Le chantier historique a débuté au cœur du sanctuaire par la mise en service d’un élévateur qui permettra d’installer les échafaudages jusqu’à la couronne de la statue de la Vierge à 210 mètres de hauteur.
Ce mardi matin 11 février, le recteur de la basilique, le père olivier Spinosa, avait convié les journalistes à l’entrée du pont-levis de Notre-Dame de la Garde. Déjà, les cordistes parcourent les toits, la grue est en place et un élévateur a été installé, pour la première fois, dans le sanctuaire. Tout autour, quarante tonnes d’échafaudage que l’entreprise Girard installera jusqu’au 25 mars, sur les terrasses des Anges et tout autour de la statue, jusqu’à la couronne de la Vierge, à 210 mètres de hauteur.
Depuis leur consécration, 1864 pour la basilique et 1870 pour la statue, chaque chantier s’annonce spectaculaire. Celui qui débute ce mardi n’échappe pas à cette longue tradition. "Mais jamais un chantier n’a été d’une aussi grande ampleur, précise l’homme d’Église. Il conserve néanmoins sa dimension spirituelle et symbolique. Car la Bonne-Mère et Marseille sont indissociables, c’est pour cela que tout a commencé par une bénédiction." Le 2 février, jour de la Chandeleur, ce sont bien les outils et les artisans qui ont été bénis à Saint-Victor. "Avant même les navettes et avec la Ville", poursuit le père Spinosa.
Ce mardi matin 11 février, le recteur de la basilique, le père olivier Spinosa, avait convié les journalistes à l’entrée du pont-levis de Notre-Dame de la Garde. Déjà, les cordistes parcourent les toits, la grue est en place et un élévateur a été installé, pour la première fois, dans le sanctuaire. Tout autour, quarante tonnes d’échafaudage que l’entreprise Girard installera jusqu’au 25 mars, sur les terrasses des Anges et tout autour de la statue, jusqu’à la couronne de la Vierge, à 210 mètres de hauteur.
Depuis leur consécration, 1864 pour la basilique et 1870 pour la statue, chaque chantier s’annonce spectaculaire. Celui qui débute ce mardi n’échappe pas à cette longue tradition. "Mais jamais un chantier n’a été d’une aussi grande ampleur, précise l’homme d’Église. Il conserve néanmoins sa dimension spirituelle et symbolique. Car la Bonne-Mère et Marseille sont indissociables, c’est pour cela que tout a commencé par une bénédiction." Le 2 février, jour de la Chandeleur, ce sont bien les outils et les artisans qui ont été bénis à Saint-Victor. "Avant même les navettes et avec la Ville", poursuit le père Spinosa.
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00:00La rénovation de Notre-Dame-de-la-Garde a débuté cette semaine.
00:0340 tonnes d'échafaudage seront transportées progressivement au pied de la statue.
00:08Un chantier autant symbolique que historique pour Marseille.
00:18C'est le jour J, compte à rebours de maintenant 7 semaines pour arriver au 25 mars,
00:24pour que le travail puisse enfin commencer.
00:27Tout bien installé, l'échafaudage, cette cage en fer avec des centaines et des centaines de tubes
00:34qui va envelopper toute la statue et redescendre en dessous des anges
00:41puisqu'on va également pouvoir travailler sous les anges en tournant autour des anges.
00:46A l'aide d'un élévateur, toutes les pièces d'échafaudage monteront à 210 mètres de haut
00:51pour assurer l'installation des structures.
00:53Après cette première phase de travaux, les artisans se succéderont pour restaurer la terrasse des anges,
00:58nettoyer la crypte et redorer la statue.
01:01Le sanctuaire restera ouvert aux visiteurs durant ces huit mois de travaux.
01:06Il va y avoir une régulation des flux selon les périodes où on pourra passer
01:11ou par l'extérieur de la bâtie ou par l'intérieur.
01:14Notre-Dame ne voudrait pas être privée des Marseillais.
01:17Une manière de remercier les Marseillais pour leurs contributions dans la campagne de dons.
01:22À ce jour, plus d'un million d'euros ont été récoltés pour la restauration de la Bonne-Mère.