Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 29/01/2025.
Catégorie
🥇
SportTranscription
00:00:00Bonjour à tous, bienvenue dans l'équipe de choc, le rendez-vous de tous les amoureux du sport.
00:00:11On fait le tour de l'actualité sportive, on regarde toutes les images, tous les résultats qu'il ne fallait pas manquer.
00:00:16Et aujourd'hui j'ai un casting 5 étoiles pour m'accompagner, j'ai Pierre Bouby. Est-ce qu'il va bien ?
00:00:20Écoute bien Virginie, très bien.
00:00:22Qu'est-ce que tu faisais sur ta petite feuille là ?
00:00:24Je m'amuse, je m'occupe parce que je vois que ton lancement est long.
00:00:27Jérôme Azegou, est-ce qu'on peut l'applaudir s'il vous plaît ?
00:00:30C'est la deuxième fois qu'il y a que moi qui l'applaudis.
00:00:33Mais parce que tu dois être dedans.
00:00:35Fred Piquion, je ne suis pas aidé aujourd'hui, ça va ?
00:00:38Ça va très bien.
00:00:39Emmadjedo Sebi.
00:00:40Bonjour.
00:00:41J'ai aussi Fred Jean, attention il ne faut pas appeler Frédéric, apparemment c'est que sa grand-mère qui t'appelle comme ça.
00:00:47Ancien biathlète, ancien coach de l'équipe de France féminine, de biathlon aussi. Pourquoi ?
00:00:52Parce qu'il y avait des championnats d'Europe de biathlon sur la chaîne l'équipe.
00:00:55Et on va tout de suite voir qu'est-ce que les Français ont réalisé avec Romain.
00:00:58On a commencé avec l'individuelle femme aujourd'hui.
00:01:03C'est un doublé allemand qui s'est imposé avec Johanna Puff qu'on voit à l'image.
00:01:08Le vainqueur avec un 20 sur 20 au tir.
00:01:11Et la deuxième place c'est pour Marlène Fichtner.
00:01:14Bon Fred, on attendait des Français sur le podium, mais la meilleure performance est signée Amandine Mangin, qui a 20 ans, qui termine quatrième.
00:01:22Quand même une belle quatrième place.
00:01:24Amandine Mangin que l'on retrouve très heureuse au micro de Victor Coudreau.
00:01:32Forcément, c'est ma première année sur le circuit IPU.
00:01:35Et là, d'être en coupe d'Europe, c'est incroyable.
00:01:38Et même à un podium d'épreuve, c'est génial.
00:01:42Alors Fred, ça tombe bien, tu as coaché les femmes.
00:01:44On va parler de la quatrième place d'Amandine, puisque c'est la perte du jour finalement.
00:01:48Les garçons malheureusement n'ont rien fait.
00:01:51Est-ce qu'on doit s'en satisfaire de cette quatrième place ?
00:01:54Ou est-ce que c'est quand même la déception au vu des dernières performances des filles, leur podium en IBU Cup ?
00:02:00Un petit peu de déception, parce que depuis le début de la saison, elles ne sont jamais sorties du podium.
00:02:05Il y a toujours eu une Française sur un podium en IBU Cup.
00:02:08Après, à prendre un petit peu avec des pincettes, puisque les deux Françaises aujourd'hui qui sont dans le top 6, Amandine et Voldia, elles ont seulement 20 ans.
00:02:16Donc c'est des nouvelles venues sur le circuit.
00:02:19Et quand on regarde le cheminement de la saison d'une Amandine Mangin, là on est sur des championnats d'Europe senior, mais elle est encore junior quand même.
00:02:2620 ans ?
00:02:27Oui, c'est sa dernière année de junior.
00:02:29Donc elle pourrait courir au mois de mars les championnats du monde junior par exemple.
00:02:33Vu qu'elle marche très fort sur le circuit IBU Cup depuis le début de la saison, elle est là, elle est présente.
00:02:40Et puis je pense qu'elle va encore faire parler d'elle sur un sprint poursuite, c'est des formats de course où elle arrivera à mieux s'exprimer.
00:02:47Elle termine auprès du podium, donc très belle course pour elle.
00:02:50Dresse-nous son portrait, pourquoi est-ce qu'on doit la suivre Amandine ?
00:02:53La suivre parce que déjà elle est très jeune.
00:02:57C'est une athlète qui pour son jeune âge est déjà très complète.
00:03:03Elle a des stades de tir qui sont hyper intéressants.
00:03:06Elle a un niveau de tir qui lui permet de rivaliser avec le gratin au niveau IBU Cup.
00:03:13C'est pour ça que c'est intéressant de mettre une petite pièce sur elle.
00:03:18C'est une athlète qui a déjà fait ses armes au niveau du dessous sur le circuit Junior Cup.
00:03:25En début de saison, elle a même été obligée de passer par ce circuit-là.
00:03:30Elle a gagné une course en Junior Cup, du coup elle a eu le droit d'avoir un ticket pour monter en IBU Cup.
00:03:37Depuis le début de la saison en IBU Cup, chez les grandes, avec les seniors,
00:03:41elle a déjà gagné deux courses et fait en plus deux podiums.
00:03:44C'est un gros potentiel qui va certainement permettre à l'équipe de France
00:03:50d'alimenter ce niveau de dingue que nous proposent les femmes au niveau français.
00:03:57On attendait aussi Sophie Chauveau qui pouvait faire office de favorite.
00:04:01Elle en avait le profil.
00:04:03Au final, elle termine 14e, ça s'est joué. Qu'est-ce qui s'est passé pour elle ?
00:04:06Elle a un petit peu moins bien tiré aujourd'hui.
00:04:08Elle a un temps de ski qui est correct, mais elle a joué avec les jeunes, Voldia ou Amandine.
00:04:14Elle n'a pas été au-dessus du lot aujourd'hui sur les skis, mais elle a répondu présente.
00:04:20Il lui en a manqué un petit peu face aux cibles.
00:04:22Elle s'est fait déborder un petit peu sur le tir numéro 2 et tir numéro 3.
00:04:26Pour elle, c'est un petit peu plus délicat puisqu'elle est redescendue de la Coupe du Monde.
00:04:34C'est vrai que mentalement, il faut digérer la pilule.
00:04:38Il faut qu'elle se remette dans l'allure, dans le bain.
00:04:41Elle a déjà réalisé un podium sur un sprint en Coupe du Monde sur le mois de décembre.
00:04:47Elle peut aller chercher le titre dès vendredi.
00:04:50On va aller prendre le pouls à température du côté de Martel en Italie avec Victor Coudreau,
00:04:54notre envoyé spécial qui nous attend. Est-ce qu'il a ses petites lunettes ?
00:04:57Moi, je m'attendais aux lunettes de ski.
00:04:59On va se contenter des lunettes de vue, Victor, ne t'inquiète pas.
00:05:02Tu t'es occupé des interviews à l'arrivée.
00:05:04Et toi, ce que tu retiens, c'est que la piste était particulièrement compliquée aujourd'hui, c'est ça ?
00:05:11Exactement, oui. En fait, j'ai été marqué. La zone mixte, elle est juste après l'arrivée.
00:05:16J'ai été marqué par les visages, que ce soit les hommes ou les femmes ce matin.
00:05:21Les visages étaient vraiment marqués par l'épuisement, la fatigue.
00:05:25Et tous et toutes nous ont dit en interview derrière, c'était vraiment compliqué aujourd'hui.
00:05:31Alors effectivement, c'est un 20 kilomètres.
00:05:33Donc déjà, 20 kilomètres, c'est forcément compliqué.
00:05:35Il y a l'altitude, c'est 1700 mètres d'altitude qui joue aussi.
00:05:38Et puis, il y a du dénivelé sur cette piste.
00:05:41Donc forcément, beaucoup, beaucoup de fatigue à l'arrivée.
00:05:45Et voilà, la question que je me pose maintenant, c'est est-ce que malgré le jour de repos demain,
00:05:49est-ce que ça, ça va jouer aussi sur les prochaines courses vendredi, samedi et dimanche ?
00:05:53Merci, Victor. La transition est toute faite. On va laisser Fred répondre.
00:05:59Eh bien, c'est une bonne question parce que c'est évident.
00:06:02On est à 1700 mètres d'altitude, mais la piste, elle est loin d'être plate.
00:06:05Il y a des énormes talus avec beaucoup de dénivelé à réaliser à chaque piste.
00:06:10Et ce qui rend la particularité de ce site, en plus de l'altitude,
00:06:14on l'a vu tout au long de la journée au niveau des stades de tir, c'est l'arrivée au pas de tir.
00:06:19On est sur une arrivée avec un profil plutôt montant.
00:06:22Et il faut arriver à dompter justement cette piste et l'arrivée au pas de tir.
00:06:27Pas se faire déborder. Le cardio, déjà, quand en normal, ça tape très, très haut.
00:06:32Et là, on a vu les athlètes arriver sur le tapis et être complètement dépassés un petit peu par les événements,
00:06:40à se reprendre à plusieurs reprises pour essayer d'aller blanchir la cible.
00:06:43Et les 20 sur 20, en temps normal, on arrive à les compter difficilement.
00:06:49Là, aujourd'hui, on les a comptés sur les doigts d'une main.
00:06:52Pierre.
00:06:53J'ai une petite question pour toi. Je reviens sur Amandine.
00:06:56Je suis assez bluffé qu'elle soit encore en junior à l'âge de 20 ans.
00:07:00C'est peut-être une habitude.
00:07:02Est-ce que ça a déjà été fait, ce parcours-là, de monter aussi vite et d'être attendue ?
00:07:09Elle est attendue dans le top, peut-être pas monde, mais les gens commencent à la regarder différemment,
00:07:15parce que la croissance est assez forte, non ?
00:07:18Ça a déjà été fait avec une athlète qui est encore en activité, avec Justine,
00:07:24qui a débarqué en Coupe du Monde à l'âge de 18 ans, qui a gagné très très tôt.
00:07:32Derrière, il y a eu quelques saisons un petit peu plus compliquées,
00:07:35mais qu'on a revues derrière au plus haut niveau, championne olympique, championne du monde,
00:07:39gagnée des épreuves de Coupe du Monde chaque saison.
00:07:42Après, ça dépend un petit peu de la concurrence qu'on va avoir en face.
00:07:47Et là, c'est vrai que quand on regarde le profil de l'équipe de France qu'il y a actuellement,
00:07:52où les places sont plus que chères, c'est vrai qu'on a l'avantage d'avoir une petite poignée,
00:07:58Amandine, Voldija, d'athlètes de 19-20 ans à être ultra performantes.
00:08:03Maintenant, au staff, d'arriver à les préserver et de les protéger, on va dire.
00:08:08De les préparer pour intégrer, justement.
00:08:09Voilà, c'est ça. Là, on ne va pas se mentir. Les Jeux, c'est dans un an.
00:08:12L'équipe olympique, elle est déjà, à mon avis, cloisonnée.
00:08:16Mais par contre, 2030, les Jeux, c'est en France.
00:08:19Donc, c'est des athlètes qu'on risque peut-être de voir plutôt génération 2030, à mon avis.
00:08:24On va les suivre attentivement.
00:08:25Merci, Fred, d'avoir été avec nous pour débriefer ces championnats d'Europe de biathlon.
00:08:30Là, je vais faire plaisir à tout le plateau.
00:08:32Regardez qui en retrouve.
00:08:33C'est France Piron pour la suite du programme sur la chaîne L'Equipe.
00:08:36France Piron à Courchevel.
00:08:37Il va y avoir la Coupe du Monde de ski alpin demain.
00:08:40Ça va démarrer avec le slalom féminin.
00:08:42Déjà, France, comment tu vas ?
00:08:44Tout le monde me demande de tes nouvelles.
00:08:45J'ai l'impression qu'ils ne sont pas contents que je sois là.
00:08:48Tu leur manques, France !
00:08:51Salut Virginie.
00:08:52Bonjour à tous.
00:08:53Ça fait un petit choc thermique quand même de passer du désert au ski.
00:08:56C'est costaud.
00:08:57Je suis désolée, je ne suis pas beaucoup présente en plateau en ce moment.
00:08:59Mais quand on me propose d'aller à Courchevel, regardez le décor derrière moi.
00:09:01Je ne pouvais pas dire non.
00:09:02C'est magnifique.
00:09:03Grand ciel bleu.
00:09:04Il a neigé hier.
00:09:05La neige est parfaite.
00:09:06Petite ambiance après-ski qui ferait plaisir à Pierre Boubi, je le sais.
00:09:08Si vous êtes bon Dieu, on peut même apercevoir le chalet, l'hôtel d'Alexis Pintureau
00:09:12qui doit être en train de se faire consoler par papa et maman en ce moment.
00:09:15Mais la piste derrière moi qui a été préservée aujourd'hui, regardez, elle est magnifique.
00:09:19Voilà où ça va se passer le décor de demain.
00:09:21On va aller dépiquer demain, bien sûr, parce que pour l'instant, elle est préservée.
00:09:23Mais le slalom, il se passera ici en nocturne.
00:09:25D'où ces projecteurs.
00:09:27Le spectacle va être génial.
00:09:29Il y aura toutes les Françaises.
00:09:30Il y en a plein qui sont de Courchevel.
00:09:31En plus, sur les six tricolores engagés, il y en a trois qui sont d'ici.
00:09:34Donc il va y avoir toute leur famille, tout le public.
00:09:36On les a croisés tout à l'heure.
00:09:37Elles sont hyper impatientes à l'idée de performer à la maison.
