Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 03/12/2024.
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00:00Au trophée d'actualité, France-Espagne à Nice, c'était un match amical, le dernier match entre ces deux nations, c'était en février dernier,
00:07finale de la Ligue des Nations, et ce match à Séville nous avait laissé un souvenir d'une France complètement impuissante.
00:14Ce soir, les Bleus accueillaient, du côté de chez Florian Boris, en tout cas du côté de Nice, ça donnait quoi ?
00:21Ça donnait une défaite, 4 buts à 2, Virginie.
00:23Malheureusement, le test n'a pas été réussi, la double ballon d'or Aïtana Bonmati a frappé d'entrée dès la 6ème,
00:29elle se projette et coupe la trajectoire du ballon.
00:31Le deuxième but, c'est Caldante dans l'axe qui décale Pina, l'attaquante prend Constance Picot à contre-pied.
00:36Un CSC va relancer la France quand la défenseuse Maria Mendes manque son dégagement dans sa propre surface à la 37ème,
00:42mais les Espagnols reprennent le dessus à la 60ème.
00:44Ballon en profondeur sur le côté droit, c'est donné à Garcia, qui conclut en une touche.
00:48Les Bleus poussent et tentent de revenir, centre de Malard depuis la droite à la 71ème, c'est contré, ça revient sur Diani,
00:54qui conclut de la poidrine, Medali sera sanctionnée d'une main dans la surface et Caldante transforme le pénalty.
01:00Y a-t-il encore un monde d'écart entre la France et l'Espagne ?
01:03Habillage, à la française s'il vous plaît.
01:07Y a-t-il encore un monde d'écart entre la France et l'Espagne ?
01:10Pierre Clément.
01:12Un petit monde alors.
01:13Oui.
01:14Non.
01:15Non ? Non ?
01:16Eric Blanc.
01:18Y a un écart.
01:19Y a-t-il un monde d'écart entre la France et l'Espagne ?
01:21Un monde d'écart c'est quoi ?
01:22Ça veut dire qu'il y a une existence face à l'autre, pour moi c'est ça.
01:26Donc je te dirais non.
01:27Non, non, non, non, non.
01:29Elle a existé quand même.
01:30Stéphanie.
01:31Oui, oui, oui, allez.
01:32Oui, oui.
01:33Nicolas.
01:34Oui.
01:35Oui.
01:36Bah écoutez, voilà.
01:37Je pense que le job est fait présidente.
01:38Dingle.
01:39Dingle, voilà, super.
01:40Démarre.
01:41Je progresse.
01:42Un grand pas.
01:43Pierre associé avec Eric, c'est un oui.
01:46J'ai l'impression que Pierre aimerait bien avoir la gonfle tout de suite Eric, j'ai juste une sensation.
01:50Ah oui, d'accord, donc c'est Pierre qui va l'éviter.
01:53Parmi ces tourmentes, j'ai un Georges Heureau et j'ai un petit qui commence, qui va répondre.
01:59Vas-y Nicolas.
02:00Oui, vous commencez ?
02:01Monde d'écart, Nicolas Georges Heureau, à vous de jouer, vous commencez.
02:04Parce que déjà sur ce que j'ai vu sur la première période où il y a eu 35 minutes,
02:09où l'équipe de France n'a très très peu existé, avec une équipe qui a subi,
02:14qui a été existante au milieu de terrain, qui manquait d'agressivité,
02:17que j'ai revu par séquence finalement tout ce qui s'était passé en finale de la Ligue des Nations
02:22il y a quelques mois et que l'équipe de France a toujours autant de mal à battre une équipe de premier plan.
02:28Donc pour moi, il n'y a pas une énorme progression.
02:31Il y a un but qui est contre son camp, sinon c'est zéro but pour arriver à la pause.
02:35Donc pour moi, il y a encore un écart très très net entre la France et l'Espagne.
02:39Pierre Clément, qu'avez-vous à répondre à Nicolas ?
