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00:00J'aimerais qu'on évoque maintenant la fermeture de C8 puisque c'est à la fin de la semaine que votre écran devient d'un noir.
00:05Franck Capietto est avec nous, directeur général de C8. Bonsoir Franck.
00:08Bonsoir Laurence.
00:09Merci d'être avec nous.
00:11On a démarré il y a quelques années ensemble sur D8, qui était l'ancêtre de C8.
00:17En 2012.
00:18En 2012, voilà. On a lancé ensemble cette jolie émission qui s'appelait Le Grand 8.
00:22Vous savez que beaucoup d'émotions qu'on va vivre cette dernière semaine, avec beaucoup de peine pour vous.
00:29À titre personnel et pour tous les salariés qui vont avoir beaucoup de mal à gérer la suite.
00:35On va écouter d'abord François-Lévi-Gisberg, Franck, qui ce matin a estimé que c'était une décision politique.
00:40Puis après, on écoutera Emmanuel Macron.
00:42Vous nous direz comment vous vous situez entre ces deux versions-là.
00:46Mais d'abord, François-Lévi-Gisberg, ce matin chez Sonia Mamrouk.
00:49C'est évidemment une décision politique. C'est une honte.
00:51L'Arkham est un peu, comment dire, fait un peu ce que le pouvoir lui dit, d'une manière ou d'une autre.
00:57C'est le fauné de quoi ?
00:58Oui, bien sûr. Et Emmanuel Macron, évidemment, est derrière tout ça.
01:03Mais si vous voulez, moi, je pense que cette affaire est une honte parce que la liberté d'expression,
01:10enfin, dans la presse, pour moi, ça ne se divise pas.
01:12Et si vous voulez, moi, je fais partie d'une génération qui adore toujours, d'ailleurs.
01:18Mais enfin, c'est vrai, peut-être de moins en moins, puisque tout ça, au départ, c'était quand même...
01:22C'était l'idée de supprimer CNews, parce qu'il ne faut pas se raconter d'histoires.
01:25Enfin, on l'a lu, on l'a vu, on l'a entendu. On a entendu des dirigeants dire qu'il faut arrêter CNews, etc.
01:29Et si vous voulez, c'est intéressant, d'ailleurs, ça venait souvent de la gauche.
01:32Et la gauche, elle doit faire attention, parce qu'elle a tout jeté par-dessus bord de ses valeurs.
01:37L'identité, le travail, qui était quand même célébré par Jaurès.
01:41Et puis maintenant, aussi, la liberté, la liberté d'expression.
01:44Je pense que c'est quelque chose de fondamental.
01:47Pour François-Olivier Gisberg, Franck Capietto, directeur général de C8,
01:50comment est-ce que vous vivez cette dernière semaine ?
01:54C'est la pire des semaines.
01:56Alors, c'est vrai que la première décision de non-sélection de C8 en juillet, le 24 juillet 2025,
02:05a déjà été un choc pour nous.
02:07Ça nous paraissait totalement inimaginable,
02:12parce qu'on est une chaîne unique.
02:15Et je pense que l'ARCOM le sait très bien, puisqu'eux-mêmes nous avaient imposé un conventionnement unique.
02:21Donc, c'est la seule chaîne qui édite sept quotidiennes,
02:23qui a sept hebdomadaires le week-end.
02:27Et surtout, la première chaîne de la TNT en termes de puissance,
02:30avec plus de 40 millions de gens qui passent tous les mois sur notre antenne
02:34et des émissions qui atteignent des records,
02:37y compris l'émission de William, qui est dorénavant numéro un de la TNT, très souvent.
02:43William Lémerie.
02:44Voilà, mais la vôtre marchait très bien aussi à l'époque.
02:47C'est une chaîne qui a toujours démontré une qualité de production et de puissance très forte.
02:54Donc, cet écran noir, en fait, c'est un cauchemar ?
02:56C'est un cauchemar total.
02:58Et puis, vraiment, je peux vous dire que tous les gens qui travaillent avec moi sur cette antenne
03:04sont d'abord très attachés à la chaîne.
