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00:00Merci beaucoup d'être avec nous pour la suite de Culture Média, nous en rejoins dans
00:08ce studio Joe Hume pour la musique, salut Joe qui est bien couvert ce matin, il va se
00:16réchauffer grâce à Olivier Pouls et ses boissons, je cherchais un prétexte pour boire
00:23un coup sur les clous de Deezer, super, je l'ai trouvé, et oui parce qu'on a la chance
00:30de recevoir ce matin un homme aux deux visages, un genre de Janus Bifron finalement, d'un
00:36côté l'humoriste, imitateur, chansonnier qui remonte sur scène en ce moment et de
00:41l'autre le comédien flic plus sombre qui sera lundi sur France 2 et les deux sont là
00:46ce matin, bonjour Laurent Gérard, merci d'être avec nous, alors c'est vrai qu'on a tous
00:52différentes facettes dans notre personnalité mais c'est assez rare de pouvoir exprimer les
00:56deux comme vous le faites comme ça, vous avez de la chance Laurent ? Ben oui j'ai de la chance,
00:59j'ai de la chance de faire ce que j'aime et ce que j'ai envie de faire depuis des années. Et
01:03vous aviez envie de montrer autre chose de vous ? Ça s'est fait comme ça, après j'ai beaucoup fait
01:08de tournées donc j'avais pas trop d'opportunités mais j'aime bien ce personnage qui est très
01:12taciturne, qui n'est pas très sympathique et un peu ébréché de la vie. Et un peu séducteur aussi,
01:19on va en parler tout à l'heure mais d'abord on va parler du spectacle Laurent Gérard,
01:23passe à table. En tout cas on le sait, Emmanuel Macron c'est le président des riches, c'est pour
01:29ça que dans ce menu et au gouvernement il n'y a que des truffes. Je voulais pas venir là moi
01:34colonel parce que je viens d'en plus dans cette époque, je ne sais plus où j'en suis, tiens,
01:37on va plus te faire cuire, je vais dans un bar, je commande un Jacques Daniel, c'est une jeune
01:40gonzesse à côté de moi qui était plutôt bien roulée, jolie, je lui ai dit je te paye un verre,
01:44comment tu t'appelles ? Elle me dit Jean-Claude, je lui ai dit mais tu peux pas t'appeler Jean-Claude
01:49vu que tu as des nichons et là elle me tire une baffe, elle me dit que je suis transphobe,
01:52je ne sais même pas ce que ça veut dire ce mot colonel. Aller au restaurant sur une trottinette,
01:58découvrir le menu où l'on bouffe des pâquerettes, croiser Sandrine Rousseau et même lui faire la
02:04bise et lui dire gentiment j'aime qu'on me déconstruise. Voilà Laurent Gérard se met à
02:10table dans votre nouveau spectacle, on retrouve vos plats signatures, Fabrice Luchini, Patrick
02:16Bruel, Johnny, Jean-Dor Messon, Jack Lang, j'adore Jack Lang. Qui est venu d'ailleurs.
02:20Qui est venu voir le spectacle ? Il est venu à la première oui. Et il vous a dit bonjour c'est
02:24Jack ? Non mais c'est vrai qu'il est venu voir tous vos spectacles. Est-ce que c'est assez
02:29phénoménal chez vous quand même, vous avez créé des gens, des gimmicks, voilà c'est ça,
02:34et maintenant on sent que les imitateurs imitent le style même Laurent Gérard,
02:38qui a un simple bonjour c'est Johnny, ces trucs-là, je veux dire c'est vous quand même
02:43qui avez créé ça au départ ? Bah oui oui. En particulier Patrick Sébastien, je trouve que
02:53c'est le meilleur exemple, c'est-à-dire que l'imitation que vous avez fait de Patrick
02:56Sébastien c'est aujourd'hui devenu l'imitation universelle de Patrick Sébastien. Putain c'est
03:01génial ! Patrick Sébastien est plus le Patrick Sébastien de Laurent Gérard que le vrai Patrick
03:07Sébastien. C'est vrai que quand j'ai écrit le doigt dans le cul il m'a dit j'aurais pu l'écrire.
