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L’essayiste et sociologue, Sabrina Medjebeur, parle de l’assimilation en France : «L’assimilation dans les quartiers islamisés c’est un sacrifice communautaire».

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Transcription
00:00En effet, c'est l'aspect culturel.
00:02Normalement, la gauche devrait, a priori,
00:05justement défendre la politique de François Bayrou
00:08parce que les calaces populaires qu'elles sont censées défendre
00:10subissent les externalités négatives de l'immigration,
00:13c'est-à-dire communautarisme, islamisme,
00:15narcotrafic et ghettoïsation.
00:17Mais ça, visiblement, ça ne les intéresse pas.
00:19Mais vous avez raison, le vrai sujet, c'est l'aspect culturel.
00:23C'est l'aspect culturel de cette immigration
00:26qui dépasse largement toutes les limites.
00:29Je vais vous dire quelque chose,
00:30et c'est ce que je disais hier chez Laurence.
00:32Auparavant, moi, je suis d'origine immigrée algérienne, kabyle.
00:36Mes parents sont arrivés en France
00:37par le biais du regroupement familial.
00:39Ils nous ont appris à aimer la France,
00:41à respecter la France et à être des Français.
00:44L'assimilation, c'était une vertu républicaine.
00:47Aujourd'hui, l'assimilation dans les quartiers islamisés,
00:49c'est un sacrifice communautaire.
00:51C'est le déni, c'est le rejet, c'est la violence,
00:54c'est la psychologie communautaire, c'est le merta communautaire,
00:57c'est la justice communautaire pour crime de laisse-francité.
01:00Celui qui se comporte comme un Français aujourd'hui dans les quartiers,
01:02c'est la mort sociale.
01:03C'est ça, la réalité de l'immigration aujourd'hui.
01:05Mais la gauche préfère fermer les yeux,
01:07invisibiliser et silencier les victimes de cette immigration
01:10par le fait, justement, du défaut culturel et d'assimilation à la France.
01:14Voilà ce que j'allais dire là-dessus.
01:15C'est terrible.
01:18J'allais dire, j'espère que tout le monde,
01:23toute cette population-là n'est pas sur cette ligne-là
01:26dans les quartiers, j'espère.
01:28Vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe dans les quartiers.
01:30Vraiment, vous l'avez dit la fois dernière, Majib Boukachar,
01:33il vous en a touché un mot.
01:34Et dites-vous qu'ils sont légions comme ça en France.

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