Découvrez les secrets de la faune sauvage de la Maurienne avec Robin, un passionné qui a posé des pièges photographiques pour capturer des moments uniques. Des images étonnantes à retrouver avec nos partenaires de 8 Mont-Blanc.
Cet hiver, Cyril Viguier vous propose de découvrir ou redécouvrir les reportages magazines des éditions du Grand J.T. des Territoires !
Cet hiver, Cyril Viguier vous propose de découvrir ou redécouvrir les reportages magazines des éditions du Grand J.T. des Territoires !
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00:00Générique
00:15Bonjour à tous dans ce grand JT des territoires de la période des fêtes de Noël.
00:20Nous allons vous présenter les plus beaux reportages de ces dernières éditions
00:24en souhaitant à tous ceux qui peuvent profiter de belles fêtes de fin d'année.
00:28Voici tout de suite ces reportages réalisés par nos partenaires
00:31dans toutes les régions françaises et dans les Outre-mer.
00:35Une fois par semaine, Robin part à la chasse.
00:39La chasse aux belles images.
00:41Originaire de Valoire, ce jeune saisonnier sillonne les montagnes moriennaises
00:46à la recherche des animaux sauvages.
00:49Et après plus d'une heure de randonnée en raquette,
00:52Robin se rapproche de son piège photographique, non sans une certaine excitation.
00:57Je l'ai mis un peu sur la gauche, en contrebas, dans des mélèzes.
01:01J'espère prendre des chamois.
01:04On verra si j'ai réussi à les prendre ou pas.
01:07Et on verra aussi si on peut apercevoir d'autres animaux sur la zone derrière.
01:11Le vin en chamois.
01:15Écureuil ou chamois, le piège offre une proximité directe avec le monde sauvage.
01:21C'est un peu nos yeux qu'on pose sur les pierres, les arbres, dans la nature.
01:26Et pendant notre absence, la faune sauvage suit son cours.
01:30Donc on a beaucoup de moments uniques, des vrais moments de vie chez les animaux,
01:34chez les espèces.
01:36Une fois redescendu au village, Robin en profite pour jeter un œil
01:39sur les nombreux clichés qu'il a glané depuis sept ans.
01:42Cerfs, chamois ou marmottes, les animaux capturés sont nombreux.
01:49Et c'est quand ils ne s'attendent à pas grand-chose que Robin est le plus souvent surpris.
01:54J'ai mis mon piège en été.
01:56J'étais pressé, je l'avais mal mis, je n'étais pas content de moi.
01:59Je me suis dit, j'en suis sûr que je ne prendrai rien.
02:02Et c'est quand, un coup, je suis allé le récupérer, j'ai vu une image.
02:05Et dans ma tête, je me suis dit, ce n'est pas un chiot, ce n'est pas un renardeau, c'est quoi ?
02:10Et j'ai mis la vidéo d'après, j'ai vu qu'il y avait deux louveteaux qui étaient passés devant.
02:14Donc voilà, ça n'est arrivé qu'une fois pour l'instant et peut-être que ça arrivera un jour.
02:19Désormais, Robin souhaiterait cacher ses pièges photographiques plus haut en altitude,
02:24là où la vie sauvage reste encore la plus inconnue.
02:29Le PGHM, ou peloton de gendarmerie de haute montagne, basé près de Gérardmer,
02:35effectue une centaine d'interventions par an dans le massif des Vosges,
02:39en alternance avec les sapeurs-pompiers.
02:41Je vous propose de les retrouver à 1200 mètres d'altitude pour un exercice de secours
02:46en compagnie de Thierry Lasson et de Denis Lequenne de Vosges Télévisions.
02:58Un scénario bien rodé pour des techniques de secours en montagne qui le sont tout autant,
03:02car travaillées et retravaillées chaque mois par les dix gendarmes,
03:06de sept sous-officiers du PGHM de Xanru-Longemer,
03:09formés au Centre national d'instruction de ski et d'alpinisme de Chamonix,
03:13et que nous avons retrouvés ce mardi matin sur le massif des Vosges,
03:17au Haut-Gazon, à 1200 mètres d'altitude.
