Revivez le parcours de l'équipe de Paris 3x3 lors de la finale du World Tour. Franck Seguela, Jules Rambaut et leur coéquipiers parvienderont-ils à l'emporter ?
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00:00:00de retour sur Sport en France pour les FIBA 3-3 World Tour Finals ici à Hong Kong avec
00:00:28un match qu'on attend toutes et tous, Paris 3-3 face à Miami, quart de finale, Paris
00:00:34qui a du batailler, qui a eu très très chaud également Angelo pour se qualifier en quart
00:00:39mais c'est bon, on y est maintenant, il faut remporter ce match-là, c'est une grosse équipe
00:00:44de Miami.
00:00:45Cette équipe de Paris, ne croyez pas que ce soit du chauvinisme aveugle de ma part, les
00:00:50garçons je les connais très très très bien, je connais également leurs adversaires
00:00:54très très bien, quand je vous dis que c'est possible, il faut avoir foi, maintenant c'est
00:00:59dans les mains des garçons, on peut l'exécuter, allez les gars là, oui Jules Rambaud, oh
00:01:07Jules Rambaud il a voulu nous casser le cercle, il a voulu assassiner Parrot tout simplement,
00:01:13oui dès le début du match voilà, non mais ça c'est bien, c'est l'attitude qu'il faut
00:01:17avoir, exactement Jules, j'aime bien le petit mot de Parrot derrière en disant ok, c'est
00:01:23ça qu'on fait là ? C'est l'attitude qu'on veut voir de nos Français, pour la dernière
00:01:31de Paris 3-3 sur le circuit, sur le World Tour, poursuivre le rêve, poursuivre l'aventure
00:01:39celui-ci dans le dernier carré, c'est l'objectif, voilà alors montrer qu'on est présent, aller
00:01:49les chercher, leur mettre la pression, Parrot à deux points tout de suite, c'est moi qui
00:01:57mets le rebond, pris par Trevis, attention à Michane, le numéro zéro qui a été redoutable
00:02:06hier, meilleur joueur d'ailleurs de Miami, 8 points face à Lausanne, 9 points face à
00:02:11Ronan Vares, j'aime bien ce que je vois défensivement de la part des Parisiens là, ça monte très
00:02:16très haut, beaucoup de pression sur la balle, par contre pas trop, et oui parce que Parrot
00:02:23lui il peut rentrer comme dans du beurre dans toutes les défenses du circuit, ouais là
00:02:29Hugo qui reste trop proche, sachant qu'il est un petit peu diminué avec la cuisse gauche,
00:02:38il faut jouer un petit peu plus précautionneux, et Jules Rambaud qui se fait déposséder
00:02:44du ballon par Michane, ça c'est une de nos actions les plus efficaces, Lucien le petit
00:02:50jeu à deux à 45 degrés, que ce soit avec Jules ou avec Franck, exactement, aller la
00:02:58pose d'écran de Jules Rambaud, Hugo Sueur qui prend le shoot à deux points, on y va,
00:03:04ça c'est parfait, les premiers points de Paris 3-3 dans ce quart de finale face à
00:03:09Miami, Hugo a été tellement énorme sur ce World Tour, Michane, non c'est complètement
00:03:14manqué, ça c'est une très bonne nouvelle, parce que lui je peux vous dire qu'à deux
00:03:18points c'est quelque chose depuis le début de ses finales, 4 sur 5 face à Lausanne,
00:03:234 sur 9 face à Raonan Varis, je peux vous dire Lucien, l'addition de Hugo Sueur a vraiment
00:03:31permis de passer un palier à cette équipe de 3-3 à Paris, allez Djoko à deux points,
00:03:40non c'est manqué, on arrive à la fin de la possession, ah bien joué, le délice de
00:03:45Passe le caviar de Tremis à destination de Barsley, voilà l'obé, c'est Paris-Hugo,
00:03:58c'est un lay-up là, surtout que c'est Barsley qui arrive à prendre ce ballon alors qu'il
00:04:05fait 1m78, et je pense qu'on a identifié côté Miami que Hugo Sueur manquait un peu
00:04:11de mobilité défensivement, et derrière ils capitalisent, ils essayent de maximiser les
00:04:17opportunités de panier facile, on a vu le backdoor avec Barsley derrière c'est Parrot
00:04:23qui accélère et qui passe Hugo. Dernier affrontement entre les deux équipes début