02:41Contre son camp, ce n'est pas du tout un but de casquette.
02:43C'est un super centre de Vicky Béchaud qui du coup finit en CSC, mais c'est vraiment mérité.
02:50C'est une très belle action collective en plus qui se conclut comme ça.
02:53Je ne suis pas du tout d'accord pour dire que la première mi-temps était même moyenne des Français.
02:58Je les ai trouvés très bien, à part en défense où elles n'étaient effectivement pas assez agressives.
03:01Je pense notamment à Tiniba Samoura.
03:03On n'est pas du tout sur les mêmes équipes, qui ne sont pas du tout au même stade dans leurs projets.
03:07Les Espagnoles, elles ont un jeu collectif qui est léché, qui est construit sur plusieurs années,
03:11avec des joueuses qui ont énormément l'habitude de jouer ensemble.
03:14En France, il y avait eu 11 changements par rapport au dernier match.
03:17Il y a un nouveau coach. Pour moi, c'était hyper encourageant ce match malgré le score.
03:20Laurent Bonnani. Allez, à vous mon cher Stéphane.
03:25Ce serait d'abord de dire qu'il n'y a pas de défaite encourageante.
03:27Malheureusement, on ne peut pas trop construire sur le match qu'on a vu là.
03:31Moi, je pense que la base, c'est la solidité.
03:34C'est ce qu'on reproche parfois aux bleus masculins, mais là, c'est ce qu'on n'a pas vu du tout chez les bleus féminins.
03:39C'était assez enthousiasmant par séquence, c'est vrai.
03:41Mais par contre, il y a un travail de fondation.
03:44Il y a forcément un grand écart pour l'instant avec une équipe qui est au top niveau, qui est l'Espagne.
03:48C'est une bonne référence pour les bleus.
03:49Il y a plein de choses intéressantes dans ce match-là, mais il y a encore, à mon sens, beaucoup de travail.
03:53C'est l'heure des stats, Thierry Blanc.
03:55Non, mais j'entends un monde d'écart.
03:57Pour moi, ça veut dire que tu n'existes pas.
03:59La possession, c'est 55 ans.
04:01Il y a eu en première mi-temps deux tirs de chaque côté.
04:03Il y a deux 1 au score final.
04:05Vous ne pouvez pas dire, en voyant cette équipe de France, que moi, je connais très mal.
04:08J'ai du mal à la jauger, qu'elle n'a pas existé.
04:10Bien sûr qu'elle a des carences.
04:12Bien sûr que l'Espagne aime la possession, travaille mieux dans les petits triangles, percute davantage.
04:17On a un problème de finition et d'accélération à la fin des déchets techniques.
04:21Mais ce n'est pas un monde d'écart.
04:23Mais ce n'est pas un monde d'écart.
04:24Alors, votez pour qui ? Votez pour le couple, Pierre Clément et Eric Blanc.
04:29Ils sont contents de faire équipe ensemble.
04:31Il se passe quelque chose.
04:33Je sens, je ne sais pas, une sorte de tension, de séparation entre Nicolas et Stéphane.
04:39J'ai vu des défauts de finition aussi chez Eric Blanc.
04:42Il a mis quand même 5-6 secondes au-delà du chrono.
04:44Mais après, il a regardé un match où il y a eu 2-1.
04:473-2, mon Ricky.
04:494-2.
04:51Qui a regardé le match ?
04:53A part vous deux, j'ai bien compris que vous l'aviez vu.
04:554-2.
04:57Bien sûr, j'ai vu le troisième but où c'est une contre-attaque magnifiquement jouée, où elle se faut prendre.
05:01Très beau but.
05:03Le deuxième but français.
05:09Eric, la présidence est la tigresse.
05:11Vous annoncez que je ne regarde pas le match.
05:13Mais même moi, j'aime bien le match. J'ai vu 3-2 à la fin.
05:17S'il vous plaît, les cartons vont tomber.
05:19Bien sûr, c'est la première mi-temps.
