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Sport
Transcription
00:00A tous, ravis de vous retrouver sur Radio Sport et sur Sport en France, 17ème épisode du Petit Pâques.
00:06On va jouer avec vous à la maison, 2 minutes pour jouer, 4 invités, 4 actualités.
00:10Louis Baudin est avec nous.
00:12C'est pas que Monsieur Météo que l'on reçoit, c'est un célèbre routeur.
00:15À part les voiles, il y a une course incroyable en ce moment, on en parle peu je trouve,
00:18et des records tous les jours sur les petits bateaux qui vont sur l'eau.
00:20Pas assez, mais en fait quand tout va bien, on n'en parle pas beaucoup.
00:23On l'attend, le premier bateau qui va avoir quelques soucis, là on en parlera.
00:27On ne parle pas beaucoup de Thierry Adembapé en ce moment, j'imagine, en football non plus.
00:30Philippe Sanfour, bonsoir à vous.
00:32Bonsoir mon Petit Pâques.
00:33Même le Petit Pâques il est là, bienvenue, avec le Petit Baccalauréat.
00:36Pareil, RTL, M6, l'équipe, le petit bleu d'Auvergne, non je ne sais pas.
00:42Oui, aussi.
00:44Aussi.
00:45Le foot c'est compliqué en ce moment.
00:47Oui, c'est vrai qu'on en parle aussi beaucoup plus quand ça ne va pas bien.
00:50C'est vrai.
00:51Et parfois je me dis, tiens, est-ce que j'ai parlé de sport sur la semaine qui vient de s'écouler ?
00:56C'est un vrai souci.
00:57J'ai parlé d'argent, j'ai parlé d'affaires sombres.
01:00De sorties sudoises.
01:01Oui, voilà, de beaucoup de choses, mais pas toujours de sport.
01:04Très bien.
01:05Attention, la voile, le football, la Formule 1, nouveau champion du monde qu'on connaît déjà.
01:08Oui, Marc Reichtappen, bien sûr.
01:10Bonjour M. Gignac.
01:11Bonsoir.
01:12Bonsoir, comme vous le souhaitez quand vous nous regardez, parce que vous pouvez nous regarder en replay ou en direct sur Sports en France.
01:15Toi c'est F1, tennis, tout ça, tous les sports que tu aimes.
01:18Oui, F1, tennis, foot évidemment, mais Formule 1 depuis tout petit.
01:22Très bien.
01:23Et puis le tennis a ses champions et ses soucis aussi.
01:26Garçons et filles.
01:27Corée de Poulou.
01:28Ça veut dire presque européen, tu te rends compte, depuis le temps ?
01:30Oui, non.
01:31Ah non, France Info.
01:32C'est ça, la chaîne L'équipe, France Télévision.
01:35Les Jeux Olympiques, c'était sur France Télévision cet été.
01:38On t'a suivi sur France Télévision.
01:39C'est parti, attention.
01:40Quatre invités, quatre manches.
01:41Chez vous, vous pouvez jouer, vous pouvez prendre déjà votre stylo, votre papier.
01:44Le temps de vous présenter Maître Capello, qui est là.
01:47Celui qui va nous déranger dans quelques instants, mais qui va tout surveiller.
01:50Salut à toi Maître Capello.
01:51Salut tout le monde.
01:52Maître Capello, parce que…
01:53Vous…
01:54Non, lui, je vous réponds.
01:55Ah bon, d'accord.
01:56Vous avez compris.
01:57C'est un confrère.
01:58Merci de nous suivre sur Sport en France et sur Radio Sport.
02:07Attention, première manche sur Radio Sport et sur Sport en France.
02:11Vous connaissez le principe, quatre lettres.
02:13Il y aura quatre lettres pendant cette émission.
02:15Et évidemment, dix catégories.
02:17Vous avez déjà joué à la maison, vous avez déjà joué avec vos amis, vos enfants.
02:20Vous pourrez jouer chez vous pendant deux minutes.
02:22Nos invités, eux, vous connaissez le principe.
02:24Jette le stylo.
02:25Pas trop fort non plus.
02:26Ils ont les dix cases.
02:27Dix cases.
02:28Et on débute chaque fois, Fabrice, par la case Sport comme…
02:31Comme Sport.
02:32Et comme Radio Sport ou Sport en France.
02:34Voilà, exactement.
02:35La deuxième case, les petites villes.
02:37Et oui.
02:38Prénom.
02:39Ça, c'est du classique.
02:40Arbre.
02:41Alors, ça, c'est cool ici.
02:42Arbre.
02:43Wow.
02:44Halalala.
02:45Animaux.
02:46Après le tennis, la Formule 1.
02:47Chez vous, vous pourrez jouer également sur le football.
02:48C'est facile.
02:50Après, donc, ta voile.
02:51Le seul problème, c'est qu'il y a une question mystère.
02:53Qui va changer à chaque tour.
02:55C'est une idée de Maître Capello.
02:57Oui.
02:58Pour ce premier tour, quelle est la catégorie ?
03:00Accroche-toi, nous sommes en décembre.
03:02Ça sera donc un cadeau de Noël original.
03:04C'est cadeau de Noël.
03:05Première lettre.
03:06On est sérieux.
03:07Silence sur le plateau, silence chez vous, nez concentré, le stylo en l'air.
03:10On jette le stylo quand vous avez les dix cases.
03:12Attention, la première lettre, Maître Capello.
03:14Ça sera la lettre R.
03:15R ?
03:16R.
03:17Comme Radio, quoi.
03:18Comme Radio.
03:19Et attention, on est parti pour…
03:20Deux minutes.
03:21C'est parti.
03:22Je sais ce qu'il y a de Jamy Philippe sans fourche.
03:24C'est bon ?
03:26Tu verras, je te le donnerai avant.
03:28Je rappelle qu'il ne faut pas forcément aller le plus vite.
03:31Je connais le prénom que va choisir Corinne.
03:34En arbre ?
03:35En arbre.
03:36Géanologique ?
03:39Les animaux, ce n'est pas difficile.
03:41Arrête de dire que ce n'est pas difficile.
03:43C'est compliqué.
03:45Formule 1, oui, évidemment.
03:49Alala.
03:50En football ?
03:52Oui, allez.
03:54En voile ?
03:56Facile.
03:58En voile ?
03:59Cadeau de Noël.
04:00Ça, c'est bon, original.
04:04Généralement, les grands joueurs ont déjà terminé.
04:07Chez vous, peut-être aussi.
04:09Je vous félicite.
04:10Pour l'instant, Corinne Boulou…
04:12Un petit conseil, Corinne.
04:13Quand tu coinces quelque part, tu passes à l'autre.
04:15Oui, c'est ce que je fais.
04:16Dis-moi quelle discipline t'aimes bien.
04:21Tu manques tout.
04:22Ah oui, mais t'es bien déjà.
04:23Football, quand même.
04:26Je te fais un numéro 7, par exemple.
04:28Non, ça ne t'aide pas.
04:30Je te dis des pastel de nat.
04:32Des quoi ?
04:33C'est une spécialité portugaise.
04:34Même en rébus, les tabous.
04:36Non, mais je l'ai mis déjà.
04:38En prénom.
04:39Mais je l'ai mis en prénom, déjà.
04:41J'ai pas le prénom.
04:43Je peux mettre un prénom, on est d'accord.
04:46Tu mets un nom.
04:47Ah, je mets un nom.
04:49On est pas bien, Fabrice, on est pas bien.
04:51Mais en tout cas, tu pourrais avoir deux réponses.
04:53Ah, c'est l'arbre, j'ai pas mis l'arbre, pardon.
04:57Je rappelle, Christophe, qu'on peut mettre deux fois la même réponse.
05:00Bien sûr, c'est fait.
05:01C'est fait, monsieur.
05:02Il me reste 20 secondes pour trouver un arbre.
05:04Ça y est, moi, j'ai trouvé.
05:06T'as trouvé l'arbre ?
05:07Oui.
05:08Louis, t'as l'arbre ?
05:09Non, moi, je plante.
05:10Mais saute une case, va ailleurs.
05:11Je vais faire ailleurs.
05:12Cadeau de Noël, c'est facile.
05:14Cadeau de Noël original, t'as dit.
05:16Ah oui, un cadeau original.
05:18Oui, j'avais oublié celui-là.
05:19Parce qu'il peut être original pour les uns.
05:21C'est subjectif, quand même.
05:24C'est terminé.
05:25On pose des crayons.
05:27Qui est-ce qui a à peu près 10 cases ?
05:29Ah ben, il me manque moins.
05:30J'en ai 10.
05:31T'as l'air pas mal, vas-y.
05:34Sport, le racket long.
05:37Voilà, ça commence bien.
05:39Ah ça, ça va parler à quelqu'un qui fait du tennis, normalement,
05:41parce qu'il y a du tennis dans le racket long.
05:44Le sport, le racket long, vous connaissez pas ?
05:45C'est quoi, c'est du Pokémon ?
05:46C'est un mix de 4 disciplines de racket.
05:48Ah oui, j'ai vu ça !
05:49Tennis badminton, squash et tennis de table.
05:54Ouais, génial, j'ai vu ça l'autre fois.
05:56Et ça joue, ça ?
05:57Parfois, il y en a régulièrement.
05:59Et il y a une championne du monde française, d'ailleurs,
06:01qui s'appelle Myriam Edmer.
06:03Le mec, il a bossé le sujet, quoi.
06:05On en dit plus.
06:06Il y a un doublon, là.
06:08Là, il n'y a pas de doublon.
06:10Ça commence à bien se montrer, parce qu'il n'y a eu pas longtemps,
06:13justement, il y a eu quelque chose qui a été fait,
06:15notamment où Yannick Noah était présent,
06:16donc ça a pas mal poppé sur les réseaux,
06:18on en a vu beaucoup et tout, ça a été beaucoup remontagé.
06:20On l'a vu sur les réseaux, effectivement.
06:22Bien joué.
06:23Toi, je suis sûr que t'as mis rally.
06:24Non, j'ai mis le rameur.
06:25Ah, mais c'est bien, ça fait pas de mal.
06:27T'as raison.
06:28Mon rameur préféré ?
06:30Non, j'ai pas trouvé.
06:31Louis, vous êtes une légende pour nous tous, ici.
06:33Ah non.
06:34Une référence.
06:35Non, pas là-dessus.
06:36Pas là-dessus.
06:37Zéro point.
06:38Moi, j'ai mis rugby.
06:39Ben voilà, rugby, rallye, roller, on a eu plein.
06:42La ville ?
06:44Rouen.
06:46Moi aussi.
06:47Tu l'as ?
06:48Moi aussi.
06:49Vous partirez en vacances ensemble, tous les trois ?
06:50Je me suis dit Rouen.
06:52Tout le monde va mettre Rouen.
06:53Rénault ?
06:54La ville de Rénault.
06:55Très bien.
06:56Ah, Rénault.
06:58Non, c'est pas Jean Rénault.
06:59Oui, c'est ça.