00:04:31novembre, c'était en quart de finale déjà du Masters de Neum, victoire de Miami 21-15 avec
00:04:37un Barsley à 10 points, faute offensive de Franck sur le démarquage, bien joué la passe
00:04:46de Barsley pour Mitch Hahn, il faut se remobiliser là, il faut absolument réussir ce début de match,
00:04:56le petit floater c'était malin de Barsley, très malin pour éviter justement le timing de contre,
00:05:02Djoko, allez allez les cannes de feu de Paul Djoko, voilà dans quel profil on veut voir
00:05:09évoluer Paul Djoko, par contre les backdoor va falloir commencer à contrôler ça les garçons,
00:05:13allez grosse défense, ne pas laisser pénétrer Mitch Hahn, il a sauté, bonne défense,
00:05:20c'est bien c'est bien ce qu'il nous propose nos français, il faut simplement rester serein,
00:05:29pas donner des ballons gratuits, pas perdre des balles en se précipitant, on a vu la passe de
00:05:34Hugo Suard qui aurait dû donner un lay-up, on a vu la passe de transition qui est redonnée dans les
00:05:38mains des joueurs de Miami, Suard avec Seguella, Seguella deux points, c'est trop court mais la
00:05:45claquette de Rambo, le ballon sera rendu à Miami, Parotte, oui bonne défense de Rambo,
00:05:53ça joue bien à côté Miami, le ballon bouge, allez il faut la lobber, c'est bien alors ce que
00:06:04je remarque Angelo et je pense que vous allez partager mon avis, on cherche beaucoup plus
00:06:08Jules que hier on se rappelle, d'ailleurs vous le soulignez pas mal hier mais il était peu
00:06:14recherché, on lui distribuait peu de ballons, là ça change et on sait toute la qualité de ce
00:06:21joueur Jules Rambo, vice champion olympique qui a pris place de la Concorde cet été,
00:06:27aux côtés de Franck Seguella notamment, de Timothée Vergère et Lucas Dussoudier pour
00:06:33compléter l'équipe, allez oui, et une fois de plus Hugo mis en difficulté là sur la descente
00:06:40Travis, allez Franck, allez, dos au panier, oui, Paris prend les commandes 5-4, et Franck qui fait un très bon
00:06:49boulot sur la prise de position là, voilà, il en manque un peu, Travis qui égalise, mais cette
00:06:58équipe de Miami, vous me demandiez hier, on en parlait, UB était un choix évident mais Miami
00:07:06était l'équipe qui m'avait le plus plu dans le jeu pratiqué au delà des Serbes et une fois de plus
00:07:14ils en font la démonstration là dans ce match, beaucoup de fluidité, beaucoup de partage mais ça
00:07:19joue intelligemment, ça coupe dans le dos de la défense, ils font des petits échanges
00:07:25de passes rapides pour perturber la mise en place défensive de nos joueurs français, pour
00:07:31l'instant on est dans notre match, on peut nettoyer quelques éléments qui nous permettraient
00:07:35peut-être d'être un peu plus serein, mais on est dedans Lucien, allez, Suar, face à Mitch Hahn, Paul Joko
00:07:43sur le premier appui, Joko dans les airs, et qui a laissé sur place James Parrott, c'est là où on a
00:07:54besoin de Paul Joko, c'est dans l'agression systématique des intervalles, regardez Parrott, et oui
00:08:01monsieur Parrott, on a ça en France, et Parrott qui pour le coup ne joue pas intelligemment
00:08:06défensivement, Suar à deux points sur la tête de Mitch Hahn, le bon prix par
00:08:12Parrott, qui met trop de pression sur Paul Joko, il va vite en payer le prix
00:08:16allez c'est bien Jules, continue à mettre la pression, agresser défensivement, Trenis, ah là là
00:08:22quel diable, vous voyez les français ils aiment trop dire que les gens sont diaboliques, c'est vrai
00:08:28je vous taquine mon Lucien, Suar à deux points encore, non fin de possession, mais le repos
00:08:39on est sauvé par la patrouille, parce que pour le coup c'est vraiment Paul qui initie le
00:08:50contact, il en a mis un bon taquet à Trenis, et j'ai du mal à comprendre le coup de sifflet, soit
