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00:00Quel bonheur d'être avec vous sur Europe 1 pour En Marche sur la Tête, on est ensemble jusqu'à 18h.
00:04Quel honneur de remplacer Cyril Hanouna que vous retrouverez évidemment lundi sur l'antenne d'Europe 1.
00:10Dans un instant, je vous le dis depuis le début de l'émission, les révélations exclusives de Jules Taurès sur l'Arcom.
00:16Que dit l'Arcom du groupe du Haut Canal, de C8 ?
00:21Des 400 salariés qui vont se retrouver directement impactés par la fermeture de C8 qui arrive déjà la semaine prochaine.
00:28Est-ce qu'on se rend bien compte, Valérie Benalim, de ce qui est en train de se passer ?
00:31C8 va cesser d'émettre la semaine prochaine, après encore une semaine record en termes d'audience.
00:37L'émission de Cyril Hanouna a signé plusieurs records historiques cette semaine.
00:41Mardi, 2,4 millions. Mercredi, 2,7 millions. Jeudi, 2,7 millions. Des records absolus.
00:46Et on va fermer cette chaîne qui marche très bien.
00:48Oui, et je crois qu'on était encore un peu tous dans cette projection de ça va fermer dans un futur, etc.
00:55Et la décision du Conseil d'État nous est apparue dans sa crudité et dans sa brutalité.
01:02Et là, la réalité de ce qui allait advenir m'a frappée à ce moment-là.
01:06Et je pense que je ne suis pas la seule. Quand la notification est arrivée sur mon téléphone,
01:10je me suis dit, ça y est, on y est.
01:12Et je vous avoue, comme les auditeurs qu'on a eu là,
01:15qu'avant la moindre colère ou autre, il y a une immense tristesse qui s'est abattue sur chacun d'entre nous, il me semble.
01:22Et puis, cette incompréhension. Moi, je reviens sur l'incompréhension au-delà de la colère.
01:26L'incompréhension.
01:27Vous savez, on ne s'attendait pas forcément à des mots de compassion.
01:30Alors vous, avec votre cœur pur, peut-être, cher Valéry,
01:32mais on ne s'attendait pas à des mots de compassion de Patrick Cohen sur France Inter ou du service public.
01:37Mais peut-être qu'on pouvait espérer au moins un silence.
01:40Un silence qui en aurait dit long, mais un minima.
01:42Mais non, on doit en plus faire face à une certaine joie mauvaise.
01:46Donc Patrick Cohen, on en a parlé hier dans son éditorial sur France Inter.
01:49Cyril lui a répondu hier.
01:51Et donc là, Mathieu Pigasse, qui contrôle de nombreuses émissions sur le service public,
01:55où il y aurait beaucoup à dire.
01:56Mathieu Pigasse a donc tweeté.
01:58Ce qui est en jeu, c'est la liberté et la démocratie.
02:00La liberté d'expression s'accompagne de devoirs et de responsabilités.
02:03Respect du pluralisme, exatitude de l'information.
02:06Respect du pluralisme quand on parle du service public.
02:08Excusez-moi, ça me fait doucement rire.
02:11Pas d'incitation à la haine.
02:12La violation répétée des règles par C8 devait être sanctionnée.
02:16C'est une condition essentielle du débat démocratique que les conservateurs se rassurent.
02:20Ils contrôlent toujours l'écrasante majorité des médias privés.
02:22C'est faux.
02:23C'est faux dit, vous dites, Jules Torres ?
02:25Oui, les conservateurs sont minoritaires dans notre espace public.
02:31Il faut quand même rappeler quelque chose.
02:32C'est que, par exemple, prenons juste l'exemple de la radio.
02:34Est-ce que vous savez que le budget de Radio France,
02:37c'est le même que les 330 radios privées qui existent aujourd'hui en France ?
02:41Donc c'est évidemment considérable.
02:42Et parmi ces radios, il n'y a pas beaucoup de radios conservatrices,
02:46voire même il n'y en a pas du tout.
