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00:00On va parler également de François Rebsamen, qui est ministre de l'aménagement, également de l'ameublement, l'électroménager.
00:06Boum boum, choisissez bien, choisissez but.
00:09Qui a le sens politique d'une nuit déjà mangée.
00:13Pour l'ameublement, l'électroménager.
00:16Boum boum, choisissez bien, choisissez Rebsamen.
00:19C'est le ministre de l'aménagement du territoire, ça veut dire qu'il aménage.
00:22Tu l'amènes chez toi, tu ne sais pas où mettre ta table basse.
00:26Tu dis j'appelle François Rebsamen, il arrive.
00:28Tu vois bien que c'est ici qu'il faut la mettre Cyril.
00:31Tu l'amènes chez toi, c'est vrai, tu ne sais pas où mettre ton panier à linge, il te trouve le endroit.
00:35C'est un truc de fou, c'est le ministre de l'aménagement.
00:38En fait il est décorateur d'intérieur.
00:40François Rebsamen, ils l'ont fait venir de Dijon pour qu'il redécore les différents endroits dans lesquels il se rend.
00:48Donc il est ministre de l'aménagement et de la décentralisation.
00:53C'est-à-dire que quand il y a quelqu'un qui est trop centré, il lui dit un peu plus vers la gauche.
00:57Il est photographe aussi.
00:59Mets-toi un peu plus vers la droite.
01:01C'est bon, c'est monté dans l'axe, c'est bon.
01:03Voilà, c'est ça qu'il fait.
01:05Il a dit François Rebsamen, lui aussi il a un nom de joueur de foot.
01:10Il dirait qu'il va jouer en Coupe de France, sans déconner.
01:13Sorti du numéro 17, François Rebsamen, entrée du numéro 12, Mathieu Bigasse.
01:19Il a dit qu'il respectait toutes les forces politiques sauf le Rassemblement National.
01:23Les Insoumis, je les respecte.
01:27Je respecte toutes les forces politiques sauf le Rassemblement National.
01:31C'est ma position. Je ne respecte pas ceux, pas tous, heureusement, qui portent des discours de haine et d'exclusion de l'autre.
01:37C'est pas ma tasse de thé.
01:39Bah qu'ils boivent du café.
01:41Quand il dit les Insoumis, je les respecte.
01:44Il respecte les Insoumis quand il compare Fabien Roussel à Doriot.
01:48Il respecte les Insoumis quand ils sont accusés de soutenir l'antisémitisme.
01:52Surtout que c'est sa première déclaration politique depuis sa nomination.
01:56On n'avait pas entendu parler de lui.
01:58Et il fait la faute politique qu'il ne faut surtout pas commettre.
02:02On parlait de Mathieu Bigasse apparemment.
02:04Il y a Adrien Franck, qui est journaliste à Libération, qui nous dit qu'il n'est plus actionnaire de Libération.
02:11Je rappelle qu'il est actionnaire de C'est L'Hebdo, c'est à vous, c'est dans l'air.
02:16Quand on a dit ça, on a dit surtout que l'interview était dans Libé.
02:18Oui, mais moi j'ai dit dans son propre journal, mais ce n'est pas son journal.
02:21C'est ton ex-journal.
02:23C'est le monde surtout maintenant Mathieu Bigasse.
02:25Et on voit la dérive du monde depuis plusieurs mois.
02:29C'est pour ça que Libération va mieux, bizarrement.
02:32Libération est mieux, le monde moins bien.
02:38Sur François Rebsamen.
02:40Comment, après avoir été maire pendant des années.
02:43De Dijon.
02:44Après avoir déjà été une première fois ministre.
02:46Avoir forcé la porte pour revenir dans le jeu politique et vouloir devenir ministre.
02:53Je vois Olivier Dardigolle acquiescer.
02:55Il avait fait une interview avant pour dire qu'il était prêt à revenir.
02:57Connaître un peu la politique depuis quelques décennies.
03:00Comment peut-on être à ce point aussi déconnecté et avoir aussi peu de sens politique ?