07:00La ville de Rénault.
07:01D'accord.
07:02Joli.
07:03Mais vous donnez jamais la météo sur Rénault.
07:04Qu'est-ce que vous nous sortez là ?
07:06Demain à Rénault, grosse tempête de sable.
07:08Voilà.
07:09Prénom ?
07:10Richard.
07:12Raoul.
07:13Très beau prénom.
07:14Robert.
07:16Roger.
07:17Moi, j'ai mis Roger.
07:19Ah oui.
07:21Ça va, ça compte.
07:22Arbre.
07:23Tu avais un arbre.
07:24Rosier.
07:25Mais oui.
07:26Ça, c'est un arbre, un rosier ?
07:27Non.
07:28Non, c'est pas un arbre ?
07:29Non, non, un rosier, c'est pas un arbre.
07:30Ah oui.
07:31Moi aussi, j'ai mis rosier.
07:32Ah ben si.
07:34Moi aussi, j'ai mis rosier.
07:35300 plus, ça s'annule.
07:36Voilà.
07:37Vous avez mis tous les deux rosiers ?
07:38Oui.
07:39Ah non, c'est un arbre.
07:40Non.
07:41Mais non, non, non.
07:42Sois sérieux un peu.
07:43Non, non, non.
07:44C'est dur.
07:45T'es violent.
07:46Moi, je l'aurais accepté.
07:47Ah ben non.
07:48T'as trouvé un arbre, R ?
07:49J'ai mis roseau.
07:50Ça marche pas.
07:51Non plus.
07:52Le mec a fait la fontaine toute sa vie.
07:53Il comprend pas.
07:54Il y en a pas beaucoup.
07:55Très amis.
07:56Il y en a pas beaucoup.
07:57Il y avait le robinier ou le retin.
07:58C'est dur.
08:00Ça va être une belle catégorie, ça.
08:01Ouais.
08:02Essaie d'être, tu vois, plus light, quand même, sur tes décisions.
08:05Les animaux.
08:06Un raton laveur.
08:07Ouh là, tu vois, tu sens le mec qui veut pas être copié.
08:09Philippe ?
08:10Un rhinocéros.
08:11Mais oui, c'est rose.
08:12Rien.
08:13Un rat.
08:14Oui, très bien.
08:15Ah, bien ça.
08:16Ah, on a un pari.
08:17Je pensais que c'était un rat.
08:18Il y a pas un raton laveur, mais il y a un rat aussi.
08:20Il y avait le renard aussi.
08:21Le tennis.
08:22Rod Lever.
08:23Rod Lever, c'est Lever.
08:26Le court.
08:27Ah non, j'ai vu dans un précédent épisode qu'on pouvait faire.
08:32Alors qui ? Avec Roland Corbis ?
08:33Avec Roland Corbis.
08:34Alors moi, j'ai mis Roger Federer.
08:36Moi aussi.
08:37Roger relaxe.
08:38Mais Rod, c'est pas Rod.
08:39Moi aussi, j'ai mis Roger.
08:40Moi, j'ai pensé au court, même avant, tu vois.
08:42Ouais, mais c'est Lever, c'est pas Rod.
08:44T'es d'accord ? On peut pas, ça.
08:46Oui, c'est plus Lever.
08:47Ouais, c'est plus Lever.
08:48Mais c'est vrai qu'on dit Rod Lever.
08:50On dit pas Lever.
08:51Et tous les deux, j'ai mis Roger aussi.
08:52On dit Lacoste, mais on dit pas...
08:53C'est pas bien de dénoncer ses petits camarades qu'on a un peu aidés.
08:56Non, c'est pas mal, Rod Lever.
08:57Dans d'autres épisodes.
08:58Louis.
08:59Rever.
09:00Voilà, Rever.
09:01Non, à la base.
09:02Rever.
09:03À la base.
09:04La science.
09:05Après la référence, voici la science.
09:06L'homme de Renault.
09:07Arrête.
09:08La Formule 1.
09:09Rosberg.
09:10Ah bah oui.
09:11Lequel, le père ou le fils ?
09:12Alors moi, j'ai mis Keke Rosberg.
09:13Moi, je pensais à Nico plutôt.
09:14Bien sûr.
09:15Les deux.
09:16Oui, bien sûr.
09:17C'est plus mon général.
09:18Non, parce que j'avais peur justement que tout le monde mette Rosberg.
09:19T'as mis Keke.
09:21Le papa.
09:22Ils ont roulé ensemble l'an dernier sur le circuit de Monaco.
09:25Ils avaient chacun leur voiture.
09:27C'était très chouette.
09:28De l'époque.
09:29Oui, Louis.
09:30Regazzoni.
09:31Ah oui.
09:32Il avait fait le Dakar aussi, je crois.
09:35Claire Regazzoni.
09:36Tu as ?
09:37Sur quoi ?
09:38Non, Formule 1, j'avais rien.
09:39Il y avait Rint aussi.
09:40Mais bon.
09:41Qui ?
09:42Regarde-moi.
09:43Loren Rint, on disait.
09:44Ah ouais.
09:45Football.
09:46Eh ben, tu sais quoi ? J'ai mis Ruiz.
09:49Mais tu peux ou pas ?
09:50J'ai loin.
09:51Du coup, je l'ai enlevé.
09:52Portugais.
09:53Pastel Denat.
09:54Cristiano Ronaldo, quoi.
09:55Ah oui.
09:56Mieux, je ne pouvais pas faire.
09:57Mais Ruiz, ça marche.
09:58Oui, ça marche.
09:59Du coup, je l'ai grabouillé.
10:00C'est Fabien Ruiz.
10:01En ce moment, ce n'est pas un footballeur.
10:02En ce moment.
10:03C'est le commentateur.
10:04Notre confrère.
10:05Donc, ça compte.
10:06Julien ?
10:07Robinho.
10:08Ah oui.
10:09Robinho.
10:10Robinho.
10:11Moi, je voulais avoir une petite pensée pour Didier Roustan.
10:12J'ai marre.
10:13Ah.
10:14Tu as complètement raison.
10:15On a reparlé de lui il n'y a pas longtemps et son livre Puzzle.
10:16On pense très, très fort à lui.
10:17Didier qui nous a quitté malheureusement.
10:18Louis Vaudin.
10:19Ronaldinho.
10:20Très, très bien.
10:21Voilà, je reconnais ton talent.
10:22Tu joues comme lui.
10:23Je joue là comme Ronaldinho.
10:24La voile.
10:25Je me retourne déjà vers vous.
10:26Moi, je vais dire Ruyant.
10:27Thomas Ruyant.
10:28Tu es dans le classement, toi.
10:29Ben oui.
10:30Le deuxième.
10:31Très bien.
10:32Rotornaz.
10:33Oui.
10:34Tu m'as dit ?
10:35Rotornaz.
10:36Oui.
10:37Tu m'as dit ?
10:38Oui.
10:39Tu m'as dit ?
10:40Oui.
10:41Tu m'as dit ?
10:42Oui.
10:43Rotornaz.
10:44Oui.
10:45Tu m'as dit ?
10:46Oui.
10:47Tu m'as dit ?
10:48Rotornaz.
10:49Oui.
10:50Aloys.
10:51Rotornaz.
10:52Rotornaz.
10:53470 qui a fait une médaille à Tokyo.
10:54Sélectionné olympique.
10:55Ah.
10:56Pas mal.
10:57Non.
10:58Eh.
10:59Avec Camille Le Poing.
11:00Des trucs à côté, c'est rien, quoi.
11:01Philippe s'enfourche.
11:02Moi, j'ai mis Rys.
11:03Bernot Rys, c'est un cycliste.
11:04Rys.
11:05Non.
11:06Ries.
11:07Oui, Ries.
11:08Je l'ai mal prononcé.
11:09Tu prends pas un riz, hein.
11:11On se moque pas, M. Paco.
11:13Si t'es quelque part au fond de mon cerveau,
11:15on ne se moque pas.
11:17Tu prends éventuellement un riz,
11:19mais un riz, tu prends pas.
11:21Tu prends un riz, ou deux.
11:23Je vais le prendre, quand on est.
11:27Ça s'écrit bien, riz.
11:29Et moi j'ai écrit régate.
11:31Bah oui, facile, easy, optimiste,
11:33régate du jus, tranquille.
11:35Régatoni, régate,
11:37régatoni et tout.
11:39Y'a du air, quoi.
11:41Chez vous aussi, le cadeau de Noël,
11:43attention, original.
11:45Une roue de secours.
11:47Oh non, ça marche pas.
11:49Un cadeau ?
11:51C'est le principe du cadeau original.
11:53Merci, M. Capello.
11:55Alors tu sais que chez nous,
11:57j'aurais pu mettre une rose, mais c'était pas original.
11:59Dans des régions un peu Rhône-Alpes,
12:01t'as un fromage qui s'appelle la roue de secours, c'est la tomme de Savoie.
12:03Tu peux offrir une grosse tomme de Savoie,
12:05t'en souviens ça, Louis ?
12:07Donc ça peut aussi être un cadeau de Noël.
12:09Quand j'étais petit, on l'amenait à la maison.
12:11C'est gonflé comme cadeau.
12:13C'est gonflé, j'aime beaucoup.
12:15C'est validé.
12:17Philippe Senghorche.
12:19Philippe ?
12:21Un râteau.
12:23Tu vas donc offrir un râteau à Madame.
12:25Y'a pas beaucoup de feuilles en ce moment dans le jardin.
12:27Faudrait qu'on soit un peu sérieux
12:29dans cette émission.
12:31Non, moi j'ai pas.
12:33Même pas un rasoir ?
12:35Bah non.
12:37C'est pas original un rasoir.
12:39Ça dépend à qui tu l'offres.
12:45T'as pas de petite idée sympa ?
12:47Une rose pour les dames ?
12:49Non mais ça c'est pas original.
12:51On l'a dit original.
12:53Non original c'est un voyage,
12:55un séjour,
12:57quelque part.
12:59C'est super original ça.
13:01Ah si !
13:03Le râteau c'est bien.
13:05Vous savez quoi, on va aller au Club Maître de la Plagne,
13:07la prochaine émission sera l'émission 18 au micro d'or, ça c'est original.
13:09Alors avant de vous y inviter,
13:11on va faire les comptes, on va aller vite avec le bonhomme.
13:13Oui mais moi j'ai pas de doublons.
13:15Ah oui mais il y a des doublons.
13:17Nous sur Rouen.
13:19Et moi j'en ai un sur...
13:21On a le rosier qui comptait pas de toute façon.
13:23Moi j'en ai 7.
13:251, 2, 3, 4, 5, 6.
13:27Vous avez le droit de copier là,
13:29ce moment là.
13:31Vous êtes tous à 6, vous avez trouvé 3 mots et vous êtes à 6.
13:33Mais non !
13:35Moi je suis à 7 aussi.
13:377, 7 et 6, 6.
13:398 si on contrôle l'éveur.
13:41On écrit quoi là, 6 ?