03:10Parce que ce que vous ne savez pas c'est qu'on a un imitateur maison nous ici depuis que vous
03:14êtes partis, c'est Thomas. Ah bah là si j'adore ça, mais moi je ne m'inspire que de Laurent Gérard.
03:19Est-ce que vous avez des préférés vous ? Des gens que vous adorez imiter ? Généralement j'aime
03:23bien faire tout ce que j'imite dans le spectacle, mais j'aime bien chanter, c'est pour ça que j'ai
03:26la chance d'avoir cinq musiciens dans le spectacle et c'est vrai que c'est très agréable d'avoir de
03:31la vraie musique. Ça c'est assez rare d'ailleurs, il y a plus grand monde qui fait ça,
03:36de jouer avec un orchestre et tout ça comme le faisait Bourville il y a longtemps. Très belle
03:41référence. Oui c'est vrai. Ou Fernandez, enfin voilà. Je crois même que vous êtes le seul à
03:46faire ça sur scène encore. Bah ouais c'est beau, Guy Marchand me disait c'est le plus beau des
03:50décors, c'est vrai. Est-ce qu'il y en a certaines imitations où vous sentez que le public réagit
03:58plus ? François Hollande ils aiment bien. François Hollande ? Oui François Hollande.
04:02Je le fais muet en plus dans le spectacle. Voilà c'est ça, sur cette musique de Histoire sans
04:11Parole, c'est sur cette petite musique que vous faites François Hollande. Je crois que c'est la
04:15première fois que vous faites un sketch muet non ? Oui alors déjà je le faisais muet pendant presque
04:20un peu plus de cinq minutes et puis là je dis je vais le faire muet pendant tout le sketch. Et
04:23comme j'aime bien les films muets, ça tombe bien j'ai quelques références en matière de films muets
04:27et je me suis dit bah tiens on va le faire. Parce que l'imitation c'est la voix mais c'est aussi
04:31terriblement l'animique. Alors vous racontez des souvenirs aussi dans ce spectacle Laurent Gérard
04:36notamment quand vous croisez Jacques Chirac, ça c'était pendant le Tour de France 98,
04:41qu'est-ce qui s'est passé ? Une anecdote de tablée, je l'avais vu à la fin d'un repas et il faisait chaud,
04:46il était sous chapiteau et je pense qu'il avait bu quelques Corona et je lui dis mais monsieur le
04:52président vous faites du vélo ? Il m'a dit ah oui, dix kilomètres. Dans ma vie j'ai dû faire
04:56dix kilomètres. Il avait de l'humour. Et alors qui dit nouveau spectacle dit aussi nouvelle voix,
05:04alors il y a Xavier Demoulin qui a rejoint. C'est une sorte de zapping, on me réclame plus les voix,
05:11enfin c'est ce que je dis au début du spectacle, nouvelle carte et place signature. Et puis il y a
05:17Benjamin Casteldi aussi que vous connaissez depuis longtemps parce que vous avez démarré à Studio
05:22Gabriel ensemble finalement. Comment on imite Benjamin Casteldi ? Il faut parler très vite,
05:27sans trop particulier. Il ne faut pas oublier le .fr, c'est important le .fr. Et puis les écolos
05:35aussi qui en prennent pour leur grade comme d'habitude. Ils méritent quand même. Et ça c'est
05:40notamment Eddy Mitchell qui se charge de les assaisonner.
05:53Laurent Gérard se met à table, c'est en ce moment au Casino de Paris et hors limite votre nouvelle fiction
06:18c'est à voir lundi à 21h10 sur France 2, on va en parler dans un instant. Et puis on va revenir sur
06:23votre histoire aussi Laurent Gérard avec votre portrait sonore.
06:32Vous écoutez Culture Média sur Europe 9h30 11h avec Thomas Hill et avec Laurent Gérard ce matin.
06:37Alors on parle de votre spectacle Laurent Gérard, Laurent Gérard se met à table, c'est au Casino de
06:43Paris jusqu'au 4 janvier. Et puis la fiction hors limite, c'est-à-dire qu'on va vous voir sur France 2
06:47lundi soir à partir de 21h10. Et on va dresser Laurent votre portrait sonore des petits sons
06:52pour mieux vous connaître. Voici le premier.
