les Sénégalais nous appartiennent.
11:43Notre identité a un fondement
11:47qui est un discours de vérité basé sur la transparence des faits.
11:58Il n'y a rien d'autre.
12:00Les faits sont là.
12:03C'est pour ça que vous avez le droit de connaitre les faits.
12:08C'est ce que nous appartiennons aux Sénégalais.
12:12Si vous dites que 4 landes du Sénégal vont se dégrader à l'international
12:19ou que la baie d'Eryth va se détruire ou qu'on va l'abandonner
12:23vous dites qu'on ne peut pas l'abandonner parce qu'on est endettés.
12:29Deuxièmement, on ne peut pas l'abandonner parce qu'on est indépendants.
12:32On va aller vers un discours de vérité avec les Sénégalais.
12:36On sait que ça va être difficile.
12:40Mais on sait aussi qu'on peut le faire.
12:46Nous ne sommes pas dans une approche fataliste.
12:48Deuxièmement, la situation est compliquée.
12:54Il y a des choses qu'on peut faire.
12:56Ils sont identifiés et ils répondront à la justice.
13:00C'est ce que j'appelle l'un d'entre eux.
13:03L'un d'entre eux n'a pas de réussite.
13:10Parce qu'il n'y a que deux choses.
13:12Tu reviendras.
13:14Je reviendrai parce qu'il n'y avait que deux choses.
13:17Soit tu reviendras et tu verras la situation.
13:22Tu continueras la situation sans dire la vérité aux Sénégalais.
13:26Ou alors, tu l'abandonneras et tu lui diras la vérité aux Sénégalais.
13:32C'est pour ça qu'il faudrait qu'on se réunisse.
13:39C'est ce qu'on va faire et c'est la conséquence actuelle.
13:44Mais on va l'extraire sur une information qui n'est pas sur sa fiabilité.
13:50Mais il n'y a pas d'échec.
13:53Si au cours de justice, on fait ce qu'il faut
13:58et qu'il soit pointé du doigt, il devra le rendre compte.
14:02Mais entre être pointé du doigt et être jugé et condamné
14:10c'est autre chose.
14:12Il n'y a rien au-dessus de la loi mais si tu le fais, tu le fais.
14:17Mais ce n'est pas la vérité.
14:20Et je veux te donner une autre chose sur ce sujet.
14:24Général De Gaulle l'a dit, les états n'ont pas d'amis.
14:29Ils n'ont que des intérêts à défendre.
14:34Je vais vous en parler plus tard pour que vous puissiez l'entendre.
14:39Aujourd'hui, Basseur Odiama Ifahi et Ousmane Sonko peuvent être les amis de tous les états du monde.
14:46Si tant est que ces autres-là aient des intérêts au Sénégal.
14:51Je vous en prie pour que vous ayez des intérêts.
14:54Donc, l'amitié est bâtie sur les intérêts.
14:58Si les états n'avaient pas d'amis, ils n'auraient pas été là aujourd'hui.
15:05Si ils avaient des intérêts, ils l'auraient menacé et tu serais mort.
15:10Je t'aime bien mais je n'ai pas les intérêts économiques.
15:19Et je n'ai pas les intérêts économiques.
15:23A moins que tu proposes mieux que tes intérêts économiques.
15:31Si ce n'est pas le cas, les états sont très rationnels et très logiques dans leur approche.
15:37C'est ce que je veux dire.
15:39Alors, Mouhammed, tu as bien compris ce qui s'est passé.
15:42C'est vrai que je ne l'ai pas compris dès la première lecture.
15:46Je l'ai appris à l'école et je l'ai appris à l'université.
15:51Je l'ai appris à l'université et je l'ai appris à l'université.