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Transcription
00:00Bonjour, s'il fallait un exemple de la folie française ou de la névrose française après l'élection de Trump qui n'est que française.
00:06Ce qui se passe en France avec X ne se passe pas de la même manière en Allemagne, en Espagne, en Italie, etc.
00:11Il y a une sorte de folie du camp médiatique, pas de la population.
00:16Donc s'il fallait un exemple, le bras levé ou tendu de Elon Musk nous donne précisément cet exemple de cette interprétation absolument folle.
00:26Prises pour un salut nazi, parlez-en. On va en parler avec Dimitri Vernet dans un instant.
00:30J'ai entendu, c'est M. Ferrault qui souhaite prendre la suite de Anne Hidalgo, qui explique que c'est effrayant de voir un salut nazi.
00:41Mais enfin, où ces gens prennent les gens pour des imbéciles ? Ce qui est possible, ils ont bien tort, parce que les gens décodent de tout aujourd'hui.
00:47Ils savent très bien que M. Musk n'est évidemment pas un fasciste, qu'il ne serait pas assez fou pour aller à une tribune aux Etats-Unis et faire un salut fasciste.
00:55Où ces gens prennent les gens pour des imbéciles ? Ce qui est possible, ce qui est souvent le cas d'ailleurs de ces élites.
01:00C'est très intéressant d'ailleurs le rapport qu'elles ont avec X.
01:04Elles disent que les gens qui lisent X seraient influencés, contrairement à eux sans doute, l'élite, les intellectuels qui savent faire le tri,
01:12mais que le vulgum pecus est trop bête pour faire le tri de ce qu'il lit.
01:18Ce qui montre un mépris d'ailleurs pour les gens, je trouve ça toujours sidérant, mais peu importe.
01:24Donc je ferme la parenthèse, s'il fallait un exemple de cette névrose française qui agite le camp du bien,
01:30qui a bien compris, on le dit tous les jours, qu'il est en difficulté sur le récit qu'il ne contrôle plus,
01:36ce bras tendu d'Elon Musk nous montre effectivement l'état du camp médiatique.
01:43On pourra parler également des retraites, vous n'êtes pas directement touché, mais vous allez passer à la caisse.
01:48J'ai déjà le cas mon cher, en cotis.
01:50Vous allez passer à la caisse.
01:52Je peux dire que j'ai été texto depuis hier de ma maman, qui nous écoute peut-être.
01:57Elle s'est radicalisée à cause d'Astrid Panossian.
01:59Ma mère globalement s'est radicalisée.
02:01Globalement, je peux le dire comme ça.
02:03Mais on embrasse votre maman et on embrasse tous vos parents parce qu'ils sont tous très tendus depuis quelques jours.
02:07C'est vrai, je pense que vous recevez aussi des messages de votre mère, mais ils sont effrayés.
02:12Ils sont effrayés parce qu'ils ont commencé par la CAG.
02:15Vous avez entendu Eugénie Bastier il y a quelques minutes quand même, elle avait 2-3 arguments à faire valoir.
02:20Eugénie Bastier n'aime pas les vieux.
02:22J'ai cette conversation avec elle sur le plateau de CNews depuis des mois.
02:28Mais c'est faux, c'est créditeur.
02:30Comment pouvez-vous dire ça ?
02:32Je le dis parce que...
02:34Ma mère est très fâchée contre Eugénie Bastier.
02:36Je tiens à vous le dire parce qu'à chaque fois elle me le dit quand elle l'entend.
02:40Ils vont se réconcilier.
02:42Non, écoutez, ils ont cotisé toute leur vie ces gens-là.
02:45Vous allez prendre de l'argent et taxer sous prétexte.
02:49Non, c'est pas bien. Franchement, je trouve que ça c'est pas bien.
02:51Vous pourrez réagir, vous êtes peut-être concerné.
02:54N'hésitez pas à appeler Pascal Praud, ça va sonner au standard.
02:57Je me demande si je ne vais pas faire témoigner ma mère, j'en suis là.
03:01Madame Praud, vous êtes la bienvenue.
03:03Il y a un événement aujourd'hui dont vous n'avez pas parlé.
03:06C'est l'anniversaire de M. Olivier, c'est ça ?
03:08Lui va cotiser toute sa vie.
03:10On va faire un petit chèque à votre maman en ce jour particulier.
03:14Voilà une bonne idée pour les réconcilier.

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