07:01Les Frères Jacques, parce que je crois que la première imitation que vous avez entendue c'est une imitation des Frères Jacques de la part de votre grand-père Georges.
07:09J'ai une photo où ils font les Frères Jacques mais j'aime bien les Frères Jacques.
07:13Il était mélomane, président de Fanfare ?
07:17Président de Fanfare, c'est lui qui m'a fait monter sur scène quand j'avais 5 ans.
07:20La première chanson que j'ai chantée c'était les Balles Populaires de Michel Sardou.
07:23Ah bah justement, voilà cette chanson.
07:25On est là pour boire un coup, on est là pour faire les trous et pour se revoir un coup.
07:32Ne sortez pas la bouteille encore Olivier.
07:34Il a entendu voir un coup de red light.
07:36On patiente, on patiente.
07:39C'est vrai que dès l'âge de 5 ans, votre grand-père vous fait monter sur scène, vous chantez les Balles Populaires,
07:45mais aussi La Bonne du Curé, des chansons de Pierre Perret aussi.
07:48C'était votre registre de l'époque.
07:50C'est toujours votre registre d'ailleurs.
07:53Je fais Pierre Perret toujours sur scène.
07:55Je fais les jolis écolos de la France, les jolis écolos.
07:58Toujours les écolos, une petite fixation.
08:01Et à l'époque, vous imitiez déjà Michel Sardou, c'est vrai ?
08:04Oui, alors c'était avec une voix d'enfant.
08:07Mais mon père m'avait enregistré, donc j'ai un document.
08:11Donc les imitations, vous avez démarré très très jeune en fait.
08:14Oui, j'ai toujours fait ça.
08:16Avec Michel Sardou, je crois que vous faisiez Michel Polnareff aussi, Jacques Dutronc.
08:20Je l'ai fait aussi dans le spectacle.
08:22Ça n'a pas changé, il ne bouge pas.
08:24Évidemment, je vais renouveler le patron.
08:26Et à l'âge de 20 ans, vous allez devenir quelque temps chanteur de balle populaire.
08:30Oui, j'ai fait des balles, c'est vrai.
08:32Un peu à contre-cœur, je crois ?
08:34Oui, je ne voulais pas trop faire ça.
08:36J'étais avec des musiciens déjà, donc j'étais content.
08:39Est-ce qu'ils vous ont obligé à changer de registre ?
08:41Oui, ils essayaient, mais je n'étais pas très ouvert là-dessus.
08:46Ça a plus commencé par la chanson ou par les imitations de votre carrière finalement ?
08:49Parce qu'il y a beaucoup de choses qui tournent autour de la chanson.
08:51Oui, j'ai toujours été entouré de musique.
08:53C'est vrai que j'ai toujours aimé ça.
08:55Mais la chanson, oui.
08:57Quand j'ai commencé à Paris, je n'avais pas d'orchestre.
09:01Si, j'avais un pianiste au Don Camilo.
09:03C'est vrai qu'il y avait un pianiste qui était attitré.
09:06C'était du cabaret.
09:07Donc j'ai appris mon métier pendant un an.
09:10Et puis j'ai fait des belles rencontres, Jacques Martin, Michel Drucker.
09:13Est-ce qu'au fond, vous auriez préféré être vraiment chanteur, Laurent Gérard ?
09:17Quand j'étais petit, je disais que je voudrais être chanteur ou imitateur.
09:21Il y a assez de chanteurs pénibles.
09:23Pas gros sur la liste.
09:25Est-ce que vous chantez avec votre propre voix ?
09:27Avec votre voix de Laurent Gérard ?
09:29Non, j'ai du mal.
09:30C'est toujours en imitant ?
09:32Si je fais une chanson que je connais, forcément, je prends la voix automatiquement.
09:37Vous dites souvent que vous avez fait les bonnes rencontres au bon moment.
09:41Il y a une personne étonnante qui fut déterminante dans votre parcours.
09:51C'est une belle tellusie.
09:53Marc Lavoine.
09:55Comment il vous a aidé, Marc Lavoine ?
09:57Il y avait une émission à Lyon qui s'appelait Casino des As sur Télé Lyon Métropole.
10:01J'avais fait cette émission, il était invité.
10:04Il m'a dit qu'il faut que je monte à Paris.