00:08:57on laisse jouer, ça c'est faute offensive, mais je vois pas en quoi, il y a une faute défensive, allez
00:09:01ça nous sourit, on va pas se plaindre, bien sûr Séguéla à deux points, oui avec la faute, Franck Séguéla
00:09:09ah qu'est ce qu'il est clutch, qu'est ce qu'il est solide, magnifique avec le contact de Mitch Hahn
00:09:20une action à trois points, faute indiscutable, Franck Séguéla qui tourne à presque six points de
00:09:30moyenne cette saison MVP du Masters de Lausanne, il avait été aussi MVP du premier Master
00:09:36remporté par Team Paris à Wushu, et là par contre le chemin totalement libéré,
00:09:42c'est un peu en retard, voilà il faut trouver Jules en dessous, mais par deux fois, et Jules Rambeau finit par trouver la solution
00:09:51voilà trois points d'avance, c'est propre, les gars sont appliqués, maintenant ne pas se relâcher
00:10:06comme on a pu le voir hier lors des deux matchs de poules face à Princeton et Vienne, communiquez les garçons
00:10:13en plus c'est un principe de jeu tellement commun maintenant sur le World Tour, le petit
00:10:22écran serpenté, allez Jules là, mon garçon, il faut terminer son petit déjeuner sous le panier
00:10:30Numéro 20 du matin, on termine ça là, alors ouais c'est vrai qu'il n'y a pas la réussite pour Jules Rambeau
00:10:38mais par contre c'est bien, c'est bien, on le trouve, on le cherche Jules Rambeau, il faut
00:10:43s'appuyer sur lui et après il fera le boulot, Séguéla, oui, elle était en retrait la passe
00:10:53Bonne défense, on peut rien dire Lucien, c'est le talent du bonhomme, Jules Rambeau à deux points, lui aussi, mais oui
00:11:06Est-ce que je mentionne suffisamment à quel point j'adore Jules Rambeau ou pas ?
00:11:14Est-ce que je le mentionne suffisamment ? Pas de jeu, pas de plaisanterie vis-à-vis du fait qu'il vient de marquer
00:11:20Je pense que ceux qui me connaissent suffisamment et qui m'entendent commenter suffisamment ont souvenir
00:11:26du nombre de fois où je vous ai expliqué le rôle prépondérant de Jules Rambeau dans le succès du 3-3 français
00:11:32Parod, si vous collez trop, il va, évidemment, Séguéla qui va lui rendre l'appareil, oui, le Leymac
00:11:40Utiliser son corps en protection et ça va être une paire de balles, Bartzley qui prend trop de recul
00:11:49Mais je mentionne souvent et je continuerai de le faire, Jules Rambeau c'est le profil idéal
00:11:55On a cette qualité de pouvoir compter sur un big man qui shoot, qui est surtout très physique
00:12:03Très très bon shooter en effet, lui c'est pas mal non plus, Hugo Suar
00:12:09James Parod la réponse immédiate sur le même spot, ce coquin
00:12:16Il lui a dit à Hugo Suar, je vais prendre la même place que toi, je vais mettre mes appuis au même endroit
00:12:20et je vais te rentrer le même tir à deux points
00:12:24Suar le flotteur, et le rebond de Travis, toujours deux points d'avance pour Paris
00:12:30Dans ce quart de finale, Parod qui libère Michane, Michane qui a fait sauter Djoko, qui va prendre le shoot à deux points
00:12:36Et la faute, la faute sur le tir
00:12:43La faute sur le tir, j'ai besoin de revoir ce ralenti, est-ce que le World Tour va me contenter avec ma requête
00:12:57C'est Djoko qui fait la faute sur le tir de Michane, j'ai même pas l'impression qu'il l'ait touché
00:13:05Voyons voir, on aura peut-être pas de ralenti
00:13:10J'ai l'impression qu'il était un peu loin et qu'il le touchait pas forcément
00:13:18Après pour le coup, nous on était plus préoccupé par le fait que le shoot rentre ou non
00:13:22Et la caméra suit le cours du jeu
00:13:26Je suis juste curieux Lucien
00:13:30Et si Michane rentre les deux, c'est l'occasion de recoller pour Miami
00:13:38Ça devrait être une demi-finale ça Lucien, ça devrait être une demi-finale et pas un quart
