• il y a 3 jours
Retrouvez le replay de l'avant course du super-G messieurs des championnats du monde de ski alpin de Saalbach du 07/02/2025.

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Sport
Transcription
00:00Générique
00:02...
00:26Soyez les bienvenus en cette veille de week-end.
00:29Grâce à nos envoyés spéciaux, on vous emmène tout en haut,
00:32à Salbach, avant le départ du Super G Homme.
00:35Hier, le Super G Femme.
00:37On espère aller décrocher une médaille
00:39du côté de l'équipe de France.
00:40Un exploit, pourquoi pas, pour nos Bleus,
00:42dans des conditions qui semblent parfaites.
00:45Voici Salbach,
00:46où ont lieu ces championnats du monde.
00:4848e édition.
00:49On est toujours heureux de partager ça avec Jean-Baptiste Grange.
00:51Ça va, Jean-Baptiste ?
00:52Ça va très bien, merci.
00:53Le magasin se porte bien pendant votre absence ?
00:55Ça a l'air d'être bon.
00:58Adrien Courroulle, ça va, Adrien ?
00:59Très, très bien.
01:01Prêt à vibrer de nouveau, le Super G,
01:03avec l'équipe de France, avec les stars,
01:05présente aujourd'hui le dispositif, toujours spécial,
01:08pour vous emmener au cœur de ces championnats du monde,
01:10avec Julien Liseroux, qui est tout en haut,
01:13dans l'air de départ.
01:14France Pirron, toujours dans l'air d'arrivée,
01:17avec sa s'ambiance.
01:18Le public, avec Charlie Courron,
01:20vous voyez qu'il va vous faire rentrer dans les coulisses
01:23de ces championnats du monde.
01:24France, on a l'impression que vous,
01:26vous êtes vraiment dedans.
01:27Depuis hier, la médaille autrichienne,
01:29on est au cœur de ces championnats du monde.
01:31Cette fois, c'est lancé.
01:36Salut, mes saouts.
01:36Je sais qu'Adrien Jibet rêverait d'être avec nous,
01:39parce qu'on sent vraiment que depuis hier,
01:41on est vraiment rentrés dans ces mondiaux.
01:42Alors évidemment, ici, en tribune, dans les gradins,
01:44c'est toujours autant la fête.
01:45Les cloches, les drapeaux, les instruments de musique.
01:47Mais même hier, on s'est un petit peu baladé dans le village
01:50pour découvrir un petit peu toutes ces fan zones.
01:52Et là, vraiment, on est montés d'un cran.
01:54Il y a des danses traditionnelles,
01:55il y a des chansons folkloriques, des drapeaux autrichiens.
01:57Et forcément, avec la victoire d'hier,
02:00ça a aidé à mettre beaucoup d'ambiance.
02:01Vous auriez apprécié, mes saouts.
02:03On apprécie grâce à vous, à distance, France.
02:05Et on apprécie d'être au plus près des athlètes,
02:08avec Julien Lesereau, qui va donc nous faire vivre de nouveau
02:11la journée depuis l'air de départ.
02:12Julien.
02:16Oui, bonjour, mes saouts.
02:17Vous pouvez le voir à l'image, il y a Nils Allègre,
02:19qui partira avec le Dossard 6, qui vient d'arriver au départ.
02:22Voilà, il va se préparer gentiment
02:24pour être fin prêt dans, maintenant,
02:27une petite trentaine de minutes.
02:29Nils Allègre, c'est l'un des Français à suivre,
02:31si ce n'est le Français à suivre,
02:33l'une des chances pour aller chercher une médaille.
02:35Justement, les médailles hier.
02:37La cérémonie, une première fois, comme pour le Biathlon,
02:40lors des championnats du monde, avait lieu au stade.
02:42Stéphanie Venir, qui a donc décroché l'or chez elle en Autriche.
02:45Et puis, le soir, la cérémonie, là, avec le public,
02:49avec la fête autour d'elle.
02:51Regardez comme c'était beau pour elle.
02:53Et ensuite, on découvre notre équipe de France.
02:55Musique de l'ambiance
02:58...
03:28C'était donc, Adrien, la première médaille d'or individuelle
03:30de ces championnats du monde. Le tableau.