10:07J'ai des adresses, je peux te donner des adresses de producteur.
10:12Et je n'étais pas prêt.
10:14C'est vrai que je suis allé, mais je n'étais pas prêt.
10:16Il fallait que j'apprenne un peu.
10:18Maintenant, ça va très vite.
10:20Il fallait que j'apprenne un peu mon métier, c'est normal.
10:23On ne se lance pas comme ça.
10:25Arrive la rencontre avec une légende de la télé qui va vous mettre à l'écran
10:29pour la première fois dans une émission que je regardais petit sans tout comprendre.
10:39C'est vrai que je regardais aussi, mais je ne comprenais rien.
10:41Et les adultes rigolaient.
10:43Vous voulez m'émire, c'est ça ?
10:47On voyait les adultes très contents de regarder cette émission.
10:49Je n'aime pas quand j'étais au pied avec le petit rapporteur.
10:51On n'a pas toutes les références.
10:53On n'est pas de la même génération non plus.
10:57Racontez-nous cette rencontre avec Jacques Martin.
10:59C'était incroyable.
11:01J'admirais évidemment Jacques Martin.
11:03Notamment pour son côté subversif.
11:05Parce qu'il a apporté beaucoup.
11:07Et notamment avec Jean-Yann.
11:11J'étais à la radio avec Virginie Lemoyne.
11:15Et Julien Courbet avait écrit une chanson
11:17qui faisait partie de l'équipe de Martin.
11:19Une chanson de Gainsbourg.
11:21Jacques avait dit
11:23pourquoi tu as écrit ça ?
11:25Personne ne fait Gainsbourg.
11:27Et Virginie Lemoyne a dit
11:29il y a un jeune imitateur
11:31qui vient d'arriver à Paris.
11:33Il va venir.
11:35Et j'imite Gainsbourg.
11:37Et il me dit
11:39ça te dirait de travailler avec nous ?
11:42Et bien reviens la semaine prochaine
11:44tu es ici chez toi.
11:46Et comme on était de la même région
11:48le côté lyonnais, le provincial
11:50qui arrive à Paris, je pense qu'il s'est reconnu
11:52un petit peu là-dedans.
11:54On avait une relation
11:56assez filiale.
11:58Est-ce qu'il a terminé sa phrase en disant
12:00sous vos applaudissements ?
12:02Il était venu me voir d'ailleurs en cabaret.
12:04Et quand je l'imitais
12:06c'est vrai Jacques.
12:08J'y pense très souvent.
12:10En revanche, vous avez décliné
12:12les propositions de la classe et les guignols de l'info.
12:14Vous n'aviez pas envie de faire ça ?
12:16Pourquoi ?
12:18Je ne sais pas, je n'avais pas envie d'être
12:20à la classe au milieu de tout le monde.
12:22Je suis plutôt pudique.
12:24Et puis les guignols, je n'avais pas envie d'être derrière du latex.
12:32Laurent Gérard se met à table
12:34au casino de Paris dans un instant.
12:36La dégustation
12:38d'Olivier Pouls avec du liquide.
12:40Aujourd'hui, clairement,
12:42il a pris le parti du liquide ce matin.
12:44On en parle dans l'instant.
12:46Pour faire les fous.
12:489h30, 11h.
12:50Thomas Hill sur Europe.
12:52Et vous écoutez Culture Média
12:549h30, 11h avec Thomas Hill.
12:56Et ce matin, Thomas, vous recevez Laurent Gérard
12:58pour son spectacle, évidemment,
13:00au casino de Paris jusqu'au 4 janvier.
13:02Et puis, pour la fiction, hors limite,
13:04c'est le retour du policier suisse, lundi soir
13:07Troisième opus des aventures
13:09d'Andréas Meyer, capitaine
13:11de police helvète.
13:13Ça s'appelle Hors Limite.
13:15Les deux premiers numéros ont cartonné
13:17avec plus de 6 millions de téléspectateurs.
13:19Vous étiez surpris vous-même ou pas, Laurent ?
13:21Je pense qu'à cette époque-là,
13:23on aime bien voir des paysages de neige.
13:25Ça doit être ça, effectivement.
13:27Vous espérez rééditer l'exploit lundi.
13:29J'imagine le tournage de ce troisième volet
13:31a donc lieu...