00:13:46Et comme Aubame Stardam, le premier match qu'on nous a fait vivre, le premier quart de finale, c'était une demi-finale avant l'heure
00:13:52Voir une finale
00:13:54Jules Rameau
00:14:00Et j'ai l'impression qu'on a un peu de chance parce que ce ballon semblait dévier sur la cuisse de Jules
00:14:07Bon, 4 secondes 7, soit c'est Franck qui va tout de suite sur ses jeux à deux immédiats
00:14:11Franck Séguéla à deux points
00:14:15Oh ça rentre
00:14:17Oh là là, si le destin veut nous aider, pourquoi pas
00:14:21On prend tout ce qu'il y a à prendre
00:14:23Parce qu'on veut les voir en demi ces gars
00:14:27Quelle défense, et il a tout de même failli mettre ce panier
00:14:32Très solide, très très solide prestation défensive de nos Frenchies
00:14:38Oh regardez ça
00:14:40Et oui la réussite, ça rebondit un peu partout
00:14:44Tant que ça tombe dedans Lucien, nous ça nous va
00:14:46Nous on prend
00:14:48La note esthétique, on s'en fout
00:14:5017-15 pour Paris
00:14:52Allez, allez notre spécial
00:14:56La pose d'écran de Rameau
00:14:59Suhaar face à Michane
00:15:0118
00:15:03À 3 points du match
00:15:05Ça commence à se rapprocher
00:15:07Parotte, c'est manqué
00:15:09Le rebond de Diouf
00:15:11Allez les gars, allez
00:15:15Suhaar, oui oui oui
00:15:17On lui donne, on lui donne
00:15:19À 2 points, à 2 points du match
00:15:21À 2 points de la demi-finale
00:15:23Parotte
00:15:25Elle y est, elle y est
00:15:28Peut-être que James avance
00:15:30Mais Jules saute sur la feinte
00:15:32Et il n'est pas dans son cylindre
00:15:34En tout cas
00:15:36Une chose est sûre Angelo
00:15:38On aura un ballon
00:15:40Pour se hisser dans le dernier carré
00:15:42Pour le coup
00:15:44Faut pas jouer le 2 points
00:15:46Oh
00:15:48Qu'est-ce qu'il vient de nous faire la Parotte
00:15:50Il vient d'envoyer une bricasse
00:15:52C'est volontaire, c'est pas possible
00:15:54C'est pas un tir
00:15:56Ça lui a glissé des mains
00:15:58Non non je pense
00:16:00Ah en fait il essayait de se jeter avec la planche
00:16:02Non mais mon garçon
00:16:04Eh ben merci
00:16:06Ça fait nos affaires
00:16:08Suhaar à 2 points
00:16:10Faut pas jouer le 2 points
00:16:12On n'a pas besoin de se précipiter
00:16:14Allez Trévisse
00:16:16La faute de Franck Séguéla
00:16:186ème faute
00:16:20Il faut pas jouer le killshot à 2 minutes
00:16:22Alors qu'on est à plus 3
00:16:25Il se présente de par l'effet de jeu
00:16:27Oui il a un shoot ouvert
00:16:29Mais là c'est vrai qu'il s'est compliqué la tâche Suhaar
00:16:31Mitch Hahn
00:16:33Attention à des shooters dans cette équipe
00:16:35Ça peut revenir très vite
00:16:37Dans un fauteuil
00:16:39Parce que ça à tous les coups avec Mitch Hahn
00:16:41Ça tombe dedans
00:16:43L'écran de Franck Séguéla
00:16:45C'est compliqué
00:16:47Il va le prendre sur la tête de Parotte
00:16:49Non
00:16:51Deux échecs consécutifs sur les tirs privés
00:16:54J'aime pas le manque de concentration défensif
00:16:56Où on donne un tir ouvert à Mitch Hahn
00:16:58Mitch Hahn va se rapprocher du cercle
00:17:00Pour revenir petit à petit à 2 points
00:17:02Il y a encore des opportunités
00:17:06Séguéla
00:17:08Séguéla qui s'appuie sur Rambo
00:17:10Avec Djanko
00:17:12Djanko à 2 points
00:17:14Cette fois-ci ça ne sera pas le sommaire
00:17:16Mais qu'est-ce que c'est laborieux
00:17:18C'est laborieux Lucien
00:17:203 échecs à 2 points
00:17:23Mitch Hahn
00:17:25Ah il prend son propre Rambo
00:17:27Oh c'est manqué
00:17:29ächsta
00:17:31Séguéla
00:17:33YEEEEES
00:17:35Franck Séguéla
00:17:37La qualification demi-finale
00:17:39Paris est en vie
00:17:41René Deceyssondre
00:17:43Après une journée compliquée hier
00:17:45Après être passé tout proche
00:17:47De l'élimination
00:17:49Paris dans le dernier carré
00:17:51A chaque fois Angelo ! J'ai envie de leur tirer les arroches !
