A chaque ouverture des ventes, les critiques sont les mêmes. Les billets de train de la SNCF (et du TGV en particulier) sont trop chers, les prix augmentent trop vite, ou sont bien supérieurs une année sur l'autre. Pour beaucoup de consommateurs, les prix sont perçus de manière très négative. De quoi forcer l'opérateur à mener régulièrement des opérations de déminage.
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00:00C'est normal, dans la mesure où, comme vient de l'expliquer Arnaud Aimé,
00:03le TGV n'est pas un service public, c'est un service purement commercial
00:06financé par le recette des voyageurs, donc la SNCF fait ce qu'elle veut.
00:10Mais on n'a pas le choix de prendre le train, on n'a pas 36 compagnies qui se battent en l'oeil.
00:14Ça commence, ça commence, timidement oui, la France n'est pas particulièrement ouverte,
00:19mais ça c'est peut-être un autre débat.
00:21Nous ça nous va bien qu'il y ait Trenitalia et l'Arenfeu qui se mettent aussi sur les règles français,
00:24parce qu'on sait qu'il n'y a pas assez de trains.
00:26Et c'est ça le problème, c'est peut-être pour ça aussi que le train est cher,
00:29c'est qu'en 10 ans, on a perdu une centaine de rames TGV.
00:32Aujourd'hui, il y en avait 482 il y a 10 ans, il y en a 376 aujourd'hui.
00:37Donc comment transporter les gens avec moins de matériel, avec la demande ?
00:41Demande.
00:41Ce qui fait que sur certaines relations, du type Paris-Bordeaux ou Paris-Lyon,
00:45vous avez des matinées ou des après-midi où il n'y a plus un train,
00:48vous ne pouvez plus prendre un seul train.
00:50Donc c'est ça qui est extrêmement énervant, il n'y a pas d'offre, une offre suffisante.