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Des embouteillages monstres étaient visibles à Beyrouth ce mercredi 27 novembre dans la matinée, alors que des milliers de Libanais ont pris la route pour rentrer chez eux dans le sud du pays, après l'accord de cessez-le-feu. Réactions de part et d'autre de la frontière.

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Transcription
00:00Je suis revenu à la ville grâce à Dieu et à Dieu qui nous a aidés, mais j'espère qu'on m'a appris de cette vie et de cet amour.
00:13Je suis revenu chez nous, nous avons gagné, grâce à Dieu, il n'a pas eu de défaites, ni d'ennemis, ni d'objectifs.
00:29Nous avions gagné de tout. Il a attaqué des civils, des bâtiments emplacés, des bâtiments emplacés qu'il a attaqués.
00:36Il n'a pas attaqué des objectifs militaires, mais des bâtiments emplacés.
00:40Des civils, des innocents, des enfants.
00:52Nous sommes tous heureux de cela. Il faut que cela s'arrête, qu'il ne reste plus rien.
00:59En plus, les morts doivent y aller.
01:11Nous voulons tous un arrêt de feu, mais qu'il n'y ait pas d'arrêt de feu, qu'il n'y ait pas d'arrêt de feu,
01:17et qu'en deux jours, ils reviendront à la Norvège, et qu'ils nous reçoivent à nouveau.
01:22Parce que nous avons combattu ici depuis un an, et nous souffrons.
01:26Comme vous pouvez le voir, la rue est assez calme, mais nous avons donné à l'armée de vaincre,
01:31et qu'il y ait vraiment calme pendant 50-100 ans ici, ce n'est pas pour rien.
01:35Tout le monde veut la paix, tout le monde veut la calme, mais qu'il n'y ait pas d'arrêt de feu, qu'il n'y ait pas d'arrêt de feu.
01:41C'est ce que nous voulons.
01:43Cet accord doit là aussi ouvrir la voie à un cessez-le-feu trop longtemps attendu face aux souffrances sans commune mesure de la population de Gaza.

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