00:17:59A chaque fois on a un peu peur, mais à chaque fois ça passe !
00:18:02Mais là il y a une différence avec ce tir là que les trois tirs précédents !
00:18:06Oui, ce tir est ouvert, le défenseur est en retard, Franck Seguela a le temps à la
00:18:10place ! Le ballon bouge mieux et c'est une situation
00:18:13de transition, le rebond long ! Paris en demi-finale et la joie de Jules
00:18:19Rambaud après un été magique pour lui ! Allez les garçons !
00:18:26La clé pour Paris, contenir le tir à deux points, ils vont chercher avec force vers
00:18:33Wurth et Dancor à allumer la mèche sans conscience des conséquences et ça va être
00:18:43très important de rester concentré dans la communication !
00:18:47C'est maintenant pour l'histoire, la demi-finale de Paris 3-3 sur Sport en France et tout de
00:18:52suite la récupération de Rifa et le premier point de Jonas Fort !
00:18:57Vic Van Sterven qui est tellement, tellement agressif, c'est ce poil à gratter, la pression
00:19:12sur le ballon, Hugo Suard qui va devoir travailler dur !
00:19:15Le lay-up, ça c'est bien ! Le premier point pour Paris, inscrit par Hugo Suard !
00:19:20Jonas Fort, attention il va les prendre, il fait la prise à deux, il faut communiquer
00:19:24les garçons ! Et ce sera un ballon perdu, je le dis toujours,
00:19:32deux personnes sur la balle, c'est la sanction qui pend au nez, il faut communiquer, et vous
00:19:38savez ce qui se passe, c'est la peur, la crainte d'avoir le vainqueur du concours de tir longue
00:19:43distance laissé libre ! Il est capable d'artiller, il l'a montré
00:19:49tout au long de ce week-end, regardez peut-être l'exemple ici, non, là il envoie une brique
00:19:53par contre, c'est assez rare, Hugo Suard, regardez la prise de position de Jules Rambaud,
00:19:58allez il faut le jouer, il faut le jouer Thibaut Wermurthe, non, il préfère ressortir, Franck
00:20:02Seguéla, oui ! Voilà comment se rendre une situation simple !
00:20:06Et puis surtout la qualité de la passe a permis à Jules de pouvoir monter très rapidement,
00:20:10il restait moins d'une demi-seconde là ! Quelle intelligence de Jules Rambaud, qui
00:20:14a vu qu'il était en difficulté, il a ressorti le ballon sur Franck Seguéla, et par contre
00:20:18la vitesse, les appuis de feu ! Hugo qui est vraiment dans la difficulté
00:20:23là sur les accélérations, allez Hugo, le petit dribble dans le dos, il va, bonne passe,
00:20:30sur Rambaud, il y a la faute bien sûr, la poussette de force, Jules Rambaud vraiment
00:20:37quand il est servi, c'est un des meilleurs joueurs aussi du circuit.
00:20:42Regardez-moi la qualité de cette passe surtout, parce que si Franck fait la passe dans les
00:20:48genoux, le temps de récupérer le contrôle du ballon, Jules n'a plus la possibilité
00:20:54de marquer dans les temps, et puis après il faut la qualité technique sur la finition
00:20:57pour le faire à la volée telle que Jules l'a fait.
00:21:00Allez les gars, pas de déchet sur la ligne s'il vous plaît, voilà, il faut prendre
00:21:03tous les points possibles.
