Dans une enquête relayée par Actu Paris, une donnée suscite l'inquiétude des personnes habitant dans des immeubles. En moyenne, 3.000 personnes accèdent chaque année à un immeuble qui n'est pas le leur car elles connaissent le code d'entrée. Cela peut être des livreurs, des infirmiers ou encore des ouvriers. Cela représente parfois un vrai risque de sécurité.
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00:00Sécuriser l'entrée de son immeuble avec un digicode n'est finalement pas suffisant.
00:05En moyenne, un appartement enregistre trois visiteurs par semaine,
00:08livreurs, infirmiers ou encore ouvriers.
00:10Pour un immeuble moyen de 20 logements,
00:12cela représente plus de 3000 visiteurs chaque année
00:15qui ont alors accès au code d'entrée de votre immeuble.
00:17Un chiffre peu rassurant dans une ville comme Paris
00:19où le recours à la livraison a explosé ces dernières années.
00:22Un digicode, ça va retarder l'entrée, mais ça annule rien.
00:26Déjà, nous, le changez plus régulièrement.
00:29Là, ça fait quatre ans qu'on ne nous l'a pas changé.
00:32Non, mais je ne sais pas, c'est quoi l'alternative ?
00:34Comment dire ? Un interfan ?
00:36Selon les résultats d'une étude d'Ivala System,
00:3865% des Français jugent le code d'accès classique
00:41comme inefficace contre les intrusions
00:43et 69% d'entre eux ne se sentent pas du tout protégés.
00:46Face à ce constat, la start-up Ivala propose une alternative.
00:50Ça va permettre à chaque résident, depuis son smartphone,
00:53de pouvoir créer un code qui va donner à son livreur,
00:57à un infirmier, pour quelqu'un qui loue son appartement
01:01pour une durée courte durée,
01:03et qui sera à usage unique ou avec la durée définie.
01:06Si bien qu'après usage du code, l'individu, le livreur,
01:10ne pourra pas revenir dans l'immeuble
01:12et du coup, on maximise la sécurité de l'immeuble.
01:14Une solution qui permettrait de mieux filtrer les entrées
01:17et réduire les cambriolages et vandalismes résidentiels.