03:31Effectivement, dominée par l'Italie,
03:33qui est la seule nation, pour l'instant,
03:34à avoir deux médailles,
03:36avec celle de Brignolet, également acquise hier.
03:38Et puis, donc, l'Autriche, qui est deuxième de ce classement.
03:40L'Autriche qui a enfin été libérée
03:42avec cette première médaille d'or et ce premier titre
03:44dès le deuxième jour de ces championnats du monde.
03:46Et on espère que la France va apparaître
03:47dans ce tableau des médailles assez rapidement.
03:49Pourquoi pas grâce au Super-G, homme, aujourd'hui.
03:52Adrien, on rappelle les règles, tout simplement, du Super-G.
03:55Alors, il y a une seule manche, une épreuve de vitesse,
03:58donc qui se dispute au meilleur temps, bien sûr,
04:00avec, aujourd'hui, 2,3 kilomètres, 719 mètres de dénivelé
04:04et 46 portes à franchir.
04:06C'est entre la technique et la vitesse.
04:08Exactement, c'est ce qu'on a dit hier.
04:10C'est vrai que cette discipline du Super-G,
04:12elle se situe entre la descente et le géant.
04:14On a à la fois la vitesse de la descente
04:16et la technicité du géant.
04:19C'est une discipline qui demande aussi beaucoup d'instinct,
04:24beaucoup de prise de risque.
04:26C'est une discipline aussi qui est ouverte,
04:27on va le voir encore aujourd'hui.
04:29Donc, c'est pour ça qu'on y croit aussi pour nos petits Français,
04:32à eux de prendre leur chance,
04:33parce qu'il y a vraiment une belle carte à jouer.
04:35La prise de risque, on l'a vu hier avec l'Inseven,
04:37qui a pris énormément de risques
04:39et ce n'avait pas été payant pour la star américaine.
04:42L'équipe de France, justement, découvrons la start list
04:44avec vous, Adrien.
04:45Ça va arriver très vite, ça va arriver très fort
04:47avec Florian Lauriau, qui est le dossard numéro 3.
04:50Il y aura ensuite dossard numéro 6, on l'a vu tout à l'heure,
04:53à l'image avec Romain Favrille et Julien Liserou.
04:55Nils Allègre, il est donc dossard numéro 6.
04:57Il est bien sur ce format.
04:58S'il y a un Français qu'on doit dégager aujourd'hui,
05:00c'est lui, Mathieu Bellet, dossard numéro 26
05:02et enfin, dossard numéro 31, Nils Alphand.
05:05Voilà pour nos quatre Français.
05:06On rappelle que dans cette discipline,
05:08il y a eu beaucoup d'absents.
05:09On a Cyprien Sarrazin, on a Alexis Pintureau,
05:11on a Blaise Gysenthainer, à qui on pense très fort, évidemment.
05:13Et on aime vous emmener dans les coulisses
05:15de ces chapellas du monde.
05:16Grâce à l'équipe de France,
05:17voici un premier moment privilégié.
05:18Hier soir, la Causerie veille de se superger pour les garçons.
05:23Demain, vous allez faire une course.
05:25Ça ne sera pas une course comme les autres.
05:28Ça, c'est clair.
05:29À chaque fois, on se dit...
05:30Mais ce n'est jamais des courses comme les autres.
05:32Les championnats du monde et les Jeux,
05:34ce n'est jamais des courses comme les autres.
05:36Il y a un environnement particulier,
05:38il y a une atmosphère particulière, etc.
05:42Soyez dans l'adaptation,
05:45parce qu'il y a plein de choses qui se passent toujours
05:47sur ce jardin d'épreuves.
05:48Donc, il faut toujours être dans l'adaptation.
05:50N'oubliez pas une chose non plus,
05:53c'est qu'il y a les trois premières places qui comptent.
05:57Le reste, ça ne compte pas.
06:00Aujourd'hui, vous avez tous un niveau de ski
06:05qui vous permet de pouvoir jouer votre carte jusqu'au bout.
06:10Et jusqu'au bout.
06:12Et j'insiste, parce qu'on n'est pas forcément
06:15dans une situation qui est super facile au niveau des résultats.
06:18Mais on sait que la qualité, elle est là.
06:22Et il va falloir sortir demain.