03:20Le peloton de gendarmerie de haute montagne, qui en alternance avec les sapeurs-pompiers,
03:24réalise en toute saison et en moyenne pas moins d'une centaine d'interventions par an.
03:29Et d'ailleurs...
03:30On a déjà commencé il y a une dizaine de jours avec six interventions en une semaine
03:34liées essentiellement à de la randonnée pédestre, à pied,
03:37ou en raquette sur des endroits enneigés.
03:40Ce qu'on constate, c'est que les gens s'aventurent sur des sentiers estivaux,
03:44donc des sentiers de randonnée qui sont balisés,
03:46mais pour des activités estivales, quand il n'y a pas de neige,
03:49et ils s'aventurent à pied sur ces sentiers qui sont forcément enneigés,
03:52qui peuvent être verglacés.
03:54Secouriste au PGHM, un métier passion avant tout.
03:58Ça a été un choix qui, au début, je ne pensais pas y arriver,
04:02mais je me suis dit que petit à petit, j'ai réussi à m'entraîner,
04:05à me préparer pour ça, et puis au final, ça a marché.
04:08Et c'est vrai que c'est un métier...
04:12En fait, on est au boulot, mais on n'a pas vraiment l'impression d'être au boulot,
04:15parce que c'est une passion en même temps.
04:17Avec les vacances de février, nombreux sont les amateurs de randonnée
04:20qui vont chausser les raquettes.
04:22Et de petits conseils peuvent éviter le pire,
04:24comme d'abord se renseigner sur les conditions météo et d'enneigement.
04:28La randonnée raquette se pratique sur des sentiers balisés pour la raquette.
04:31Ne pas s'aventurer sur des randonnées avec des balisages estivaux,
04:35donc pour l'été, parce que c'est des sentiers qui sont très escarpés,
04:39et en raquette, c'est difficile d'y progresser.
04:42Sans oublier de transmettre votre parcours à une personne
04:45qui, en cas de retard suspect, pourra alerter les secours.
04:51Voilà, et puis vous avez peut-être eu le privilège de le goûter.
04:55Le meilleur macaron citron du monde est français.
04:58Il est fabriqué dans la Loire par un atelier
05:01et a récemment été récompensé par le prestigieux prix Great Past,
05:05avec une distinction de trois étoiles.
05:07Ce macaron reconnu pour son excellence a séduit tous les experts gastronomiques.
05:12Pour notre partenaire TL7, Céline Arcilia s'est rendue à Roche-la-Molière
05:17pour rencontrer Franck Deville et découvrir les secrets de cette création.
05:21Regardez.
05:23Voici le meilleur macaron au citron du monde.
05:26A peine élu et déjà estampillé au nom du Great Taste.
05:30En avril dernier, Franck Deville a présenté sa création
05:33aux 500 membres du jury de professionnels du concours à Londres.
05:37Testé sur son apparence, sa texture et son goût, entre autres,
05:41son macaron citron a remporté la plus haute distinction,
05:44les trois étoiles, et cela parmi des milliers d'autres produits testés.
05:49Ça doit être du 14 000 produits environ qui étaient testés
05:55et seuls moins de 2 % qui sont ressortis primés qui ont obtenu la meilleure note.
06:03Cette meilleure note, c'est trois étoiles.
06:05Ce label d'excellence est une grande fierté,
06:07mais aussi une belle reconnaissance du savoir-faire de l'entreprise ligérienne.
06:11Franck Deville a marqué le monde gastronomique avec son macaron citron.
06:15Une saveur qu'il n'a pas choisie au hasard.
06:18Elle était même une évidence après sa rencontre avec un grand chef.
06:21Une fois, il y a M. Ducasse qui est venu à un salon au Syrah, à Lyon.
06:26Il est venu déguster un macaron et le premier macaron qu'il a voulu déguster, c'est le macaron citron.
06:32Et depuis ce jour-là, ça m'a interrogé.
06:36J'ai demandé pourquoi, en fait, le macaron citron, pourquoi il voulait goûter ce type-là de macaron.
06:41Et en fait, M. Ducasse m'a répondu.
06:43Il m'a dit que pour moi, c'est plus facile de goûter quelque chose d'acide
06:49parce que là, on me reconnaît tout de suite si on ne triche pas sur le produit.