05:21Eric, laissez la présidence tranquille.
05:23C'est un problème d'expression et pas un problème d'attention, autant pour moi.
05:25Parce que tu lui as dit un match qui finit à 2-1.
05:27Vous dites oui ou vous dites non ?
05:29Il y en a un qui a un pull breton.
05:31Un autre qui a une descente de breton.
05:33J'ai un pull totalement normand, si vous me permettez.
05:35C'est vrai, Saint-Germain.
05:37On n'a pas le droit de dire de marque.
05:39Vive Armand-Luxe.
05:43Un monde d'écart, ça ne veut pas dire qu'elles sont nulles, qu'il n'y a rien à en sauver.
05:47Ça ne veut pas dire ça.
05:49Ça veut dire qu'il y avait un écart important avec les Espagnols.
05:51Et tu l'as dit toi-même, qu'elles ne sont pas au même niveau de leur projet collectif.
05:53Et donc de leur expression collective et du niveau de jeu, des sécurités qu'elles dégagent.
05:57Il y a eu des séquences bonnes de la part de l'équipe de France.
06:01Mais je trouve, sans être une spécialiste comme toi,
06:03moi devant ce match, je me dis qu'il y a une classe d'écart entre les deux équipes.
06:09Techniquement, collectivement, au niveau de l'efficacité.
06:13Deux tiers partout.
06:15Techniquement, il y avait quand même une grande nouveauté.
06:17C'était le système à trois côté français ce soir.
06:19Qui est intéressant, mais qui en même temps a montré sur le plan défensif,
06:25c'était assez catastrophique.
06:27Ça n'a pas solidifié grand-chose.
06:2960ème minute, le 3 juin de l'Espagne.
06:33Le 3 juin de l'Espagne, il y a une sorte de tentative de pressing exercée par l'une des minutes de terrain.
06:39Le mouvement n'est pas du tout accompagné par les autres.
06:41Et alors là, en quatre passes, échec et match.
06:43Chose comme ça.
06:45Là, collectivement, et dans leur gestion du pressing,
06:47de la position par rapport à la copine.
06:49Là, ça fait mal.
06:51Le retour est catastrophique.
06:53Le retour notamment de Wendy Renard.
06:55En fait, elle revient, mais elle revient pour la forme.
06:57Elle revient pour le contact.
06:59Oui, mais il n'y a plus le milieu de terrain, surtout.
07:01Wendy est au bout de chaîne.
07:03Les équipes espagnoles redescendent bien.
07:05Elles sont en bloc. Elles coupent les lignes.
07:07Elles laissent moins d'espace.
07:09L'équipe de France peut se faire éliminer sur deux passes.
07:11Elle passe en profondeur.
07:13L'équipe de France, c'est le football.
07:15Je reviens.
07:17Vous parlez d'un monde.
07:19C'est pour ça qu'on n'est pas d'accord.
07:21Moi, je ne suis pas d'accord.
07:23Un monde, pour moi, c'est un gouffre.
07:25Quand j'ai vu la finale, on a pris 2 à 0.
07:27On n'a pas touché un ballon.
07:29On était inexistant.
07:31Ce soir, je ne vais pas me projeter sur ce match amical.
07:33Tout le monde redémarre.
07:35Même les Espagnols.
07:37Un monde écart.
07:39Je l'ai vu.
07:41Quand on a pris 2 à 0, on a été ridicule.
07:43On ne touchait pas le ballon.
07:45On courait dans la vague.
07:47Après les ombres des Espagnols,
07:49on était à la rue.
07:51Je file la gauche.
07:53Vous étiez à Séville.
07:55Le 28 février dernier.
07:57Pour la finale de la Ligue des Nations.
07:59Par rapport au match de ce soir,
08:01est-ce que vous seriez tenté
08:03de déserter
08:05et d'abandonner
08:07le Normand-Breton ?
08:09Je ne vais pas jusqu'à là-bas.
08:11Je fais un pas en avant.
08:13Regardez les statistiques.