06:24Il va falloir sortir l'orgueil, il va falloir sortir le courage.
06:28Il va falloir mettre l'énergie pour aller chercher
06:30ce que vous avez envie d'avoir.
06:32Moi, je vais voir des lions demain.
06:34C'est tout. Après, le reste, on verra.
06:36On fera les comptes bien après.
06:39Mais soyez bien dans ce registre-là.
06:41Pas de précautions.
06:43Profitez.
06:44Et je vous souhaite à tous de faire une énorme course demain.
06:49Voilà, les gars.
06:55Moment très fort, Jean-Baptiste Hillier.
06:57On mesure tout le poids qu'il y a sur cette équipe de France
07:00aussi pour ces garçons-là.
07:03C'est des moments qui sont ultra importants.
07:05Là, on voit les mots de Fred Perrin,
07:07qui est le chef de l'Alpin en France.
07:11Il y a de la tension.
07:13Il rappelle les enjeux aussi.
07:15Et c'est l'occasion de donner un peu
07:18les dernières lignes directrices pour la course du lendemain.
07:21Moi, ça me rappelle des souvenirs.
07:22Et c'est vrai que c'est vraiment le moment où la tension monte,
07:26où tout le monde va rentrer un peu dans sa course,
07:28que ce soit les athlètes, que ce soit le staff.
07:31Il restera une nuit de sommeil.
07:33Après, on est vraiment dans l'événement.
07:35Et j'ai bien aimé les mots de Fred,
07:37qui rappelle qu'il y a trois places qui comptent.
07:41C'est les médailles.
07:42Tout le monde va jouer au maximum pour aller chercher cette médaille.
07:46Et il faut que les Français soient dans cet esprit-là
07:49et soient conquérants.
07:50Donc, voilà, c'est des moments importants
07:54et des moments forts en émotion.
07:56Et on voit que ça provoque quelque chose chez vous, Jean-Baptiste.
07:59Ça provoque des choses chez Julien Lysereau également,
08:01qui est au plus près de cette équipe de France.
08:03Justement, Julien, l'atmosphère,
08:06les dernières sensations autour de cette équipe de France
08:09après cette causerie qui était très forte hier soir ?
08:13Oui, c'est sûr que ce sont des moments qui sont hyper importants,
08:16un petit peu solennels.
08:18On l'a vu avec la voix de Fred Perrin, un petit peu grave,
08:20le ton un petit peu dur.
08:22Mais en même temps, des championnats du monde,
08:23on n'en fait pas 50 dans sa carrière.
08:25On parle souvent de la pression de l'événement, des attentes,
08:28mais il faut savoir quand même que ce sont les athlètes
08:30qui ont le plus d'envie,
08:31qui ont le plus d'attentes envers eux-mêmes.
08:32Donc, voilà, moi, je la trouve concentrée,
08:35cette équipe de France, mais je la trouve aussi détendue.
08:37Elle est ambitieuse, elle a envie de performer.
08:40Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs.
08:43Il faut juste être juste dans la reconnaissance,
08:46dans les attitudes, dans l'engagement.
08:48Aujourd'hui, on a un Super G qui va être extrêmement exigeant,
08:51mais qui va être spectaculaire.
08:53Il va falloir prendre des risques sur les lignes,
08:54mais il va falloir aussi être très, très juste.
08:57Donc, voilà, je les ai tous vus à l'ARCO ce matin.
08:59Ils ont la banane, ils sont très contents d'être ici
09:01et je crois qu'ils ont envie d'aller très, très vite aussi.
09:03On va les écouter dans quelques instants.
09:05On va vivre la reconnaissance grâce à vous également, Julien.
09:07Vous avez pu l'effectuer tout à l'heure.
09:09Écoutons Nils Allègre, qui est donc le chef de file de cette équipe.
09:12Qu'est-ce que ça change chez lui d'être le leader de cette équipe ?
09:17Nils Allègre, le nouveau patron des Bleus,
09:19est-ce que c'est un statut qui te convient ?
09:21Patron, je ne sais pas.
09:23Des Bleus, enfin...
09:25Honnêtement, je n'y pense pas du tout.
09:28C'est sûr qu'en termes de résultats,
09:29c'est moi qui est pour le moment le mieux performé de l'équipe,
09:31mais les autres mecs aussi sont dans le coup.