06:53Si les concours ne sont pas un objectif pour le chef d'entreprise,
06:56Franck Deville pourrait retenter l'expérience sur de nouvelles saveurs
07:00qui mériteraient elles aussi de se retrouver sur les meilleures tables du monde.
07:05Le boyon-thon, cette recette à base de tripes de poisson, doit son histoire à une ville,
07:10celle du prêcheur et à une activité, celle de la pêche.
07:14Une plongée culinaire proposée par Johan Charpentier-Titi
07:17pour la rédaction de Via à TV en Martinique, bien sûr.
07:22Jean-Guy n'en est pas à son coup d'essai.
07:24Le boyon-thon, il est tombé dedans quand il était petit.
07:28Un plat qu'il a toujours fasciné au point d'en percer les moindres secrets.
07:32J'étais très, très, très observateur quand j'étais gamin.
07:35Et je regardais comment il faisait.
07:38Et curieux aussi, s'étaient posées les questions.
07:42Parce qu'en fait, les vieux, la tradition, le savoir, ça créait comment ?
07:49C'était en observant. On ne venait pas comme à l'école pour dire,
07:52eh bien bon, voilà, un et un font deux. Ils ne t'apprenaient pas comme ça.
07:55La maîtrise est au rendez-vous.
07:59C'est délicieux. C'est délicieux. C'est le bonheur ici. C'est trop bon.
08:07Attention tout de même à ne pas se brûler.
08:12Je vais te donner la cuillère. T'as pas envie de te brûler.
08:15Le boyon-thon, plat incontournable du Pricheur,
08:18et comme toute bonne recette traditionnelle, elle a ses origines.
08:22Il ne faut pas oublier que quand les pêcheurs du Sud venaient pêcher au Pricheur,
08:27ils partaient pour la semaine. Il fallait donner à manger à ces gens.
08:30Parce qu'ils rentraient très, très tard. C'était à la voile.
08:32Quand il n'y avait pas de vent, ils étaient obligés de rentrer sur le Pricheur.
08:34Parce qu'ils venaient pêcher tout au nord.
08:36Il fallait donner à manger à ces gens.
08:38Alors d'abord, le boyon, il était salé.
08:41Et un jour, trop de monde, elle a essayé cette recette, le boyon-thon.
08:44Clin d'oeil à l'histoire, Yasmine, femme de marin-pêcheur,
08:47est venue de Sainte-Anne pour déguster un bon plat de boyon-thon.
08:51C'est une spécialité du Nord. Nous, on ne fait pas ça.
08:54On ne connaît pas du tout. Mon mari est marin-pêcheur pourtant.
08:57Mais on veut vraiment goûter. Alors on a retenu chez un vrai pêcheur
09:01et un autre à Mélodie, au restaurant.
09:04Comme ça, on va pouvoir comparer un petit peu.
09:06Et chaque année, on va goûter à d'autres.
09:09Paris réussi pour les Préchautins.
09:11Leur recette emblématique attire toujours autant les foules.
09:17Comment transmettre la passion agricole aux jeunes générations ?
09:21Vaste question dans les Vosges.
09:23Cette ferme fait découvrir aux plus petits le métier d'agriculteur.
09:27Près de 1700 enfants ont déjà été accueillis.
09:30Et les exploitants agricoles ne manquent ni d'idées, ni d'envie.
09:33Vous allez le voir. Un reportage de notre partenaire sur place, Vosges TV.
09:39Les agriculteurs d'un jour prenaient leur rôle très à cœur.
09:41Ce matin, là du côté de Portieux, à la ferme de la Prairie,
09:44la transmission est l'un des mots-clés.
09:46Cinquième génération à rejoindre l'exploitation,
09:48Eva est revenue après des études dans un tout autre domaine
09:51pour aider son père qui a repris il y a une quinzaine d'années la ferme familiale.
09:54Avec toujours cette volonté de transmettre,
09:57elle a apporté une dimension pédagogique à l'exploitation.
10:00On a des premiers enfants qui viennent voir.
10:02J'en ai un qui a fait son anniversaire, qui veut devenir vétérinaire.
10:05J'en ai d'autres qui me disent, moi je veux faire comme vous agriculteurs,
10:07je veux m'occuper des animaux. J'espère que ça peut créer des voies.