02:48Il y a des radios qui donnent la parole à tout le monde et Mathieu Pigasse se trompe.
02:51Mais ce qui est intéressant, moi, je trouve dans son message,
02:54c'est que Mathieu Pigasse, finalement, nous dit que comme beaucoup de personnes de gauche,
02:57il est pour la double peine.
02:58C'est-à-dire qu'il y a des sanctions qui ont été données, C8 a payé des amendes.
03:03Et de l'autre côté, il y a une autre sanction qui est celle de l'éviction.
03:07Alors que dans un état de droit, puisque c'est le mot à la mode en ce moment,
03:10il n'y a que la première sanction qui doit être appliquée et non pas la deuxième.
03:13Donc c'est intéressant de voir que toutes ces belles armes se contredisent.
03:16On ne juge pas deux fois les mêmes faits.
03:18Ce qu'il y a de préoccupant, j'ai envie de dire, dans l'argumentaire de Mathieu Pigasse,
03:23c'est une forme de dialectique très défensive
03:29qui fait qu'un patron de presse se réjouit de l'interdiction d'une chaîne,
03:34alors qu'il devrait voir que c'est l'affaiblissement général de la TNT,
03:38alors qu'il devrait voir que s'il n'est pas sûr de ses arguments, Mathieu Pigasse,
03:44s'il a la crainte de la bataille idéologique,
03:46il préfère donc que ce qu'il présente comme l'adversaire n'ait plus de fréquence.
03:51C'est donc une mise à nu d'une vulnérabilité.
03:56Quand tu te sens fort, tu vas à la bataille idéologique.
04:00Par ailleurs, là où tu as raison Olivier, qui dit bataille, dit des gens qui s'opposent.
04:04Mais si on est tout seul dans la bataille, ce n'est plus une bataille.
04:06Moi je suis pour cette bataille culturelle et au contraire, frottons nos idées,
04:12moi je suis pour ce pluralisme, allons-y.
04:14Mais qui dit pluralisme, dit justement une autre multiple.
04:19C'est un tweet qui prône la censure ?
04:21Oui, carrément.
04:23C'est quand même hallucinant.
04:24C'est un copié-collé de la décision de l'ARCOM, de l'Ordre du Conseil d'État.
04:29Jules Torres, Mathieu Pigasse, tweet exactitude de l'information.
04:33Ils ne contrôlent pas, c'est à vous, M. Pigasse ou Patrick Cohen,
04:36qui avait parlé de Ricks, Acrépole,
04:38mettant sur le même plan la bande de Thomas et la bande de Roman Surizer.
04:42Oui, donc il faut bien savoir qu'il est co-fondateur de la société de production MediaOne,
04:45qui produit la plupart des émissions que vous pouvez voir sur France 5.
04:50Et je vous rappelle que dimanche dernier, il y a eu une émission
04:53dont le débat a été porté sur le Hamas.
04:56Est-ce toujours une organisation dangereuse ?
04:59Ça n'a pas choqué Mathieu Pigasse.
05:01Je vous rappelle également que sur le service public, il y a quelques temps,
05:04on nous parlait d'otages palestiniens détenus par Israël.
05:08Donc ça, ce sont des polémiques.
05:10Des polémiques qui, malheureusement, n'apparaissent pas dans le débat public,
05:13parce que c'est ce que je vous disais tout à l'heure,
05:15sur par exemple les députés ou les journalistes
05:18qui ne voudraient pas prendre la parole et défendre C8.
05:20C'est parce que tout le monde a peur.
05:22Pourquoi ? Parce que vous vous retrouvez avec Patrick Cohen qui fait un édito sur vous.
05:26Vous n'avez plus les belles louanges de Mediapart.
05:29Vous n'êtes plus invité sur le service public.
05:31Il faut voir la manière dont a été traité Jean-François Aquillie
05:34qui a commis l'erreur d'avoir un rendez-vous avec Jordan Bardella
05:38et d'évoquer possiblement l'écriture d'un livre, d'une autobiographie,
05:43d'une biographie avec Jordan Bardella.