13:33Je tourne le quatrième en janvier.
13:35C'est une série qui va durer,
13:37qui va s'installer dans la durée.
13:39Effectivement, ça se passe en montagne,
13:41dans les Hautes-Alpes.
13:43Je crois que vous adorez la montagne, Laurent Gérard.
13:45Ça se passe dans ma vallée, en plus.
13:47Savoie, c'est en Haute-Maurienne.
13:49J'ai un chalet là-bas et je rentrais chez moi
13:51tous les soirs, faire du feu.
13:53Et est-ce que c'est vous qui skiez au début
13:55ou on a mis une doublure ?
13:57Ah, c'est vous ? Dites donc !
13:59Sacré godille !
14:01Non, c'est moi parce que je trouvais ça assez humiliant
14:03qu'on se doublure alors que je suis
14:05sur les skis depuis que j'ai 4 ans
14:07et que j'ai fait du ski un peu partout dans le monde
14:09et que j'adore ça.
14:11Et le jour où la doublure
14:13devait me doubler, parce que c'est pour des questions d'assurance,
14:15il a fait
14:17un temps dégueulasse
14:19et j'ai donc doublé ma doublure.
14:21Ah, il était moins bon, vous ?
14:23La doublure était moins bonne ?
14:25Comme Tom Cruise !
14:27C'est le Tom Cruise !
14:30Et Georges Cloudet
14:32pour le pinard !
14:36Et vous allez devoir résoudre
14:38cette fois-ci une sale affaire d'un homme
14:40qui est balancé du haut d'un télésiège.
14:42C'est ça le drame qui se noue.
14:44Et je le disais tout à l'heure, ça n'est pas le Laurent Gérard
14:46que l'on connaît sur scène, là votre personnage
14:48c'est un homme beaucoup plus austère.
14:50Oui, austère, froid,
14:52dur, taiseux,
14:54cynique,
14:56qui balance des petites piques.
14:58J'aime bien ce personnage.
15:00Oui, il est intéressant.
15:02Il a
15:04un contre-emploi
15:06qui est intéressant.
15:08On me propose toujours des rôles de tordu.
15:10Ah oui, c'est vrai ?
15:12Non, mais c'est vrai,
15:14j'ai joué le rôle d'un type
15:16qui avait tué sa femme
15:18qui était accusé d'avoir tué sa fille
15:20quand on a tourné avec Eddie Mitchell
15:22et avec Ellen Filiard
15:24qui réalisait. Non, mais j'aime bien.
15:26J'aime bien être dirigé
15:28et j'aime bien travailler avec des gens qui connaissent le cinéma
15:30parce que j'ai fait des études de cinéma
15:32et j'aime bien justement être
15:34dirigé par des gens qui savent
15:36ce qu'est un plan
15:38et qui font pas qu'un chant,
15:40un contre-chant, qui soignent la lumière
15:42et qui soignent la mise en scène.
15:44Et de jouer aussi avec des grands comédiens
15:46parce que là vous jouez avec une comédienne qu'on adore ici
15:48à Culture Média, Katerina Murano
15:50Murino, pardon
15:52vous voyez comme on l'adore
15:55mais qu'on trouve... Non mais c'est vrai
15:57elle est venue plusieurs fois ici, elle est solaire
15:59c'est un bonheur de la recevoir.
16:01Je l'ai connue depuis un petit moment Katerina.
16:03Et là vous jouez, on va pas dévoiler
16:05mais vous êtes un peu séducteur dans cet épisode
16:07je sais pas si c'est d'ailleurs le genre de rôle que vous préférez
16:09C'est pour ça que je l'ai accepté.
16:11Non mais jouer
16:13les séducteurs
16:15c'est particulier quand même
16:17Je suis pas trop dans la séduction
16:19j'ai toujours assez froid
16:21mais non c'est pas ce que je préfère faire.
16:23C'est pas un homme à tchènes quoi
16:25C'est vrai que c'est toujours difficile
16:27il y a des techniciens tout autour
16:29c'est un baiser de cinéma
16:31c'est pas très glamour
16:33Regardez ça
16:35c'est lundi soir sur France 2
16:37hors limite, 3e opus des aventures
16:39d'Andreas Meyer

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