10:10J'espère des vocations, des choses qui peuvent leur plaire.
10:13Moi j'essaie de leur montrer le bon côté comme le mauvais côté des choses.
10:16Parce que le métier d'agriculteur aujourd'hui, il n'est pas facile.
10:19Mais c'est vraiment le plus beau métier du monde.
10:21Et je le conseille à tous les enfants qui peuvent venir chez nous.
10:25En quelques mois, plus de 1700 enfants ont été accueillis.
10:28Si aujourd'hui, lapins, vaches, chèvres et chevaux notamment se côtoient,
10:32ça n'a pas toujours été le cas.
10:34Alors à l'époque du coup, il y avait des chevaux forcément,
10:36parce qu'on travaillait encore avec les chevaux.
10:38Mais c'était tendance quand même élevage, donc les tiers.
10:41Je me suis plutôt lancé au départ dans la pension de chevaux.
10:44Nous avons 30 chevaux entre 50aines de vaches.
10:46Donc nous avons aussi bien des charolaises, 45 charolaises.
10:49Nous avons 3 vaugiennes.
10:52Et nous avons aussi une petite troupe de highlands.
10:54La ferme de la Prairie, c'est aussi une attention particulière à la biodiversité.
10:58Aucun pesticide n'est utilisé sur les sols.
11:00Un système d'irrigation naturelle a été mis en place.
11:03Et des arbres plantés pour créer de l'ombre sur les parcelles.
11:06Aujourd'hui, pour se développer, Daniel et Eva ont encore plein de projets.
11:10On a l'envie de s'installer en maraîchage.
11:13Donc on a trouvé quelqu'un pour nous aider à faire du maraîchage.
11:16Donc diversifié, puisqu'on a bien vu qu'avec la clientèle qu'on a eue, on a de la demande.
11:20Se développer tout en ayant dans un coin de la tête cette transmission
11:23et pourquoi pas faire naître des vocations.
11:26D'ici quelques mois, des gites insolites permettront aux visiteurs
11:29de prolonger encore un peu plus leur expérience à la ferme.
11:34Nous restons dans le petit village de Saint-Plaché.
11:37Une retraitée incarne la passion du goût.
11:40Membre du club des goûteurs Aldi, Françoise reçoit des colis mystères
11:45pour évaluer les produits proposés en magasin.
11:48Une aventure gourmande et sérieuse en même temps
11:51à découvrir dans un reportage de Christophe Bucher.
11:53Regardez.
11:54Non, je ne la vois toujours pas.
11:56Non, mais qu'est-ce qu'elle fiche ?
11:58Pour Françoise, c'est un grand jour.
12:00Elle a convié sa voisine et amie Martine pour une dégustation surprise.
12:05Elle attend un coffret par la poste sans rien savoir de son contenu.
12:09Du coup, tout le monde ne reçoit pas le même colis.
12:12Non, mais d'accord.
12:13Sur le site du club des goûteurs créé par l'enseigne Aldi,
12:17les membres postent les photos des derniers colis reçus.
12:21La postière arrive pile à l'heure du déjeuner.
12:24Et voici le coffret catégorie senior.
12:27Ah, vous voulez goûter le foie gras, trop bien !
12:30Du foie gras, de la confiture de figues, du chocolat, des amandes, des toasts,
12:35un panier varié qu'il va maintenant falloir goûter et évaluer.
12:40Le foie gras, par contre, ça ne s'étale pas, ça se pose.
12:43Avec la confiture de figues et les toasts,
12:45ils vont juger trois produits de l'enseigne en une dégustation.
12:49C'est vrai qu'avec le foie gras au-dessus, la figue ne l'emporte pas.
12:54Le toast est grillé sans plus, mais juste ce qu'il faut.
12:57Ce que j'aime bien avec le foie gras au-dessus, c'est que t'as le foie gras au palais.
13:00Les produits de la viande utilisés ou les épices, il n'y a rien qui remonte.
13:04Coût de la vérine, 14 euros.
13:06Un prix abordable, un critère essentiel pour ce couple de retraités aux revenus modestes.
13:12Bon, après, vous dire que par rapport à une marque, à des grandes marques,
13:16qu'il est pareil, je ne sais pas.
