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Transcription
00:00On va parler de Brigitte Macron, elle est à la tête de la 36e opération des jaunes,
00:05hier il y avait le concert qui était incroyable, des pièces jaunes, et Brigitte Macron a fait
00:09la une de Paris Match, mais qu'est-ce qu'il se passe ?
00:10– Oui, avec un article qui explique que son état d'esprit n'est pas très favorable,
00:14en fait, qu'elle n'irait pas très bien.
00:16– Mais elle a fait la couve, elle a donné une interview dans Paris Match ?
00:19– Non, non, c'est des proches des…
00:21– Alors les proches, j'ai oublié, les proches, moi aussi, une source, des proches,
00:25ça moi aussi, on m'a annoncé sur toutes les chaînes, on m'a vu partout,
00:29les mecs, là, une source, des proches, c'est comme complément d'enquête que j'ai eu,
00:33il y a une source, il a dit qu'il avait mangé un cabillaud pas frais il y a deux ans, c'est bon.
00:37– Je ne fais que résumer ce qu'il y a dans l'article,
00:41donc le premier point, c'est l'angoisse et la peur des attroupements,
00:45donc elle aurait réussi petit à petit à surmonter ça, mais…
00:48– Elle a une chronique de Fabien Lecoeuvre.
00:50– Ses yeux trahissent son angoisse quand elle est dans la foule,
00:54sous situation de forte pression, notamment quand on lui demande une photo ou un autographe.
00:59Ça, c'est le premier point.
01:00Le deuxième point, c'est que l'année, selon Matsch,
01:02l'année 2024 a été particulièrement éprouvante, c'est le mot qui ressort,
01:06elle est éprouvée par la violence politique après la dissolution de l'Assemblée.
01:11Paris Matsch l'a dit profondément meurtrie, affectée émotionnellement,
01:15psychologiquement épuisée et elle est arrivée dans un lieu,
01:19il y a un témoignage éreinté, dans une fatigue extrême, sans doute physique et mentale.
01:23Donc c'est vrai que la description est quasi apocalyptique.
01:25– N'importe quoi, n'importe quoi, n'importe quoi.
01:28– Bernard Montiel, s'il vous plaît, qui voyait Brigitte Macron plus que ces gens-là.
01:31Brigitte Macron, elle est très en forme.
01:33– Elle est très en forme, d'abord les proches ne parlent pas.
01:35– N'importe quoi.
01:36– Les proches, ça ne veut rien dire, je suis très surpris.
01:37– Elle ne vous était qu'avec elle hier, non ?
01:38– Oui, j'étais avec elle hier.
01:39– Comment on peut écrire de telles bêtises ?
01:40– Mais oui, alors, on en a parlé hier.
01:42– Mais c'est n'importe quoi.
01:44– Alors, elle m'appelle avant la soirée des pieds jaunes hier soir,
01:47qui a été un énorme succès, animé par Teddy Rayner, brillamment par Teddy Rayner.
01:52Et elle me dit, t'as vu que je suis désespéré ?
01:54J'ai dit, ah bon ? Et puis, elle en a rigolé, évidemment.
01:57Le truc, c'est qu'elle était avec nous hier soir,
01:58je peux vous dire qu'elle n'avait rien de désespéré.
02:01C'est n'importe quoi, c'est pour faire du papier.
02:03Mais je suis étonné quand même de Paris Match, qui était quand même plus sérieux.
02:06– Non, mais Paris Match, en plus, je les aime bien, les gens de Paris Match.
02:07– Mais oui, moi aussi, c'est des amis, on les connaît bien.
02:10– Et là, vraiment, je vous le dis, c'est des langues de conneries,
02:12ils la voient tous les jours, ils la voient souvent.
02:13– Souvent, souvent, oui, oui, souvent.
02:15– Et vous n'avez jamais caché votre amitié pour elle, elle est très en forme.
02:18– Très, très bien, elle vous remercie.
02:21– Alors, le point sur lequel on peut peut-être se retrouver,
02:24c'est sur le stress causé par les attaques publiques, voilà.
02:27Elle souffrirait d'attaques répétées dont elle est victime sur les réseaux sociaux,
02:31et donc, elle se sentirait notamment instrumentalisée par des personnes
02:35animées par le désir de vengeance contre son mari, voilà.
02:38– Ce n'est pas faux, mais elle ne regarde pas.
02:40D'abord, elle n'est pas sur les réseaux, elle ne les regarde pas.
02:42– Allez, écoutez-le, lui.
02:43– Non, elle ne regarde pas du tout.
02:44– Lui, il sait, lui, au moins, ils auraient dû l'appeler pour faire l'article, bien sûr.
02:47– Oui, je tenais même qu'il ne m'ait pas appelé, parce que je l'écolais bien.
02:49En plus, j'ai mes bureaux au-dessus.
02:51– Bien sûr, ils auraient dû t'appeler.
02:52– Mais les rumeurs qu'il y a eu dégueulasses à son encontre
02:56l'ont beaucoup blessé, Bernard, tu peux confirmer ça.
02:57– C'est vrai, c'est bon, là. C'est l'équipe Martine de Djamal, c'est bon, là.
03:01C'est bon, c'est rien, c'est rien, c'est bon, là.
03:03Va écrire sur Babouche magazine, là.
03:05Non, mais c'est...
03:07– Je vais, je vais.
03:09– Non, mais c'est normal, c'est normal qu'elle voit bien la situation qu'il y a, etc.
03:13et elle vit comme chacun, mais maintenant, elle n'est pas désespérée.
03:16– Comment c'était, hier, le concert des Pieds Jaunes ?
03:17Vous étiez avec qui ? – Alors, c'était magnifique.
03:19– Avec qui ? – Alors, le casting, je dois dire...
03:22– Non, mais avec vous, vous étiez avec qui, vous ? On s'en fout, vous cassez.
03:25– Fais-nous rêver. – Avec qui ?
03:26– Il y avait votre ami Didier Deschamps. – J'adore.
03:28– Avec lequel j'ai beaucoup rigolé. – Bien sûr.
03:30– Et parce qu'il est vraiment très, très drôle.
03:31– Il vous a dit qu'il m'avait vu ?
03:33– Oui, absolument, il me l'a dit tout de suite, oui.
03:35Et puis, bon, Mme Macron que l'on voit, là, c'est au moment de l'interview avec Louise Eklund.
03:39– Ah, classe, hein.
03:40– Alors, il y avait des superstars énormes.
03:42Il y avait Berna Boy, il y avait Ayana Kamoura, il y avait Gims, il y avait John Legend.
03:47Il y avait, alors, toute la série, J Balvin, qui est un type extraordinaire.
03:50– J Balvin ? – Oui, J Balvin.
03:51– C'est un mal à la gorge.
03:53– Deux J Balvin.
03:55– Deux J Balvin, deux comprimés, deux J Balvin.
03:57Tu vas voir, tu repars comme en 40.
03:58– J Balvin, c'est énorme, il y avait Lang Lang, le pianiste.
04:01– Je sais, il y avait Dafalgon, il y avait Bryan Telestar.
04:07– Non, je crois que les gens étaient très heureux.
04:1035 000 personnes, mais je rappelle que tout le monde a payé sa place
04:13et qu'on paye la famille de Mme Macron.
04:16– Merci.

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