00:09:39Et puis Mika, elle a chiffré, dis donc.
00:09:40Elle revient de l'essure.
00:09:42Elle vise à arriver ici devant nos caméras.
00:09:46Donc on est très pressés.
00:09:47Regardez, ça va se passer par là.
00:09:48Hop, j'y vais.
00:09:50Ici, ce sera noir de monde et on va danser.
00:09:51On va encourager les bleus.
00:09:53Je me réchauffe.
00:09:55Attends, Française, il y a pire qu'une petite question pour toi.
00:09:58Tu nous entends ou pas ?
00:10:00Vas-y, viens.
00:10:01Dépêche-toi, j'ai froid.
00:10:02Je voulais savoir s'il y avait des coiffeurs à Courchevel quand même.
00:10:07Toujours pas.
00:10:08C'est pour ça que j'ai des bonnes capuches et que j'ai des bons bonnets.
00:10:10C'est difficile.
00:10:11C'est toi qui parle de coiffure avec tes cheveux bleus.
00:10:13Ils sont de quelle couleur aujourd'hui ?
00:10:15Allez, on te libère.
00:10:16Merci France d'avoir été avec nous.
00:10:18Rendez-vous donc demain sur la chaîne L'Équipe pour la Coupe du monde de ski alpin.
00:10:22Le sport féminin est à l'honneur cette semaine.
00:10:25La chaîne L'Équipe diffuse la série documentaire Focus.
00:10:27Cinq portraits d'athlètes féminines qui ouvrent le débat sur la santé mentale dans le sport.
00:10:32Aujourd'hui, on vous montre celui de la judocate Madeleine Malonga,
00:10:35qui sort d'une année extrêmement compliquée.
00:10:37Certainement la plus difficile de sa carrière.
00:10:39Elle s'est qualifiée au dernier moment pour les JO de Paris en concurrence avec Audrey Chemeo.
00:10:44Elle est éliminée dès son entrée en lice après une minute de combat seulement.
00:10:48On visionne cet épisode et elle nous rejoint tout de suite après, Madeleine.
00:11:08Devenir championne n'était pas écrit d'avance.
00:11:12Pourtant, dès mes premières victoires, j'ai pris go aux émotions fortes.
00:11:18La compétition a toujours rimé avec le plaisir de gagner.
00:11:23Mais j'ai vite compris que le sport de haut niveau représentait bien plus que ça.
00:11:29Très proche de ma famille, j'ai grandi dans un cocon qui m'a toujours protégée.
00:11:33Passer du sport loisir au haut niveau a été un choc.
00:11:38Propulsée dans la cour des grands, je me suis d'abord fait toute petite.
00:11:43Sans doute trop pour m'intégrer.
00:12:01J'ai découvert ensuite le vrai visage du haut niveau.
00:12:04Celui où la concurrence encadre tout.
00:12:08C'est là que j'ai découvert le vrai visage du haut niveau.
00:12:14On m'a jugée, heurtée, méprisée.
00:12:18Jusqu'à ce que je me demande si je devais continuer.
00:12:22Remise en question, pleure.
00:12:25Je me suis sentie si incomprise.
00:12:28J'en ai eu la rage.
00:12:31J'en ai eu la rage.
00:12:34J'en ai eu la rage.
00:12:37J'en ai eu la rage.
00:12:40J'en ai eu la rage.
00:12:43J'en ai eu la rage.
00:12:45J'en ai eu la rage.
00:13:02Tout ça a eu un impact sur ma santé mentale.
00:13:05Mais il m'a poussée à me remettre en question.
00:13:08Savoir ce dont j'ai besoin.
00:13:10Comprendre mes points forts, mes points faibles.
00:13:13Et cette petite voix qui me disait, et continue à me dire...
00:13:20Bats-toi.
00:13:30J'en ai connu des défaites. Beaucoup.
00:13:33Ce sont grâce à elles que j'ai repris les choses en main pour gagner.
00:13:40J'ai dû changer tout mon système d'entraînement.
00:13:42Tout mon système de pensée.
00:13:44J'ai dû sortir des clous pour me trouver et prendre confiance en moi.
00:13:49La concurrence, elle, est toujours quelque part.
00:13:53Elle ronge et divise.
00:13:56Elle te guette.
00:13:59Elle t'étonne.
00:14:02Elle t'étonne.
00:14:05Elle t'étonne.
00:14:08Elle t'étonne.
00:14:11Elle t'étonne.
00:14:14Elle t'étonne.
00:14:16Elle t'étonne.
00:14:19Elle t'étonne.
00:14:27Mais je cesse de me dire qu'il y a de la place pour tout le monde.
00:14:30Briller ne fait pas éteindre la lumière de quelqu'un d'autre.
00:14:36C'est sur le tapis que je me retrouve affirmée.
00:14:40J'oublie tout.
00:14:43Enragée.
00:14:45En transe.
00:14:47En confiance.
00:14:50C'est là qu'est ma place.
00:14:52Le reste ne me concerne pas.
00:15:09Concentre-toi sur toi.
00:15:11Ton combat.
00:15:13Tes victoires.
00:15:17Tes défaites.
00:15:19Ton avenir.
00:15:26Aujourd'hui, je retrouve celle que j'étais enfant.
00:15:29Je me sens libre.
00:15:31Alignée.
00:15:33Équilibrée.
00:15:41La balance entre vie pro et vie perso me maintient hors de l'eau.
00:15:46Les défaites ne me font plus peur.
00:15:48Je suis triste quand c'est le cas.
00:15:50Mais elles ne me définissent pas.
00:15:57J'ai tant de bagages à vider.
00:15:59Tant de poids à libérer pour la suite.
00:16:01Tant de choses à exprimer.
00:16:03En attendant, je reste présente.
00:16:06Vivante.
00:16:11Le positif est ce qui m'a guidée jusque-là.
00:16:14Ce n'est pas prêt de s'arrêter.
00:16:17Au final, le plus important aura été de m'affirmer.
00:16:21Surmonter mes échecs.
00:16:23Oser croire en moi.
00:16:27Et me sauver moi-même.
00:16:44L'épreuve des Jeux est toujours en travers de ta gorge.
00:16:47C'est quelque chose qui n'est pas évident à aborder pour toi.
00:16:50On va parler de cette lutte avec Audrey.
00:16:52Dis-moi si je me trompe, c'est une lutte qui a commencé
00:16:55après les Jeux de Rio en 2016, donc qui est longue.
00:16:58C'est une bataille de huit ans qui s'est intensifiée
00:17:01en plus les derniers mois avant les Jeux.
00:17:03Comment ça s'est manifesté ?
00:17:05Est-ce que tu peux nous raconter ?
00:17:08Bonjour à tous.
00:17:10Comment ça s'est manifesté ?
00:17:12C'est un document des Jeux olympiques
00:17:14qui font rêver chaque athlète.
00:17:16Une concurrence très forte, un niveau très haut,
00:17:19et une seule place.
00:17:21Forcément, ce sont des moments pas simples.
00:17:23Croiser, ça se passe comment ?
00:17:25Pour qu'on puisse visualiser ?
00:17:29Quand on se croise, disons que c'est froid.
00:17:33Mais après, c'est comme ça.
00:17:35Le but de ce témoignage n'est pas de l'incriminer
00:17:38ou de la dénigrer, pas du tout.
00:17:40C'est que j'ai compris que chaque personne
00:17:42gère la concurrence comme il peut.
00:17:44C'est pas simple.
00:17:46Je pense que ça n'a pas été simple pour moi
00:17:48comme pour elle.
00:17:50Elle la gère avec les moyens qu'elle a
00:17:52et comme moi, je fais avec les moyens que j'ai.
00:17:54Madeleine, toi tu pratiques un sport
00:17:56où tu es toute seule sur le tatami
00:17:58face à toi-même et ton adversaire.
00:18:00J'ai trois footballeurs sur le plateau avec moi.
00:18:02C'était plutôt un sport collectif.
00:18:05Comment ça se manifeste ?
00:18:07Est-ce que c'est des choses que vous avez déjà vécues ?
00:18:09La concurrence saine ou malsaine ?
00:18:11En fait, nous dans notre sport,
00:18:13il y a la concurrence saine et malsaine.
00:18:15La force qu'on a à l'intérieur de notre collectif,
00:18:18c'est qu'on a toujours des gens vers qui se tourner
00:18:20et qui sont aussi avec nous et qui nous soutiennent.
00:18:22La différence avec Madeleine et Audrey,
00:18:24c'est ce que je ressens,
00:18:26c'est ce que je perçois,
00:18:28c'est plutôt le formatage qu'il y a à l'intérieur
00:18:30de l'INSEP pour essayer,
00:18:32pas de les montrer l'une contre l'autre,
00:18:34mais quasiment pour essayer de chercher de l'adversité,
00:18:36savoir qui est le plus fort mentalement
00:18:38et ça les aide à faire leurs choix comme ça.
00:18:40Et je pense que c'est plutôt malsain.
00:18:42Donc moi, c'est mon avis.
00:18:44Mais nous, on a une chance,
00:18:46c'est qu'on a un effectif de 30 mecs dans le vestiaire
00:18:48où si tu es en concurrence avec un ou deux,
00:18:50tu en as 25 à côté qui sont capables
00:18:52de parler avec toi et où tu peux te libérer aussi.
00:18:54Je pense que ça doit être très difficile
00:18:56dans leur cas où c'est un sport individuel
00:18:58et encore plus dans le modèle INSEP
00:19:00et judo un contre un
00:19:02où ils sont constamment ensemble,
00:19:04ils font les compètes ensemble
00:19:06et malgré tout,
00:19:08l'un ne va pas aller dire
00:19:10« je ne me sens pas bien aujourd'hui ».
00:19:12Il n'y a pas d'issue.
00:19:14Moi, c'est comme ça que je le ressens.
00:19:16Je comprends totalement sa détresse.
00:19:18J'ai juste une question pour toi, Madeleine.
00:19:20Est-ce que tu sens que tu as un avant
00:19:22et un après ces JO, malgré tout,
00:19:24positif et que tu vas en tirer
00:19:26quelque chose de positif derrière ?
00:19:28Oui, je pense que j'en ai un.
00:19:30J'ai encore pris plus confiance en moi
00:19:32et maintenant, je ne doute vraiment plus
00:19:34de mes capacités mentales
00:19:36parce que je pense que
00:19:38ce que j'ai traversé
00:19:40durant ces périodes,
00:19:42pas beaucoup de personnes
00:19:44auraient survécu honnêtement.
00:19:46Être performante tout le temps
00:19:48sur chaque compétition,
00:19:50ça s'est vu, il y a des moments
00:19:52où ça passe et des moments
00:19:54où ça ne passe pas.
00:19:56Et puis cette qualif,
00:19:58même après ces jeux,
00:20:00on peut voir aujourd'hui
00:20:02que je suis encore plus forte,
00:20:04j'ai encore plus appris sur moi-même.
00:20:06Je te passe Fred Piquion, Madeleine.
00:20:08Oui, bonsoir, Madeleine.
00:20:10C'est un témoignage assez poignant
00:20:12et ça me rappelle un petit peu moi
00:20:14dans mes débuts puisque je suis sorti
00:20:16des Antilles, je n'avais pas fait
00:20:18de centre de formation et ensuite
00:20:20j'ai évolué dans un monde professionnel
00:20:22que je ne connaissais pas du tout
00:20:24et donc cette concurrence,
00:20:26je ne la connaissais pas aussi.
00:20:28En fait, j'ai vécu plusieurs choses,
00:20:30mais cette connaissance de soi,
00:20:32elle est très importante et on se fait
00:20:34accompagner parce que quelquefois,
00:20:36on peut tomber dans une dépression
00:20:38où on ne la voit pas arriver.
00:20:40Et je voulais savoir si toi,
00:20:42justement, est-ce que t'es accompagnée
00:20:44et voilà, c'est tout.
00:20:46Est-ce que t'es accompagnée,
00:20:48tout simplement ?
00:20:50Oui, heureusement, je suis accompagnée
00:20:52par ma préparatrice mentale,
00:20:54Annaëlle Malherbe et ma psychologue
00:20:56Élise Ankaat qui m'ont été
00:20:58de vrais piliers et puis je pense aussi
00:21:00qu'il y a le côté pro
00:21:02des professionnels de santé,
00:21:04il y a aussi la famille.
00:21:06Moi, honnêtement, je n'ai pas honte
00:21:08de dire que oui, ma famille m'a portée,
00:21:10m'a accompagnée, m'a aidée à aller chercher
00:21:12cette qualif parce qu'à un moment donné,
00:21:14c'était trop difficile.
00:21:16C'était difficile chaque jour de se lever,
00:21:18d'aller à l'entraînement,
00:21:20d'être confrontée à tout le temps
00:21:22cette concurrence.
00:21:24Ce fait aussi de ne pas savoir
00:21:26quand ça allait terminer
00:21:28et en même temps, il y a ce rêve
00:21:30de Paris qui nous habite, qui nous guide.
00:21:32Donc oui, j'ai eu la chance
00:21:34vraiment d'être accompagnée par psychologue,
00:21:36préparatrice mentale et surtout ma famille,
00:21:38mes proches.
00:21:40Madeleine, c'est encore pire. Moi, j'ai une autre question.
00:21:42Est-ce que tu penses justement que
00:21:44la formation doit se remettre en question
00:21:46aussi par rapport à ça ? Parce que force est
00:21:48de constater que ça n'a pas fonctionné sur toi.