13:18Moi, de toute façon, je ne suis pas produit marque, je suis qualité-prix.
13:21Surtout à l'époque actuelle, et franchement, il ne manque rien.
13:26Des produits made in France à un prix abordable, la politique de l'enseigne séduit Françoise.
13:32Elle doit maintenant faire remonter ses critiques au club des goûteurs.
13:35Par rapport à vos marques habituelles, que diriez-vous de ce produit ?
13:38Très bon goût en bouche.
13:40Pour sa 31e dégustation depuis son entrée au club,
13:43Françoise donnera 5 étoiles, la note la plus élevée.
13:47En deux ans, les membres du club ont testé plus de 350 produits alimentaires proposés par l'enseignée.
13:54Partons maintenant à la découverte d'un concept original.
13:57On connaissait les cafés à chats.
13:59Place désormais au premier café à chiens à Toulouse.
14:03Le lieu unique en Occitanie a pour ambition de permettre de partager un moment câlin
14:07avec notre meilleur amie, et pourquoi pas de l'adopter.
14:11Pour Via Occitanie, Hervé Lisa a eu du mal à résister à la tentation.
14:17Caliner un chien tout en buvant un thé ou en mangeant une tarte,
14:21c'est ce que propose ce salon dans le centre-ville toulousain.
14:25Je pense qu'il sent l'odeur de mon chien sur mes vêtements.
14:29Des chiens appartenant aux gérants, mais aussi en recherche de foyers comme Melon.
14:35Cet arriégeois de 6 mois, le Canité veut sensibiliser sur une adoption réfléchie et responsable.
14:41Il a été récupéré par l'association Musotopia,
14:44une association de protection animale qui récupère des chiens abandonnés ou maltraités
14:49et qui les place dans des familles d'accueil.
14:51Nous, on collabore avec cette association toulousaine.
14:54L'idée, c'est qu'on mette en lumière ces chiens qui sont à la recherche d'une famille
14:58et qu'en venant au Canité, le processus d'adoption ou de trouver une famille d'accueil soit plus rapide.
15:04Pas question de chouchouter ces animaux n'importe comment.
15:07Sur chaque table, une charte sur le comportement à adopter.
15:10On parle un petit peu à la place du chien pour que ça soit mieux perçu,
15:13comme par exemple, laisse-moi venir à toi, ne m'appelle pas plusieurs fois par mon prénom,
15:17j'ai la tête qui tourne, pour que les gens se rendent compte que ce sont des animaux,
15:21des êtres vivants et qu'il y a une façon de s'adresser à eux et que ce ne sont pas des peluches.
15:25Un concept dans le respect de l'animal qui séduit la clientèle.
15:29Ça m'a tout de suite plu de savoir qu'il y avait des chiens,
15:32qu'on pouvait passer du temps avec eux dans un café et pouvoir travailler.
15:35C'est toujours agréable de venir manger dans un salon de thé
15:37et en plus avec les chiens, ça rajoute un petit plus. Moi, j'adore.
15:39Et pour ceux qui souhaiteraient amener leurs chiens, des ateliers spécifiques sont programmés.
15:43Deux fois par mois environ, on organisera un événement canin.
15:46Il peut y avoir des ostéopathes animaliers, par exemple,
15:49ou une éducatrice comportementaliste qui viendront,
15:52feront une petite conférence, mettront en place quelques ateliers.
15:55Des événements autour du bien-être animal, donc.
15:58Le café est ouvert tous les jours, du mardi au samedi.
16:02Moribond, depuis 51 ans, est dissimulé par les ronces sur l'aérodrome de Castelnau-Magnohac.
16:08Dans les Hauts-Pyrénées, ce Dassault flamand de 1953,
16:12fleuron de l'aviation militaire d'après-guerre,
16:15a retrouvé une seconde jeunesse au sud de Toulouse.
16:18Chez Loïc Dumas, formateur à l'école nationale de l'aviation civile qui le garde.
16:22Notre partenaire à la Dépêche du Midi l'a rencontré, regardez.
16:25En août 2022, on parlait, on connaissait l'aviation.