13:43Et donc t'as 17.
13:45Donc on a 2 concurrents à 7 pour l'instant.
13:47Julien et Philippe.
13:49Philippe s'en fout, Julien perd.
13:51Et Corinne Boulou et Louis Baudin à 6.
13:53On est pas mal, attention, ça va être chaud ce petit pack épisode 17.
13:59Petit tour de table sur l'actualité.
14:01On se ramène nos émotions quand même.
14:03Je me retourne vers Corinne Boulou.
14:05Corinne t'as plein de spécialités.
14:07Moi je te connais aussi beaucoup par le tennis quand même.
14:09Je sais que la voile maintenant c'est devenu...
14:11J'ai commencé par la voile,
14:13par la course au large en 92.
14:15D'accord, t'étais où à cette époque là ?
14:17J'étais à Europe 1 avec Gérard Fusy
14:19qui a bien connu Louis Baudin.
14:21Et Gérard Petitpas comme consultant.
14:23Il a fait une étape de la course de l'Europe
14:25avec nous, avec Paul Vatienne.
14:27Gérard Fusy, je me trompe, c'est lui qui avait créé
14:29le Red Gauloise ?
14:31Oui exactement.
14:33Et j'ai commencé par
14:35une transat anglaise
14:37c'était au mois de juin,
14:39et un Vendée Globe. Et j'en suis à mon 9ème
14:41Vendée Globe avec ce départ.
14:43Attends parce qu'il n'y en a que 10 un Vendée Globe.
14:45Et bien oui.
14:47Et c'est tous les 4 ans ?
14:49Je sortais de l'école à ce moment là.
14:51T'as des grands souvenirs de Vendée Globe comme ça ?
14:53Oui, d'énormes souvenirs.
14:55Très bons, émouvants,
14:57des arrivées de Vendée Globe, des départs déjà.
14:59Si vous avez suivi
15:01sur la chaîne L'Equipe,
15:03le départ
15:05du dernier Vendée Globe,
15:07il y a 4 ans c'était à huis clos
15:09à cause de la pandémie.
15:11Et là, 300 000, 400 000 personnes
15:13sont venues encourager. Les 40
15:15concurrents, il n'y en a jamais eu autant sur cette course.
15:17C'est un truc de dingue, je crois que
15:19vraiment il n'y a que la voile et la course
15:21au large qui donne...
15:23Une histoire, on dit souvent dans le monde du journalisme, raconte une histoire.
15:25Et bien voilà.
15:27Vous avez des histoires à foison dans la voile,
15:29moi c'est ça aussi dans le sport,
15:31que j'adore retransmettre.
15:33Et donc le Vendée Globe,
15:35oui avec des arrivées émouvantes.
15:37Rien que dans les yeux
15:39des navigateurs, des navigatrices qui arrivent.
15:41Plus l'arrivée que le départ ? Je pensais que c'était plus le départ déjà
15:43quand tu laisses quelque chose.
15:45Le départ il est très émouvant, moi j'en ai eu encore
15:47des frissons en les entendant
15:49parfois pleurer avant le départ.
15:51Et nous dire tout ce qui
15:53leur passait. Parce que dans le sport
15:55performance, souvent vous avez
15:57moins ça.
15:59Les gars, les sportifs sont
16:01dans leur chrono,
16:03oui je viens de réaliser ma meilleure perf.
16:05Ok, c'est génial aussi,
16:07j'ai eu beaucoup de plaisir à commenter l'athlétisme,
16:09des 100 mètres avec Bolt,
16:11ou la natation avec Phelps,
16:13avec Manoudou, avec Alain Bernard.
16:15Mais
16:17la voile a vraiment
16:19quelque chose d'autre. Moi c'était à chaque fois mon
16:21bol d'air, sans mauvais jeu de mots, mais
16:23c'est vrai qu'ils sont extraordinaires. En plus ils racontent
16:25tellement bien.
16:27Et puis le large, nous en radio,
16:29c'était formidable les voies du large.
16:31Vous n'aviez pas d'image à l'époque. Aujourd'hui vous en avez
16:33plein. Un peu trop peut-être ?
16:35Non, pas un peu trop, je trouve que ça va.
16:37Franchement j'ai eu peur effectivement
16:39à un moment où il y a un peu trop
16:41d'image par rapport à ce qui peut se passer
16:43en mer sur une journée. Et en fait non,
16:45je trouve que c'est bien. C'est bien dosé
16:47et on vit
16:49des histoires incroyables avec eux.
16:51On reparlera de tennis après, parce que je vais me retourner vers Louis.
16:53On est parti sur la voile parce que c'était une de tes spécialités,
16:55comme l'athlétisme.
16:57Ça a commencé par la voile après. Louis, c'est combien
16:59de Vendée Globe à distance ? Moi j'en ai manqué
17:01un aussi. Et les premiers,
17:03j'étais impliqué parce que moi j'étais longtemps navigué avec Yves Parlier
17:05et qu'Yves Parlier aurait dû gagner
17:07le Vendée Globe. Pour moi c'était le meilleur de son époque.
17:09Et s'il perd, c'est parce qu'il mange trop d'algues, c'est ça ?
17:11Non, parce qu'il a dématé. Et puis il y a eu
17:13des fameuses histoires où il va se cacher
17:15derrière cette île et réparer,
17:17refaire un four. C'est un personnage
17:19extraordinaire. Et il y a eu cette série,
17:21enfin ce film qui a été fait sur lui,
17:23il n'y a pas très longtemps, avec Samuel Lebihan,
17:25qui raconte ça parfaitement.
17:27Donc oui, j'ai tout fait, avec
17:29des redéparts, avec... Bah là,
17:31ces dernières années, en commentaire,
17:33j'étais encore sur le dernier pour TF1.
17:35Et Louis a été le routeur de Florence Artaud.
17:37Je ne le dis pas, mais effectivement.
17:39Mais là, on n'est pas sur le Vendée Globe.
17:41Routeur, c'était
17:43quelle époque, ça, pour Louis Baudin ? C'était il y a une vingtaine d'années ?
17:45Ça commence... Ah non, c'est...
17:47Je voulais être sympathique, juste, Louis !
17:49Pour une fois que t'es sympathique !
17:51Moi, ça commence
17:53avec Bruno Perron à 88.
17:55C'est déjà un Québec Saint-Malo. Premier
17:57routage que je fais avec lui. Et puis ensuite,
17:59c'est Florence Artaud qui m'engage.
18:01Et c'est quatre ans avec elle. Et puis après,
18:03c'est avec Paul Vatine. Et puis après, c'est
18:05avec des gens un peu moins connus. François Lamiot,
18:07des gens comme ça, mais qui jouait des championnats de France
18:09de course au large, et qui était très très bon.
18:11Et avec qui j'ai travaillé. Et Yves Parlier.
18:13Yves Parlier ? Parce que Yves Parlier,
18:15c'est probablement le marin qui a plus investi
18:17sur la météo, tout au début.
18:19Il y avait Philippe Caupon, avec Jean-Yves Bernaud,
18:21qui était un autre routeur,
18:23qui était vraiment le précurseur. Même pas Loïc Perron ?
18:25Non, Loïc Perron n'était pas
18:27un fou furieux de la météo, tout comme
18:29Laurent Bourgnon. C'était des gens qui allaient très vite
18:31sur l'eau. Et la météo était
18:33pas secondaire, mais en tout cas, eux,
18:35ils privilégiaient d'être très très rapides sur l'eau.
18:37C'est ce qu'ils étaient. Lui et Laurent Bourgnon,
18:39c'est des gens, j'ai travaillé une fois
18:41avec Laurent Bourgnon, et
18:43ils ont une liste de surfeurs. Ils avaient une capacité
18:45à faire aller vite tous les deux. Il y avait Prost et Sénat,
18:47et il y avait Bourgnon et Loïc Perron.
18:49Sacrée époque.
18:51Comme on dit, ce sont des bons clients à l'époque.
18:53Une grande pensée pour Laurent, bien sûr.
18:55On était encore dans l'aventure, quand même.
18:57C'est encore l'aventure, c'est-à-dire que... Vous ne saviez pas à quelle heure
18:59t'arrivais ? C'est quoi la fameuse course ?
19:01C'est Malinowski, quand il arrive avec...
19:03T'as parlé, t'as parlé !
19:05La première route du Rhum, Malinowski,
19:07c'est Mike Birch, où il y a 90 secondes
19:09d'écart entre les deux à l'arrivée.
19:11Personne ne sait qui va gagner ?
19:13Non, ça se joue dans le canal des Saintes.
19:15À l'arrivée, où là on voit
19:17cette petite libellule jaune qui surgit,
19:19Malinowski a un bateau de 23 mètres, je crois,
19:21de long, et là il arrive sur un petit bateau qui fait
19:2312 mètres de long ! Il faut voir que les bateaux
19:25d'aujourd'hui font 18 mètres, 33 mètres
19:27pour les ultimes. Avec une sacrée technologie.
19:29Une sacrée technologie. Et lui arrive avec ce premier
19:31bateau, et la légende de la route du Rhum
19:33commence là, et ça se perpétue
19:35parce qu'ensuite, toutes les routes du Rhum ont toujours
19:37une histoire très très forte, soit parce
19:39qu'il y a du suspens jusqu'au bout, soit parce qu'il y a
19:41de la casse, soit parce qu'il y a des rebondissements,
19:43donc c'est quand même extraordinaire.
19:45Le Vendée Globe, aujourd'hui, que l'on suit à distance,
19:47c'est quand même une aventure humaine assez incroyable.
19:49C'est un petit bateau qui n'est pas immense,
19:51c'est un petit bonhomme ou une petite jeune fille.
19:53Il y a des anciens, comme Jean-Luc Hamme et la petite
19:55Violette, là, qui est à la fin.
19:57C'est extraordinaire. Ah ben non, mais ça reste la dernière
19:59aventure maritime. La vraie aventure.
20:06On va changer de catégorie mystère.
20:08Vous avez droit donc à sport, ville, prénom,
20:10arbre, et peut-être plus,
20:12selon l'humeur de Maître Grépello,
20:14les animaux, le tennis, la formule 1,
20:16le foot, la voile, et donc, après le
20:18cadeau de Noël original... Alors, une chose,
20:20une chose qu'on trouve dans un frigo.
20:22Ah ouais. Tu feras au mieux.
20:24La deuxième lettre après le R.
20:26Ce sera donc le F.
20:28F. Et on est partis pour
20:30deux minutes. Le F, c'est assez
20:32simple pour le sport. Ouais, mais...
20:34Il va falloir trouver quelque chose. Et c'est comme d'habitude,
20:36à ce moment-là, que les choses se compliquent
20:38pour le plateau, parce que...
20:40Je vais parler pendant deux minutes.
20:42Ah non, tu vas pas nous faire ça.
20:44J'ai tas de choses à raconter, vous imaginez même pas.
20:46Fenouille, c'est pas bon, hein ?
20:48Ça dépend en quelle catégorie.