05:44Eh bien, il a été dégagé sans ménagement par Madame Sybille Veil.
05:49Madame Sybille Veil qui nous dit aujourd'hui dans une tribune parue dans le Figaro
05:53que le combat pour la liberté d'expression,
05:55c'est le cheval de Troie du néo-impérialisme américain.
05:58Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la dinguerie que Sybille Veil a prononcée.
06:03C'est la patronne de Radio France.
06:05Elle est quand même censée être la garante de la liberté d'expression,
06:08de la défendre le plus possible.
06:10Et cette sortie-là, finalement, c'est la même chose que Mathieu Pigasse.
06:13C'est une sortie qui est contre la liberté d'expression,
06:16qui est contre le débat d'idées, qui est contre le pluralisme.
06:19Et je peux vous dire que notre débat public s'en sortira beaucoup mieux avec ces sorties.
06:22On est avec Quentin qui nous appelle de Paris, 32 ans.
06:24Bonjour Quentin.
06:26Vous voulez témoigner encore une fois votre soutien à C8, à Cyril Hanouna,
06:30aux équipes de C8 du groupe Canal.
06:33Et j'imagine que les tweets de Mathieu Pigasse qu'on a lus à l'antenne vous ont choqué.
06:38Ce sont des tweets pro-censure.
06:40Et on ferme aujourd'hui deux chaînes de télé dans notre pays en 2025.
06:44Bonjour Gauthier, bonjour à toute l'équipe.
06:46Je suis ravi de te voir à l'antenne.
06:48Je t'ai passé il y a 15 jours pour parler de Bruno Rotaillou.
06:53J'avais parlé en tant qu'électeur des Républicains.
06:57Et du coup, effectivement, je souhaitais vous dire tout mon soutien à toutes les équipes,
07:02à Cyril, ainsi qu'à M. Golloré.
07:03Il ne faut pas oublier M. Golloré aussi.
07:05Il a amené quand même pas mal d'emplois.
07:08Absolument.
07:09Je pense que c'est une honte absolue.
07:10Et M. Pigasse, après, lui, il reste dans l'entre-soi.
07:13On a donné beaucoup trop d'importance et de pouvoir à certaines personnes.
07:17Et je pense que c'est en train de se retourner.
07:18Le système, il est en train de se retourner.
07:20Et là, ce qui est en train de se passer, c'est qu'on coupe la première chaîne de la TNT.
07:24Alors que tous les jeunes, honnêtement, ils ne consomment quasi plus la télé.
07:27Tout le monde regarde YouTube, sur Twitch, etc.
07:31La télé, elle est déjà fragile.
07:32Et là, ils font ça derrière.
07:33Économiquement, il n'y a aucun intérêt.
07:35Socialement, au niveau social, il n'y a aucun intérêt non plus.
07:39Ces gens-là, ils veulent le pouvoir ou ils veulent gérer le pays.
07:41Je ne comprends pas du tout, en fait, la logique.
07:44Et M. Pigasse, qui est un banquier, se réjouit donc du licenciement de 400 personnes
07:49qui perdent leur travail parce que la chaîne pour laquelle ils travaillaient n'existe plus ?
07:54Il se réjouit de ça, M. Pigasse ?
07:56Banquier, c'est vrai.
07:57Moi, je suis actuellement au chômage.
07:59J'ai eu des gros problèmes de santé, mais j'étais banquier.
08:01Et sa logique de banquier, c'est que banquier, normalement, on voit le temps long aussi sur les investissements.
08:06Là, ce qu'il fait, c'est purement de la censure et il n'y a aucun intérêt économique.
08:09Donc, pour moi, c'est de l'idéologie.
08:12Ça me rappelle, vous vous rappelez Gérard Collomb,
08:14quand on reparle des fois de sa phrase, quand il disait un jour, on ne sera pas à sa face.
08:18Et là, il n'y a aucun soutien de la part même des journalistes vis-à-vis de vous ?