16:29Depuis 6-7 ans, qui était un peu laissé, entre guillemets,
16:33dans un état d'abandon à l'aérodrome de Castelnau-Magnohac.
16:37Et mon ami a eu cette idée folle de dire, mais pourquoi on ne le sauverait pas en fait ?
16:42Car c'est quand même un morceau de notre patrimoine français.
16:45J'ai un peu réfléchi, me suis dit, pourquoi pas, allons-y.
16:48Il a fallu un peu d'études, car on n'est pas des professionnels du démontage d'avions.
16:53C'est la première fois qu'on fait ça, donc avec les amis et la famille, on s'y est mis.
16:57Nous nous rendons désormais à Brest, en Bretagne,
17:00à la rencontre du restaurateur et peintre Éric Tordjman,
17:03qui expose ses tableaux dans son restaurant.
17:06Cet artiste formé de manière autodidacte s'est même fait repérer
17:10par le comité de sélection de l'exposition Arts Capital,
17:13qui lui a proposé de présenter ses œuvres au Grand Palais.
17:16Un reportage de Maël Bellemur pour TBO sur place.
17:20Moi en fait, je suis complètement autodidacte.
17:23Que ce soit en cuisine, que ce soit en peinture,
17:26parce que la cuisine et la peinture, c'est la même chose.
17:29C'est créatif.
17:32Éric Tordjman, restaurateur chez Zaza à Brest et artiste peintre.
17:38Un midi, je suis dans la cuisine.
17:41Pour tout dire, je fais la plonge, donc je suis bien crado.
17:46On avait fait un gros service, le resto était plein.
17:50Et notre fille est née, enfin ma belle-fille, Justine,
17:54vient me chercher et elle me dit comme ça,
17:57écoute, il y a une dame en salle qui veut absolument te voir pour les tableaux.
18:01Et donc j'arrive, et puis il y a une dame d'un certain âge,
18:04de la région parisienne, Madame Chuzelle,
18:07qui me dit, je fais partie du comité de sélection du salon Arts Capital à Paris,
18:13au Grand Palais Éphémère.
18:16Bon, je lui dis, formidable.
18:19Et elle me dit, et je veux absolument que vous soyez exposé,
18:22parce que ce que vous faites, c'est formidable.
18:28Quand je fais un tableau, une fois qu'il est produit,
18:32il ne m'intéresse plus dans la mesure où ce que je veux, c'est qu'il circule,
18:36qu'il trouve la personne avec qui il va dialoguer,
18:40la personne qui va flasher dessus, et il fait sa vie.
18:43Et quand tu fais la cuisine, c'est créatif aussi,
18:46et tu vas donner quelque chose finalement de très intime,
18:49tu vas donner quelque chose de toi,
18:52et tu reçois les gens comme à la maison, c'est-à-dire, c'est une manière d'aimer.
18:57Il est le seul avec l'Opéra National de Paris à posséder en son sein des ateliers de construction.
19:03Céline Arcilia, pour TL7 dans la Loire, a eu accès aux coulisses de l'Opéra de Saint-Étienne,
19:09où, entre costumes et décors, tout un monde s'organise pour la bonne réalisation des œuvres.
19:16Vous reconnaissez sûrement ces fauteuils Bordeaux et sa grande scène,
19:19mais l'Opéra de Saint-Étienne garde bien caché d'autres trésors.
19:23Derrière la salle, quelques minces affaires.
19:26Nous sommes dans l'atelier menuiserie.
19:28C'est ici que sont élaborés et fabriqués les décors rigides des œuvres qui seront bientôt jouées.
19:33Aujourd'hui, ce sont ceux de la Veuve Joyeuse.
19:36Le travail est minutieux pour permettre au spectacle d'être le plus grandiose possible.
19:40Ici, il n'y a pas de routine.
19:42Moi, ce qui m'intéresse, c'est de travailler auprès de personnes créatives,
19:46comme des scénographes, des metteurs en scène, et d'ajuster selon les contraintes techniques.
19:51Que les projets soient sans cesse renouvelés, c'est quelque chose qui est dynamisant.
19:54C'est-à-dire qu'on n'est pas amené à faire tout le temps la même chose.
19:56Juste à côté, on travaille le métal.
19:58Un peu plus loin, les décors sont peints avant d'arriver enfin sur scène pour le montage.