03:06Il y a beaucoup de visages, c'est une chaîne qui est très incarnée.
03:09Donc, il y avait des relations entre nous tous qui étaient quasi fusionnelles.
03:12C'est un métier de passion, vous le savez.
03:15Et il y a une énorme tristesse.
03:17Et là, c'est un peu la dernière ligne droite avec un sentiment de deuil presque.
03:25L'injustice, en tout cas.
03:26Je pense qu'on va passer une très mauvaise fin de semaine.
03:28On va juste regarder un petit extrait de nos amis des Animaux de la 8.
03:32C'est Sandrine et Elodie qui ont fait un petit clip pour dire au revoir aux téléspectateurs.
03:36Et on va écouter un tout petit extrait.
03:38Puis, je vous passe la parole.
03:40Eh bien, voilà, il est temps de vous dire au revoir.
03:43Un petit peu spécial, un clap de fin après 20 ans partagés ensemble avec vous,
03:48avec ma Sansan, ma sœurette.
03:50Eh oui, 20 ans d'une amitié sans faille, de rencontres incroyables.
03:55Moi, je ne peux pas le faire vite.
03:57C'est chaud.
04:00Je crois que je peux le faire.
04:03Une aventure humaine incroyable où nous avons rencontré des passionnés extraordinaires avec leurs animaux.
04:09Nous avons parcouru la France, l'Europe, même le monde.
04:13Et tout ça restera gravé à jamais dans nos têtes et j'espère dans les vôtres aussi.
04:18Ça, c'est sûr.
04:19On remercie bien évidemment toutes les équipes qui nous ont suivies pendant 20 ans.
04:23Les journalistes, les monteurs, les ingénieurs du son, nos cadreurs qui sont toujours là avec nous
04:29dans des aventures incroyables.
04:31A casser la figure.
04:34Et bien évidemment, on remercie toutes les équipes C8 Canal Plus dans ton production.
04:38Merci d'avoir été présents. Merci de nous avoir suivis.
04:41Alors, on espère en tous les cas vous retrouver très prochainement pour de nouvelles aventures.
04:46On vous embrasse fort.
04:48On vous aime.
04:49Pour l'émotion de Sandrine et Élodie, c'est la vôtre aussi j'imagine, Franck, à piéto.
04:53C'est super dur pour moi de voir ces images.
04:56Je les ai vues ce week-end et c'était le revoir de Sandrine, des animaux de la 8.
05:02C'était aussi le revoir des humains qui fait du bien, de direct auto, d'envie d'agir, de job.
05:08Oui, j'ai les larmes aux yeux à chaque fois. Je frissonne.
05:10Je sais ce que c'est pour les équipes, pour ces jeunes femmes qui sont réellement des passionnées.
05:16Elles ne rêvent pas d'être animatrices.
05:18Elles sont adorées, les Français.
05:20Les Français adorent cette émission, les animaux de la 8.
05:23Elles ne cachent rien.
05:24Évidemment, l'émission n'était pas en direct.
05:26On a laissé la prise où Sandrine craque parce que c'est vraiment l'émotion qu'on a.
05:33C'est dur pour moi de voir ça parce que tout ce week-end, j'ai assisté à ces adieux.
05:40Il va y en avoir d'autres dans la semaine.
05:42Philippe Labreau va terminer mercredi soir.
05:45Tous les jours, c'est un peu la sanction.
05:48Est-ce que c'est une décision politique ?
05:51Pour moi, c'est une décision politique.
05:53C'est une décision politique, oui.
05:55Je pense que notre sort était scellé dès le 24.
05:59En plus, ou alors après, il y a eu c'est Cyril, c'est pas Cyril, et ainsi de suite.
06:03Mais nous, on avait proposé dès le départ, lors de notre audition auprès de l'ARCOM,
06:09de faire une émission avec un time delay en accord avec Cyril.
06:13Parce que c'est vrai qu'on aime particulièrement le direct.
06:16On pense que c'est la vraie vie.
06:18Mais la condamnation de notre chaîne, c'est aussi la condamnation du divertissement en direct.