08:15Vous me faites pitié.
08:17Les chiffres ne mentent pas à ce point-là.
08:19Les chiffres ne mentent pas à ce point-là.
08:21Vous n'êtes pas l'économiste du foot.
08:23Vous avez de la sensibilité.
08:25J'étais en train de tenter
08:27de faire un rapprochement avec le camp d'en face.
08:29Racontez-nous ce que vous avez vu
08:31le 28 février dernier.
08:33J'ai vu la même chose que vous.
08:35Mais peut-être amplifiée en étant à Séville.
08:37Il y a deux choses
08:39qui m'ont marqué ce jour-là.
08:41C'est l'écart que l'on a tous vu
08:43dans le comportement de l'équipe.
08:45Le défaut de maîtrise.
08:47Un contenu qui est proche du néant.
08:49Et surtout l'attitude d'Hervé Renard
08:51qui, après match,
08:53avait très bien compris à ce moment-là
08:55que de toute façon,
08:57à quelques mois des Jeux,
08:59tu ne rattrapais pas l'Espagne.
09:01Il faut juste remettre un peu dans le contexte
09:03ce match-là.
09:05Il n'est pas championnat olympique.
09:07On pense qu'on veut la Ligue des Nations
09:09mais c'est potentiellement à ce moment-là
09:11le premier titre que tu vas avoir
09:13quelques jours après avoir battu l'Allemagne.
09:15En demi-finale.
09:17Effectivement,
09:19tu es porteur d'espoir.
09:21Tu sors de la Coupe du Monde en 2023
09:23où tu sors en quart de finale
09:25jusqu'à ce Final 4.
09:27Tu es un vaincu.
09:29Et là, tu prends une claque énorme.
09:31Tout dans l'attitude et dans les mots
09:33d'Hervé Renard montrait qu'il n'avait
09:35aucun espoir de pouvoir rattraper
09:37l'Espagne en très peu de temps.
09:39A ce moment-là, on ne connaissait pas encore
09:41l'équipe de France réellement.
09:43Pour les Jeux, tout le monde disait
09:45qu'il faudrait absolument éviter l'Espagne.
09:47Nicolas, par rapport à votre inventaire,
09:49l'écart s'est réduit.
09:51L'écart s'est réduit un peu dans le comportement.
09:53Au niveau du comportement,
09:55c'est énorme la progression.
09:57Quand on était sortis de ce match
09:59contre l'Espagne en Ligue des Nations,
10:01on était atterrés par le comportement des Français.
10:03Elles avaient peur. Elles doutaient d'elles-mêmes.
10:05Elles n'avaient plus aucune connexion technique
10:07les unes avec les autres.
10:09C'était complètement désaussé.
10:11Là, ce soir, je te dis
10:13que j'y allais un peu reculons
10:15sur ce match de ce soir.
10:17Au bout de dix minutes,
10:19j'étais en train de crier devant mon écran
10:21et ma petite famille me disait
10:23« Laisse-nous regarder Koh-Lanta ».
10:25Plus le match avançait, plus je vibrais,
10:27plus je criais. Il y a eu des actions hyper dangereuses.
10:29Il y a eu de la créativité.
10:31Il y a eu zéro tir cadré pour l'équipe de France.
10:33Elles n'ont pas cadré un tir.
10:35Ces enfants ne peuvent pas regarder
10:37la télévision. Ils ont une hystéro derrière.
10:39Elles ne regardaient pas l'équipe télé.
10:41Visiblement pas.
10:43Bravo.
10:45France-Espagne a débriefé.
10:47Pierre supporte.
10:49Elles avaient peur aussi
10:51parce que tu jouais un match à enjeux.
10:53Tu étais sur un match amical.
10:55Elles étaient opprimées par le sélectionneur mentalement.
10:57Là, elles ont enfin un coach mental
10:59sur le banc. Enfin.
11:01Thomas Samuth qui était là ce soir.