20:04Dans quelques jours, les artistes seront là pour les répétitions.
20:07Leurs costumes seront prêts et réalisés par d'autres artistes, comme Sirpa.
20:11Certaines pièces, comme ce manteau, représentent des semaines de travail.
20:15Et si l'esthétique est importante, il faut aussi broder avec certaines contraintes techniques.
20:20Des robes qui a une traîne, ou le manteau qui est lourd, tout simplement.
20:27C'est bien réfléchi, très précis.
20:30Avoir ces ateliers au cœur même de l'Opéra est une particularité stéphanoise.
20:34C'est unique en province.
20:36Un atout pour gérer les coûts.
20:38Pas plus de 70 000 euros pour la partie décors et costumes.
20:41Et cela permet de proposer des œuvres made in Loire.
20:44C'est une très grosse force parce que ça permet à l'Opéra de Saint-Etienne de produire ces ouvrages lyriques.
20:50On en produit en moyenne la moitié, voire un peu plus, chaque saison.
20:54A Saint-Etienne, on peut donc voir des interprétations d'œuvres uniques.
20:58Des œuvres qui s'exportent ensuite et participent à la renommée de Saint-Etienne.
21:02L'Opéra de Saint-Etienne fait partie des grands opéras français.
21:05On a des coproducteurs qui sont des coproducteurs de renom.
21:08Le Théâtre des Champs-Elysées, le Palazzo Bruzzane, sont des maisons de très haut niveau.
21:14Et l'Opéra de Saint-Etienne fait partie de ces grandes maisons.
21:17Un succès évidemment aussi local.
21:19La salle enregistre plus de 90% de fréquentation à chaque représentation.
21:24Avis aux gourmets dans ce journal.
21:27Regardez ce village près de Chamonix où cet ancien relais de poste est devenu le site
21:32et la propriété d'un jeune chef cuisinier.
21:35Grâce à ses nombreuses expériences passées, il propose une cuisine toute en finesse et en surprise.
21:41Un reportage de Sébastien Germain pour notre partenaire Huit-Mont-Blanc.
21:46À Servozes, l'Auberge des Gorges était déjà un lieu historique.
21:49Hugo Lemercier, le maître de maison depuis quasiment deux ans,
21:52l'a transformée en un lieu authentique.
21:54L'auberge et ses six chambres et le restaurant et sa vingtaine de couverts
21:57sont une véritable invitation pour passer un moment un peu hors du temps.
22:01C'est un bâtiment de la fin du XVIIIe siècle qui a été construit ici sur Servozes,
22:04qui a été transformé en auberge dans les années 1960.
22:07Et puis depuis là, on a toujours eu une jolie réputation.
22:10Et oui, c'est vrai que c'est un challenge de reprendre et de faire briller cet établissement.
22:14Je suis tombé sur le charme du village de Servozes dans la vallée de Chamonix
22:17parce qu'on est vraiment bien.
22:18On n'est pas loin de tout, mais on est au calme.
22:20Et puis, c'est vraiment un établissement saisonnier où on a de l'activité toute l'année
22:23avec la chance qu'on a d'être au pied du Mont Blanc.
22:25Et c'est vraiment pour ça que je me suis installé ici.
22:27Retrouver le jeune chef au Savoyard à la tête de cette institution n'est pas réellement une surprise,
22:31tant son parcours est jalonné d'étapes diverses et variées.
22:34D'ailleurs, sa cuisine raffinée est un savoureux mélange de savoir-faire local
22:38et d'inspiration étrangère issu de son parcours.
22:41On est sur une cuisine de produits locaux, des cuisines de poissons de lac,
22:44de produits de légumes de la région, au maximum de nos fromages aussi,
22:47fromages de Savoie, de Haute-Savoie.
22:49Et puis après, je vais venir twister sur certains plats
22:52avec des choses issues de mes voyages, de mes expériences, notamment de l'Inde.
22:56De ses expériences passées au Royaume-Uni, en Suisse ou encore à Dubaï,
23:00Hugo Lemercier a gardé l'exigence inhérente à ce métier,
23:03assaisonné d'un brin de folie et de surprises.
23:05En effet, à l'Auberge des Gorges, le menu se commande à l'aveugle.