00:21:50Je veux dire, c'est un modèle qui n'a pas fonctionné
00:21:52et ils ne t'ont pas mis dans les meilleures conditions
00:21:54pour pouvoir performer. Est-ce que tu penses
00:21:56qu'il y a une réflexion aussi à l'intérieur
00:21:58de l'INSEP pour essayer
00:22:00de mettre les sportifs
00:22:02dans les meilleures conditions possibles
00:22:04et pas aller chercher tout le temps la gagne, la gagne,
00:22:06la haine, quelque chose comme ça ?
00:22:08Oui,
00:22:10je pense qu'on doit toujours
00:22:12s'améliorer, ça c'est sûr.
00:22:14Après, il y a aussi la difficulté
00:22:16honnêtement du sport de haut niveau et du sport
00:22:18individuel. Comme tu as dit avant,
00:22:20tu étais dans un sport collectif.
00:22:22En fait,
00:22:24le but c'est d'aller chercher la meilleure.
00:22:26Donc oui, c'est difficile.
00:22:28Oui, il faut être aidé. Je pense qu'il y a
00:22:30des choses à améliorer parce que
00:22:32forcément, mais il y aura toujours
00:22:34cette réalité du terrain qui est
00:22:36d'être la meilleure. Et il faut s'armer
00:22:38de courage, de force mentale.
00:22:40Donc oui, c'est sûr
00:22:42que quand même, il y a des
00:22:44efforts à faire, un travail,
00:22:46que ce soit auprès des entraîneurs, des fédérations
00:22:48et même aussi des athlètes, d'être aussi accompagnés
00:22:50eux-mêmes parce que c'est aussi
00:22:52un défi
00:22:54avec soi-même avant tout ça.
00:22:56De réussir à tenir
00:22:58cette concurrence, ne pas se laisser
00:23:00atteindre par ça, c'est aussi un vrai
00:23:02travail sur soi qu'on peut mettre
00:23:04en place avec les psychologues et
00:23:06préparateurs mentaux.
00:23:07Madeleine, dernière question et après je te laisse tranquille,
00:23:09c'est promis. Tu parlais tout à l'heure du
00:23:11grand vide après les Jeux de Paris, même
00:23:13pour les médaillés. Moi, j'ai
00:23:15envie de parler des non-médaillés
00:23:17dont tu fais partie parce qu'il y a
00:23:19un certain tabou autour de la
00:23:21défaite. Par exemple, les athlètes qui n'ont
00:23:23pas performé n'ont pas été présentés
00:23:25au Club France, devant le public français.
00:23:27Je sais que vous en avez
00:23:29énormément souffert. Alors, où tu en es
00:23:31de ton cheminement, de ta guérison
00:23:33et puis comment on se relève de ça
00:23:35quand on est déçu par soi-même
00:23:37et qu'on n'arrive pas à
00:23:39obtenir ce qu'on voulait ?
00:23:41Oui, c'est vrai
00:23:43que ce n'est pas une étape simple, c'est vrai.
00:23:45Après, j'ai eu la chance
00:23:47de connaître Tokyo où je repars
00:23:49avec une médaille et Paris où je repars
00:23:51sans médaille. Donc, j'ai vraiment pu
00:23:53voir les deux côtés.
00:23:55Heureusement pour moi, je pense
00:23:57que tout ce que j'ai fait
00:23:59pour pouvoir vivre ces Jeux, je ne l'ai pas fait
00:24:01quelque part pour cette fame, comme on
00:24:03peut dire. C'était une quête pour
00:24:05moi, je voulais me le prouver à moi-même.
00:24:07Et le plus important, c'est
00:24:09encore une fois d'être entourée de ses proches parce que
00:24:11la finalité est qu'on ait
00:24:13une médaille ou pas de médaille, les personnes
00:24:15qui sont là vraiment, qui ont cru en
00:24:17nous et qui sont là dans les bons
00:24:19et comme les mauvais, c'est toujours nos proches.
00:24:21Moi, c'est ça qui m'a
00:24:23soutenue avant,
00:24:25pendant et après les Jeux.
00:24:27Toujours avoir ce socle familial
00:24:29très très fort.
00:24:31Et je sais que ce n'est pas simple pour tout le monde
00:24:33parce que les Jeux Olympiques, c'est le
00:24:35moment aussi de mettre des sports
00:24:37en avant, des sports moins médiatisés.
00:24:39Donc, c'est encore une fois
00:24:41je pense, personnel.
00:24:43Chacun le gère à sa façon
00:24:45et je pense qu'il faut
00:24:47vraiment encore une fois
00:24:49être entourée de psychologues, de professionnels
00:24:51parce que ce n'est pas facile de
00:24:53se dire qu'on a un rendez-vous pour briller
00:24:55et pas réussir et retomber
00:24:57dans l'anonymat.
00:24:59Et surtout avoir pris cette vague
00:25:01de plein fouet, de monde, de folie
00:25:03et de se dire, ça y est, j'ai tout
00:25:05donné pendant toutes ces années
00:25:07et ça y est, c'est fini.
00:25:09Et pour l'avoir quelque part ressenti,
00:25:11je pense que je ne suis pas allée au plus profond
00:25:13parce qu'il y a vraiment ma famille qui m'a maintenue
00:25:15autour de l'eau, au-dessus de l'eau.
00:25:17Mais oui, ça peut être très dur
00:25:19et j'encourage vraiment à toutes les personnes
00:25:21qui traversent des grands moments, que ce soit des athlètes
00:25:23ou même des pros parce que même
00:25:25les professionnels, ils peuvent être
00:25:27confrontés à ça, avoir un objectif très grand
00:25:29réussir ou pas réussir.
00:25:31Et à ce côté un peu, j'ai honte
00:25:33et j'ai seulement envie de vous dire, n'ayez pas honte
00:25:35de vous, soyez super fiers parce qu'aujourd'hui
00:25:37je n'ai pas eu de médaille, mais je suis
00:25:39vraiment immensément fière
00:25:41de tout ce que j'ai traversé pour pouvoir vivre tout ça.
00:25:43Merci Madeleine,
00:25:45Madeleine Malonga, championne de judo. Juste, c'est quoi ta prochaine compétition
00:25:47si on veut te suivre ?
00:25:49Alors, je ne sais pas encore
00:25:51mais en tout cas, je voudrais juste mettre
00:25:53un petit mot pour Isaura,
00:25:55Agathe,
00:25:57la prod de La Baronne.
00:25:59Franchement, merci d'avoir mis
00:26:01en lumière nos sujets
00:26:03parce que c'était trop bien et bienveillant.
00:26:05Merci beaucoup
00:26:07Madeleine d'avoir été avec nous.
00:26:09Merci du fond du coeur parce que je sais que ce n'est pas évident
00:26:11d'en parler et puis de te libérer dans ton emploi du temps.
00:26:13On va marquer une toute petite pause
00:26:15sur le plateau et puis on revient parler du 15 de France.
00:26:17On a la compo. La compo est tombée pour le
00:26:19match d'ouverture du tournoi des Six Nations
00:26:21face au Pays de Galles. Les Bleus retrouvent
00:26:23leur charnière Dupont Entamac.
00:26:25On vous dit tout après la pub.
00:26:27C'est promis, à tout de suite.
00:26:37Tu l'en veux ?
00:26:39De retour sur le plateau de l'équipe de choc,
00:26:41le multiplex géant de la dernière
00:26:43journée de phase de groupe de Ligue des Champions sera à suivre
00:26:45dans la grande soirée de la chaîne L'Équipe, présentée
00:26:47par Benoît Cossé. Quatre clubs français
00:26:49jouent ce soir, parmi eux, Brest qui reçoit le
00:26:51Real Madrid de Kylian Mbappé.
00:26:53Quel match vous excite le plus ?
00:26:55On en parle dans quelques minutes, mais d'abord,
00:26:57c'est Planète Sports. Jingle.
00:26:59Jingle.
00:27:01Jingle.
00:27:03Jingle.
00:27:05Virginie, on commence avec une petite image biathlon. Tu veux bien ?
00:27:07Avec grand plaisir.
00:27:09On a vu l'image de l'individuelle femme. Il y a eu
00:27:11l'individuel homme aussi. On n'avait pas vu le podium.
00:27:13Vous voyez le podium avec
00:27:15victoire du Norvégien Isaac Frey.
00:27:17C'est l'actuel leader de l'IBU Cup.
00:27:19Le podium est complété par
00:27:21l'Autrichien Mulbarer.
00:27:23Un peu dur. Pas facile.
00:27:25C'est pas évident, les noms.
00:27:27C'est pas le bonjour.
00:27:29Tu t'en sors bien.
00:27:31On comprend pourquoi Géraldine est pas là.
00:27:33C'est pour éviter ces trucs-là.
00:27:35On enchaîne avec le
00:27:3715 de France. On connaît la compo du 15 de France.
00:27:39Je vous rappelle le 15 de France qui affronte
00:27:41le Pays de Galles, c'est vendredi soir, en lancement
00:27:43du tournoi Destination. On peut voir
00:27:45la compo du 15 de France qui va
00:27:47s'afficher. Dans cette compo, on retrouve notamment...
00:27:49On l'a pas. C'est pas grave. Je vous le fais à la voix.
00:27:51Dans cette compo, on retrouve Romain
00:27:53Ntamac en numéro 10. Il sera associé
00:27:55à Antoine Dupont. On retrouve la charnière
00:27:57Dupont-Ntamac. On note aussi
00:27:59les titularisations de
00:28:01Théo Attisogbe.
00:28:03Je suis désolé. Attisogbe.
00:28:05Et Alexandre Roumat en deuxième ligne.
00:28:07Je vous rappelle qu'Auradou et Gégou seront
00:28:09sur le banc.
00:28:11On voit la compo. Parfait.
00:28:13Vous voyez bien, c'est ce que je vous disais.
00:28:15On retrouve la charnière Dupont-Ntamac.
00:28:17On va retrouver
00:28:19Camille Macalli, qui est notre envoyée spéciale
00:28:21à Marcoussi. Camille,
00:28:23tout simplement, quels sont les grands enseignements
00:28:25à retenir de cette composition ?
00:28:29Salut Romain. Bonjour à tous.
00:28:31Le début d'une nouvelle aventure pour Fabien
00:28:33Galtier et ses hommes. On retiendra
00:28:35l'association, la charnière
00:28:37Antoine Dupont-Romain Ntamac.
00:28:39Enfin, le sélectionneur a pu les remettre ensemble
00:28:41depuis le 12 août 2023
00:28:43face à l'Ecosse match de préparation mondial.
00:28:45Il n'avait plus été associé.
00:28:47Alors oui, il y a eu quelques petites discussions au sein
00:28:49du staff entre Thomas Ramos et Romain Ntamac.
00:28:51Mais évidemment, le choix de Romain Ntamac
00:28:53s'est imposé comme une évidence.
00:28:55C'est une charnière qui a déjà beaucoup de vécu
00:28:57en équipe de France.
00:28:59On compte vraiment sur Antoine Dupont
00:29:01et Romain Ntamac pour ce nouveau
00:29:03tournoi. Le choix d'Alexandre Roumat
00:29:05habituellement au poste de 3ème ligne
00:29:07qui cette fois-ci glisse à l'avant
00:29:09au poste de 2ème ligne, au poste de numéro 4.
00:29:11Là aussi, ce n'est pas un pari risqué de la part
00:29:13du sélectionneur puisque Alexandre Roumat
00:29:15est un joueur très polyvalent. Il a déjà
00:29:17beaucoup dépanné à ce poste-là en club
00:29:19et en équipe de France aussi.
00:29:21Là aussi, c'est une garantie pour lui.
00:29:23On ne prend pas de risque fou.
00:29:25Et puis enfin, c'est une décision
00:29:27importante aussi de voir sur le banc
00:29:29Hugo Radou et Oscar Gégou.
00:29:31Alors là, c'est clair. Pour le sélectionneur,
00:29:33on ne veut plus parler de polémique, on ne veut plus parler d'extra-sportif.
00:29:35Cette tempête médiatique qu'il y a eu
00:29:37pendant 7 mois autour des deux joueurs
00:29:39est bel et bien terminée. En tout cas, c'est de cette
00:29:41façon-là qu'il a répondu à l'un de nos
00:29:43confrères. Écoutez-le.
00:29:45Il y a des questions auxquelles on a beaucoup répondu.
00:29:47Vraiment. Et ça fait 6 mois
00:29:49à peu près qu'on répond à ce sujet-là.
00:29:51Aujourd'hui, c'est l'annonce de l'équipe de France
00:29:53et des joueurs qui vont jouer et qui méritent
00:29:55de jouer, qui performent et qui se sont
00:29:57préparés. Je vais me concentrer
00:29:59essentiellement sur ces réponses-là.
00:30:01Je crois qu'on a déjà beaucoup répondu.
00:30:03J'entends votre question
00:30:05mais on va se concentrer sur
00:30:07le match face au Pays de Galles, le tournée de destination
00:30:09et toutes les questions qui parlent de rugby.
00:30:11Merci.
00:30:13Pierre, tu comprends qu'il en ait un peu
00:30:15marre de sujet Aura Doujégon
00:30:17en conférence de presse ?
00:30:19Oui, je le comprends.
00:30:21La question n'est pas mise mais c'était
00:30:23de savoir quels accueils auront ces joueurs-là.
00:30:25Jusqu'à preuve du contraire,
00:30:27chacun dans les tribunes aura la réflexion qu'il a envie d'avoir
00:30:29et la réaction qu'il veut.