11:03Elles ont un coach qui est peut-être plus rond
11:05dans sa façon de présenter les choses.
11:07Je suis désolée. J'ai eu l'impression
11:09de voir une équipe qui avait envie de jouer au foot
11:11et qui avait un petit peu d'idées.
11:13Ce que vous dit votre président, c'est sans enjeux.
11:15Sans enjeux. Sans charge émotionnelle.
11:17Après, tu te présentes normalement
11:19dans des meilleures disciplines.
11:21Depuis un an et demi, l'équipe de France
11:23qu'on essaie de vanter, peut-être qu'elle est en progression,
11:25elle n'a battu qui ?
11:27Elle n'a battu personne. Elle a battu l'Angleterre
11:29en mois de mai avant les Jeux.
11:31Il faut les battre aussi.
11:33Ne dis pas qu'elles n'ont battu personne.
11:35Personne ne parle de nations huppées.
11:37Pas de nations qui jouent la gagne.
11:39C'est toujours la même chose.
11:41Ce n'est qu'un match amical.
11:43Je comprends, mais on est trop déçus
11:45de la performance des derniers matchs.
11:47On repart sur autre chose.
11:49L'entraîneur est parti.
11:51Sinon, les matchs amicaux,
11:53on ne les juge jamais.
11:55On sait qu'il n'y a pas la même pression, les mêmes enjeux.
11:57On les juge en tant que match amicaux.
11:59C'est normal qu'elles aient moins peur
12:01et moins de pression.
12:03Tout redémarre.
12:05Je pense que ça tient un peu plus la route
12:07que ce que j'ai vu.
12:09La moitié de l'équipe qui est là,
12:11elle était en février aussi.
12:13Il y a-t-il encore un monde d'écart
12:15entre la France et l'Espagne ?
12:17Le nouveau sélectionneur,
12:19l'homme qui n'opprime pas
12:21ou qui n'oppresse pas
12:23le mental de nos Françaises.
12:25Laurent Bonadei répond à la question.
12:27Il faut reconnaître que
12:29dans l'utilisation du ballon,
12:31dans les espaces réduits,
12:33sur les contrôles,
12:35sur la qualité de passe
12:37et dans la zone de finition,
12:39aujourd'hui, elles ont montré
12:41un peu plus de précision,
12:43je dirais.
12:45Un peu plus de sérénité.
12:47Voilà.
12:49Sous pression, elles ont cette capacité
12:51à sortir vite des petits espaces
12:53et à se projeter vers l'avant.
12:55D'ailleurs, le troisième but est un joli but
12:57parce qu'il faut dire qu'on a mis
12:59un gros pressing sur l'adversaire
13:01et elles ont réussi
13:03à aller jusqu'au bout de leur action.
13:05Donc, dire qu'il y a un gros
13:07écart entre les deux nations,
13:09c'est un peu fort.
13:11Je pense qu'on a encore
13:13un peu de retard qu'on va combler
13:15au travers du travail qui va être fait
13:17au niveau des clubs,
13:19au niveau de la fédération et sur cette équipe.
13:21Maintenant,
13:23j'avais pris le parti
13:25de persister et d'insister
13:27dans ce système à trois derrière.
13:29Voilà.
13:31Quand on l'écoute,
13:33en 2019,
13:35la France accueille la Coupe du Monde.
13:37C'est un immense succès populaire.
13:39L'Espagne, je crois qu'on l'a gagnée.
13:41Et franchement,
13:43il n'y a pas un bon écart entre vous deux.
13:45Le problème, c'est que les votes,
13:47ils n'ont pas vu le match.
13:49Qu'est-ce que vous pensez de la stade,
13:51Tonton Rico ?
13:53Allez, dans quelques minutes,
13:55Français-Pogba, le jour où
13:57Mathias Pogba était à la barre.
13:59C'était aujourd'hui, récit Jérémy Jeanningro,
14:01de l'entrée spéciale du côté du Tribunal de Correction.
14:03Le pari a tout de suite, mes amis.