03:06C'est, comme le dit Olivier, la seule faute à ne pas faire.
03:09Vous avez le RN qui, au vu des socialistes qui ne sont pas des partenaires fiables.
03:14On ne sait toujours pas s'ils vont voter la censure ou pas.
03:16Donc le RN qui a le droit de vie ou de mort sur vous.
03:19Qui peut vous renvoyer à Dijon aussi vite, même plus rapidement que vous êtes venu.
03:22Et vous dites même, parce que pour moi c'est pire qu'Antoine Armand.
03:25Antoine Armand quand il était ministre de l'économie, il avait fait la même faute première sortie.
03:29Sauf qu'il disait je ne veux pas discuter avec eux, je ne leur ouvre pas la porte.
03:32Là, il va sur le respect.
03:34Il dit qu'il ne les respecte pas.
03:36Mais vous vous rendez compte de l'erreur politique ?
03:38Mais comment peut-on sortir une énormité pareille ?
03:41Pour moi, c'est vraiment une faute professionnelle.
03:44D'ailleurs, je m'interroge parce qu'au fur et à mesure de la phrase,
03:47vous remarquerez qu'à un moment, il dit je ne respecte pas ceux, pas tous heureusement.
03:52Parce que tout à coup, au fur et à mesure, il se dit attend, est-ce que je n'ai pas...
03:55Il se dit j'ai dit une connerie.
03:56Mais bon, pas tous, ça ne veut rien dire.
03:58Donc il s'est fait rectifier par la porte-parole du gouvernement.
04:02Déjà, ça ne fait pas terrible.
04:06J'ai un extrait que je vais vous montrer dans un instant.
04:08Je vous montrerai ce soir en télé dont je vais vous parler dans un instant.
04:11Vous allez voir aussi.
04:12Vous allez voir, les journalistes, c'est incroyable.
04:14Vous verrez ça tout à l'heure.
04:16Bon, alors Rebzamen.
04:18Vous en pensez quoi, vous, Fabien Lecun ?
04:20Moi, je l'ai rencontré une fois.
04:22Elle est plutôt adorable, charmante.
04:24Il est à gauche toute.
04:26Pas du tout à gauche toute, Rebzamen.
04:29C'est un PS.
04:31A gauche toute.
04:33C'est un social libéral.
04:35Maintenant, ils sont obligés d'être à gauche toute.
04:37Sinon, Mélenchon les barre.
04:38Lui, justement, il n'est pas dans l'alliance de Mélenchon.
04:40Il est au gouvernement.
04:41Justement, lui est rentré dans le gouvernement.
04:43Il va très vite en sortir.
04:45A mon avis, il va refaire la déco de chez lui.
04:47Il a été ministre de l'aménagement.
04:49Je vous jure, je suis fasciné.
04:51Moi aussi, je suis fasciné.
04:53Il y a une faute à ne pas faire.
04:55Et il met les deux pieds dedans.
04:57Je ne comprends même pas comment, dans son cerveau...
04:59Tous ces gens sont restés dans une époque.
05:01Ils n'ont pas vu qu'il s'est passé 25 ans,
05:03peut-être 40 ans depuis l'arrivée de la gauche.
05:05Plus de 40 ans.
05:07Et je crois qu'ils sont restés dans leur idéologie.
05:09Ce qui a été leur gloire, d'ailleurs, à un moment donné.
05:11De virer Giscard et de faire arriver Mitterrand.
05:13Tout ça, c'était toute cette fièvre de mai 68 qui est arrivée.
05:15Eh oui, mon petit bonhomme.
05:17Ils sont restés là.
05:19Mon petit bonhomme.
05:21Allez, on va parler...
05:23Alors, il y a deux choses.
05:25Il y a mon aventure.
05:27Que m'est-il arrivé ?
05:29Vous nous appelez sur Europe 1-01-80-20-39-21.
05:31Tout à l'heure.
05:33Et ça a un rapport avec Europe 1.
05:35C'est un rapport avec Europe 1-01-80-20-39-20-21.