00:30:31Si ces deux joueurs-là
00:30:33empathisent, c'est de leur faute
00:30:35de toute façon dans tous les cas.
00:30:37Il est à ce moment-là dans une conférence de presse
00:30:39pour parler de rugby. Je trouve que la communication
00:30:41du 15 de France depuis le début
00:30:43a été claire et nette.
00:30:45C'était très bref.
00:30:47On a très bien compris
00:30:49leur démarche et ça a été très clair.
00:30:51Je ne vois pas pourquoi
00:30:53remettre ça sur le tapis à partir du moment
00:30:55où les choses sont claires et nettes et qu'il y a eu
00:30:57ce non-lieu. Maintenant, si jamais il y a un appel,
00:30:59on en reparlera quand il y a l'appel. Pour l'instant, ils sont sélectionnables.
00:31:01C'était clair depuis le début.
00:31:03Je comprends totalement ce que...
00:31:05Il le dit en plus avec un petit sourire en disant
00:31:07qu'on est là pour parler de rugby, c'est poli, c'est élégant,
00:31:09il n'y a pas de problème.
00:31:11J'ai un rendez-vous...
00:31:13J'ai un rendez-vous rugby à vous donner d'ailleurs.
00:31:15Je ne suis pas d'accord.
00:31:17Rendez-vous rugby, c'est le retour
00:31:19de l'équipe enquête lundi
00:31:21donc lundi 21h10.
00:31:23Le titre c'est
00:31:25Rugby, la maison brûle et je vous propose
00:31:27un petit extrait du documentaire de
00:31:29Sébastien Tarrago.
00:31:41...
00:32:03Je vous rappelle, lundi
00:32:0521h10, ne manquez pas ça.
00:32:07Il faut le regarder, ça va faire du bruit.
00:32:09...
00:32:17On enchaîne avec l'NBA
00:32:19avec Gershon Yabouzele
00:32:21qui a de nouveau brillé cette nuit avec les Sixers.
00:32:23On peut voir les images, il a été hauteur de
00:32:2514 points face aux Lakers.
00:32:27Victoire 118-104 de Philadelphie.
00:32:29Yabouzele s'est beaucoup
00:32:31frotté en Tony Davis, vous allez voir.
00:32:33Regardez bien le ralenti.
00:32:35Il lui fait, non, t'es trop petit
00:32:37pour me défendre, t'es trop petit.
00:32:39Et regardez aussi cette action-là, il va
00:32:41subtiliser la balle, il va jusqu'au bout
00:32:43et là...
00:32:45Il dunke sur Anthony Davis
00:32:47et il va bien le toiser en le regardant derrière.
00:32:49Donc les Sixers, ça va pas
00:32:51très bien Mathieu au niveau des résultats
00:32:53mais on peut dire que Yabouzele continue
00:32:55d'être la bonne surprise des Sixers cette année.
00:32:57Ouais, clairement, il fait le
00:32:59taf, il fait le job.
00:33:01Alors, quand t'as dit qu'il s'est
00:33:03confronté à Anthony Davis, alors c'était seulement
00:33:05sur un carton parce qu'après...
00:33:07Il s'est blessé au cours du match.
00:33:09Et donc ça a quand même favorisé
00:33:11son bon match parce qu'on sait qu'Anthony Davis
00:33:13c'est quand même un des meilleurs défenseurs.
00:33:15Mais ouais, clairement, il fait le job.
00:33:17Tout le monde loue
00:33:19ses qualités. Paul George
00:33:21qui est dans son équipe, un All-Star
00:33:23a fait une interview
00:33:25en disant que c'était vraiment un joueur complet, qu'il
00:33:27adorait jouer avec lui.
00:33:29Et en plus, en ce moment, il y a quand même quelques
00:33:31rumeurs, donc il y a des équipes de playoffs
00:33:33qui sont intéressées par lui.
00:33:35C'est plutôt intéressant
00:33:37et c'est une récompense aussi pour lui.
00:33:39Parce que pour le moment, il fait vraiment une très très
00:33:41bonne saison. Personne n'attendait à ce qu'il fasse cette saison.
00:33:43Ah non, mais clairement. Même lui, je veux dire,
00:33:45il se remettait en question, il retentait un truc
00:33:47mais moi j'étais à mille lieues de penser qu'il allait
00:33:49cartonner, c'est le seul qui est bon en fait dans l'équipe.
00:33:51Taïriz Maxi quand même
00:33:53porte l'équipe offensivement, il a encore marqué
00:33:5543 points
00:33:57dans cette équipe.
00:33:59Donc, on peut dire que c'est vraiment
00:34:01les deux qui surnagent
00:34:03et heureusement pour eux, parce que sinon, ça serait
00:34:05très très compliqué malgré tout.
00:34:07Surtout que Joël Embiid est blessé toujours
00:34:09et donc c'est lui, Abou Zele, qui joue
00:34:11au poste 5 de Joël Embiid, donc il leur fait du bien.
00:34:13On va enchaîner avec le cyclisme.
00:34:15Merci.
00:34:17Avec Tom Pidocq qui a remporté la deuxième
00:34:19étape de la Loulatour.
00:34:21Le britannique prend la tête du classement général.
00:34:23Je vous propose de revivre l'arrivée
00:34:25de l'étape et c'est Théo Barbet du Kiel
00:34:27et Charles-Antoine Nora au commentaire.
00:34:29Vandenbrouck qui a du mal
00:34:31à faire la jonction et c'est parti pour
00:34:33Tom Pidocq. Attaque soudaine
00:34:35du britannique à un peu plus
00:34:37de 500 mètres de l'arrivée.
00:34:39Il est en train de faire le trou, Tom Pidocq.
00:34:41C'est lui qui avait l'air le plus facile
00:34:43dans ses remplis les plus
00:34:45en-dessus. C'est lui qui avait l'air le plus facile.
00:34:47C'est un duel de VTT parce que je crois
00:34:49que derrière, c'est Hatterley
00:34:51qui a tenté de prendre la route du britannique
00:34:53mais il a fait immédiatement le trou.
00:34:55Quelle attaque soudaine, quel pétard
00:34:57de Tom Pidocq. C'est un effort qui correspond
00:34:59parfaitement à Tom Pidocq. C'est All-in.
00:35:01Il restait moins de 500 mètres.
00:35:03Il peut y aller à bloc et on sait
00:35:05qu'il est capable de fournir une intensité
00:35:07aussi éprouvante pendant
00:35:09quelques minutes. Il va aller s'imposer
00:35:11lui qui avait envie de regoutter
00:35:13à la liberté, au soulagement aussi
00:35:15de quitter la formation Idéos
00:35:17et pour son deuxième jour de course
00:35:19avec l'équipe Q36.5
00:35:21Tom Pidocq va déjà lever
00:35:23les bras, s'il y a l'on serait dehors peut-être
00:35:25une saison de résurrection.
00:35:27C'est la saison 2025 qui commence ici
00:35:29sur la Loulah Tour pour Tom Pidocq.
00:35:31Succès sur la deuxième étape
00:35:33de la Loulah Tour.
00:35:39On enchaîne avec le tennis et Richard Gasquet
00:35:41qui s'est imposé au premier tour de l'Open
00:35:43d'Occitanie. Il était opposé
00:35:45à Adrian Manarino et s'est imposé
00:35:476-3, 6-2. Gasquet
00:35:49était impeccable au service. Il s'est
00:35:51imposé en 1h15 de jeu.
00:35:53Il affrontera le néerlandais Talon Grieg Sport
00:35:55au deuxième tour.
00:35:57Fred, je voulais venir te voir.
00:35:59On sait que c'est la dernière saison de Gasquet sur le circuit.
00:36:01Tu penses qu'il peut faire
00:36:03à nouveau une nouvelle PR, faire atteindre la finale
00:36:05parce qu'il a gagné trois fois à Montpellier
00:36:07ou est-ce que tu penses que c'est plus un baroudonneur ?
00:36:09On rappelle qu'il a 38 ans, il finit fin de saison.
00:36:11Ça veut dire que les adversaires laissent gagner ?
00:36:13Non, non.
00:36:15Je vois ton petit sourire en coin.
00:36:17Je pense que c'est un joueur
00:36:19qui me fascine. J'aime bien les joueurs comme ça.
00:36:21C'est parce que c'est un sport individuel.
00:36:23C'est super compliqué. Mentalement, il faut aller
00:36:25chercher les victoires, il faut aller chercher les points.
00:36:27Même si c'est une dernière saison,
00:36:29je trouve qu'il a quand même
00:36:31cette faculté à aller chercher
00:36:33encore des victoires. Là, on le voit
00:36:35sur ce tournoi de Montpellier
00:36:37où il ne lâche rien.
00:36:39Moi, ça me fascine d'avoir quelqu'un
00:36:41qui jusqu'au bout va essayer
00:36:43d'aller chercher
00:36:45des victoires sur des tournois
00:36:47et faire surtout
00:36:49plaisir
00:36:51déjà à soi-même
00:36:53et aussi au public français pour lui donner
00:36:55un dernier hommage.
00:36:57J'en profite les garçons, on se connecte sur l'Equipe Live.
00:36:59Tout de suite.
00:37:01Parce que le tennis continue
00:37:03en direct.
00:37:05Sur l'Equipe Live, vous pouvez suivre le premier tour
00:37:07entre Félix Ogier, Ali Akhmer et Arthur Cazot
00:37:09à 18h30 si je ne dis pas de bêtises.
00:37:11Il y a du padel aussi avec l'Hexagone Cup.
00:37:13Ça, ça vous plaît.
00:37:15Vous n'aimez pas de change-plateau.
00:37:17Tous les jours de 13h à 22h jusqu'à dimanche.
00:37:19Et puis, si vous aimez l'athlétisme,
00:37:21vous pouvez suivre en direct
00:37:23le deuxième meeting à Belgrade.
00:37:25Tout cela, ça se passe sur l'Equipe Live.
00:37:27On continue la planète sport.
00:37:29Et on parle de foot.
00:37:31Mercato.
00:37:33On était à Montpellier pour le tennis.
00:37:35Mais on reste à Montpellier pour le foot.
00:37:39Donc on reste à Montpellier avec l'officialisation
00:37:41du prêtre d'Andy Delort qui revient,
00:37:43qui fait son retour au MHSC.
00:37:45L'attaquant de 33 ans
00:37:47est prêté jusqu'à la fin de saison
00:37:49avec option d'achat par le MCLG.
00:37:51Il vient pallier le départ d'Akkor Adams
00:37:53qui était parti à Séville.
00:37:55Delort, je vous rappelle à Montpellier,
00:37:57ça pèse 106 matchs, 47 buts,
00:37:5921 passes décisives.
00:38:01Pierre, est-ce que tu penses
00:38:03que ça va à nouveau matcher tout de suite
00:38:05entre Delort et Montpellier ?
00:38:07Franchement, je n'en ai absolument
00:38:09aucune idée.
00:38:11Je ne sais pas quoi penser de ce transfert
00:38:13de droite à gauche.
00:38:15Il sort de quelques années qui sont
00:38:17très compliquées.
00:38:19Revenir dans un Montpellier
00:38:21qui est en souffrance depuis le début de la saison.
00:38:23Maintenant, moi je connais Andy
00:38:25et s'il a envie
00:38:27de se mettre dans la tête qu'il peut sortir
00:38:29à Montpellier du fond du classement,
00:38:31il est capable de se transformer.
00:38:33J'ai envie d'être optimiste
00:38:35et d'y croire un petit peu.
00:38:37Maintenant, je ne m'attends pas
00:38:39à ce que ce soit le Andy Delort
00:38:41du début à Montpellier.
00:38:43Si El Tamari part, parce qu'il est convoité par Rennes,
00:38:45Tannordin qui est parti,
00:38:47il va jouer avec qui devant ?
00:38:49Tu sais très bien que s'il n'est pas servi
00:38:51par qui débute, il ne va pas aller les chercher derrière
00:38:53pour les mettre dedans.
00:38:55Je suis d'accord avec toi.
00:38:57Ils ont perdu à Coradam, ce qui n'était pas bien,
00:38:59même si je pense que c'est un bon joueur
00:39:01et qu'il va peut-être faire des belles choses.
00:39:03Physiquement, il en est où ?
00:39:05Je ne suis pas dans la salle de sport avec lui.
00:39:07Je ne peux pas te le dire.
00:39:09On va voir comment il est physiquement.
00:39:11Est-ce qu'il va être prêt tout de suite ?
00:39:13Est-ce qu'il va lui falloir un petit peu de temps d'adaptation ?
00:39:15Je pense que la perte de Teji va faire beaucoup de mal à Montpellier.
00:39:17Comme tu le disais, amener les ballons devant
00:39:19et Teji avec son pied droit et le couteau arrêté,
00:39:21ça restait quand même une force
00:39:23même s'il n'était pas en super forme.
00:39:25J'ai très peur pour Montpellier.
00:39:27On a tous très peur pour Montpellier.
00:39:29Montpellier avait performé avec la borde.
00:39:31Ils avaient été super trouvés.
00:39:33Maintenant, il faut retrouver encore
00:39:35soit un trio ou un duo
00:39:37pour performer à Montpellier.
00:39:39Ça va être compliqué.
00:39:41On sait qu'ils sont potes, Delors et Savanier.
00:39:43Ça pourrait faire du mal à Delors.
00:39:45Il ne repartira pas.
00:39:47Peut-être que Savanier ne repartira pas.
00:39:49On enchaîne avec Lévin Curzava.