20:50Ça dépend en quelle catégorie. Christophe réfléchit bien.
20:52C'est pas un arbre, en tout cas.
20:54Vous savez que Radio Sport a encore
20:56des tas de choses à découvrir. Tous les
20:58programmes sports en ce moment. T'as vu,
21:00Christophe, le programme en ce moment ? Il y a du hand.
21:02Il y a du foot.
21:04Chez les filles. Il y a du hand chez les garçons
21:06qui se préparent à la rentrée de
21:08janvier, championnat du monde.
21:10On a quasiment de tout en ce moment.
21:12Il y a de quoi s'amuser. J'étais déçu.
21:14Je sais pas si tu l'as été, toi, sur
21:16les matchs des filles au hand. La salle
21:18était quasiment vide. Ah oui, t'as raison.
21:20C'est toujours agaçant de voir ça, en fait.
21:22On se dit, c'est dommage.
21:24Bon. Sinon,
21:26on se raconte quoi ? Tu veux que je raconte d'autres choses ?
21:28Non, je suis en train de réfléchir.
21:30C'est vraiment très difficile, l'arbre.
21:32C'est une catégorie. Il faut quand même des catégories difficiles.
21:34On reçoit des messages qui nous disent
21:36que c'est trop facile, que les catégories sont toujours
21:38les mêmes, que les gens ont le temps de s'entraider.
21:40Donc il faut quand même compliquer les choses.
21:42Dans le frigo, mettre du foin, ça va pas.
21:44Pour les arbres, il y a deux catégories.
21:46Les arbres qui sont sur la catégorie
21:48française, ce qu'on va appeler
21:50les arbres locaux et les arbres
21:52exotiques.
21:54C'est hyper dur. On peut parler
21:56en latin pour les arbres.
21:58Je vais m'aider pour ceux qui ont fait des lettres.
22:00Mais c'est pas moi.
22:02Quoique aussi, j'en avais fait à l'époque.
22:04Dans le frigo, vous avez trouvé ?
22:06T'as le droit de sauter
22:08une case, comme ça, ça va plus vite, Louis.
22:10T'en as parlé tout à l'heure. T'es bien, Corinne ?
22:12Bof. 1, 2, 3, 4,
22:145, 6, 7.
22:16Il vous reste 15 secondes.
22:1815 secondes, mais non !
22:2015 secondes, les enfants, pour la lettre F.
22:22Sport, ville, prénom, arbre,
22:24animaux, tennis, formule 1, foot, voile.
22:26Et donc, dans le frigo.
22:28Je vois que Loulou, il bug dans le frigo.
22:30Ah, je bug dans le frigo, ouais.
22:36Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. C'est terminé.
22:38C'est terminé.
22:40Ça a l'air bien, Philippe. On va partir par
22:42ce côté-là ? Bof, bof, bof, bof, bof.
22:44Bah si, parce que le sport
22:46en F, c'est assez simple.
22:48Je me suis dit que
22:50on serait peut-être pas tout seul sur ce coup-là,
22:52donc j'ai mis le frisbee.
22:54Ah, c'est le sport en France !
22:56Ouais !
22:58Joli. Louis ?
23:00Le football. Le football ? Bah ouais, moi aussi.
23:02Au revoir ! Au revoir !
23:04Formule 1. Mais oui !
23:06Juste le chat ! Ah bah oui !
23:08Formule 1 ! Oui !
23:10Pour le football, vous auriez pu faire le foot seul.
23:12Ah oui. C'est vrai.
23:14Les villes.
23:16Vas-y, Philippe.
23:18Fribourg. Pourquoi ?
23:20Comme ça ? Un souvenir ?
23:22C'est le foot qui est un peu. C'est le football, ça.
23:24Le foot permet quand même. Le foot est bien.
23:26Tu allais souvent à Fribourg pour faire des matchs de foot ?
23:28Pas tant que ça. Non, pas tant que ça.
23:30D'accord.
23:32Florence. Ah. Bah moi aussi !
23:34Oui !
23:36C'est romantique, ça.
23:38Il paraît qu'on ne tolère pas les gros mots sur le sport en France
23:40et sur Radio Sport, donc mince, Louis, alors !
23:42Moi, je pensais
23:44être un peu parti loin pour...
23:46Départ du Tour de France, tu l'as dans la tête tout de suite.
23:48Fort de France.
23:50Oui ! Bien joué, bien joué.
23:52Noël !
23:54Joyeux Noël !
23:56C'est ça, non ?
23:58Alors.
24:00Moi, je suis né dans un pays chaud, comme disait Marius Trésor.
24:02Prénom ?
24:06Francesco.
24:08Le grand hôte ?
24:10France.
24:12Elle était la femme de...
24:14Je ne savais pas.
24:16Mais je crois qu'il avait dit ne m'appelle plus jamais France.
24:18Fabien.
24:20Très bien.
24:22Fabrice.
24:24Fabrice, tu dois être fier de toi d'avoir soufflé.
24:26Les arbres, alors là.
24:28Pas trouvé.
24:30Pas de freine, pas de figuier.
24:32Nada.
24:34Louis ? Nada ? Personne ?
24:36Moi, j'étais bordeur, j'ai mis forêt.
24:38Pour rigoler, parce que je n'ai pas le droit de jouer, j'ai mis forêt
24:40pour embêter un peu. Maître Capelo ?
24:42Pas de figuier, pas de freine.
24:44Ah, freine, bien sûr !
24:46Allez, vous passez par la case prison.
24:48On est d'accord.
24:52Il faut du temps.
24:54Lamentable.
24:56C'est terrible.
24:58Donc la forêt, non, ça ne marche pas.
25:00Les animaux.
25:02Fennec.
25:04Ah, dur.
25:06Fouine, pas mal.
25:08Un petit fang.
25:10Le furet, le flamand rose.
25:12Ah oui, le furet.
25:14Je ne te regarde même pas.
25:16Philippe.
25:18Le fédéraire.
25:20Filet.
25:22Il est sur les axes d'espoir.
25:24Au vert, filet.
25:26Il a compris le truc.
25:28Moi, je n'ai pas mis fédéraire.
25:30Donc, fratangelo.
25:32Alors là, on est beau.
25:34Fonini.
25:36Mais oui !
25:38Là, tu sens le mec qui a fait les Master 1000,
25:40les 250 et les Challenger.
25:42On est dans l'Italie en ce moment.
25:44Fonini, tu as raison.
25:46C'est un joueur assez étonnant.
25:48Tu as raison, l'Italie, numéro 1,
25:50tu te rends compte, c'est les garçons chez les filles en coupe de vis.
25:52La Formule 1 ?
25:54Philippe a le dit.
25:56Emerson, d'accord.
25:58Emerson.
26:00Et Elphys aussi.
26:02Après, c'est Bruno, non ?
26:04Enzo.
26:06Je confonds Bruno, c'est là.
26:08Philippe, un truc.
26:10Excusez-moi, Maître Capello,
26:12si vous pouvez me rendre les clés de la voiture de Louis.
26:14On commence par un F avec un cheval cabré dessus.
26:16On peut s'arranger.
26:18Non, je n'ai plus.
26:20Il n'y en a pas.
26:22Alors là, on mélange.
26:24Pour les impôts de Louis,
26:26il n'a pas de Ferrari.
26:28Il a une Fiat.
26:30Avec le F, ça marche aussi.
26:32Petit pot de yaourt.
26:34Fucci Ball.
26:36Fiorez.
26:38Mais lui, il n'a pas le droit parce qu'il a joué dans deux grands clubs.
26:40Non, un seul.
26:42Parce que l'OM,
26:44ce n'est pas un club.
26:46Et D.U. non plus.
26:48Fiorez et D.U., quelle histoire.
26:50P.G. Marseille.
26:52Moi, j'ai remis filet pour que le Paris Saint-Germain
26:54réussisse un jour
26:56à frapper dans ses fous.
26:58Heureusement qu'il n'y a pas catégorie badminton.
27:00Tout la journée,
27:02filet.
27:04Dans le frigo, filet de veau.
27:06Bien joué, Louis.
27:08Moi, j'ai mis la Fiorentina.
27:10Joli, c'est bien ça.
27:12Moi, j'ai mis Frappard.
27:14Stéphanie.
27:16La voile,
27:18j'en ai un petit joli.
27:20Moi, j'ai calé.
27:22J'ai mis Foc.
27:24Moi, j'en avais deux.
27:26J'avais Florence Arthaud.
27:28Moi, j'avais Flo.
27:30Flo, tu l'acceptes.
27:32Tu l'acceptes.
27:34Le même Flo, on l'aura accepté.
27:36Moi, très honnêtement, je ne sais pas ce que ça veut dire,
27:38mais j'ai entendu ça tout à l'heure, donc j'ai mis four.
27:40Il n'y a pas quelqu'un qui a parlé de ça tout à l'heure ? Faire un four ?
27:42Personne n'a parlé de ça tout à l'heure ?
27:44Si, c'est toi qui viens de le faire.
27:46Ok, zéro.
27:48Un petit foil.
27:50On a parlé de ça tout à l'heure.
27:52Alors, dans le frigo,
27:54spécialité de M. Sanfourche, grand cuisinier.
27:56On aurait du fromage râpé.
27:58Non, c'est le fromage.
28:00J'ai mis pareil.
28:02J'ai mis que fromage.
28:04C'est bon, fromage râpé.
28:06Moi, j'ai mis flan.
28:08Fabrice, M. Capello.
28:10Fenouil, tu l'avais dit tout à l'heure.
28:12Des fraises, on peut imaginer.
28:14Non, fraises, je n'ai pas.
28:16Quand on les a préparées, après...
28:18Je voulais mettre un petit fin d'us,
28:20mais ça faisait de la pub.
28:22Et ça monte, mais t'es un bon cuisinier.
28:24Faut pas douter, Louis.
28:26Je retiens la leçon.
28:28Julien.
28:30Julien Perronnette, sport en France.
28:32On va faire des comptes et on va parler de toi.
28:34Combien de points, messieurs-dames ?
28:36Ils cherchent.
28:38Ils cherchent.
28:408 points.
28:42Et moi aussi, 8.
28:448 sur 10.
28:46Bien.
28:48La voile est l'arbre.
28:50T'as 15 tous les deux.
28:525.
28:54Attention, les bateaux se détachent.
28:565.
28:58Je ne dis rien, Louis.
29:00Julien, toi tu disais
29:02dans tes amours de jeunesse, c'est la Formule 1.
29:04Il y a beaucoup d'autres choses.
29:06Sur sport en France, qu'est-ce que t'arrives à faire de beau ?
29:08C'est pas simple pour les droits, bien sûr.
29:10Pas la Formule 1, déjà, c'est une certitude.
29:12Non, après, nous on a quand même pas mal de choses.
29:14On a beaucoup de sport en continuité.
29:16On a le championnat de France de volets féminin, le basket aussi,
29:18avec la boulangerie ronde d'Air League,
29:20et puis après, des petites choses
29:22qui viennent, comme ça, par-ci par-là.
