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00:00Cobra Kai ne meurt jamais. Cobra Kai c'est fini et on va en parler. Je suis en deuil c'Ă©tait
00:14juste exceptionnel. C'est la Madeleine de Proust par excellence. Oui c'est ringard par moments,
00:20on est dans la surenchère, on est tellement dans le cliché des années 80 de manière
00:26exacerbée même que c'est de là que tire sa force Cobra Kai finalement. Et on ne peut pas
00:30s'empĂŞcher de s'attacher Ă tous ces personnages qui vivent des vies dangereuses comme jamais. On
00:37parle quand même d'une guerre entre dojos. Non nous devons perpétuer les enseignements du
00:42Miyagi-Do. Il est hors de question que je laisse gagner Cobra Kai dans la vallée. Non mais c'est
00:47du délire. On parle de dojos, de karatékas qui se font la guerre. Tout cela se réglera au cours du
00:54Seikai Taikai. Du quoi? Du Seikai Taikai. Mais qu'est ce que c'est que cette merde? VoilĂ c'est
01:03ça Cobra Kai. C'est ça. C'est la grandiloquence incarnée. Grandiloquence ça c'est fait. On
01:11s'attache aux personnages, on s'attache à l'histoire. Les personnages ont de véritables
01:15évolutions. Et ce que je trouve très fort dans Cobra Kai c'est que Johnny Lawrence qui était
01:19l'antagoniste de Karate Kid devienne le personnage principal de cette oeuvre. Franchement la boucle
01:26est complètement bouclée. Et la fin de Cobra Kai elle est géniale. J'en avais presque la larmichette.
01:32Jetez vous sur Cobra Kai. Prenez le vraiment au sixième degré. Vous allez kiffer à mort. Dites
01:39moi dans les commentaires ce que vous avez pensé de la série. Si comme moi vous êtes archi fan. Moi
01:43c'est un Ă©norme coup de coeur. N'oubliez pas le petit like et surtout suivez la page si ce n'est
01:46pas encore fait. Pour ne rien louper des prochaines vidéos. Portez-vous bien. Je vous dis à bientôt pour une
01:50prochaine review. Ciao.