00:39:51Des petites nouvelles de Lévin Curzava.
00:39:53Il est sans club depuis la fin de son contrat
00:39:55avec le PSG cet été.
00:39:57Selon Loïc Tanzil,
00:39:59il a reçu une proposition
00:40:01de Léganès ces derniers jours.
00:40:03Loïc Tanzil nous dit que
00:40:05tout n'est pas encore finalisé.
00:40:07Les discussions doivent se poursuivre.
00:40:09Mathieu, pour toi,
00:40:11le plus important, c'est qu'il re-signe.
00:40:13Il doit foncer sur cet off de Léganès ?
00:40:15Oui, il a besoin de jouer
00:40:17après cet off ou un autre.
00:40:19Il a assez perdu son temps.
00:40:21Il a assez mis de côté
00:40:23à Paris pour l'argent.
00:40:25Il faut qu'il pense au foot.
00:40:27Le rectangle vert.
00:40:29Qu'il reprenne du plaisir.
00:40:31Que ça redevienne un vrai joueur de foot.
00:40:33C'est ça la question.
00:40:35On sait ses qualités.
00:40:37On sait à quel point ça peut être
00:40:39un joueur performant
00:40:41quand il en a envie.
00:40:43Maintenant, il faut qu'il se remette dedans.
00:40:45Le train n'est pas à se croire
00:40:47qu'il a le nom Curzava
00:40:49et qu'il va trouver facilement.
00:40:51Dans sa carrière,
00:40:53il est resté au PSG
00:40:55je ne sais pas combien de temps sans jouer.
00:40:57Il a toujours eu un état d'esprit
00:40:59plutôt irréprochable.
00:41:01Je ne comprends pas
00:41:03que ça ne lui manque pas.
00:41:05Tu prends un peu moins
00:41:07mais tu vas kiffer.
00:41:09Je ne sais pas.
00:41:11Il a un côté ego
00:41:13qui a fait qu'il est resté d'accord.
00:41:15Maintenant,
00:41:17il va juste jouer.
00:41:19Il va prendre du plaisir.
00:41:21Tu as mis assez de côté
00:41:23pendant X années sans jouer.
00:41:25Il va reprendre du plaisir
00:41:27n'importe où.
00:41:29Je crois qu'il a un bon livret A.
00:41:33Je regarde un peu ce qu'il fait.
00:41:35Il bosse énormément.
00:41:37Ça ne remplace pas
00:41:39les entraînements collectifs.
00:41:41La vie de vestiaire.
00:41:43J'espère pour lui qu'il va quand même signer.
00:41:45La vie de vestiaire, il l'avait.
00:41:47Il n'était pas écarté.
00:41:49Il s'entraînait quand même.
00:41:516 mois.
00:41:53Ce qu'il a besoin,
00:41:55c'est surtout de trouver la compétition.
00:41:57C'est le genre de foot.
00:41:59S'entraîner ou faire des programmes individuels,
00:42:01ça pilote.
00:42:03Dernière info foot.
00:42:05On sait qu'on est le lendemain
00:42:07de l'éviction de Pierre Sage.
00:42:09Il y avait une conférence de presse aujourd'hui
00:42:11puisque Loël joue demain contre Ludo Goretz
00:42:13en Ligue Europa.
00:42:15L'occasion de Georges Mikotazé de s'exprimer
00:42:17et à nouveau rendre hommage
00:42:19à son ancien coach.
00:42:21On l'écoute.
00:42:23Bien sûr que ça me touche.
00:42:25Avec ce que le coach a fait l'an dernier,
00:42:27on sait que c'est un grand artisan
00:42:29de la remontée.
00:42:31Aussi de cette qualification
00:42:33en Ligue Europa.
00:42:35On essaie de se préparer
00:42:37comme on le fait
00:42:39les autres matchs.
00:42:41Virginie, ça t'a triste ?
00:42:43J'ai vu ta tête.
00:42:45Est-ce que tu comprends
00:42:47qu'on en parle encore
00:42:49en conférence de presse aujourd'hui ?
00:42:51Non.
00:42:53Évidemment.
00:42:55C'est un coach qui n'a pas seulement
00:42:57touché les joueurs.
00:42:59Il a touché le public,
00:43:01le monde du football français.
00:43:03Il a retrouvé les clés du placard
00:43:05où il y avait
00:43:07le talent de Cherki,
00:43:09la rage de la casette,
00:43:11Tolisso aussi.
00:43:13Évidemment que tout le monde les met
00:43:15dans le vestiaire et qu'ils vont continuer
00:43:17à lui rendre hommage.
00:43:19On ne peut pas faire ça toute l'année.
00:43:21Il y a un match à préparer.
00:43:23De toute façon, c'est la pub.
00:43:25Allez Boubi, ça suffit.
00:43:27Restez avec nous.
00:43:29On part de l'équipe de France de handball
00:43:31dans quelques minutes.
00:43:33Les Bleus se sont qualifiés en demi-finale
00:43:35du championnat du monde.
00:43:37Mais ça ne s'est joué à rien du tout.
00:43:39On va revivre ça ensemble
00:43:41tout de suite après la pub.
00:43:51Dernière ligne droite de l'équipe de choc.
00:43:53Le PSG va-t-il se qualifier
00:43:55pour la phase finale de Ligue des champions ?
00:43:57Réponse ce soir face à Stuttgart.
00:43:59Multiplex à suivre dans la grande soirée
00:44:01présentée par Benoit Cossé.
00:44:03Un match nul leur suffit pour valider leur ticket.
00:44:05On suivra ça attentivement.
00:44:07On suivra Monaco, Lille et Brest aussi.
00:44:09Nos envoyés spéciaux sont un petit peu partout.
00:44:11On verra quelle affiche vous excite le plus.
00:44:13Mais d'abord, on va vibrer
00:44:15et revibrer même
00:44:17avec l'équipe de France de handball.
00:44:19Virginie, c'est passé à ça.
00:44:21Vraiment à ça.
00:44:23Les Bleus ont remporté de justesse
00:44:25leur quarte de finale face à l'Egypte.
00:44:27L'Egypte 34-33.
00:44:29On va revoir les images.
00:44:31Ça s'est joué sur la dernière action du match.
00:44:33Il reste 7 secondes à jouer.
00:44:35Yaya Omar qui égalise.
00:44:37Debonel Gardien qui relance vite sur Luka Karabacic
00:44:39qui tire du milieu de terrain.
00:44:41Et ça rentre au buzzer.
00:44:43Alors la question, but validé ou pas Pierre ?
00:44:45But validé ? On va voir.
00:44:47En haut à droite, 29-59-7.
00:44:49Et donc c'est bon.
00:44:51C'est avant les 30.
00:44:53C'est validé.
00:44:55Ils passent en demi-finale.
00:44:57Ils vont retrouver les Croates en demi-finale.
00:44:59On va voir la réaction de Luka Karabacic,
00:45:01le héros de la soirée qui s'est exprimé.
00:45:03J'ai regardé le tableau d'affichage.
00:45:05J'ai vu qu'il restait 3 secondes.
00:45:07Et je me suis dit, il faut tenter.
00:45:09J'ai eu le ballon et j'ai tiré.
00:45:11D'ailleurs le temps était un peu suspendu.
00:45:13Je n'étais pas sûr à 100% que la balle soit rentrée à temps.
00:45:15Il n'y avait rien à perdre.
00:45:17Soit ça rentrait, soit il y avait prolongation.
00:45:19Mais elle aurait été difficile.
00:45:21Le buzzer beater de folie.
00:45:23Alors on s'enflamme peut-être.
00:45:25Mais est-ce que cette action marque pour vous l'histoire des Bleus ?
00:45:27C'est vrai que c'était juste un quart de finale.
00:45:29Mais j'ai envie de vous dire,
00:45:31les émotions étaient au rendez-vous.
00:45:33Il y avait les émotions.
00:45:35Je me rappelle aussi d'une action d'Elohim Prandti
00:45:37contre la Suède.
00:45:39Sur un coup franc aussi.
00:45:41Il a marqué au dernier moment.
00:45:43Il était complètement à terre.
00:45:45Et il a marqué un but extraordinaire.
00:45:47C'est l'image.
00:45:49Et donc forcément,
00:45:51ça fait partie des grandes histoires des Bleus.
00:45:53Et ça continuera.
00:45:55Parce que ce sont des moments exceptionnels.
00:45:57Se dire dans la tête du gardien.
00:45:59Récupérer le ballon rapidement.
00:46:01Karabatic qui met le pied aussi.
00:46:03Parce qu'il faut le dire qu'il faut mettre le pied au milieu du terrain.
00:46:05Et après frapper directement.
00:46:07C'est une action
00:46:09qui est à mon avis travaillée à l'entraînement.
00:46:11Qu'importe le sport.
00:46:13On vit pour les émotions.
00:46:15Je ne suis pas un spécialiste du handball.
00:46:17Mais juste un amoureux du sport.
00:46:19Quand tu as des scénarios comme ça,
00:46:21ça te fait vibrer.
00:46:23Ça te fait sauter du canapé.
00:46:25On se souvient tous de ces moments.
00:46:27Comme ça.
00:46:29On ne va pas se souvenir des larges victoires.
00:46:31Mais des scénarios comme ça,
00:46:33ça traverse.
00:46:35On va en reparler.
00:46:37Ça va marquer.
00:46:39C'est le contexte qui fait qu'on va se rappeler.
00:46:41C'est ancré dans les mémoires.
00:46:43Au moment où tu prends un but,
00:46:45tu es au fond de la gamelle.
00:46:47Et tu as envie de mourir.
00:46:49Tu vois le gardien reprendre le ballon.
00:46:51Viser Karabatic.
00:46:53Et Karabatic enchaîner.
00:46:55Je pense que même les égyptiens,
00:46:57ils ne s'attendent pas à ce qu'ils repartent direct.
00:46:59Ils ont bluffé tout le monde.
00:47:01Et nous les premiers.
00:47:03Je pense qu'on se souviendra souvent.
00:47:05Même si ça reste un quart de finale.
00:47:07Même si c'est l'Egypte en face.
00:47:09C'est cette façon qu'ils ont tout le temps.
00:47:11De ne rien lâcher.
00:47:13D'essayer d'aller jusqu'au bout.
00:47:15Et ça marque de leur empreinte.
00:47:17Leur façon d'être mentalement tout le temps au bout.
00:47:19On va poser la question à une experte.
00:47:21Mariama Signate est avec nous.
00:47:23Comment ça va Mariama ?
00:47:25Merci de t'être libérée.
00:47:27Est-ce que c'est une action
00:47:29qui marque l'histoire des bleus ?
00:47:31Qui de mieux que toi pour nous répondre à cette question ?
00:47:33C'est une action qui marque l'histoire des bleus.
00:47:35C'est une action qui marque l'histoire des bleus
00:47:37dans le tournant.
00:47:39Parce qu'après on a eu plein d'actions comme ça.
00:47:41On peut se rappeler au Royaume de France
00:47:43pour les plus jeunes.
00:47:45Les actions de Greg Antin par exemple.
00:47:47Sur les dernières secondes qui ont permis à France de remporter.
00:47:49On pense plus récemment à Edwin Frenzy.
00:47:51Mais ça fait partie aussi de l'identité
00:47:53de la France d'être une équipe qui ne lâche rien jusqu'au bout.
00:47:55C'est ce qu'on avait un peu perdu
00:47:57les temps derniers. Notamment pendant les Jeux.
00:47:59Il fallait nous refaire vibrer quand même.
00:48:01Six mois après la déception des JO.
00:48:03Il y a eu du bon, du moins bon.
00:48:05Karabatic a fait pencher la balance du bon côté.
00:48:07Moi ce que je remarque c'est surtout
00:48:09qu'ils n'ont pas paniqué.
00:48:11Est-ce que c'est le collectif qui a fait la différence pour toi Mariama ?
00:48:15Oui c'est le collectif qui a fait la différence.
00:48:17Même pour Lucas ça ne devait pas être facile
00:48:19de rentrer parce qu'il n'a quasiment pas joué du match.
00:48:21Il est rentré au moment où
00:48:23Perle Conan prend deux minutes.
00:48:25Il prend le carton rouge derrière.
00:48:27Et on ne l'a pas trop vu.
00:48:29Il a été un petit peu mis sur le côté.
00:48:31On comprend cette pression qu'il y a.
00:48:33Même si on se dit que c'est tiré dans un but vide.
00:48:35C'est tiré au mieux de tous les défenseurs.
00:48:37Du gardien qui se replace.
00:48:39Et surtout respecter cette limite de temps
00:48:41qui était là.
00:48:43C'est une force collective.
00:48:45Pour voir quand c'est ça, il faut avoir
00:48:47toute la confiance de son équipe derrière.
00:48:49Est-ce que tu penses que les Égyptiens ont été surpris ?
00:48:51Est-ce qu'ils s'attendaient
00:48:53à ce qu'ils continuent l'action ?
00:48:57Oui ils ont été surpris.
00:48:59Tout était bien fait.
00:49:01Leur 6 contre 6 a été bien exécuté.
00:49:03Derrière avec une finition
00:49:05impeccable.
00:49:07Ils se disent qu'il reste deux secondes.
00:49:09Peut-être qu'ils s'étaient mal organisés.
00:49:11Parce que le changement avec le gardien
00:49:13était un petit peu terdif.
00:49:15C'est très cruel pour eux.
00:49:17Mais pour nous c'est incroyable de finir
00:49:19un quart de finale dans ces conditions-là.