00:21:05Bon là défensivement on devrait être mieux avec le retour de Paul, avec Doncord il a
00:21:10plongé, oui, Jules Rambaud qui s'est fait avoir par la feinte de Doncord, oh, oh, excusez-moi,
00:21:20ce n'est pas du chauvinisme mais là, oh non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
00:21:28Brigitta, excuse-moi Brigitta, mais ça ne va pas, ça ne va pas, c'est trop généreux,
00:21:35c'est trop soft, ce n'est pas 3-3 ça, c'est un coup de sifflet, même dans le 5-5 on ne
00:21:39le siffle pas, même dans le 5-5.
00:21:41Donc Doncord sur la ligne, qui rentre se lancer, 2 points d'avance pour Rifa.
00:21:46Franck Sec il est battu sur l'action, il ne cherche même pas à commettre de fautes,
00:21:55et regardez, regardez, c'est rugueux là, Warbord qui pousse Franck Seguela, allez
00:22:01Podjoko, ça joue proche, il est toujours là, Van Oosterbeek, Suar, ravi que Van Oosterbeek
00:22:16se fasse un petit peu sanctionner là.
00:22:17Très bon écran de Franck qui tient bien son positionnement, allez le jeu à 2 qu'on
00:22:26aime là, 45, Suar, Van Oosterbeek, allez la pose d'écran de Jules Rambaud, Suar qui
00:22:33s'écarte dans le corner, le rebond autoritaire de Jules Rambaud, allez Jules on se relève.
00:22:39Paris qui revient en point, Fortz, c'est bien, bonne couverture défensive et une fois de
00:22:47plus faute provoquée de Jules qui verrouille immédiatement, il sait qu'il est matché
00:22:51avec un défenseur qui ne peut pas contenir sa puissance physiquement, Van Oosterbeek
00:22:57qui est le point faible de la défense, on sait, ils l'ont dit, Dancor l'a mentionné,
00:23:03on se moque un peu de l'effectif qu'on présente, même si là on est petit, on va jouer avec
00:23:07nos armes, et bien il faut que nous on joue sur leur faiblesse et voilà.
00:23:10Allez, Séguella, il oublie ses bagages là, mais une fois de plus j'aime au moins la
00:23:18mentalité d'identifier où Vic Van Oosterbeek défend et d'essayer d'appuyer sur ça.
00:23:27Super ça, les mains de Jules Rambaud face à Dancor, Dancor qui va le jouer, il y a
00:23:32un avantage de vitesse mais un avantage de cabaret pour Rambaud mais c'est Dancor qui
00:23:36s'impose deuxième meilleure, marqueur de la saison régulière, allez Jules, voilà !
00:23:44C'est bien les garçons, on y est !
00:23:47Ouais, ouais, ouais, là c'est très bien ce que fait Paris.
00:23:52On est discipliné en plus, on reste discipliné, regardez, quatre fautes pour Rifa, une seule
00:23:56pour Paris.
00:23:57Le problème c'est que là, Paul ne va pas chercher la balle, s'il va chercher la balle
00:24:01il n'y a pas de faute de Franck, il faut y aller mon grand, il faut y aller, surtout
00:24:04après une super défense.
00:24:08Superbourde, bien exécuté.
00:24:14Mais faute offensive il me semble de Van Oosterbeek, oui, oui, après ça aurait pu aller dans
00:24:21les deux sens parce que Hugo accroche un petit peu aussi mais celui qui vraiment le fait
00:24:24de manière exagérée, c'est Van Oosterbeek.
00:24:27Oh non, non, non, non, Hugo, c'est la réussite là des Français, on s'en sort très bien
00:24:33Hugo Suarez, il met ce tir à deux points, non, pour l'instant pas de réussite sur
00:24:37les tirs privés.
00:24:38Laché en passe l'OBS sur Jules, quand il est défendu par Van Oosterbeek, non, c'est
00:24:45manqué mais Forts va être là pour prendre le rebond, et il va s'arrêter, va prendre
00:24:49le chute à deux points, ça ressort, Franck Seguera, allez les gars.
00:24:54Allez, écran, jeu à deux, balle dedans, voilà, simplement, oui, oui, mais oui, voilà,
00:25:00nos souhaits sont exaucés.