06:22On va l'écouter Emmanuel Macron.
06:24On va l'écouter parce qu'il a parlé de C8.
06:26Il a été interpellé au Salon de l'Agriculture, mon cher Franck Appietto, par Elodie Huchard,
06:31du service politique de CNews,
06:34sur le fait que la fermeture de C8 n'est pas une décision politique.
06:38On l'écoute.
06:39De là où je suis, je ne peux pas commenter des décisions
06:43qui sont prises par une autorité administrative indépendante qui applique la loi.
06:47Il faut simplement s'assurer que ces décisions sont prises conformément à la loi.
06:51Et qu'elles sont ensuite faites sous le contrôle du juge.
06:54Ce qui a été le cas de ces décisions qui ont fait l'objet de recours.
06:56Le juge les a confirmées.
06:58Ce qui ne m'empêche pas d'avoir une pensée pour les collaboratrices et collaborateurs
07:02qui sont impactés par ces décisions.
07:04J'espère qu'ils pourront, dans le cadre des autorisations nouvelles
07:07qui ont été données sur le domaine d'Artien, retrouver un avenir.
07:10Que ce soit les vedettes, les gens qu'on ne voit pas forcément.
07:13Je suis pour que les gens qui ont du talent puissent travailler.
07:17Non, ça n'est pas vrai.
07:19Ce n'est pas une décision politique du tout.
07:20Et d'ailleurs c'est rassurant.
07:22Et la loi a été conçue pour que ça ne soit pas une décision politique.
07:25Ce n'est pas à l'arbitraire, ni d'un ministre, ni du Président,
07:28d'ouvrir ou de fermer une chaîne.
07:30On oublie de dire que ces chaînes, c'est l'occupation du domaine public.
07:33Donc c'est normal qu'il y ait une autorisation.
07:35Il y a un cahier des charges.
07:36Et la loi est appliquée par une autorité qui regarde si c'est le cas ou pas.
07:40Et elle le fait aussi sous le contrôle du juge. Il y a un droit au recours.
07:42Moi, je suis dans mon rôle simplement à dire
07:45qu'il faut que chacun soit dans son rôle et que personne ne déborde.
07:48Voilà pour Emmanuel Macron sur C8.
07:49Gauthier Lebret, qu'est-ce qui s'est passé avec Elodie Buchard ?
07:52Je crois qu'on lui a reproché d'avoir posé la question à ce moment-là.
07:56Je crois que c'était le moment visiblement qui était mal choisi pour l'Élysée.
07:59Nous aussi, ce n'est pas le bon moment pour fermer une chaîne.
08:01Il y a quand même plusieurs choses dans ce que dit le Président de la République.
08:04Déjà, il dit que les 400 salariés de C8 vont pouvoir retrouver un emploi
08:07sans doute sur les deux nouvelles chaînes qu'il doit ouvrir.
08:11Je rappelle que ce n'est pas du tout le même business model que C8,
08:13que c'est des budgets...
08:14Il n'y a aucune passerelle.
08:15Il n'a pas vu les projets.
08:18De toute façon, on est jugé par des gens qui soit ne la regardent pas,
08:21la télévision, soit ne la font pas.
08:23Donc, ils parlent très souvent sans connaître notre industrie
08:27et notre façon de travailler.
08:29Les deux projets qui ont été sélectionnés, ils ont leurs vertus,
08:32mais certainement pas la capacité d'accueillir 400 employés demain.
08:36Il n'y a pas cette ambition-là.
08:37Il n'y a pas les budgets.
08:38Il y a même une chaîne qui a un budget moins dix ans que C-Star,
08:41que je dirige aussi.
08:43Donc, on est très loin de pouvoir créer 400 emplois.
08:46On parle de Ouest-France.
08:47Joseph-Français Scargon, rapidement.
08:48Rapidement, il a entendu qu'Emmanuel Macron ne s'occupe jamais de médias.
08:52De même qu'il ne s'est jamais occupé, par exemple, de Marianne
08:56et lorsqu'il disait pas d'aide publique au journal Marianne,
09:02sauf si vous changez de directeur de rédaction.