00:49:21Qu'est-ce qu'ils auraient pu mieux faire
00:49:23les Égyptiens pour contrer cette action ?
00:49:25Ou qu'est-ce qu'ils ont mal fait ?
00:49:27Ce qu'il y a j'entendais un petit peu
00:49:29dans l'étude du sort.
00:49:31Quand on marque un but,
00:49:33on ne peut pas faire de fautes
00:49:35avant l'engagement affilé.
00:49:37Il faut garder une bonne distance autour.
00:49:39Les trois mètres autour de la balle.
00:49:41Ils n'auraient pas pu faire grand-chose
00:49:43à part peut-être anticiper l'action
00:49:45qui se termine à droite.
00:49:47Ils auraient pu faire sortir l'ennemi gauche
00:49:49très tôt pour avoir le gardien dans les buts
00:49:51dès le début.
00:49:53Et là ils l'ont remporté forcément.
00:49:55Sixième demi-finale d'affilée au Mondial
00:49:57depuis 2015.
00:49:59Le prochain match,
00:50:01c'est contre la Croatie.
00:50:03Contre la Croatie.
00:50:05Ça s'est joué vraiment au finish.
00:50:07On va voir les images.
00:50:09Coup franc pour la Hongrie à 15 secondes de la fin.
00:50:11Ici il y a un passage en force des Hongrois.
00:50:13La balle est récupérée par les Croates.
00:50:15Avec Serna qui va récupérer la balle
00:50:17au milieu de terrain.
00:50:19Superbe passe pour Serna.
00:50:2159-59.
00:50:23Et les Croates se qualifient aussi comme ça au finish.
00:50:25Ça va être un sacré adversaire pour les Bleus.
00:50:29Ça va être un sacré adversaire pour les Bleus.
00:50:31Mais après le contexte du match
00:50:33est un petit peu différent.
00:50:35À 5 minutes de la fin,
00:50:37l'Hongrie venait de 4 buts
00:50:39et est complètement sortie de son match
00:50:41à enchaîner les bourres sur les bourres.
00:50:43Là il va falloir s'attendre à un match
00:50:45encore plus tendu.
00:50:47C'est une compétition à domicile.
00:50:49Pour les Bleus, il va falloir garder la tête froide.
00:50:51Il y a toujours ces petits passages à vide
00:50:53où on voit des pertes de balles
00:50:55ou des prises d'initiatives pas très fructueuses
00:50:57de la part des arrière.
00:50:59Grosse affiche.
00:51:01Yama Karabatidj parle de classico carrément.
00:51:03France-Croatie, qu'en penses-tu ?
00:51:05C'est un classico ?
00:51:07Ça a été un classico pendant longtemps.
00:51:09À l'époque des Ivano Baric,
00:51:11ceux de Vicente Tonchalan,
00:51:13un peu provocateur.
00:51:15Souvent les France-Croatie,
00:51:17ça se terminait limite tête contre tête.
00:51:19Là c'est la Croatie mais à domicile.
00:51:21Je pense qu'il y a les vieux démons qui vont revenir
00:51:23et ça va être un match très électrique.
00:51:25Surtout pour l'occasion
00:51:27qui comprend la langue, à mon avis,
00:51:29ces oreilles vont choper.
00:51:31Merci Mariama. On regardera cette demi-finale
00:51:33avec attention et avec beaucoup de plaisir comme d'habitude.
00:51:35Merci beaucoup.
00:51:37On va parler foot à présent avec la dernière journée
00:51:39de la phase de groupe de Ligue des Champions.
00:51:4118 matchs en même temps.
00:51:43Le plus grand multiplex de l'histoire
00:51:45à suivre dans la grande soirée sur la chaîne L'Equipe.
00:51:47Quatre clubs français jouent ce soir.
00:51:49On va regarder les enjeux de chacun
00:51:51avec Romain et après on ira voir nos envoyés spéciaux.
00:51:53On va déjà voir les affiches
00:51:55de nos quatre clubs français ce soir.
00:51:57Le PSG qui se déplace à Stuttgart.
00:51:59Brest qui accueille le Real Madrid.
00:52:01Monaco qui va jouer à l'Inter.
00:52:03Ça va être compliqué ça.
00:52:05Lille qui accueille Feyenoord.
00:52:07On va voir au classement quels sont les enjeux.
00:52:09Pour les trois de tête,
00:52:11Monaco, Lille et Brest,
00:52:13ils sont 10e, 12e et 13e
00:52:15dans le même nombre de points que l'Evercusson.
00:52:17Le 8e et dernier
00:52:19dans le wagon de tête des 8 premiers.
00:52:21Donc eux, ils vont plutôt regarder devant.
00:52:23Celui qui va plutôt regarder derrière,
00:52:25c'est le PSG parce qu'on va le voir avec le classement.
00:52:27Eux, ils regardent à partir
00:52:29de la 24e, 25e, 26e place.
00:52:31Donc pour l'instant, ils ont deux points d'avance
00:52:33sur Manchester City qui joue
00:52:35contre Bruxelles ce soir et qui peut recoller.
00:52:37Mais on rappelle que pour Paris, l'équation est simple.
00:52:39Le PSG finira dans le top 24
00:52:41s'il ne perd pas à Stuttgart.
00:52:43Et regardez,
00:52:45ils sont beaux, ils sont prêts.
00:52:47Elle est belle et elle est prête aussi.
00:52:49Giovanni Castaldi qui va suivre le match
00:52:51du PSG, Timothée Mémon
00:52:53qui va suivre les Monégasques, David Aiello
00:52:55du côté de Brest face au Real Madrid
00:52:57et puis Candice Roland
00:52:59à Lille contre Feyenoord. Giovanni,
00:53:01je viens te voir. En premier,
00:53:03l'enjeu est important pour Paris ce soir.
00:53:05Est-ce que tu as des infos pour nous ?
00:53:07Des infos au compo ? Des infos sur le groupe ?
00:53:09Dis-nous.
00:53:11Bonsoir Virginie,
00:53:13bonsoir à tous. Pour ce qui est de la compo,
00:53:15c'est encore un peu tôt. Virginie, tu le sais,
00:53:17avec Louis-Henriquet, on surveillera les choix au milieu de terrain
00:53:19puisque l'incertitude, c'est Fabienne Ruiz
00:53:21ou Warren Zahéri. Et qui remplacera
00:53:23Nuno Mendes suspendu sur le côté gauche ?
00:53:25Est-ce que ça sera Lucas Hernandez ?
00:53:27C'est quand même la tendance forte.
00:53:29Mais ce que je voulais vous montrer, Virginie, déjà,
00:53:31c'est quand même le stade, la Mercedes-Benz Arena
00:53:33que vous voyez un petit peu plus au loin
00:53:35sur les images de Jérémy Gialingro.
00:53:37Mais aussi, ma chère Virginie, le dispositif
00:53:39de sécurité, puisque ça fait beaucoup parler
00:53:41depuis qu'on est arrivés ici à Stuttgart. On va vous montrer
00:53:43un dispositif de sécurité qui est très
00:53:45très important dans la ville. Mais déjà,
00:53:47aux abords du stade, vous voyez
00:53:49les camions de police qui sont
00:53:51présents ici. Déjà, pas mal
00:53:53de supporters sont arrivés, notamment
00:53:55des Parisiens. On en a croisé. Ils adorent la chaîne,
00:53:57l'équipe. Ils sont fans de vous, Virginie.
00:53:59Mais aussi, mais aussi,
00:54:01des blindés. On va vous les montrer
00:54:03là. Jérémy va vous montrer ça
00:54:05tout de suite. Voilà. Donc, un dispositif de sécurité
00:54:07extrêmement important aux abords
00:54:09de la Mercedes-Benz Arena.
00:54:11Pour l'instant, c'est très calme. Tout va bien.
00:54:13Ça sera à suivre, bien évidemment.
00:54:15Ah oui, d'accord. Évitez de vous faire arrêter quand même,
00:54:17Giovanni. Attention. Pas de bêtises.
00:54:19Oh là là. Bon.
00:54:21Moi, ça va aller. J'ai la carte de presse.
00:54:23On retrouve David Ayello à présent
00:54:25qui va suivre Brest contre
00:54:27le Real de Kylian Mbappé.
00:54:29Même question, David.
00:54:31Les petites infos, je sais, je sais. Il est tôt
00:54:33pour avoir la compo exacte. Mais les
00:54:35dernières petites infos, comme ça, qui ont pu fuiter.
00:54:37À toi, Azar.
00:54:41Bonjour, Virginie. Bonjour à tous.
00:54:43Ici, le fait marquant du jour, pour l'instant,
00:54:45évidemment, c'est l'ambiance. L'ambiance incroyable
00:54:47qui règne déjà. Vous vous rendez compte, on est à plus de 3 heures
00:54:49du coup d'envoi du match.
00:54:51Et c'est déjà chaud. Voilà, regardez ici. On est au Lapin Rouge
00:54:53qui, on rappelle, habituellement, c'est le fief
00:54:55de l'en avant guingamp. Mais là, c'est blindé
00:54:57de supporters brestois depuis maintenant
00:54:59déjà pas mal de temps. On rappelle qu'ils seront 16 000.
00:55:01Évidemment, en stade archi plein ce soir.
00:55:03On nous coffiait du côté du stade brestois qu'on aurait pu
00:55:05accueillir 4 fois la capacité du stade de Roderoux.
00:55:07Donc, pratiquement 60 000
00:55:09personnes. Seulement 450 madrilènes
00:55:11qui défileront dans quelques instants pour se
00:55:13rendre au stade. Mais la vraie fanwalk, le
00:55:15vrai cortège, il sera ici
00:55:17à partir de 19h30 avec plus de 1 000 supporters
00:55:19qui vont se rendre tranquillement
00:55:21mais avec beaucoup d'ambiance, je peux vous l'assurer.
00:55:23Jusqu'au stade de Roderoux. Appréciez.
00:55:27Merci, David.
00:55:29Ça plaît à Fred Pickett, ça. Voilà, la Bretagne,
00:55:31on l'adore. On file tout de suite du côté de l'Italie.
00:55:33Voir Timothée Memon
00:55:35et de l'Italie parce que Monaco
00:55:37va jouer contre l'Inter et ça aussi
00:55:39c'est un très gros match. Qu'est-ce que tu
00:55:41peux nous raconter, Timothée ? Dis-nous tout.
00:55:45Bonjour Virginie, bonjour à tous.
00:55:47Vous le voyez derrière moi, San Siro, c'est un stade
00:55:49monumental, un stade classé. C'est pour ça
00:55:51d'ailleurs qu'il ne sera pas détruit. 80 000
00:55:53spectateurs. Il a tendance à sonner
00:55:55creux ce stade dès qu'on est à
00:55:5745, 50, 60 000.
00:55:59Pas d'inquiétude ce soir, il sera plein
00:56:01le stade San Siro pour ce dernier match
00:56:03de la phase de ligue de la Ligue des Champions.
00:56:05Pour ceux qui connaissent le secteur de San Siro,
00:56:07pour ceux qui ne connaîtraient pas, une veille de match,
00:56:09un jour de semaine, ça ressemble un petit
00:56:11peu à une morne pleine. Un jour
00:56:13de match, regardez par vous-même sur les images
00:56:15proposées par Mickaël Lefebvre, ça prend
00:56:17des faux airs de fête foraine, vous le voyez
00:56:19avec les boutiques
00:56:21évidemment de produits, tout ce qu'il n'y a plus
00:56:23d'officiel dans le non-officiel.
00:56:25Les paninothèques, vous pouvez
00:56:27évidemment vous restaurer, il y a également
00:56:29le choix d'aller à la boutique officielle
00:56:31mais là c'est 103 euros le maillot, c'est pas
00:56:33tout à fait concurrentiel avec ce que vous proposent.
00:56:35Beaucoup de supporters donc aujourd'hui
00:56:37et une ambiance qui s'annonce extrêmement
00:56:39chaude pour des monégasques qui ont tout à gagner dans cette rencontre.
00:56:41Oui c'est vrai que le maillot est un petit peu cher
00:56:43mais ramenez-nous les hot-dogs, je pense que les hot-dogs
00:56:45c'est à votre portée. On va aller voir
00:56:47Candice à présent du côté
00:56:49de Lille, Lille qui va affronter
00:56:51Feyenoord. Candice, est-ce que
00:56:53l'atmosphère monte de ton côté ?
00:56:55Tu nous parlais aussi des risques de
00:56:57sécurité hier, on en est où aujourd'hui ?
00:57:01Salut Virginie, l'atmosphère
00:57:03en tout cas fraîche, il s'est mis à pleuvoir depuis une heure
00:57:05et il va pleuvoir toute la soirée d'ailleurs
00:57:07le toit du stade restera ouvert
00:57:09il n'a pas été prévu d'être fermé donc on aura un match
00:57:11sous la pluie ce soir
00:57:13alors c'est encore très désert autour du stade
00:57:15Pierre-Moi, si ce n'est cette trentaine
00:57:17de fourgons de CRS
00:57:19ou de police qui continuent
00:57:21d'arriver tout simplement. Gros dispositif
00:57:23autour du stade à venir et surtout
00:57:25dans la ville tout au long de la journée, il n'était pas rare
00:57:27de voir des patrouilles de police
00:57:29contrôler des gens
00:57:31des personnes susceptibles d'être supportrices
00:57:33du Feyenoord
00:57:35gros dispositif de sécurité, rappelons-le
00:57:37les supporters du Feyenoord sont interdits
00:57:39de déplacement. Hier soir
00:57:41la préfecture annonçait 64 supporters
00:57:43refoulés tout simplement
00:57:45sur la route à la frontière, ils sont
00:57:47détournés pour retourner
00:57:49au Pays-Bas, il n'y a que 3 heures de route environ entre
00:57:51Rotterdam et Lille
00:57:53pour ce match, gros dispositif à venir
00:57:55et puis évidemment, on va vous faire
00:57:57un bon match avec là aussi les petites spécialités
00:57:59locales et l'arrivée du
00:58:01quart aussi on l'imagine des Lillois tout à l'heure
00:58:03Merci Cordis, merci à Timothée
00:58:05à Giovanni et à David, je vous rappelle
00:58:07que vous pouvez intervenir, nous on va discuter en plateau
00:58:09mais n'hésitez pas à lever la main
00:58:11Giovanni a envie de dire quelque chose non ?