00:25:02Écran, jeu à deux, balle dedans, est-ce que je le dis encore assez fort ? Écran,
00:25:06jeu à deux, balle dedans, vous compliquez pas la vie les garçons, ils peuvent pas défendre
00:25:10sur Jules, ils peuvent pas défendre sur Franck à l'intérieur, ils peuvent pas, ils peuvent
00:25:14pas, il faut être patient et discipliné, c'est tout.
00:25:20C'est exactement ce qu'ils ont fait sur cette action, et comme vous l'avez dit Angelo,
00:25:27Jules Rambeau trop costaud pour cette défense de Rifain.
00:25:31Même Franck, même Franck, celui de jeu posté face à Dancor ou à Vervoort, il a l'avantage,
00:25:37et j'en parle même pas avec Van Oosterbeek, donc il faut être rigoureux, dans l'absolu,
00:25:44j'ai aucun problème avec le tir de Hugo, puisque Hugo a été tellement essentiel à
00:25:49notre réussite ces derniers mois, mais pour moi, si Van Oosterbeek est dans le dos de
00:25:55Jules, il doit recevoir la balle, parce qu'en plus, on fait monter les fautes, et maintenant
00:25:59on a le bonus ! Allez, Jules Rambeau, il faut mettre, oui, voilà, en plus il est à droit
00:26:04sur la ligne des lancers, Jules Rambeau, il ne tremble pas, Thibaut Vervoort.
00:26:08Bien Paul, bien Paul, Dancor, Dancor, super, ça c'est une bonne défense, bien, Dancor,
00:26:16il est bien contesté par Paul Chocot, voilà, allez on donne dedans, on donne dedans, allez,
00:26:21oui, oui, oui, Jules, oui, oui, oui, oui, oui, bonhomme ! Et Franck, il met un peu de
00:26:26temps à la donner, hein ! Allez, c'est très, très, très bien, là, ce que nous proposent
00:26:31nos Français ! Mais surtout, Lucien, Jules fait un effort considérable dans la prise
00:26:38de position, il faut simplement avoir la rigueur de bien poser les ballons, et c'est tout ! Allez
00:26:45Hugo, allez, oui, la main, la main, la main, la main, la défense de fer de Paris 3-3, Rifa
00:26:52en difficulté, il faut s'appuyer sur un talent, mais Dancor manque ce shoot, voilà, on l'est
00:26:57fait douter, Paul Chocot, Chocot, il a la vitesse sur force, il a la vitesse, attaque
00:27:03l'intervalle, on lui laisse le shoot ouvert, il le prend, il le met, pourquoi pas, évidemment,
00:27:09on lui laisse le shoot ouvert, c'est peut-être pas son secteur de prédilection, mais il
00:27:14est capable, oh bah lui aussi, tiens, c'est Gaubert Gourde qui climatise un peu nos espérances,
00:27:21nos espérances, exactement, mais Paris est toujours devant 9-8, merci Hugo, Gossuart,
00:27:27main gauche, ça se rend coup pour coup, allez, faute offensive, et oui, et oui, faute offensive
00:27:38de force sur Seguela qui s'est fait bouger, regardez, alors ça c'est l'action du Gossuart
00:27:45qui est venu finir proche du cercle, ce sera la 7ème faute, on se rapproche du double
00:27:56bonus, Chocot va chercher Rambo, le petit jeu à 2 à 45, Gossuart qui prend le shoot
00:28:06à 2 points, c'est trop court, mais il va se battre pour le rebond, finalement c'est
00:28:10Van Oosterwijk qui transmet à Thibaut Werburt, le rebond des français, on regarde Jules,
00:28:15on regarde Jules, regardez la bataille à l'intérieur, je peux vous dire qu'il y a un client avec
00:28:21Jonas Fort, attention l'écran est un peu... faute technique je pense qui va être donnée
00:28:27à Van Oosterwijk, parce qu'il en met trop dans son jeu de rôle, oui, oui, c'est un
00:28:36plongeon, un plongeon de gardien, je ne sais pas s'il y a des résidus, la victoire des
00:28:46bleus, il est taquin, il est taquin Gelo Tsagarakis, allez Hugo pour prendre 3 points d'avance,
00:28:54oui, chaque point compte, et j'aime bien les attitudes de nos français, tous concentrés,