09:05Le directeur de rédaction, je vous rassure, a été changé.
09:08C'était moi, le directeur de rédaction.
09:10C'est pour ça que je connais un peu l'épisode.
09:12Donc, quand j'entends qu'Emmanuel Macron ne s'occupe absolument pas de médias
09:16et ne fait aucune...
09:17Ça vous fait doucement rigoler et nous, pas tellement.
09:20Jean-Sébastien, sur l'aspect politique.
09:23Jean-Sébastien, Ferjou et après toi.
09:25Quand même, les nominations, c'est Emmanuel Macron
09:27qui prend un certain nombre de décisions de nomination,
09:29que ce soit les magistrats du Conseil d'État,
09:31le président du Conseil d'État,
09:32que ce soit les nominations qui sont faites à la tête de l'ARCOM.
09:36Et le raisonnement qu'emploie Emmanuel Macron, vous savez,
09:38c'est exactement le même.
09:39On fait des reproches à la Hongrie sur la manière dont la Hongrie gère les médias,
09:42mais il y a des tribunaux qui prennent...
09:44Non, mais juste pour dire que le raisonnement purement formel
09:47qu'adopte Emmanuel Macron, il est totalement hypocrite,
09:50parce que d'autres régimes sont condamnés par l'Europe
09:53alors qu'il déploie des raisonnements exactement similaires aux siens.
09:56Il me semble qu'en matière de liberté d'expression,
09:58il y a un principe de proportionnalité.
10:00Quels qu'aient pu être les manquements éventuels
10:02ou sanctionnés de C8 vis-à-vis de sa convention,
10:06il n'y a pas en l'espèce de proportionnalité
10:08entre la décision qui a été prise et les manquements.
10:10Et ne parlons pas de la culture du métier qui s'affiche.
10:12Exactement, du mépris social.
10:14Mais pas juste des salariés, vis-à-vis des spectateurs.
10:17En gros, des salariés n'ont qu'à traverser la rue.
10:19C'est toujours la même chose, oui.
10:21Franck Capietto.
10:22Non, mais de toute façon, il dit beaucoup de choses.
10:25Il parle de RT, on n'est pas dans le RT, on est dans la TNT.
10:28Il dit qu'on occupe un réseau appartenant à l'État,
10:31mais d'histoires, à chaque fois qu'un anal a été vendu,
10:34c'est le propriétaire, soi-disant propriétaire.
10:37Donc si c'est l'État, ce n'est pas l'État qui a touché l'argent
10:40après la vente de numéro 23
10:42ou du dernier groupe BFM, RMC et compagnie.
10:45L'argent rentre dans la poche d'un propriétaire qui n'est pas l'État.
10:49Donc tout ça est quand même assez particulier.
10:53Et je pense qu'il y a un déficit de liberté de parole
10:56qui est inquiétant pour l'avenir.
10:59Je comprends.
11:00J'ai évidemment plein de gens qui réagissent
11:03et qui disent d'abord qu'ils n'y croient pas,
11:05et qui disent, mais on vous tue pour quoi ?
11:09Quelle est la raison ?
11:11Quelle est la raison ?
11:12Alors, j'ai lu ce qu'a dit l'ARCOM.
11:16L'ARCOM, c'est l'audience.
11:19Effectivement, vous êtes puissant, mais je vous rappelle que TF1 fait 18 %.
11:23En quoi vous êtes très différenciant par rapport à TFX ?
11:28TFX, une chaîne qui édite 7 quotidiennes par jour,
11:317 hebdomadaires, TFX, elle édite quoi ?
11:34Qui sont les visages de TFX ?
11:35Qui est capable de mettre un nom rattaché à TFX ?
11:38Mais tout le monde a compris que la décision,
11:40évidemment, vous l'avez dit, elle est politique.
11:43Moi, ce qui me gêne dans ce que dit Emmanuel Macron,
11:45c'est que personne n'assume rien.
11:47C'est dire, il y a une autorité indépendante,
11:49ce n'est pas moi qui ai pris la décision.