05:37Très bien, on a le nom.
05:39Et on parle de François Rebsamen.
05:41François Rebsamen, je respecte...
05:43Je respecte toutes les forces politiques
05:45sauf le Rassemblement National, c'est ce qu'il a dit.
05:47Alors, on va prendre d'abord
05:49des gens sur François Rebsamen.
05:51On va prendre Yann, sur François Rebsamen.
05:53Yann d'Occitanie. Bonjour Yann.
05:55Hola Cyril, comment ça va ?
05:57Très bien, comment ça va mon Yann ?
05:59Ça va bien, tranquille, et toi ?
06:01Très bien, merci d'être avec nous Yann.
06:03On est très heureux de vous avoir sur l'antenne d'Europe 1.
06:05Merci beaucoup.
06:07Merci.
06:09François Rebsamen,
06:11la gauche en général en ce moment,
06:13il cumule.
06:15Il bat tous les records.
06:17Donc, se réjouir d'un décès
06:19d'une personne,
06:21ils font de la fête.
06:23Sandrine Rousseau veut faire interdire
06:25X, elle écrit,
06:27c'est une faute par ligne.
06:29Elle n'a pas eu le bac
06:31grâce à l'orthographe celle-ci.
06:33Non, pas trop.
06:35Peut-être la méthode Boucher, je ne sais pas.
06:37Après, j'ai vu de l'au-dessus,
06:39lui, les migrants, c'est des oiseaux
06:41qui se coincent dans des grillages.
06:43Après,
06:45on a ce fameux Rebsamen,
06:47donc lui,
06:49il ne comprend rien, il pense que
06:51le Rassemblement National, c'est un parti
06:53comme il y avait 30 ans.
06:55C'est une personne et il ne faut pas en tenir compte.
06:57C'est des gens
06:59qui vivent
07:01encore, je ne sais pas quelle époque.
07:03Ils n'arrivent
07:05toujours pas à se mettre dans la tête
07:07qu'à l'Assemblée Nationale,
07:09ceux qui font la pluie
07:11et le beau temps en ce moment,
07:13c'est le Rassemblement National.
07:15Il est ministre et il devrait être un petit peu plus stratégique.
07:17C'est vrai que vous avez bien raison.
07:19Il devrait être surtout un peu plus intelligent parce que
07:21ses copains veulent le censurer.
07:23C'est vrai que ses copains veulent le censurer, vous avez raison.
07:25C'est vrai.
07:27Ses copains ont censuré
07:29ses anciens copains parce que
07:31s'il rentre au gouvernement, c'est bien parce que
07:33il y a eu une motion de censure et qu'il y avait
07:35des socialistes qui se sont fait dégager.
07:37Lui,
07:39il rentre au gouvernement,
07:41il est tellement bien, tellement soutenu
07:43que ses copains veulent le censurer.
07:45Et au lieu de taper sur ses copains,
07:47de leur dire essayer d'être intelligent,
07:49même si pour eux c'est difficile,
07:51ils tapent sur les seules personnes
07:53qui peuvent lui garantir son boulot.
07:55Il paraît-il même qu'il taperait sur des bambous également.
07:57C'est Philippe Lavigne qui l'a dit.
08:03C'est vrai que c'est assez fou
08:05mais c'est quand même une erreur incroyable.
08:07Moi, je vais dire la vérité, Gauthier Debré.
08:09Si j'avais été François Bayron,
08:11moi je le sors tout de suite.
08:13Je le sors.
08:15Moi je le sors.
08:17Je le sors tout de suite.
08:19On va trouver quelqu'un d'autre.
08:21Je le sors.
08:23Je le sors.
08:25Mais la question, c'était pour se poser
08:27pour Antoine Armand avec Michel Barnier.
08:29Mais au bout d'un moment, quand vous avez
08:31des équilibres qui sont très précaires comme le dit Valéry,
08:33c'est compliqué.
08:35Je vous rappelle qu'après la sortie d'Antoine Armand,
08:37Michel Barnier avait fait le choix
08:39d'appeler Marine Le Pen.