29:24Là, bientôt, on va avoir les championnats du monde de pétanque,
29:26on a du squash aussi,
29:28on va diffuser le circuit PSA.
29:30Donc, non, on a pas mal de trucs
29:32très intéressants. Futur sport olympique ?
29:34Futur sport olympique.
29:36Camille Cerme qui revient,
29:38tout à fait, pour une qualif
29:40au jeu. Ce ne sera pas facile, mais le challenge
29:42est intéressant. Ce qui est bien de t'avoir comme t'es spécialiste
29:44de Formule 1, c'est que, toi,
29:46t'adores Philippe aussi. Je ne sais pas si tu aimes la Formule 1, Louis.
29:48Oui, j'adore. Moi aussi. Corinne, pareil.
29:50Moi, je me suis passionnée, à l'époque,
29:52pour le duel
29:54Prostena, mais j'ai un peu lâché depuis.
29:56C'est moi, ça, madame ! Oui, je sais.
29:58Ça, c'est l'époque de Maître Capéo ! Mais ça, c'était quand j'étais jeune.
30:00Et j'ai un peu lâché depuis.
30:02J'avoue que, non, je ne regarde plus vraiment.
30:04Son petit caractère, les bagarres derrière.
30:06Même Schumacher, ce n'était pas...
30:08Ça ne me passionnait pas plus que ça.
30:10Est-ce toujours aussi passionnante, la Formule 1 ? Parce que, de temps en temps,
30:12on s'ennuie faire, même sur la fin du championnat,
30:14des Grands Prix comme au Mexique, qui étaient passionnants.
30:16Oui, ça dépend. Après,
30:18il y a beaucoup de choses qui ont changé.
30:20Moi, je trouve qu'il y a des choses qui sont moins intéressantes.
30:22Le DRS, notamment, ça rend les courses quand même
30:24beaucoup moins intéressantes. Parce que
30:26les pilotes dépassent, entre guillemets, beaucoup plus facilement.
30:28Toujours dans les mêmes zones.
30:30Ça crée vraiment un décalage de niveau entre les
30:32grosses écuries et les moyennes.
30:34Le but, c'est pour que ça double. Oui, mais
30:36c'est quand même des pilotes qui sont très talentueux.
30:38Et on se rend compte, comme il n'y a pas longtemps, quand il y a eu le Grand Prix du Brésil,
30:40avec la pluie, qu'en fait, ils n'ont pas besoin du DRS.
30:42Donc, ils savent doubler.
30:44Et aujourd'hui, les monoplaces prennent
30:46beaucoup, beaucoup de place sur la piste. Elles sont très larges,
30:48très grosses. Ça changera en 2026, avec
30:50la nouvelle réglementation. Ce qui devrait
30:52être un peu plus intéressant. Mais
30:54non, on est revenu quand même à des choses...
30:56C'est un peu plus serré, quand même, ces dernières années.
30:58Ça s'est resserré. Il y a des écuries
31:00qui ont bien travaillé. McLaren est revenu sur le devant de la scène.
31:02Ferrari travaille très, très bien depuis que
31:04Fred Vasseur est arrivé.
31:06Donc, voilà. Red Bull travaille peut-être
31:08un petit peu moins bien. Année compliquée.
31:10Année compliquée, oui.
31:12Ils ont été bien agités en coulisses, surtout.
31:14Et puis surtout, leur problème principal, c'est qu'ils
31:16n'ont qu'un seul pilote.
31:18C'est un choix, ça. En Formule 1, ça a toujours existé.
31:20Le 1 et le 2, Philippe, n'ont pas existé.
31:22Oui, mais là, ils ont un 2 qui marque vraiment
31:24pas beaucoup de points. Et dans ce genre d'écuries, c'est quasiment
31:26du... Enfin, c'est très rare.
31:28Et là, ils en sont à passer presque
31:30troisième au classement constructeur.
31:32Il y a quand même de l'argent en jeu.
31:34Et puis même un titre.
31:36Et c'est vrai que n'avoir que Verstappen,
31:38c'est bien, mais effectivement, il est tout seul. Et à terme,
31:40ça pourrait même mettre un problème en course.
31:42Le choix était clair. Quand tu revois certaines interviews,
31:44le patron te dit, je mise sur Verstappen.
31:46Et c'est un choix financier, après,
31:48de conserver Pérez parce qu'il a beaucoup de sponsors
31:50derrière, il est très suivi au Mexique, tout ça, etc.
31:52Mais il y en a d'autres, des pilotes comme ça.
31:54Mais les consignes de course, ça existe.
31:56Philippe, ça a toujours existé, les consignes de course, même en rallye.
31:58C'est aussi ce qui a fait
32:00le sel, ce qui a fait décoller la Formule 1
32:02dans les années 80. C'est que, justement,
32:04il y avait des duels internes.
32:06C'est ce qui manque aujourd'hui à la F1,
32:08c'est que dans une même écurie, il y ait deux pilotes des mêmes niveaux.
32:10C'est pour ça que moi, j'attends énormément
32:12l'arrivée d'Hamilton
32:14chez Ferrari parce que là, on va
32:16avoir vraiment deux
32:18Cadors qui vont...
32:20Non, mais tu prends en d'accord
32:22un des plus grands pilotes au monde, Hamilton. Tu crois
32:24qu'il est encore aussi rapide qu'avant ? Non, mais je ne sais pas.
32:26Je pense qu'un Hamilton
32:28va retrouver l'adrénaline
32:30à la fois de signer
32:32dans la plus mythique des écuries
32:34et d'avoir un client
32:36comme Charles Leclerc, qui a quand même démontré
32:38à de multiples reprises
32:40que quand l'auto est au niveau,
32:42il nous a offert quelques passe-dames avec Verstappen
32:44qui nous ont rappelé que quand ils étaient gamins,
32:46c'était quand même deux garçons. Le roi du karting, oui.
32:48Donc, je pense
32:50que ça peut relancer.
32:52Il y a des choses qui sont frustrantes, mais
32:54je trouve qu'il y a quand même une densité dans la qualité des pilotes.
32:56Je veux dire, Landon Norris est arrivé aussi.
32:58Quand on regarde, Verstappen, Hamilton,
33:00Leclerc, Norris... Il y a moins de pilotes vraiment au fond de plateau
33:02comme on peut avoir à une époque. Il y en a eu un
33:04ou deux ces dernières années, mais là...
33:06Et pilotes payants, tu veux dire, par exemple.
33:08Et pas forcément que payants, en plus.
33:10Et maintenant, même Williams, qui il y a quelques années était
33:12complètement perdu, est quand même bien revenu
33:14à une monoplace intéressante. Ils ont des
33:16bons pilotes. En tout cas, là, ils en ont un deuxième
33:18bon maintenant. Mais effectivement,
33:20l'année prochaine, je pense que ça va commencer à devenir
33:22intéressant. Mais il manque ça chez Red Bull.
33:24Il manque une petite
33:26guerre interne comme on a pu avoir
33:28avec Rosberg et Wilcox. Comme chez Alpine, tu veux dire.
33:30Oui.
33:32C'est bien chez Alpine. Tu as toujours un petit spectacle.
33:34Un petit spectacle, oui.
33:36Ils sont calmés, les deux. Depuis la remprise de Monaco, je crois qu'ils sont un peu calmés.
33:38Ils ont des résultats, quand même.
33:40Très, très bons résultats.
33:42C'est passionnant, finalement. Il faut attendre encore un an pour voir
33:44des choses différentes, c'est ça ?
33:46Là, 2025, ça ne va pas beaucoup bouger.
33:48Après 2025, ce qui va être
33:50intéressant, c'est qu'il va y avoir beaucoup de jeunes pilotes
33:52qui sont rentrés, par contre, sur la grille
33:54avec très peu d'expérience
33:56en Formule 1. Donc, ils vont avoir un an, entre guillemets,
33:58pour aussi bien se chauffer, se mettre à niveau
34:00avant 2026, où là, vraiment, ça va être...
34:02Il va y avoir
34:04deux nouvelles écuries, en plus, avec Audi
34:06et Kadiak, du coup, qu'il a annoncé
34:08cette semaine. Donc, 22 pilotes sur la grille,
34:10c'est beaucoup.
34:12Beaucoup de changements. Ça va être très sympathique.
34:18Mon cher Maître Capelot,
34:20après le R, après le F,
34:22voici une nouvelle lettre, mais auparavant, tu vas nous dévoiler
34:24la case mystère, la dixième
34:26chez vous. Je sais que vous allez m'en vouloir.
34:28Une partie du corps.
34:30Ça va, une partie du corps, au moins, on sait ce que c'est.
34:32À la fin des sports,
34:34de la ville, du prénom, de l'arbre,
34:36des animaux, du tennis, de la Formule 1, du foot
34:38et de la voile. Partie du corps
34:40avec la lettre U.
34:42Bon courage. Super, partie du corps avec un U.
34:44Ça commence bien.
34:46Mais c'est parti pour deux minutes.
34:48Non, c'est pas possible.
34:50Oh non.
34:52Ah si, si, je l'ai en plus.
34:54Mais oui, tu l'as.
34:56Je commence par la fin.
34:58Tu as raison, tu as raison, il faut des fois
35:00savoir, on l'a vu, les tactiques sont
35:02différentes à ceux qui vont très vite.
35:04Ils vont faire les quatre catégories qui leur
35:06un peu chouchoutent
35:08et puis après, ils se posent.
35:10Pour retrouver l'émission
35:12ou d'autres, il y a d'autres surprises
35:14sur le sport en France, mais aussi sur Radio Sport,
35:16vous les retrouvez sur le site internet
35:18Radio Sport avec un S, parce qu'il y a plusieurs sports,
35:20il n'y en a pas qu'un. Christophe, il n'y en a pas qu'un.
35:22Je suis concentré, tu ne peux pas t'imaginer,
35:24j'essaie de t'occulter, mais la lettre U,
35:26c'est complexe.
35:28Sinon, ce n'est pas drôle.
35:30Non, ce n'est pas drôle du tout.
35:32Vous pouvez également nous retrouver sur les réseaux sociaux
35:34habituels, X,
35:36on appelait Twitter à l'époque.
35:38Oui, parce que X, ça fait drôle.
35:40Ça gêne tout le monde en fait.
35:42Tout le monde a toujours dit X Twitter.
35:44Les Américains sont comme ça,
35:46le X, ils l'ont mis à toutes les sauces.
35:48Je ne suis pas bien pour une fois.
35:50Je ne suis pas bien.
35:52Tu veux de l'aide ?
35:54Je ne me sens pas bien sur l'histoire.
35:56J'ai des trous partout sur mes caisses.
35:58Il faut te soulager.
36:00Les animaux, tout ça, le télis.
36:02On a le droit anglophone ?
36:04Un peu.
36:06Le télis, t'as trouvé ?
36:08Non.
36:10Par expérience, le U est l'une des lettres les plus difficiles.
36:12Un animal en U.
36:14Le hasard.