09:35Et puis, il n'y a pas de statut qui compte au départ.
09:37On a juste un numéro de dossard sur le dos
09:38et il faut assumer à fond son rang et son état d'esprit.
09:42En tout cas, c'est clair.
09:43C'est peut-être toi qu'on va attendre le plus.
09:45Peut-être. C'est votre problème, du coup.
09:47C'est un peu moins le mien.
09:48Moi, ce qui m'attend, c'est la piste.
09:49Et puis, il y a une minute cinquante, je pense, à peu près, de descente.
09:54Une minute cinquante pour aller chercher, pourquoi pas, une médaille.
09:56Il est dans le bon état d'esprit, Jean-Baptiste, rapidement.
09:58Il est dans le bon état d'esprit.
09:59On voit que c'est le jeu avec les médias.
10:03Il y a une étiquette qui est mise sur chaque coureur.
10:06Forcément, Nils, c'est notre meilleure flèche aujourd'hui.
10:10Après, comme il l'a dit, c'est aussi une équipe.
10:14Il y en a d'autres qui sont capables d'être vite.
10:16Mais voilà, Nils, il a montré par le passé,
10:20il a montré l'année dernière et encore en début de saison
10:22qu'il avait le ski pour aller chercher une médaille.
10:25Il avait le ski pour rivaliser avec les meilleurs.
10:27Donc, après, ça reste, c'est la course d'un jour.
10:29C'est le jour où il faut y être.
10:32Il faut qu'il prenne sa chance, qu'il se fasse plaisir,
10:34qu'il aille chercher le meilleur résultat possible.
10:39Il l'a dit, lui, ce qu'il attend, c'est la piste.
10:41Et c'est son combat avec la piste.
10:44Le dossard numéro 6 pour Nils Allègre,
10:46qui a déjà gagné, Adrien, rapidement en carrière.
10:48C'était à Garmiches, il y a un an,
10:51la preuve qu'il est capable de monter sur le podium
10:53et même de gagner des courses.
10:54On espère que ça le fera aujourd'hui.
10:55On croise les doigts fort.
10:56La course d'un jour, comme on le dit toujours,
10:57sur ces grands championnats.
10:58Et pourquoi pas pour Nils Allègre, aujourd'hui.
11:01Une minute cinquante.
11:01En combien de temps, Julien Liseroule a effectué cette reconnaissance ?
11:04Plus longtemps, pour que vous puissiez en profiter.
11:07C'est notre guide.
11:08Julien vous emmène sur cette piste.
11:12OK, c'est parti pour la reconnaissance du Super-Géome.
11:30La visibilité sera bien différente aujourd'hui.
11:32C'était l'ombre ce matin, ça sera en plein soleil.
11:35On attaque par quatre portes,
11:36où la pente est quasiment la plus forte de tout le parcours.
11:39Ça va lancer très vite.
11:41Et tout de suite, on va arriver sur ce grand pied droit ici,
11:44qui va être très important.
11:46Une double porte,
11:47une porte bleue qu'on laisse sur la droite,
11:48et ensuite un grand dévers.
11:49Et regardez cette porte bleue, on l'avoue, au dernier moment.
11:51Ici, c'est hyper verglacé,
11:53parce qu'on est dans les lignes de la descente.
11:54Et donc, c'est vraiment sur cette partie
11:57que ça va commencer à se jouer.
11:58Et aussi, encore à partir de maintenant,
12:00un petit peu le même profil.
12:02Une grande courbe, pied droit.
12:04Sur une double porte,
12:05on laisse la porte rouge sur la droite.
12:09Et là, voilà, on arrive dans cette porte bleue.
12:11Et là, ça va très, très vite.
12:14Les coureurs vont prendre quasiment plus de vitesse
12:16que lors de la descente sur toutes ces portes horizontales.
12:19Et là, on arrive sur une portion beaucoup plus plate.
12:22Et il va y avoir un petit piège ici,
12:24sur ce pied gauche, sur la bleue.
12:25Il y a un petit mouvement de terrain qui est bien marqué,
12:26qui va alléger les coureurs.
12:28Et ensuite, on arrive dans une vraie portion super g.