08:41Là, je pense qu'il aurait été intelligent
08:43de la part de François Bayron d'appeler aussi Marine Le Pen.
08:45Parce que moi, j'ai eu l'entourage aujourd'hui
08:47de Marine Le Pen et de Jordan Bardella.
08:49Pour le moment, il n'y a pas de volonté de censure.
08:51Mais il faut que ce soit une fois, François Rebsamen.
08:53Il ne faut pas que ça se reproduise.
08:55Parce qu'au bout d'un moment, Marine Le Pen,
08:57ça peut la chatouiller comme avec Michel Barnier.
08:59Elle peut faire tomber le gouvernement Bayron si ça continue comme ça.
09:01Il y a une chose qui intéresse Marine Le Pen,
09:03c'est la proportionnelle.
09:05Si François Bayron fait la proportionnelle.
09:07Après, attention, parce que vous avez vu que les LR
09:09ont dit qu'on est contre la proportionnelle.
09:11Ils sont dans le cercle commun.
09:13A mon ami François Rebsamen,
09:15ça va être chaud pour lui.
09:19Yann, vous l'auriez sorti ?
09:21Moi, oui.
09:23Moi aussi, je l'aurais sorti.
09:25En réfléchissant un peu, je me demande si ce n'est pas fait exprès.
09:27Pour faire une dissolution.
09:29C'est une vraie maladresse.
09:31Je pense que non.
09:33Je pense que c'est de la bêtise.
09:35Là, honnêtement, c'est de la bêtise.
09:37Je ne vois pas d'autres explications.
09:39Et vous avez raison, quand vous dites
09:41que c'est intéressant de voir que les socialistes
09:43vont peut-être, on verra dans les 24 heures qui viennent,
09:45censurer le gouvernement
09:47dans lequel appartient François Rebsamen.
09:49Mais comme ils voulaient censurer Bernard Cazeneuve.
09:51François Hollande voulait censurer son ancien Premier ministre.
09:53Ça ne manque pas de sel.
09:57Merci Yann d'avoir été avec nous sur Europe 1.
09:59Je vous fais un gros bisou.
10:01Merci Yann d'être là.
10:03Et puis à la prochaine.
10:05Avec plaisir Yann, on est toujours là pour vous sur Europe 1, 16h, 18h.
10:07C'est magnifique.
10:09Il y a plein de gens qui veulent réagir.
10:11On a mon aventure qui veut réagir à François Rebsamen.
10:13Qui veut réagir à tout ce qui se passe dans le monde.
10:17Claire qui veut réagir à François Rebsamen.
10:19Claire de Charente Maritime.
10:21François Rebsamen qui a dit je respecte toutes les forces politiques
10:23sauf le Rassemblement National.
10:25Qu'est-ce qu'elle en pense ? Claire, merci d'être avec nous.
10:27Je pense qu'il est à côté de la plaque.
10:29Excusez-moi, je n'ai pas dit bonjour d'abord.
10:31Bonjour Claire.
10:33Je pense qu'il est non seulement
10:35à côté de la plaque, il est sur un logiciel
10:37qu'a 30 ans. Parce que ce monsieur
10:39qui est maire de Dijon
10:41par exemple, il a créé une grande place
10:43dans Dijon.
10:45Il a fait ça à la mode stalinienne.
10:47Résultat, l'été, il fait 55 degrés.
10:49Plus personne ne peut
10:51circuler.
10:53Il est très malin.
10:55Ça a coûté très cher.
10:57Maintenant, on va casser un morceau de la place pour mettre des armes.
10:59C'est un génie lui.
11:01C'est un génie.
11:03Il n'y a plus qu'à payer.
11:05Merci.
11:07Merci.
11:09Patricia est en ligne avec nous.
11:11Elle voulait réagir sur François Rebsamen.
11:13François Rebsamen, je respecte toutes les forces politiques sauf le Rassemblement National.
11:15Et je vais vous dire dans un instant ce qui m'est arrivé.
11:17Il m'est arrivé un truc de fou.