08:23Je ne sais pas.
08:24Il n'y a pas de confraternité, ça je peux vous le dire, Quentin.
08:26Il n'y a pas de confraternité, non.
08:28Ça aurait été à l'inverse.
08:30Moi, je ne regarde pas cet avoué quotidien.
08:32Honnêtement, ça ne m'intéresse pas du tout.
08:34Moi, honnêtement, je zappe, en fait.
08:36Je ne sais pas.
08:38Et là, personne n'a aucun soutien.
08:40Et honnêtement, il y a le soutien, oui, de la droite,
08:42de Motte-Région, tout à l'heure,
08:44mais c'est le bal des hypocrites, honnêtement.
08:46Parce que là, tout le monde commence à flipper.
08:48Regarde, prise des suprêmes à l'époque.
08:50Or, les Man Brothers, c'est cool, il y a tout de suite les alliances
08:52entre les banques pour éviter...
08:54Tout de suite, ça s'est organisé
08:56quand il y a la crise financière.
08:58Et là, tout le monde commence à se dire, ah, finalement, ça pourrait m'arriver aussi.
09:00Parce que, du coup, tout le monde
09:02peut être touché par ce truc-là.
09:04Ils vont supprimer quoi après ? Europe 1 ?
09:06RTL ? Ils vont...
09:08Sauf les médias, comme vous avez dit,
09:10de Radio France,
09:12parce qu'ils sont bien subventionnés.
09:14Je pense que là, on est dans une impasse
09:16à ce niveau-là, et je pense que le seul truc pour régler ça
09:18serait un référendum, pour savoir
09:20si les Français veulent continuer
09:22à soutenir financièrement ces risques publics,
09:24en fait.
09:26Et là, je suis très choqué qu'il n'y ait aucun,
09:28même de vos confrères...
09:30Non, ils sont contents à France Inter.
09:32Ils sont contents.
09:34Parce que M. Cohen, c'était à vomir ce qu'il a dit.
09:36M. Pigas, c'est pas mieux, mais quand même, M. Cohen,
09:38je l'appelle monsieur, j'ai quand même respect pour lui.
09:40Comme ça, on peut pas me dire
09:42que j'insulte inutilement.
09:44Le mec, il va vomir, quoi.
09:46Ne leur faites pas ce plaisir, Quentin.
09:48Non, non, totalement, il faut rester droit.
09:50Mais il y avait aussi Valéry Benoît,
09:52qui a dit quelque chose d'intéressant.
09:54C'était tout au début,
09:56quand vous avez pris l'antenne,
09:58c'est de se dire, oui, les gens, ils rentrent
10:00du travail, ils ont leurs petits mois, etc.
10:02Moi, je l'avais dit à Pam,
10:04j'ai eu un cancer, et moi,
10:06j'étudiais à domicile, en cours par correspondance.
10:08Moi, le soir, c'était le petit rendez-vous, et honnêtement,
10:10moi, ça fait du bien,
10:12et je trouve pas que c'est de la sous-culture.
10:14Moi, je suis diplômé, j'ai un master,
10:16donc je suis spécialisé sur la crise financière.
10:18Moi, j'étudie beaucoup l'histoire,
10:20je vois pas en quoi c'est de la sous-culture.
10:22Ça parle d'actualité,
10:24ça parle de sujets, des fois, forcément,
10:26qui m'intéressent le moins, en fait.
10:28Je veux dire, ça parle absolument de tous les sujets.
10:30Il y a quelle émission qui peut avoir ça, en fait ?
10:32Parce qu'ils disent, les trucs culturels,
10:34moi, je veux bien, mais à part Arte,
10:36et c'est souvent des rediffusions,
10:38de la sous-culture en France,
10:40au niveau de la production,
10:42c'est pas terrible, honnêtement.
10:44C'est beaucoup des trucs allemands.
10:46C'est ce que vous avez dit, Quentin,
10:48et Valérie, qui est là, veut vous répondre et vous dire un mot.