36:16Ce n'est pas moi qui tire les lettres.
36:18C'est l'infortune.
36:20En arbre.
36:22Cherchez pas, il faut passer en latin.
36:24Je vous le dis tout de suite.
36:26En latin ?
36:28Oui.
36:30On peut mettre un fruit ou autre chose ?
36:32Je vous laisse 10 secondes pour trouver un fruit à la place.
36:34Un fruit ou un légume ?
36:36Ce qui n'est pas plus facile.
36:38Super, je n'en ai pas.
36:40Même en sport ?
36:42Non, pas en sport.
36:44Non, Christophe.
36:46Ah non !
36:48C'est déjà terminé.
36:50Là, je pense qu'on va avoir un petit score.
36:52C'est un four.
36:54Louis Baudin, vous l'aimez.
36:56Arrête de tricher.
36:58Moi non.
37:00Est-ce que ça a un sport ?
37:02ULM.
37:04Il n'y a même pas des maps.
37:06Je t'ai trop fier.
37:08C'est quoi ?
37:10C'est un sport.
37:12C'est même pas un sport.
37:14Sur le U,
37:16vous aviez les ultra-running,
37:18ultra-cycling,
37:20l'ultimate.
37:22Ah, l'ultra-trail.
37:24Les villes ?
37:26Il fera beau, il va neiger ?
37:28ULM.
37:30Moi aussi.
37:32J'avais ULM, mais j'avais ULM.
37:36Il y avait Utrecht.
37:38UZ.
37:40Dans le Gard,
37:42il y avait UGIN.
37:44Il y avait quoi ?
37:46Ah si, UGIN, en Isère.
37:48UGIN, c'est juste
37:50quand tu montes à la Plagne,
37:52par Albertville, quand t'arrives d'Annecy.
37:54UGIN, ou Tchabouni.
37:56C'est pas en Isère, c'est en Savoie.
37:58La Savoie, la haute Savoie,
38:00c'est la haute couture.
38:02Mais on va pas le faire.
38:04Les prénoms, monsieur Baudin.
38:06Urbain.
38:08Boulette.
38:10Philippe. Ursula.
38:12C'est marrant.
38:14Même référence.
38:16J'allais mettre Ursul, j'ai dit trop facile.
38:18Justement, moi j'ai mis Ursula.
38:20Bien sûr.
38:22Ulrich.
38:24Ulm, Ulrich.
38:26D'accord.
38:28Arbre, alors là.
38:30T'avais quoi en latin ?
38:32C'est le Ulmus, c'est la série des Ormes.
38:34Ulmus.
38:36Sans H.
38:38D'accord.
38:40Animox ?
38:42Rien.
38:44Alors moi j'ai un truc, mais je suis pas sûr.
38:46Il y a l'Uberlu ou quelque chose comme ça.
38:48L'Urubu.
38:50C'est quoi ça ?
38:52C'est quoi un Urubu ?
38:54Uburoi, ça je connais.
38:56C'est quoi un Urubu ?
38:58Alors maître Ucapelou ?
39:00On est pas bien là, quand madame Bouloul pose les questions.
39:02C'est pour éviter de vous dire une bêtise.
39:04On veut pas sonnure l'Uberlu.
39:06Un Urubu noir, c'est un oiseau
39:08qui ressemble à un aigle un peu
39:10feignasse parce qu'il est pas
39:12flamboyant.
39:14Un Uruberlu, on avait compris.
39:16Vous avez pu faire ursider aussi la catégorie des ours.
39:18Allez, Louis.
39:20En tennis. C'est difficile.
39:22J'ai même pas trouvé.
39:24US Open ?
39:26On est d'accord, j'ai même pas pensé.
39:28Moi non plus je pense pas.
39:30J'ai pensé à un nom.
39:32J'aurais même accepté l'Umpire
39:34en termes anglais.
39:36Formule 1.
39:38Tu peux choisir Umpire aussi
39:40en formule 1 dans ce cas-là.
39:42Non, j'ai rien du tout.
39:44L'undercut ?
39:46Ça existe pas en français.
39:48Oui, on en parle souvent.
39:50Même tout le temps.
39:52On peut préciser ce que c'est.
39:54Football ?
39:56J'ai pas trouvé. Il doit y avoir, mais j'ai pas trouvé.
39:58Football ? Utaka.
40:00Oh, joli.
40:02Utaka quand même.
40:04Ougarte.
40:06Très bien.
40:08Et Rugby ?
40:10Dans tous les stades et des ultras.
40:12La voile ?
40:14Moi j'ai trouvé Upwind.
40:16Vous vous dites ?
40:18C'est un terme.
40:20Vas-y, redis, parce que là je l'ai pas.
40:22Upwind.
40:24T'as gagné.
40:26Upwind, ça veut dire ?
40:28Surgagné.
40:30Le vent.
40:32W-I-N-D, c'est quand ça monte.
40:34Voilà.
40:36Et Ulysse ?
40:38Heureux qu'il est comme Ulysse.
40:40Non, tu prends pas.
40:42Et derrière ?
40:44Partie du corps.
40:46Urine.
40:48Urethre.
40:50Uterus.
40:52On a pas été trop mauvais finalement.
40:54Combien de points, monsieur Bonin ?
40:56Deux.
40:58Oui, ça.
41:00Philippe Sanfourche ?
41:02Même chose, deux.
41:04Mais non, pas plus.
41:0617, attention, parce que Julien...
41:08Corinne ?
41:10Trois.
41:12C'est pas mal, ça fait 14 points.
41:14Louis Bodin ?
41:1613.
41:18Corinne Boulou ?
41:2014 points.
41:22Et mesdames, messieurs, attention, c'est pas très loin devant.
41:24Philippe Sanfourche, 18.
41:26Que se passe-t-il pour nos amis parisiens en ce moment, Philippe Sanfourche,
41:28que tu suis pour Artel ?
41:30C'est dur.
41:32Comment est-ce possible ?
41:34Malheureusement, c'est assez rationnel ce qui se passe.
41:36Ah bon ?
41:38Oui, parce qu'il est arrivé par le passé
41:40qu'on soit un peu dérouté avec ce PSG,
41:42parce qu'il soufflait le chaud et le froid,
41:44il était capable de sortir des grandes performances
41:46et puis parfois de passer complètement au travers.
41:48Là, malheureusement, elle est très prévisible, cette équipe.
41:50C'est-à-dire qu'elle a un plafond de verre
41:52et qu'on voit très clairement
41:54qu'en certains secteurs,
41:56il y a un manque de talent qui est assez évident,
41:58un manque d'expérience, de maturité.
42:00Et donc, on voit une équipe
42:02qui déroule en Ligue 1,
42:04qui s'en sort pas trop mal.
42:06C'est-à-dire le niveau de la Ligue 1 ?
42:08Oui, quand l'adversaire...
42:10Monaco est deuxième.
42:12Mais malheureusement, dès que
42:14la montagne s'est élevée un peu ces derniers mois,
42:16Bayern Munich,
42:18Atletico de Madrid, Arsenal,
42:20même si on remonte à la fin de saison
42:22dernière avec Dortmund,
42:24il y a eu un bon match, c'était contre
42:26Barcelone, match retour. Mais sinon, depuis l'arrivée
42:28de Luis Enrique, il y a très peu
42:30de matchs référence contre des grosses équipes.
42:32Alors, c'est d'une part...
42:34Ça s'explique par ce
42:36choix de vouloir changer complètement,
42:38radicalement de projet.
42:40Mais peut-être un peu trop. C'est-à-dire que c'est le souci
42:42avec ce club,
42:44depuis que le Qatar est à la tête du Paris Saint-Germain,
42:46c'est qu'on est rarement dans la mesure.
42:48Et donc, quand on passe
42:50d'une politique à une autre, on le fait de manière
42:52très tranchée, très radicale, et on est
42:54passé du tout-star, avec
42:56la République des joueurs, qui faisait ce qu'ils
42:58voulaient, à quelque chose de
43:00très autoritaire, très dogmatique,
43:02à la fois dans le schéma de jeu de Luis Enrique,
43:04mais aussi dans le recrutement
43:06et dans la manière de procéder
43:08sur le marché. — Mais tu paies quand même cher quand t'achètes un Dembélé et un
43:10Colo Moini, tu vois ce que je veux dire ?
43:12C'est pas rien, quoi !
43:14C'est pas Neymar, c'est pas Messi ou le Beckham de l'époque
43:16et Ibrahimović, mais c'est des joueurs qui ont coûté très cher.
43:18— On était encore sur la queue de la comète
43:20de l'achat
43:22à grands frais de joueurs.
43:24C'était pas du tout la volonté de
43:26Luis Enrique. On le voit aujourd'hui, ce pauvre
43:28Andal Colo Moini. Il aurait pu coûter
43:30400 millions d'euros, de toute façon, il jouerait pas plus.
43:32— Faites peine !
43:34— Donc, on est dans
43:36une phase transitoire.
43:38La question, maintenant, est de savoir combien de temps
43:40le Qatar va accepter cela.
43:42Pour le moment,
43:44tout le monde fait bonne figure en disant
43:46qu'on assume totalement,
43:48mais faut quand même pas oublier que le Paris-Saint-Germain,
43:50c'est 860 millions d'euros de budget annuel.
43:52— C'est les plus chers ou pas ?
43:54— Il y a plus Bappé, il y a plus Messi, il y a plus Neymar.
43:56C'est le deuxième budget européen derrière
43:58le Real Madrid. Ça se joue un peu dans
44:00un mouchoir de poche avec Manchester City,
44:02Bayern, mais
44:04aujourd'hui, c'est difficile
44:06de tenir un discours.
44:08C'est pas grave si le Paris-Saint-Germain
44:10n'est pas dans les 24 meilleures équipes de Ligue des Champions.
44:12Non, c'est grave.
44:14Ne pas être tout de suite joué la gagne.
44:16— C'est 25e aujourd'hui, alors on se parle.
44:18— Ne pas être dans les 8 premiers,
44:20c'est une chose.
44:22Ne pas être dans les Paris 6,
44:24c'est pas possible.
44:26— Moi, j'ai toujours trouvé
44:28que par rapport
44:30à la connaissance que j'ai du Qatar,
44:32de l'actionnaire,
44:34s'ils ont investi dans ce club-là,
44:36c'est parce qu'il y a
44:38une Tour Eiffel sur le logo,
44:40sur le maillot, et que quand on sort du Parc des Princes,
44:42on voit la Tour Eiffel.
44:44C'est un rayonnement international, ce club.
44:46Je ne les vois pas
44:48aller s'implanter à 25 kilomètres de Paris.
44:50— Même s'il y a le petit berceau du Camp des Loges
44:52et de Saint-Germain-en-Laye, à un moment, le maillot.
44:54— Mais ça vaut pas ton plan
44:56hélicoptère,
44:58le Parc des Princes.
45:00— Ils sont déjà plus à Saint-Germain-en-Laye.
45:02C'est plus le Paris-Saint-Germain.