00:58:13Oui, Giovanni vas-y, vas-y
00:58:15on t'écoute
00:58:17Virginie, parce que j'ai croisé un supporter du
00:58:19PSG quand même ici en termes allemand
00:58:21d'Astutgaard, je sais que vous aimez les supporters
00:58:23c'est Hugo, supporter du Paris-Saint-Germain
00:58:25est-ce que tu le sens bien ce soir ?
00:58:27Je le sens bien, je vois soit
00:58:29Paris imposé, 2-1
00:58:313-0 ou un petit match nul
00:58:33qui nous arrange en fin de match
00:58:35on perdra pas ce match en tout cas
00:58:37C'est qui ton chouchou dans cette équipe actuelle ?
00:58:39Je vais te dire Joao Neves
00:58:41Et là je veux voir
00:58:43un peu de sourire, un peu d'émotion
00:58:45est-ce que t'as kiffé mercredi dernier ?
00:58:47J'ai kiffé, j'ai kiffé, une remonte la date plus
00:58:49j'ai kiffé, voilà
00:58:51Allez bon match Hugo, bonne soirée
00:58:53Merci Giovanni
00:58:55Voilà supporter parisien, tout se passe bien
00:58:57Il est un petit peu indécis, 2-1, 3-0 ou on perd
00:58:59bon il a donné tous les scénarios comme ça
00:59:01sur un malentendu, ça passe
00:59:03Bon on va parler de ce PSG-Astutgaard
00:59:05parce que je vous ai posé la question les garçons
00:59:07quel match vous excite le plus ?
00:59:09Alors toi Mathieu, tu t'es pas embêté
00:59:11les 4, les 4 matchs
00:59:13Mais non mais honnêtement
00:59:15j'arrivais pas à me déçoir
00:59:17et c'est toute la beauté je trouve de ce nouveau format
00:59:19C'est beau ce que tu dis
00:59:21Il y a du suspense
00:59:23à tous les étages, t'as envie de les regarder
00:59:25il y a un côté à chaque fois
00:59:27que tu regardes une affiche
00:59:29j'ai envie de les regarder
00:59:31en dessous je peux pas passer à côté de ça
00:59:33c'est tout l'intérêt de ce format
00:59:35qui fait qu'il y a
00:59:37honnêtement un Real
00:59:39Brest en dernière journée
00:59:41sur un format 4
00:59:43on aurait pas regardé
00:59:45Le Real serait déjà à 12 points
00:59:47ça serait bouclé
00:59:49un City Bruges
00:59:51même chose, ça serait déjà plié
00:59:53là c'est assez attrayant, on a envie de regarder
00:59:55parce que justement il y a des équipes qui sont un peu loupées
00:59:57et elles doivent essayer d'aller chercher quelque chose
00:59:59et chaque
01:00:01palier est important
01:00:03de finir dans les 8 ok
01:00:05mais t'es aussi obligé d'aller chercher
01:00:07la 9ème, la 10ème
01:00:09pour pas être dans le ventre mou et avoir une confrontation
01:00:11un peu plus difficile au barrage
01:00:13franchement c'est excitant
01:00:15on se tiendra juste que tu sais pas faire un choix
01:00:17oui voilà
01:00:19je l'ai quand même bien défendu ce non-choix
01:00:21ce non-choix
01:00:23t'as tranché, il y a deux matchs
01:00:25qui t'intéressent, Lille-Feyenord
01:00:27en fait il y en a un que je vais regarder
01:00:29en direct et l'autre que je vais regarder après
01:00:31Lille-Feyenord
01:00:33parce que j'adore les regarder jouer, je les ai vus deux fois
01:00:35ça va dans tous les sens, il y a énormément de rythme
01:00:37je vais regarder le multiplex
01:00:39en même temps mais ce match-là je vais le regarder en direct
01:00:41parce que je pense qu'il peut y avoir énormément d'action
01:00:43il y a beaucoup
01:00:45de joueurs de talent dans cette équipe
01:00:47franchement moi je l'ai regardé deux fois
01:00:49j'étais sur le cul de regarder le match
01:00:51parce que je me suis pas ennuyé
01:00:53et le deuxième que je regarderai en replay
01:00:55ce sera Paris parce que j'ai envie de voir un petit peu
01:00:57ce que va mettre Luis Henrique, comment il va travailler son équipe
01:00:59et s'il y aura une confirmation
01:01:01par rapport au match de City
01:01:03Giovanni Castaldi est bavard ce soir
01:01:05il a envie de prendre la main encore
01:01:07Vas-y Jo, on te la donne, avec plaisir même
01:01:13C'est pour parler du match de ce soir
01:01:15parce qu'il y a plein d'ingrédients qui font que c'est quand même
01:01:17la rencontre à suivre
01:01:19puisque déjà ce qui s'est passé la semaine
01:01:21dernière c'était quelque chose de
01:01:23sensationnel, cette remontada
01:01:25du Paris Saint-Germain, les Parisiens
01:01:27ont vraiment touché le coeur
01:01:29de tous les Français et c'est suffisamment rare
01:01:31pour être souligné, ça demande confirmation
01:01:33ce soir face à Stuttgart
01:01:35on n'oublie pas que c'est une équipe qui en ouverture
01:01:37de la Ligue des Champions avait embêté
01:01:39le Real Madrid au Bernabeu
01:01:41c'est une équipe qui est joueuse, il faut savoir qu'ici
01:01:43à la Mercedes-Benz Arena à Stuttgart
01:01:45c'est la plus belle ambiance d'Allemagne
01:01:47c'est tout le temps plein, craqué, c'est un public
01:01:49qui a une ferveur incroyable
01:01:51et puis on a envie de voir si Ousmane Dembélé
01:01:53continue sur sa lancée, ce serial buteur
01:01:55qui est devenu le ous, il y a plein de confirmations
01:01:57du jeu, de l'ambiance, bref
01:01:59il ne faut pas manquer ce match-là
01:02:01Il a des arguments, ça peut s'entendre
01:02:03Giovanni, en revanche
01:02:05Fred Piquion, il préfère Lille
01:02:07Lille-Feyenord, c'est ce que tu m'as répondu
01:02:09Oui, c'est à peu près les mêmes arguments
01:02:11que mon ami Pierrot
01:02:13et c'est vrai que c'est une équipe qui marque énormément de buts
01:02:15et j'ai envie de voir aussi comment Lille
01:02:17va se défendre contre une équipe comme celle-ci
01:02:19parce qu'on voit qu'en ce moment
01:02:21ce n'est pas la joie à Lille
01:02:23j'ai envie de voir aussi mon ami Bruno Genesio
01:02:25ce qu'il peut proposer contre
01:02:27ce genre d'équipe, je sais qu'il va préparer
01:02:29tactiquement son équipe par rapport
01:02:31à cette confrontation
01:02:33Tu l'avais ?
01:02:35On laisse toujours des petits messages
01:02:37d'encouragement
01:02:39et de petites choses
01:02:41et c'est ce qui fait la beauté
01:02:43puisque je l'ai eu en plus à Lyon
01:02:45c'est vraiment quelqu'un que j'apprécie énormément
01:02:47mais derrière, je pense que sur le
01:02:49on parle en pouces aujourd'hui
01:02:51donc grand écran, ça va être Lille
01:02:53le moyen, ça va être
01:02:55Paris
01:02:57un tout petit peu plus moyen, ça va être
01:02:59Monaco et puis on va regarder
01:03:01le reste après
01:03:03Télé, PC, portable
01:03:05On va aller voir Candice Roland
01:03:07à Lille
01:03:09C'est elle qui va suivre ce match
01:03:11pour la chaîne L'équipe Candice
01:03:13Mais évidemment
01:03:15que c'est ici qu'il faut être
01:03:17parce que ce sont deux équipes
01:03:19joueuses, Lille n'a pas perdu
01:03:21cette saison à domicile
01:03:23Feyenoord n'a pas perdu à l'extérieur
01:03:25donc imaginez cette confrontation avec des joueurs
01:03:27avec des individualités
01:03:29qui vont créer du jeu
01:03:31alors que ce soit côté Lillois, certes il manque Zegrova
01:03:33mais on sait qu'il y a Haraldsson qui peut tout changer
01:03:35il y a Cabela, il y a Jonathan David
01:03:37et puis de l'autre côté, Feyenoord là aussi
01:03:39entre Jimenez avec aussi
01:03:41le jeune Ad Moussa qui serait courtisé
01:03:43aussi par Lille, donc il y aura du jeu
01:03:45du spectacle, en tout cas entre deux équipes
01:03:47qui depuis le début de la saison ont créé la surprise
01:03:49et qui sont 11ème et 12ème au classement
01:03:51donc là aussi, gros enjeu pour les deux équipes ce soir
01:03:53Ce que je trouve excitant, c'est vrai Candice
01:03:55merci à toi, c'est les chances
01:03:57de Lille de terminer dans le top 8, j'ai regardé un peu les chiffres
01:03:59Opta, Football Data
01:04:01Lille a 33% de chances
01:04:03de terminer dans le top 8
01:04:05alors que Brest et Monaco n'ont que 7%
01:04:07Attention, il n'y a pas André
01:04:09Oui, il n'y a pas André, mais enfin...
01:04:11Oui, mais attention, il y a un petit 17 ans à Boigny qui a du talent
01:04:13Il y a toujours ce petit coup de chance, cette petite tactique
01:04:15qui va bien
01:04:17Bon, Timothée Memon
01:04:19va suivre les Monégasques qui vont affronter
01:04:21l'Inter Milan, ce soir
01:04:23Timothée demande la parole
01:04:25J'ai l'impression que tu as envie de prêcher pour ta paroisse
01:04:27On t'écoute
01:04:29Alors, c'est pas spécialement
01:04:31pour prêcher pour ma paroisse
01:04:33mais tu l'as dit, c'est une soirée absolument
01:04:35historique et j'ai croisé tout à l'heure
01:04:37deux supporters français qui malheureusement avaient rendez-vous
01:04:39donc ils n'ont pas pu rester avec nous
01:04:41mais deux supporters français qui sont venus
01:04:43un père, son fils, papa supporte le Paris Saint-Germain
01:04:45le fils supporte l'Inter et c'est la soeur
01:04:47qui leur a offert deux places de match pour la rencontre
01:04:49de ce soir, du coup, puisqu'on est
01:04:51dans un truc complètement dingue, complètement historique
01:04:53avec ce multiplex, cette grande première
01:04:55et bien, le fils, lui, il va kiffer le match
01:04:57le papa, il a amené son téléphone, il a amené
01:04:59la batterie externe pour être sûr
01:05:01de pouvoir continuer à regarder
01:05:03le match du Paris Saint-Germain, ici
01:05:05depuis les tribunes de San Siro, on se retrouve
01:05:07face à des cas de figure assez nouveaux
01:05:09Un petit mot sur ce match, il est excitant quand même
01:05:11Evidemment, l'Inter Milan
01:05:13s'il n'excite personne, tu nous demandes
01:05:15de faire un choix, on fait un choix, t'es marrant
01:05:17sinon on dit tout comme Mathieu
01:05:19Moi j'ai vu une image
01:05:21sur les réseaux sociaux, j'ai vu un mec avec
01:05:23un match en grand écran
01:05:254 iPads, 5 téléphones
01:05:27j'ai l'impression qu'il y en a plein qui seront comme ça
01:05:29Non, mais ce soir, la chance qu'on a aussi
01:05:31c'est d'avoir ce multiplex, donc ça c'est plutôt pas mal
01:05:33le multiplex du match, mais c'est vrai
01:05:35qu'après, il y a beaucoup, beaucoup
01:05:37de matchs, et moi en particulier
01:05:39j'aimerais, j'aime bien
01:05:41le Barça à Atalanta
01:05:43celui-là
01:05:45Oui, c'est le Barcelone à Atalanta
01:05:47Et surtout, sur 18 matchs, il y en a 16
01:05:49avec l'enjeu, et moi je rejoignais
01:05:51un petit peu Timothée aussi, il l'avait dit hier
01:05:53je pense qu'à terme, ça peut devenir
01:05:55un vrai rendez-vous, cette dernière journée
01:05:57Mais c'est sûr
01:05:59où tout le monde, tu sais qu'on va se rejoindre
01:06:01sur, c'est un truc entre amis
01:06:03pizza, la grande soirée
01:06:05Oh j'adore ça !