23:09On va commencer avec une île flottante ce soir, mais salée.
23:11On va retrouver une petite sauce dans l'esprit du crème anglaise, mais à l'ail.
23:14Il y a le premier menu essentiel qui est en trois plats,
23:16le deuxième en cinq plats, menu expérience,
23:19et le dernier menu, l'expression, qui est en huit plats.
23:21Voilà.
23:22Et là, c'est vraiment concentré de tous les produits locaux de la région du moment.
23:27Île flottante salée, lentilles façon risotto ou encore butternut en dessert,
23:31la cuisine originale du Hugo Lemercier est un régal pour des papilles curieuses de nouveauté.
23:35Et deux ans après s'être lancé dans cette aventure un peu folle,
23:38le jeune chef est convaincu qu'il est dans le vrai avec ses idées.
23:41J'ai vraiment réussi à monter un petit peu en gamme,
23:44à faire vraiment ce que je voulais, à faire une jolie table gastronomique.
23:46Je n'aime pas dire gastronomique.
23:47Moi, je dirais épicurienne, une jolie table épicurienne où les gens viennent.
23:51On n'est ouvert que le soir et le week-end pour le déjeuner.
23:54Le travail du Hugo Lemercier et de son équipe semble porter ses fruits
23:57puisque l'Auberge des Gorges est déjà référencée au niveau national.
24:00Une première reconnaissance qui en appellera peut-être d'autres.
24:05Accompagner les futurs mamans dans leur grossesse par des cours de danse,
24:09l'idée fait son chemin, comme nous allons le voir dans l'aube
24:12où trois femmes enceintes inauguraient ce premier cours de danse périnatale.
24:17Des vertus tonifiantes pour le corps et un moment privilégié pour ces futures mamans.
24:22Notre partenaire Canal32 a rencontré Amandine Jeanne, professeure de danse et elle aussi maman.
24:30Elles ont 7, 8 et même 9 mois de grossesse
24:33et ont pris rendez-vous pour un cours de danse un peu particulier.
24:36Ce samedi après-midi, dans cette salle de Saint-André-les-Vergers,
24:39le créneau est réservé à la danse périnatale.
24:41Un projet qui tenait à coeur à Amandine Jeanne, professeure de danse.
24:45C'est une idée qui trottait dans ma tête depuis la naissance de ma fille, mon deuxième enfant, en 2021.
24:50En fait, moi j'ai fait du yoga pré-natal, post-natal
24:53et d'avoir une activité tout le long de ma grossesse, ça m'a vraiment aidée à récupérer après.
24:58On soulève le genou.
24:59D'abord les étirements, suivent les mouvements de balancier au son de la musique thaïsienne.
25:03De quoi tonifier les muscles.
25:05Certaines parties du corps comme le périnée sont particulièrement sollicitées.
25:09Ça permet d'avoir un temps pour respirer, pour s'étirer, pour relâcher les tensions,
25:15mais aussi pour tonifier tout le corps, pour activer la circulation sanguine
25:18parce que c'est très important quand on est enceinte.
25:20Naomi attend son deuxième enfant.
25:22Après sept mois de grossesse, chaque mouvement est exigeant.
25:25Les grosses difficultés, c'est qu'on a le poids de bébé dans notre corps.
25:28On n'est pas tout seul, donc ça pèse un peu.
25:31C'est pour ça que des fois, on préfère s'asseoir pour se reposer un peu et puis après on repart.
25:36À la fin de la séance, c'est un peu fatigué, mais surtout détendu que les futures mamans rentrent chez elles.
25:41Ça nous permet de nous détendre, de ne pas forcément penser à la fin de la grossesse
25:47et vraiment de passer un moment un petit peu hors du temps, se recentrer sur nous et sur le bébé.
25:53Objectif pour Amandine et l'association Précieuses et Compagnie,
25:56faire connaître la pratique et ses bienfaits.
25:58Une séance sera ouverte chaque mois.
26:01Au revoir à tous et merci d'avoir suivi le Grand JT des Territoires
26:04avec les plus beaux reportages de nos régions françaises et d'Outre-mer.
26:07On se retrouve très vite pour une nouvelle édition. Au revoir.