12:30On va avoir cinq, six portes,
12:32un petit peu plus serrées en écart,
12:33puisqu'on sera en dessous des 50 mètres de rayon de courbe.
12:37Il va falloir actionner le ski au maximum
12:39et créer un maximum de vitesse.
12:40Et puis, en attaquant ce pied droit ici,
12:43qui va légèrement alléger les athlètes,
12:44on arrive dans la dernière portion.
12:46Il reste environ une vingtaine de secondes de course.
12:48Et ce grand virage pied gauche,
12:51qui est long, qui est long, qui est long, qui est long,
12:52qui va amener sur ce virage pied droit
12:55qui est un petit peu en pente.
12:57Et puis, le dernier saut à l'arrivée,
12:59il va arriver maintenant la ligne droite,
13:01le chousse, jusqu'à la ligne d'arrivée,
13:03arriver dans le stadium avec ces 15 000 personnes
13:05qui vont attendre les coureurs.
13:07Ça va être un très beau super g aujourd'hui.
13:09Beaucoup de stratégie et ça va être à celui
13:12qui prend le plus de risques,
13:13ceux qui vont prendre le plus de risques
13:14qui vont arriver sur le podium.
13:15Ça a envoyé, ce super g.
13:17Ça a envoyé et ça fait médaille, Julien.
13:19On a les chronos, c'est bon, médaille.
13:21Première médaille pour l'équipe de France aujourd'hui.
13:23On va écouter Nils Allègre avec Franck Spiron
13:25après la reconnaissance.
13:27Lui aussi a effectué la reconnaissance
13:28comme tous les athlètes ce matin.
13:30La neige est magnifique.
13:32Le temps va être beau aussi.
13:33On sera en plein soleil.
13:34Donc, oui, ça sera une belle course, je pense, oui.
13:36Est-ce qu'il y a un endroit que tu as repéré
13:38qui pose problème, que tu ressasses sans arrêt
13:39ou pas forcément ?
13:41Non, j'essaie de...
13:42Bien sûr, il y a des endroits stratégiques
13:43mais j'essaie de voir le tracé dans sa globalité.
13:45Le piège, c'est de se focaliser sur un endroit
13:47et d'oublier le reste.
13:48Donc, c'est ce que j'essaie de ne pas faire
13:49et de voir un peu la globalité
13:51et l'état d'esprit général, quoi.
13:54La fameuse reconnaissance et les dernières consignes.
13:56Petit extrait, tiens,
13:57bien privilégié de la part de l'équipe de France encore.
14:01Les toutes dernières consignes données à Nils Allègre
14:04par le préparateur,
14:06à Mathieu Bellet, tiens,
14:07pour le préparateur physique.
14:08Mathieu Bellet qui partira avec le dossard numéro 26
14:11pour que vous puissiez comprendre les échanges
14:13entre le staff et les athlètes
14:15lors de cette fameuse reconnaissance.
14:18Et toi, le mouvement de terrain, celui-là ?
14:19Oui, il toute.
14:20Oui, il toute un peu.
14:21Donc, tu as hauteur et derrière,
14:23reprends l'intellectuel.
14:26Allez.
14:27Allez.
14:34La préparation minutieuse,
14:36la préparation psychologique,
14:37tout ça pour aller réussir une belle performance,
14:39on l'espère, sur ce Super G pour l'équipe de France.
14:41Dossard numéro 6 pour Nils Allègre, encore une fois.
14:44Dossard combien pour Marco Audermatt,
14:46l'attraction, Adrien ?
14:47Marco Audermatt qui se lancera avec le dossard numéro 8.
14:50C'est le big boss, vraiment, de cette course.
14:53C'est le boss de fin, Marco Audermatt,
14:55puisqu'il a gagné 81...
14:57Il a été sur le podium de 81 des courses qu'il a disputées.
15:00C'est 50 %, tout simplement, le ratio,
15:02énorme sur ses 165 départs.
15:03Et il court toujours après une médaille sur le Super G,
15:07une médaille mondiale sur le Super G.
15:08C'est l'un des enjeux de cette course.
15:10Il est déjà temps de se mettre en place, Adrien Jean-Baptiste,
15:12et on est ensemble pour vivre le départ
15:14de ce Super G, de ces mondiaux à Salbar.
15:16À tout de suite.

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