11:50En réalité, ça fait très longtemps qu'on sait que C8
11:53était dans le viseur du gouvernement de l'exécutif
11:56de manière générale, et c'était malheureusement
11:59très difficile de s'en sortir en dépit
12:01de très bons résultats, de performances en termes d'audience
12:04et d'un public fidèle.
12:06C'est ça qui est scandaleux.
12:07Rachel.
12:08C'est juste un mot sur cette notion d'espace public,
12:11le domaine de l'État, en fait.
12:13Quand on voit que sur le territoire national,
12:15il y a des territoires perdus de la République
12:18où même les policiers n'arrivent pas à rentrer,
12:20effectivement, ça serait bien que le président
12:22s'attache à l'ensemble des domaines de l'État.
12:25Là, on avait un domaine de l'État
12:27où les personnes faisaient leur travail,
12:29où d'ailleurs des personnes ont déjà été jugées,
12:31donc il y a un principe en droit, c'est le non bis in idem,
12:34on ne rejuge pas sur les mêmes faits.
12:36Et par ailleurs, on a l'ensemble, une bonne partie des citoyens
12:40qui vont être tristes cette semaine.
12:42Et finalement, leur parole, elle aussi,
12:46elle est punie.
12:48Parce que c'est l'autocensure
12:50qui est nourrie par cette décision.
12:52Bautier, un dernier mot.
12:53Et puis, la preuve ultime que c'est une décision politique,
12:56à qui le Conseil d'État et l'ARC ont cédé,
12:58si ce n'est à l'extrême-gauche,
13:00qui a un grand concours de pétitions,
13:02réclamait la fermeture de C8
13:04et réclame toujours celle de CNews,
13:06qui était le soir de la pseudo-victoire
13:10du nouveau Front Populaire Place de la République,
13:12en créant Cyril Hanouna, dégage !
13:13Donc évidemment qu'ils ont cédé à l'extrême-gauche,
13:16à la France insoumise et aux écologistes.
13:18Franck Capietto, le dernier mot.
13:20Ils vont être très déçus,
13:21parce que Cyril a un talent fou et il rebondira.
13:23Évidemment, on ne fait pas taire un homme comme ça.
13:29Si vous aviez un message à passer
13:31à tous ceux qui ont fait C8 depuis 2012 et D8,
13:35qu'est-ce que ça serait, Franck Capietto ?
13:37D'abord, un grand, grand merci, évidemment.
13:44Ça a été une expérience, et pour tous,
13:46parce que c'était la joie d'aller travailler au quotidien,
13:50de se retrouver le matin,
13:52alors c'est vrai que les audiences ont toujours été bonnes,
13:54donc ça aide à être de bonne humeur,
13:56mais c'était le plaisir au travail.
13:59Et oui, il y a une liberté de parole
14:02que je défends aussi dans notre groupe en général,
14:05et c'était le cas sur C8.
14:06Jamais on ne m'a réprimandé,
14:08jamais j'ai eu un coup de téléphone.
14:11On s'engueulait entre nous,
14:14mais un plaisir au travail
14:16que je souhaite pour mes collaborateurs
14:19qu'ils le retrouvent un jour.
14:21Mais en tout cas, nous, on a connu ça,
14:23donc c'est aussi un grand merci.
14:25Un grand merci à notre actionnaire,
14:27à Vincent Bolloré,
14:28un grand merci à toutes les équipes.
14:31Tout le monde était vraiment dans une motivation
14:33et un plaisir quotidien tout à fait exceptionnel,
14:36et je sais quand même comment ça se passe ailleurs,
14:38vous aussi d'ailleurs.
14:39Nous aussi, bien sûr.
14:40Merci à vous d'être revenus, Franck Capietto,
14:42ce soir.
14:43C'est un plaisir de vous voir.
14:44On va suivre, évidemment, ce qu'il se passe,
14:48les prochains jours,
14:49et puis après, la façon dont on pourra aider les salariés
14:53à retrouver du travail.
14:54Merci beaucoup, Franck Capietto.
14:55Merci à vous.

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