45:04— J'aimerais quand même qu'on termine cette page foot,
45:06parce que ça me fait tellement de peine de voir notre Kiki national
45:08qui est au bord du gouffre,
45:10qui marche plus, qui marche plus de pénalty.
45:12Il faut qu'il aille en boîte de nuit en Suède plus souvent. Je sais pas, qu'est-ce qu'il faut lui faire ?
45:14— Non, je pense que là, c'est justement
45:16qu'on déteste ce qu'il faut prospèrer.
45:18— Non, je pense que c'est plus possible.
45:20— Non, parce que
45:22on apprendra ou pas, d'ailleurs,
45:24ce qui s'est passé un jour en Suède,
45:26mais quoi qu'il en soit,
45:28la manière dont il a été
45:30entre guillemets piégé,
45:32ou il s'est fait piéger, ou s'est piégé tout seul,
45:34ça lui ressemble tellement pas.
45:36C'est tellement aux antipodes de ce qu'il a
45:38véhiculé depuis le début
45:40de sa carrière, où tout a été
45:42savamment pensé. Donc,
45:44il est dans une période,
45:46effectivement, qui est très complexe,
45:48où il est rattrapé par beaucoup de choses.
45:50Il y a des soucis psychologiques, ça nous remonte
45:52régulièrement. À quel point
45:54est-ce qu'on est au stade
45:56où ça devient pathologique ?
45:58Ça, on ne le sait pas. Mais ce qui est certain,
46:00c'est qu'il est dans un malheur, ce qui est évident.
46:02— Non, mais tu peux pas jouer si t'as vraiment un élément.
46:04— Oui, mais les enjeux sont tels qu'il est...
46:06Aujourd'hui, la meilleure chose qui peut lui arriver,
46:08c'est qu'il aille faire
46:10six mois
46:12de
46:14cure thermale à la Bourboule,
46:16et qu'il pense pas au foot, quoi.
46:18— Ou à Vendée Globe avec un routeur. — Ou qu'il sorte du foot,
46:20ou qu'il sorte de cet univers pendant quelques temps.
46:22Mais est-ce possible ? Il l'a fait un peu
46:24avec l'équipe de France. On voit
46:26que c'est pas forcément
46:28productif, parce que son
46:30image est aujourd'hui
46:32très écornée, détériorée.
46:34On le voit, ça doit être difficile à vivre.
46:36Il est sifflé sur tous les terrains d'Europe.
46:38Il arrive à Liverpool,
46:40il est sifflé pendant
46:4280 minutes, non-stop.
46:44C'est dur.
46:46— Pour s'en sortir, il faut une
46:48vraie grande trêve.
46:50— Après, il a une force de caractère, une intelligence
46:52qui est évidente,
46:54qui est supérieure. Il en est peut-être aussi
46:56victime, parce que du coup, il
46:58mentalise tout. Et donc,
47:00on peut espérer qu'il finisse
47:02par retrouver la force nécessaire
47:04en remettant les priorités en avant,
47:06c'est-à-dire le sport, le jeu,
47:08avant les enjeux.
47:10— Son anniversaire, c'est au mois de décembre. Il a quel âge, là, maintenant ?
47:12— Il a 26, là. — Non, il va avoir 26.
47:14— Oui, mais...
47:16C'est le passage.
47:22Après les lettres R, F et U,
47:24tu nous fais du simple, hein, maître Capello, parce que là, tu nous as
47:26explosé en U. Et avant de
47:28donner la lettre, il nous faut une petite case mystère.
47:30Avec la case mystère, vous allez pouvoir vous rhabiller.
47:32Un peu de vêtements, s'il vous plaît.
47:34— Mais vêtements classes, tu vois ? Veste, suite...
47:36— Ce que tu veux ! Et attention pour la lettre.
47:38— Ah non !
47:40— Je pense que ça va vous faire rire. Allez,
47:42ça sera le B. Donc pas de
47:44boccia, hein.
47:46— Ah, c'est un B comme Bodin !
47:48— Parce que si vous mettez boccia tous, ça va être
47:50un P. Donc là, c'est savoir est-ce qu'il y en a un
47:52qui va tenter. — Alors, ce qu'il faut faire, c'est mettre boccia, comme ça, personne le met.
47:54— En fait, c'est est-ce qu'il y en a un qui le tente.
47:56La question, c'est est-ce qu'il va être tenté.
47:58Ah là là, Christophe. Tu sais que
48:002025, puisqu'on a passé une année de 2024
48:02extraordinaire en termes de sport,
48:04avec les JO, les Paralympiques...
48:06Mais tu sais que 2025, c'est pas en reste
48:08non plus, finalement. On commence
48:10l'année sur les chapeaux de roue. Tu le sais, ça.
48:12Ça commence d'ailleurs pas loin de chez toi, d'ailleurs, si je
48:14me trompe pas. Il y a l'Africa Eco Race,
48:16qui doit parier. — Ah oui, bien sûr ! — Alors cette année, t'as vu, ils partent...
48:18Ils vont directement au Maroc,
48:20en Mauritanie, la Crouse, d'ailleurs. Il y a le Paris-Dakar
48:22qui est quelques jours après. C'est quoi ?
48:24Trois jours après le départ. C'est calé.
48:26On a du tournoi de Rwanda.
48:28Je te le disais tout à l'heure. Championnat du monde de Rwanda
48:302025 avec l'équipe de France.
48:32On espère bien qu'ils vont jouer contre le Qatar,
48:34le Koweït et l'Autriche. Donc ils devraient quand même
48:36réussir à sortir du lot. — 40 secondes.
48:38— C'est bien vu. Et tu
48:40mettrais une pièce, toi, sur l'équipe de France, sur
48:42les 6 nations, cette année ?
48:44— Écoute, c'est quand même pas mal, ces petites tournées
48:46l'autre jour. Pour la Nouvelle-Zélande,
48:48c'est bien. Il faut qu'on se refasse une santé après
48:50la Coupe du monde. — Mais le seul
48:52problème cette année pour les 6 nations,
48:54c'est qu'on joue 3 fois à l'extérieur.
48:56— Ah, t'as raison. C'est vrai que le calendrier est pas
48:58bon pour nous. Tu as raison. — On fait France-Pays-de-Galle
49:00le 31 janvier. On fait Angleterre-France
49:02le 8 février. Italie-France
49:04le 23. Irlande-France
49:06le 8. Et on finit
49:08avec l'Écosse, chez nous, le 15.
49:10Euh...
49:12C'est quand même pas... Le déplacement en Irlande...
49:14— Non, non, mais t'as raison. T'as raison. — Bon, sinon, après,
49:16tu sais, on a un peu de tout. Alors, le Tour de France, t'as vu
49:18le parcours qu'on a fait, là ?
49:20— J'essaie d'aider Louis. Tour de France,
49:22vas-y, tu disais. — T'as vu le parcours du Tour de France, cette année ?
49:24— Bah, c'est schnor, c'est la moitié de la France. Mais on reste en France.
49:26— Oui. C'est 100% français. — Avec 2 fois plus de transferts.
49:28Qu'est-ce que tu veux, Louis ?
49:30— L'arbre. — C'est où que tu pèches ? L'arbre ?
49:32— 20h, téléphone. — Oh !
49:34L'arbre ! Bah alors !
49:36— Canal Plus, commentatrice, Canal Plus Scoot.
49:38— Va faire un tour dans les îles. J'ai rien dit.
49:40— Non, ça va, ça peut t'aider, non ? — Oui, ça va aider, oui.
49:42— C'est bien, hein ? Il te reste 3 secondes. Vas-y, dis-moi, dis-moi.
49:44— Le tennis.
49:46— Pour le vêtement,
49:48j'ai quelque chose pour toi.
49:50Ou tu le mets comme ça. C'est terminé !
49:52— Pour le tennis, on pourrait... — Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe.
49:54Ne triche pas, Corinne. Je sens que tu...
49:56T'as ton petit côté espier avec de la tac-tac à la fin.
49:58Allez, mon cher Louis. — Billard.
50:00— Ah, bien.
50:02— Badminton. — Bowling.
50:04— Alors, moi, je voulais mettre bridge, mais est-ce que ça...
50:06— Ah, c'est bon.
50:08— Moi, j'ai mis boccia pour rigoler.
50:10Tu vois, ça passait.
50:12— Du B, c'est facile, il y avait du pire. — Non, mais ça passe, tu vois.
50:14La ville.
50:16Le rubis.
50:18Un truc sébastien, champion de France, champion d'Europe.
50:20— Barcelonette.
50:22— Oh, près de Gap.
50:24Chez Bernard Lyons, quoi.
50:26C'est le copain de l'équipe. — Chasseur alpin, moi, Barcelonette.
50:28— Ah ouais ? T'as fait chasseur alpin, toi ?
50:30— Oui. — Vas-y, petit bataillon, garçon.
50:32Allez. Mais t'es trop jeune.
50:34— Moi, c'est février. Je peux vous dire que sur la place d'Armes
50:36à 4h du matin... — T'es quoi, ton BCA ?
50:38— Hein ? — 13e BCA.
50:40Chambéry, Charles des Eaux.
50:42Ça rigole pas, hein ? Sergent Paco.
50:44Toi, t'étais sergent ? — Non, non, non.
50:46— Lieutenant ? Capitaine ? — Non, non, moi, j'étais grouilleux.
50:48— Respect, moi, j'étais...
50:50— Ah oui, alors, ça va, t'es les plus... Pardon, les plus sympathiques.
50:52— Ha, ha, ha !
50:54— Julien.
50:56Boroum.
50:58— Ah, oui ! — Dis-moi, excuse-moi,
51:00je vais pas rentrer dans ta famille, mais...
51:02Où t'as fiancé, non ? — Le foot !
51:04— Le foot ! Parce que les cadeaux originaux
51:06pour au Noël, tu vois, en Allemagne,
51:08enfin, un truc, hein !
51:10Je vous regarde.
51:12— Euh... J'ai mis Braga.
51:14— Ah bah oui, très bien !
51:16Pile de foot, et puis ville...
51:18Prénom ! — Brigitte.
51:20— Oui. — Basilou.
51:22Basilou ! Très bien !
51:24— Bernard. — Moi, j'ai mis Basile.
51:26— Ouais. — Mais t'as pas mis Basilou !
51:28— Non, non.
51:30— C'est bien, c'est comme basilic en plante, tu vois.
51:32— Arbre !
51:34Je t'ai mis Gilles Boulot, je te crois pas !
51:36— Ah, t'as mis ça ? — Non, j'ai juste mis Boulot.
51:38Et Laure, toi, t'as mis Laure Boulot ? — Non, moi, j'ai pas trouvé.
51:40— J'ai mis le bambou, moi.
51:42— Bambou ! — Boulot, aussi.
51:44— Il y a le baobab,
51:46et il y a le bananier.
51:48— Ah, oui ! — Un bananier de quoi ? — Non, non, rien, rien.
51:50— Un imot.
51:52— La belette. — Ah, belette !
