• il y a 8 heures
«Pendant 50 jours, les autorités françaises nous ont expliqué qu'il fallait se taire, que toutes déclarations nuiraient à la possibilité de libérer Boualem Sansal. Au bout de 50 jours, c'est de pire en pire», déplore Judith Waintraub

Category

🗞
News
Transcription
00:00Pendant environ 50 jours, les autorités françaises nous ont expliqué qu'il fallait se taire,
00:06que toute déclaration nuirait à la possibilité de libérer Boilem Sansal.
00:11Qu'est-ce qui se passe au bout de 50 jours ? Rien. La situation de Boilem Sansal n'arrête pas de se dégrader.
00:17Son avocat français ne peut pas aller le visiter. C'est de pire en pire.
00:22Et je le répète, le président Macron lui-même parle du déshonneur qu'il y a pour l'Algérie
00:28à maintenir Boilem Sansal dans ses conditions.
00:31Alors, si même le président... Vous lui faites... Bien sûr qu'il y a une partie secrète qu'on ne connaît pas et qu'on...

Recommandations