11:19C'était ce midi.
11:21Oui Patricia.
11:23C'est vrai que tout le monde
11:25a presque tout dit.
11:27Surtout M. Lebré.
11:29Ce que je voulais
11:31surtout dire, c'est que moi
11:33je me sens concernée quand on parle
11:35de 6 millions d'électeurs
11:37et du coup je trouve ça aberrant
11:39qu'on puisse être aussi sectaire
11:41aussi bête
11:43que sa pensée l'emporte
11:45sur vraiment les réactions qu'ils sont censés avoir.
11:47Ce qui prouve qu'il n'est pas un bon
11:49politique et qu'il est vraiment
11:51à exclure.
11:53Je sais que Jordan est très très malin.
11:55Ils agissent doucement
11:57mais il faut qu'ils fassent
11:59attention quand même parce que
12:01c'est pas très prudent de leur part d'avoir fait
12:03des électeurs comme ça.
12:05Voilà.
12:09Patricia on vous entend très mal.
12:11Je suis désolé.
12:13On reprendra Patricia.
12:15Pour l'instant on a Marc avec nous.
12:17Marc de Normandie. Bonjour Marc.
12:19Merci d'être avec nous.
12:21Merci d'être avec nous sur Europe 1.
12:23Tout à fait. Bonjour Cyril.
12:25Bonjour à tout le monde.
12:27Bonjour.
12:29Moi je veux juste
12:31vous poser une question. C'est presque un coup de gueule.
12:33Avec plaisir.
12:35Avec nos impôts
12:37c'est ma classe.
12:39Ce sont nos employés.
12:41Bien sûr.
12:43Une fois pour toutes.
12:45Je n'autorise en aucun cas
12:47un mec qui est à la limite de l'EFAD
12:49à dire des choses
12:51qui sont insupportables à entendre.
12:53Je ne parle même pas par rapport
12:55à mon vote à moi.
12:57Je parle par rapport aux gens. Il y a 11 millions
12:59de personnes qui sont prises aujourd'hui
13:01qui sont insultées par un mec
13:03qui a été maire de Dijon il me semble.
13:05Oui. Bien sûr.
13:07Il a de la moutarde dans la tête.
13:09Dans le cerveau.
13:11Il a de la moutarde dans le cerveau.
13:13C'est absolument incroyable.
13:15Ces gens-là,
13:17les patrons de ces gens-là,
13:19ce sont les Français.
13:21Moi je fais souvent une analogie
13:23entre télévision et politique.
13:25Moi je dis souvent, je vous jure que c'est vrai,
13:27vous pouvez demander à tous ceux qui ont travaillé avec moi,
13:29moi je m'en fous total
13:31des dîners avec les patrons
13:33de chaînes, les trucs. Pour moi,
13:35les patrons des animateurs,
13:37ce sont les Français.
13:39On est au service des Français comme les politiques.
13:41Ils ont tendance à l'oublier.
13:43Mais ce qui est hallucinant,
13:45il y a un mec qui vit au 55
13:47Cogon Saint-Honoré, c'est notre locataire.
13:49Il faut qu'ils le comprennent.
13:51On lui a fait un bail de 5 ans.
13:53Ça s'arrête là.
13:55Il faut qu'une fois pour toutes, on nous respecte.
13:57Or, ces gens-là
13:59ne nous respectent pas.
14:01Et ils n'ont jamais bossé de leur vie.
14:03Moi j'ai créé de l'emploi toute ma vie, comme vous d'ailleurs.
14:05Mais j'ai créé de l'emploi toute ma vie.
14:07J'ai jamais, jamais, jamais
14:09manqué de respect à un de mes employés.
14:11Et ils me le rendaient bien.
14:13Moi c'est mes employés qui me manquent de respect.
14:15Regarde.
14:19Non, il y en a peut-être un.
14:21Oui, je sais. Je vois de qui vous voulez parler.
14:23Merci. Marc, je suis tellement d'accord avec vous.
14:25Vous savez Marc, on en rigole.