51:54— J'entends le loup.
51:56— Le renard ?
51:58— Non, moi, j'avais pensé à un babar, mais je l'ai pas écrit.
52:00— Le blaireau !
52:02— Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe !
52:04— Tennis ! — Non, j'ai pas.
52:06— Ah non, Borg, t'as pas.
52:08— J'ai même pas mis Borg.
52:10— Je pense comme ça bêtement, mais...
52:12— Moi, j'ai mis la balle.
52:14— J'aurais mis le jaune, mais c'était pas la bonne lettre.
52:16— Moi, j'en avais deux.
52:18J'avais la balle, mais sinon, j'avais le tournoi de balles.
52:20— Ah, le tournoi de balles.
52:22— Le balle de Roger.
52:24— Borg ! Voilà, Borg.
52:26Tu vois, c'est facile, Becker, Borg.
52:28— J'ai pas trouvé.
52:30— La voiture !
52:32Avec le pull !
52:34— Ah, Benetton !
52:36— Vous me reconnaissez ?
52:38— J'ai fait le tournoi de balles, mais j'ai fait le Grand Prix de Barcelone.
52:40J'ai mis Bugatti.
52:42— Moi, oui.
52:44Quelle belle, cette voiture.
52:46J'aime pas faire de la pub. Parce que Louis Baudin, dans son garage...
52:50Ah, Bugatti, c'est chouette, quand même.
52:52C'est quand même chouette.
52:54— C'est pas pour moi.
52:56— Après, la Formule 1 de football.
52:58— Bravo.
53:00— Daniel Cloutier.
53:02— Nice, Monaco,
53:04Nia Kunio, près de Toulouse.
53:06L'Histoire. Et Paris Saint-Germain, bien sûr.
53:08Oui, Philippe.
53:10— Beraldo.
53:12— Ah oui !
53:14— Personne n'aurait eu celui-là.
53:16Moi, je suis resté dans les arbitres. Brizard.
53:18— Ah oui.
53:20Ça fait deux heures que je l'attendais, et personne l'a fait.
53:22Vas-y, Chorine.
53:24— Non, moi, j'avais pas.
53:26— En foot, t'avais rien ?
53:28— Non.
53:30— Basilou ?
53:32— Oui, il y aurait eu Basilou.
53:34— La voile ?
53:36— Bateau.
53:38— Bateau, le baie comme Babord,
53:40le pied comme Tibor.
53:42— Un bord.
53:44— Un petit bord.
53:46— Bestaven.
53:48— Moi, j'ai mis Bourgnon.
53:50— Ah oui, très bien. J'avais une bouée, moi.
53:52— Oui, bah aussi.
53:54— Alors, j'avais pensé aux vêtements à vous, très fort.
53:56— Oui, moi aussi. Beret.
53:58— Le petit chasseur à pain à côté, là.
54:00Qu'est-ce que t'as mis, Bob ?
54:02— J'ai mis la boutonnière.
54:04— Ça rigole pas. Philippe s'en fout.
54:06L'équipe, le 6.
54:08Le petit bleu de mer.
54:10Le bleu de mer.
54:12— J'ai mis le beret aussi.
54:14— Aïe, aïe, aïe.
54:16— J'ai mis des broderies.
54:18— Oui, bah une broderie sur un vêtement, oui.
54:20C'est pas un vêtement, mais c'est...
54:22— Parfois, t'as des vêtements en broderie.
54:24— Vas-y, cherche, allez.
54:26— Tu mets de la petite broderie.
54:28— Donne-moi ton nombre de points, Corinne Boulot.
54:30T'as 14, hein ?
54:3213 pour Louis Baudin, 17 pour Philippe Saint-Fourche,
54:3418 pour Julien. Combien ?
54:366, ça te fait 20 points au final, Corinne Boulot.
54:38Louis Baudin qui revient de loin.
54:40— Ben, allons 5, parce que j'ai 3 doublons.
54:42— Aïe, aïe, aïe.
54:44Pour Corinne, 18 pour Louis.
54:46Philippe Saint-Fourche, t'étais derrière.
54:48Auras-tu dépassé Julien Péronnet ?
54:50— Alors, je vais vous dire... — Attention.
54:52— Combien de points ? — Il a fait 10.
54:54— T'as pas des sous-blancs.
54:56— Bravo, bravo.
54:58— 10, ça fait 27.
55:00— Moi, je fais que 7, j'ai les 3 doubles.
55:02— 25 !
55:04Victoire de Philippe Saint-Fourche !
55:06— Bravo.
55:08— Bien joué.
55:10À 10 points, ça.
55:12T'es sûr que tu veux pas que je vérifie ?
55:14— Eh ben, allons-y.
55:16Le Var.
55:18— On dirait Mike Enroe, tu fais « Ah ben, les fautes ! »
55:20Ça, c'est bien, il a dû prendre le bon produit
55:22jusqu'à la dernière heure.
55:24Qu'est-ce qu'il se passe dans le tennis, Corinne ?
55:26Notre tennis qu'on aime tous, ici.
55:28— Comme dans d'autres sports.
55:30— Non, d'accord, allez, ça y est.
55:32Tu vas me faire les cyclistes qui disent qu'on a tout contrôlé
55:34avec les scores de fond, machin et tout, non ?
55:36— Non, mais là, tu vas parler que de dopage.
55:38— Non, je vais parler que de dopage.
55:40On a un numéro un mondial qui est cinérique
55:42et soi-disant ne devrait même pas jouer.
55:44Pour beaucoup, on est d'accord.
55:46Joe Kovic, on parle même pas qu'il est le dernier des rescapés
55:48de la légende.
55:50— Comme quoi, ils passent pas forcément tous à travers.
55:52— Oui, mais ça tombe bien, comme disait Philippe Saint-Fourche
55:54à un mois au moment où t'es en vacances.
55:56— Oui.
55:58Non, mais c'est vrai que dans le tennis, c'est assez...
56:00— Ils ont leur propre règle, tu te le rappelais ?
56:02ATP ? WTA aussi ?
56:04— Non, parce qu'ils sont obligés de respecter
56:06les règles mondiales.
56:08Et c'est vrai que
56:10quand, on va dire que c'est des sanctions
56:12qui sont attribuées
56:14par la Fédération internationale
56:16du tennis,
56:18c'est vrai qu'on leur reproche souvent
56:20de mettre ça d'abord
56:22sous la nappe et ensuite
56:24de l'annoncer après.
56:26Ce qui crée d'autres polémiques, parce qu'il y a des joueurs
56:28qui trouvent pas ça normal.
56:30Donc, c'est Chapovalov,
56:32là, qui a encore réagi.
56:34Qui avait dénoncé
56:36pour Siner, qui dénonce aussi pour
56:38Scientech. — C'est une mascarade, pour lui, ces sanctions.
56:40— Oui, alors déjà, effectivement, un mois
56:42bon. Encore que
56:44visiblement, le taux
56:46de produits interdits, là, pour
56:48Scientech, il est vraiment très très
56:50faible. Il est infinitésimale.
56:52Mais, voilà.
56:54Mais, voilà. Elle a enfreint
56:56le code et elle a accepté ce mois
56:58de sanctions.
57:00— Ça fait quand même très mal, Louis Baudin, Julien,
57:02notre tennis, parce qu'on a tellement rêvé,
57:04quand même, devant les chocs qu'on a eus, les Nadal fédéraires
57:06qui viennent de disparaître. Il ne reste plus que Djoko,
57:08qui n'est pas le plus aimé, non plus.
57:10— Non, je confirme. — Non, mais c'est triste, parce que...
57:12— Non, mais, là, moi, justement, dans l'évolution
57:14du tennis, moi, je vais surveiller quelque chose. Vous savez
57:16ce jeune français, comment il s'appelle ? Perico...
57:18— Ah, le serveur fou ?
57:20— Le serveur fou !
57:22— Le serveur fou, s'il continue sur cette
57:24progression-là, on va être obligés de redéfinir
57:26les règles du tennis. Parce qu'en deuxième balle,
57:28il sert à plus de 200 km.
57:30— Ouais. — Et sauf que...
57:32— Il sert même parfois à 230 ou 240.
57:34C'est-à-dire qu'en fait, il sert ses deuxièmes
57:36comme les premières.
57:38— Voilà, on va voir jusqu'où ça va aller.
57:40— Mais ça fait longtemps qu'on réfléchit à ne mettre qu'un seul service.
57:42— On va voir. Peut-être que lui, il va accélérer les choses,
57:44parce qu'au rythme où il est là...
57:46— Ça ne change rien aux premières balles ou aux deuxièmes balles pour lui.
57:48Ça ne change rien. — C'est ça, ça ne change rien.
57:50— Ça va être pour les autres, que ça peut être pénalisant.
57:52— Après, c'est vrai que... — Mais ne pas oublier
57:54Turfice.
57:56Donc Giovanni Ampecci-Pericard.
57:58Vous avez Gabriel Debrus,
58:00qui est tout jeune.
58:02— Vous avez raison, j'avais oublié celui-là.
58:04— Qui est en train de faire ses armes sur le circuit secondaire
58:06qui va arriver.
58:08Il y en a plein.
58:10— Regardez, autour de cette table et chez vous, j'imagine que vous adorez.
58:12Bravo Philippe Sanfourche pour cette victoire aujourd'hui !
58:14— Je n'osais pas vous le rappeler.
58:16— Merci Philippe Sanfourche. Encore bravo.
58:18Plaisir de vous retrouver sur Artel, sur M6, bien sûr.
58:20Et de temps en temps, l'équipe du soir, par exemple,
58:22chez Mémé et Olivier. On a plaisir de vous retrouver avant de s'endormir.
58:24Louis Maudin, bientôt à la télévision,
58:26à la radio, comme toujours,
58:28bonne nouvelle, la neige qui tombe.
58:30Corinne Boulou, merci mille fois.
58:32— C'est moi qui vous remercie.
58:34J'ai un plaisir partagé.
58:36— Nous, Julien, on se retrouve bientôt sur Sport en France.
58:38— On se retrouve très bientôt.
58:40On se retrouve pour les micro-d'or, surtout.
58:42— Oui, aussi, parce qu'ils seront retransmis, la soirée de gala,
58:44remises des prix des meilleurs sujets de l'année.
58:46Ce sera sur Sport en France,
58:48sur le web également de nos amis de France Télé.
58:50Il y aura un best-of sur Eurosport et sur Radio Sport.
58:52On sera là, évidemment, pour des émissions
58:54tout le temps pendant cette grande période.
58:56N'est-ce pas, maître Capello ?
58:58— Oui.
59:00— C'est tout ce que ça te fait.
59:02Et merci.
59:04On ne veut plus le U.
59:06On va t'acheter un petit bonnet,
59:08pour les cadeaux Noël originaux,
59:10pour faire plaisir à Louis Maudin.
59:12Merci de nous avoir suivis,
59:14plus que jamais.
59:16Vous êtes bien sur Radio Sport.
59:26Sous-titrage Société Radio-Canada

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