10:50Je suis très touchée par ce que dit Quentin,
10:52et c'est vrai qu'il vient de dire quelque chose qui est intéressant,
10:54quand il évoque la sous-culture.
10:56Il y a aussi, chez nos détracteurs, un mépris.
10:58Un mépris pour ceux qui nous regardent.
11:00Et ça, je trouve que c'est insupportable.
11:02Cette condescendance, ce mépris,
11:04en disant qu'il y a eux, et puis nous.
11:06Parce que vous ne comprenez pas.
11:10On enfantilise nos téléspectateurs et les auditeurs.
11:12On leur dit,
11:14écoutez, vous savez quoi, vous n'êtes pas suffisamment
11:16capés pour savoir ce que vous devez regarder ou pas.
11:18Et on va le faire pour vous. On va dire pour vous
11:20ce que vous devez ou ne devez pas regarder.
11:22Et ce mépris, cette condescendance, c'est assez insupportable.
11:24Parce que tout le monde reste dans le rang, en fait.
11:26Cyril, c'est le seul qui est un peu électron libre.
11:28Et ça, les gens, ils aiment pas.
11:30Et honnêtement, on vire le numéro 1, en fait.
11:32C'est pareil.
11:34C'est comme si on m'exclusait le PE. Je suis fan du PSG.
11:36Vous inquiétez pas. Ils font pas taire Cyril Hanouna.
11:38Vous inquiétez pas.
11:40Les seuls qui nous plongent dans la difficulté, c'est les 400 salariés de C8.
11:42Voilà. C'est le seul résultat de leur décision.
11:44Surtout en situation
11:46sociale et économique en ce moment.
11:48Il n'y a même pas un député.
11:50Là, ils réagissent aujourd'hui.
11:52Mais honnêtement, c'est à ce qu'ils commencent à flipper aussi, derrière.
11:54C'est des hypocrites, sur ça.
11:56Monsieur Wauquiez, moi, je suis républicain.
11:58Moi, je l'ai pas entendu dire un seul mot.
12:00La pétition, ça fait combien de temps qu'elle est en ligne ?
12:02Ça fait quand même une paire de semaines.
12:04Plusieurs mois, oui.
12:06Même mon père qui regarde jamais la télé,
12:08il a même signé la pétition.
12:10Donc, ça met même des gens
12:12qui ne sont pas forcément de base concernés
12:14à se dire que ça peut nous toucher à notre liberté.
12:16Il est loin du temps de Charlie Hebdo,
12:18où tout le monde est Charlie.
12:20La liberté d'expression, il est très très loin.
12:22Ça fait quoi ? Ça fait à peine 10 ans.
12:24Mais qu'est-ce qui s'est passé en 10 ans pour qu'on arrive là ?
12:26Moi, je pense qu'on a vraiment donné le pouvoir
12:28à des personnes qui n'étaient pas
12:30même à gérer ça,
12:32comme à l'Artcom.
12:34Les gens-là, c'est comme certains juges.
12:36Ils n'ont aucun compte à rendre.
12:38Ils sont payés par de l'argent public.
12:40Ils font ça dans leur coin, dans une salle obscure,
12:42portes fermées,
12:44volets baissés,
12:46et on doit tous subir leurs décisions.
12:48En tout cas, honnêtement,
12:50vraiment tout le courage, parce que ça ne doit pas être évident.
12:52Merci, Quentin. Merci vraiment du fond du cœur.
12:54Vraiment tout le courage à toutes les équipes
12:56et à vous-même également.
12:58J'espère que ça va rebondir sur une chaîne.
13:00Même en doublant les audiences,
13:02ça serait bien pour faire taire
13:04pas mal de personnes.
13:06Vous inquiétez pas pour ça.
13:08Faites confiance à Cyril Hanouna pour ça.
13:10Dans un instant, les révélations de Jules Torres.
13:12C'est juste après
13:14cette...
13:16Il ne faut pas dire pub.
13:18Ce moment.