• l’année dernière
La vice-présidente de la Coordination rurale, Amélie Rebière, revient sur les traités de libre échanges signés par l'UE. «On n’a plus aucune confiance dans la parole politique», déplore-t-elle.

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00:00Alors, ça fait beaucoup, mais c'est pour ça qu'à la coordination urale, on est mobilisés
00:03sur le terrain depuis le début d'année, parce qu'on est habitués en fait à avoir
00:06des effets d'annonce et pas d'avancées réelles et concrètes dans nos fermes derrière.
00:11Donc, on se méfiait des effets d'annonce du gouvernement Attal, on se méfiait encore
00:15plus des effets d'annonce du gouvernement Varier, donc en fait, on est déçus, mais
00:22pas surpris tant que ça, parce qu'on voit bien que de toute façon, on nous balade depuis
00:26le début.
00:27Pour le Mercosur, c'est des négociations qui durent depuis des décennies, on savait
00:31très bien que de toute façon, ce Mercosur allait être signé au même titre que les
00:35traités de libre-échange de début d'année, on nous tapait dans le dos à Bruxelles en
00:40nous disant tout le soutien qu'ils avaient pour la profession agricole et puis en même
00:43temps, ils ratifiaient le traité de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande par exemple.
00:46Donc, on n'a plus aucune confiance en fait dans la parole politique, nous ce qu'on veut,
00:50c'est des actes et ce qu'on veut, c'est vivre de notre métier et ramener du revenu
00:54dans nos fermes surtout.
00:56– Sous-titrage Société Radio-Canada

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