14:27Mais je vous jure, moi, ce qu'il se passe dans ce pays,
14:29là pour être sérieux deux minutes, je trouve que
14:31tous les jours, il se passe des trucs fous
14:33dans ce pays.
14:35Et ça continue. On continue.
14:37On continue. On continue.
14:39Mais je n'ai jamais vu...
14:41Franchement, on est vraiment dans ce qu'il y a
14:43de pire actuellement. Je trouve qu'on a...
14:45Vraiment, Marc.
14:47Là-dessus, j'ai une idée bien arrêtée.
14:49Je pense que
14:51le problème vient d'une
14:53formation politique. Et je ne vais pas dire
14:55à des filles. Je vais parler de la gauche.
14:57Du Parti Socialiste.
14:59Je suis désolé, Olivier, mais c'est ça.
15:01Voilà. C'est ça.
15:03Ça vient de là. Ça vient de là parce que,
15:05encore une fois, pour un plat de lentilles,
15:07les mecs vendraient leur mère.
15:09Ils vendraient leur mère.
15:11On le voit bien. On voit bien les alliances,
15:13Marc. On a bien vu les alliances.
15:15Mais même, je suis désolé, on l'a bien vu avec Gabriel Attal
15:17qui appelle au soir du premier tour.
15:19Attal, c'est une parodie.
15:21C'est une parodie.
15:23Je ne sais pas.
15:25Comment on peut...
15:27Je ne comprends pas.
15:29Je ne comprends pas.
15:31Comme je disais hier, Marc,
15:33on nous a volé
15:35énormément d'années
15:37avec tout ce qui s'est passé sur le Covid, etc.
15:39On nous a volé les élections.
15:41Je suis désolé. On nous a volé les élections.
15:43Sur le Covid, on a sacrifié la jeunesse.
15:45On a sacrifié la jeunesse.
15:47On enlève une chaîne.
15:49La première chaîne.
15:51On veut supprimer Twitter.
15:53C'est fou ce qui se passe.
15:55Marie Le Pen va peut-être être rendue inéligible.
15:57Tout ça, c'est la même ambiance.
15:59Il y aura des solutions.
16:01Parce qu'il y en a des solutions.
16:03Si elle est rendue inéligible.
16:05Je ne pense pas forcément à Jordan Bardella.
16:07Je pense plus à Retailleau.
16:09Parce que si Retailleau, demain,
16:11se déclare...
16:13Il va faire du mal.
16:15Je suis sûr que Bruno Retailleau veut gagner à la Loyale.
16:17S'il gagne, il voudra gagner.
16:19Alors que Marie Le Pen peut se présenter.
16:21C'est ce qu'il veut.
16:23Il veut gagner à la Loyale.
16:25Il veut gagner avec les idées.
16:27Pas avec les jours éliminés.
16:29Quand vous enlevez une candidate qui est favorite
16:31pour l'Elysée en 2027,
16:33vous créez un ressentiment majeur dans le pays.
16:35Je fais une analogie avec la télé.
16:37Vous savez ce qui s'est passé.
16:39TF1 a fait un recours.
16:41Il s'est porté partie civile devant le Conseil d'Etat
16:43Il veut l'être premier.
16:45C'est le contraire de Bruno Retailleau.
16:47Mais faute de combattant.
16:49C'est pas à la Loyale.
16:51Ils vont dire quoi quand on sera plus là ?
16:53Ils vont dire qu'on est premier.
16:55Mais premier de quoi ?
16:57Si on est le premier qui est premier,
16:59il est plus là.
17:01C'est comme si à Roland-Garros,
17:03tu disais que tu gagnais,
17:05mais quand il n'y avait pas Nadal.
17:07C'est le problème de la France.
17:09Moi, j'étais encore en activité
17:11pendant le Covid.
17:13J'étais restaurateur.
17:15On m'a fermé en l'espace de 3h de temps.
17:19Ils savent faire.
17:21Vous inquiétez pas.
17:23Un bouffon qui a appelé à voter,
17:25qui a fait une alliance avec les communistes au Havre.