01:06:07La grande soirée, c'est sur la chaîne d'équipe
01:06:09présentée par Benoît Caussé
01:06:11Un petit mot quand même
01:06:13sur le Real Madrid, avec le retour de
01:06:15Yann Bappé en France quand même
01:06:17Il va jouer en Bretagne
01:06:19Il est sur le banc, il va certainement rentrer en jeu
01:06:21On l'espère quand même, on a envie de le voir
01:06:23J'ai pas d'info
01:06:25C'est vrai, t'es pas l'entraîneur
01:06:27donc tu te calmes. Allez, on va tout de suite aller voir
01:06:29David Ayello, parce que lui il est sur place, c'est pas l'entraîneur
01:06:31non plus, mais il est sur place, et il est bien entouré
01:06:33On dirait qu'il fait jour, qu'est-ce que c'est que ce climat
01:06:35en Bretagne, je ne comprends pas
01:06:37On est minuit
01:06:39partout, sauf là où tu es David
01:06:42C'est vrai qu'on peut dire un mot
01:06:44sur les conditions, parce que là
01:06:46pour l'instant c'est assez calme, mais on annonce vraiment
01:06:48des conditions dantesques pour le match
01:06:50à partir de 21h, ça va être le déluge
01:06:52On a vu la pelouse hier, on vous a montré les images
01:06:54avec un Yann Bappé qui regardait la pelouse en débarquant
01:06:56à Rodourou, en se disant
01:06:58ça va être compliqué, donc effectivement
01:07:00ça c'est un élément à prendre en ligne de compte
01:07:02mais après si on parle de Yann Bappé, je vous entends depuis le début
01:07:04mais rendez-vous compte quand même. Aujourd'hui, ici en Bretagne
01:07:06on a des télévisions australiennes, américaines
01:07:08japonaises qui sont là, pour voir cette espèce
01:07:10de choc complètement étrange
01:07:12de voir ce petit poussé, Brest qui affronte
01:07:14le Real Madrid, pour un match qui a quand même
01:07:16son importance, donc quand même il y a
01:07:18ce côté, ce match un petit peu
01:07:20surnaturel j'ai envie de dire
01:07:22et puis il y a aussi la curiosité autour de
01:07:24Yann Bappé, de voir si son renouveau
01:07:26se confirme dans ces conditions
01:07:28avec cette adversité également, souvenez-vous
01:07:30que ses derniers pas en Bretagne ont été compliqués, y compris
01:07:32face à Brest, on se souvient qu'il y avait des petites
01:07:34années croches, y compris avec
01:07:36Eric Roy, donc il y a quand même tout un contexte
01:07:38autour de ce match, autour de Yann Bappé
01:07:40qui fait que c'est l'événement quand même, je suis désolé
01:07:42évidemment il y a des belles affiches à côté, mais
01:07:44franchement, le Real ici, alors je peux vous dire qu'ici en
01:07:46Bretagne il n'y a pas photo, c'est l'événement, on a vu
01:07:48des gens qui ont posé des journées, il y a des gens qui sont venus
01:07:50de l'île, il y a des gens qui sont venus de l'Anse, qui sont venus
01:07:52pratiquement de partout en France, pour voir le Real
01:07:54ici en Bretagne, donc je vous le dis
01:07:56c'est ce qui se passe. Rapide ta question Pierre
01:07:58David, est-ce que tu vas résister à la buvette derrière ?
01:08:04J'aurais une pensée pour toi
01:08:06si j'y vais en tout cas Pierre
01:08:08On a la réponse, avec modération évidemment
01:08:10Le mot de la fin pour Romain
01:08:12C'est Eric Roy qui va le donner, puisqu'on parlait d'Eric Roy, David Lassiter
01:08:14lui il était en conférence de presse hier
01:08:16et il parlait de ce côté exceptionnel
01:08:18de préparer un tel match face au grand
01:08:20Real Madrid, on l'écoute
01:08:22Pour le stade Brestois
01:08:24pour le club, pour la ville, pour la région
01:08:26c'est vrai que
01:08:28c'était difficilement imaginable, donc
01:08:30c'est un plaisir énorme, déjà d'avoir
01:08:32transmis beaucoup d'émotions à nos
01:08:34supporters, aux gens qui
01:08:36nous suivent, déjà c'est un grand
01:08:38plaisir, et puis après de préparer ce match-là
01:08:40c'est quand même
01:08:42fantastique, parce que voilà, si en plus
01:08:44on nous avait dit qu'on jouerait ce huitième match
01:08:46en étant déjà qualifiés pour les 16e de finale
01:08:48et
01:08:50jouerait Real Madrid qui serait en plus derrière
01:08:52nous, avant ce dernier match
01:08:54c'est vrai qu'on l'aurait encore moins cru certainement
01:08:56donc il y a beaucoup
01:08:58d'événements qui sont assez incroyables
01:09:00qui sont passés ces dernières semaines
01:09:03Multiplex géant, le plus grand de l'histoire
01:09:05à suivre dans la grande soirée sur la chaîne L'Equipe
01:09:07présentée par Benoît Cossé
01:09:09On remercie nos envoyés spéciaux
01:09:11David Ayello, Candice Rouland, Timothée Mémon
01:09:13et Giovanni Castaldi, vous les retrouverez
01:09:15dans l'équipe de Greg Nezape
01:09:17Surtout pas nous, ici
01:09:19c'est l'heure de jouer, on va se faire plaisir
01:09:27Avec toujours une très très longue avance
01:09:29de la Team Boubi il me semble, un rappel
01:09:31des scores, ça s'inscrit
01:09:3347 à 38, là on est
01:09:35il faut vraiment se réveiller
01:09:37en plus c'est la Team Boubi qui choisit
01:09:39Je reste sûr de la victoire
01:09:41Je reste sûr de la victoire
01:09:43Violet, c'est un fait
01:09:45Allez Violet
01:09:47Non on n'a plus le temps
01:09:49On a été plouf plouf
01:09:51Du coup c'est rose pour la Team Restos du Monde
01:09:53Première question
01:09:55Qui a gagné le biathlon aujourd'hui ?
01:09:57Ne te plains pas, le choix d'un map est important
01:09:59Qui est cinquième ?
01:10:01Sur les 36 équipes
01:10:03Combien de clubs sont déjà éliminés
01:10:05de la Ligue des Champions ?
01:10:07A un près
01:10:11Je dirais 4
01:10:15On dit 5
01:10:175 ?
01:10:19Non la réponse est 9
01:10:21J'ai pas les noms
01:10:23Je sais juste que la réponse est 9
01:10:25En fait il y en a 3 qui vont encore se qualifier
01:10:27Monsieur Fred
01:10:29C'était quoi la question ?
01:10:31La pression est sur vos épaules
01:10:33Qui a convaincu Neymar de signer à Santos ?
01:10:35Est-ce une intelligence artificielle ?
01:10:37Est-ce son chirurgien ?
01:10:41Ou est-ce le gérant d'une boîte de nuit de Rio ?
01:10:43Oh putain
01:10:47Intelligence artificielle
01:10:49Avec la voix de souffle
01:10:51On va regarder la réponse en image
01:10:53On va voir si tu as raison
01:10:55Belle question
01:10:57Bonjour Léa
01:10:59Tout va bien ?
01:11:01Je suis sûr que tu sais qui parle
01:11:03C'est la voix de Pelé
01:11:05Tu avais tout bon Fred
01:11:07Bravo
01:11:09Il m'aurait convaincu aussi Pelé
01:11:13Quel club de Ligue 1
01:11:15aimerait recruter Lilian Brassier ?
01:11:19Oui je crois que c'est ça aussi
01:11:21Ils sont sur Danso aussi
01:11:23C'est Rennes
01:11:25C'est Rennes ?
01:11:27C'est nous
01:11:29C'est le Stade Rennais
01:11:31C'est trop facile
01:11:35Donnez moi un des deux joueurs
01:11:37qui a terminé
01:11:39meilleur buteur des bleus
01:11:41contre l'Egypte en handball
01:11:45Un des deux joueurs
01:11:47qui a terminé meilleur buteur des bleus
01:11:49C'est honteux
01:11:51On est d'accord qu'il n'y a pas de proposition ?
01:11:53On ne sait pas inventer un truc
01:11:55L'OM prend 10
01:11:57Mais non
01:11:59C'est Nesim Remili
01:12:01Avec 6 buts
01:12:03Vous exagérez
01:12:05Si la Team Boubi gagne encore
01:12:07c'est n'importe quoi
01:12:09Sur les 6 derniers championnats du monde de handball
01:12:11en comptant celui-ci
01:12:13Combien de fois les bleus étaient présents en demi-finale ?
01:12:15Ça c'est une autre question
01:12:21J'ai un doute sur 6
01:12:23J'ai un doute sur 5
01:12:256
01:12:27Je l'ai donné le chiffre
01:12:29C'est 6
01:12:31C'est une très bonne réponse
01:12:33Et 3 fois ils ont atteint la finale
01:12:37Team Reste du Monde
01:12:39Je passe sur la bonne feuille
01:12:41Que reproche Anthony Davis à la NBA
01:12:43Au sujet du trophée de meilleur défenseur de l'année
01:12:47Que reproche Anthony Davis à la NBA
01:12:49Au sujet du trophée de meilleur défenseur de l'année
01:12:51J'ai lu qu'il disait que c'était déjà fait
01:12:53qu'il mettait tout pour que ça soit Wemba Nyama
01:12:55qui l'ait
01:12:57C'est un reproche ça
01:12:59C'est une très bonne réponse de favoriser Victor Wemba Nyama
01:13:03Team Boubi ça fait 2 partout
01:13:05C'est sérieux
01:13:07Pour prendre le dessus
01:13:09Quel est le seul joueur parisien
01:13:11sous le coup d'une suspension
01:13:17En vue du potentiel barrage
01:13:19en cas de carton jaune ce soir
01:13:21Est-ce que c'est Pacho
01:13:23Est-ce que c'est Fabien Ruiz
01:13:25Ou est-ce que c'est Kangini
01:13:29Allez-y
01:13:31Pacho, Fabien ou Kangini
01:13:33J'hésite entre Ruiz et Pacho
01:13:35Moi aussi
01:13:37C'est Fabien Ruiz
01:13:393-2 pour la Team Boubi
01:13:41S'il me reste ceux du monde
01:13:45Quel est le meilleur buteur des 4 clubs français
01:13:47cette saison en Ligue des Champions
01:13:53C'est pas Benzema
01:13:55C'est pas Zizou
01:13:57C'est pas Zizou
01:13:59C'est pas Zizou
01:14:01Il faut une réponse
01:14:03Maintenant
01:14:05C'est long
01:14:09Pourquoi il y a eu le tu-du-dum
01:14:11La jauge elle est finie depuis 8 minutes
01:14:13Ils ont dit Dembélé
01:14:15C'est une mauvaise réponse
01:14:17C'est Jonathan David
01:14:21Team Boubi
01:14:23Le match point
01:14:25pour la Team Boubi
01:14:27Qui a dit
01:14:29Je suis un bon attaquant
01:14:31Et je vais vous le prouver
01:14:33Tout le monde dit ça
01:14:415-4
01:14:43Barcola
01:14:45C'est Eliway
01:14:47A qui ?
01:14:49A toi ?
01:14:53Contre qui Manchester City
01:14:55va-t-il jouer sa qualification
01:14:57en C1 ce soir
01:14:59Est-ce que c'est contre Girond ?
01:15:01Il y a des choix en plus
01:15:03Il lui a arrêté
01:15:09Est-ce que c'est votre ultime bafouille ?
01:15:11Oui
01:15:13Ça fait 3 partout
01:15:15La question subsidiaire à vos ardoises
01:15:17Sur combien de but
01:15:19a été impliqué Andy Delort
01:15:21en 106 matchs
01:15:23avec Montpellier
01:15:25But plus passe décisive
01:15:27Et oui
01:15:29sur combien de but il est impliqué
01:15:31But plus passe dé
01:15:33Celui qui est le plus proche
01:15:35a gagné
01:15:41Quand ça marche pas tu me le dis
01:15:43Moi je l'ai écrit donc tu vas parler d'abord
01:15:45Oui toi d'abord
01:15:4778 c'est un tout pile
01:15:51Tu l'as vu où ?
01:15:53C'était où ?
01:15:55Je l'ai dit tout à l'heure
01:15:57Ils sont jouables
01:15:59J'accueille Greg Acher
01:16:01Après il va en parler
01:16:03Il envoie des photos
01:16:05Après en plus il nous envoie des photos
01:16:07On était pas loin quand même
01:16:09Pour un hasard
01:16:11C'est le vrai Greg Acher
01:16:13Ça m'énerve quand il gagne
01:16:15Après il fait le babaud comme ça dans le couloir
01:16:17Mais tout le temps
01:16:19J'ai les cheveux bleus
01:16:21Moi j'envoie des textos
01:16:23Quel est le programme de l'équipe ?
01:16:25Le programme c'est simple
01:16:27Je pense que nos correspondants vont gagner des miles
01:16:29On est partout
01:16:31Pour cette soirée incroyable
01:16:33Le multiplex c'est la grande soirée
01:16:35C'est chez nous les infos, les compos
01:16:37Tout ce qu'il faut savoir sur les rencontres
01:16:39On va vivre une soirée d'histoire
01:16:41Pourquoi ce mercredi soir va rentrer dans l'histoire du foot
01:16:43On n'a jamais vu ça
01:16:4516 matchs décisifs dans une même soirée
01:16:47C'est comme dirait aujourd'hui la Gen Z
01:16:49Un banger
01:16:51C'est parfaitement vendu
01:16:53On se retrouve demain
01:16:55Photo des vainqueurs
01:16:57Le rétro
01:16:59On n'a plus assez de mains