00:29:09appliqués, c'est une demi-finale mondiale les gars, il y a une place en finale au bout,
00:29:14il est là Franck Séguéla, on se régale, on se régale 13-8, d'encore, allez pas grave,
00:29:30un point, laissez-le aller au cercle, c'est bon, c'est bon, patience, merci, allez le deuxième,
00:29:39le deuxième consécutif bien sûr, Franck Séguéla reçu 2 sur 2, c'est pas vous Guillaume qui me
00:29:49parliez du jamais 203, oui c'est ça, peut-être qu'il va arriver, il va arriver rapidement je
00:29:54vous le dis, 15-9, la très bonne série de nos français, face à Vienne on s'est relâché les
00:30:01garçons, exactement, il y avait 16-8, c'est vrai que c'est à peu près similaire, je leur fais
00:30:07confiance Angelo, c'est une demi-finale mondiale, bien sûr qu'on leur fait confiance, ils ne peuvent
00:30:11pas se relâcher, jamais 203, ils sont en mission, dans le public, là sur ce genre de situation on
00:30:20sait que défensivement les mains vont être actives, il faut feinter la passe en haut, Franck Séguéla,
00:30:27allez mais oui, jamais 203, et le remont de Jules Rameau, il faut monter, il ressort,
00:30:33mais Jules est tout seul sous le cercle, il y a Paul qui lui dit mais Jules t'es tout seul,
00:30:39pourquoi tu me fais la passe, le langage corporel de Paul veut tout dire, mais qu'est-ce que tu fais,
00:30:49on souffle, on souffle, on respire, tout va bien pour Paris pour l'instant, 15-9,
00:30:58Lucien vous pensez que les téléspectateurs ressentent qu'on vibre, je pense oui,
00:31:04on ne peut pas le cacher Angelo, imaginez-vous finir, on ne parle pas encore de titre mais au
00:31:14moins finir sur une finale pour la dernière de Paris 3-3, mais il y a le destin, le scénario est
00:31:20magique, mais on va jouer les Hollandais, c'est pas possible, je vous le dis tout de suite,
00:31:24Overwood, c'est Tibi, la passe, l'intelligence de Tibo Overwood pour Jonas Fortz, c'est une très
00:31:32très bonne exécution, 3 minutes 40, Rameau le main à main avec Suar, la pose d'écran,
00:31:38regardez le carnet de travail de Jules Rameau qui s'écarte, oh la la mais quel joueur,
00:31:46Jules Rameau, tentative de passe aveugle qui est sauvée, c'est impossible, c'est impossible,
00:31:55ça ne va pas rentrer, patience et rigueur, tranquille les gars, tranquille, 6 points
00:32:01d'avance, allez, jeu à 2, Suar qui prend chute à 2 points, et pourquoi pas, 18-10, la démonstration
00:32:11parisienne, Hugo qui dit Angelo, t'inquiète pas, je m'occupe de ça, mais oui on est là à leur dire
00:32:18tranquille les gars, prenez vos temps, mais non, pourquoi prendre son temps quand on a le talent
00:32:22d'Hugo Suar et qu'on peut mettre des 2 points comme ça, des tiers primés à ce moment du match,
00:32:263 petits points, 3 petits points, avant la finale, qui sera un rendu, on a du mal, là on vous donne un
00:32:38peu les coulisses, on a du mal à tenir en place avec Angelo, non mais c'est encore plus compliqué
00:32:43quand vous êtes copains avec les mecs qui sont sur le terrain, je veux dire que quand c'est des
00:32:46mecs avec qui vous avez joué contre ou vous avez joué avec, bien sûr, et il y a un lien,
00:32:52vous avez une relation particulière avec eux, mais même les téléspectateurs qui ne les connaissent
00:32:57pas, on se lie d'amitié, d'amour pour ces gars-là, Verbourgte, bien Jul, bien le travail
00:33:04avec Paul Djoko, la dernière fois on lui avait laissé le chemin libéré, il va aller au cercle,
00:33:12allez les gars, 2 points, 2 points avant la finale, il peut pas le tenir, Paul le sait, Force n'a pas
00:33:19les cannes pour le tenir, Verbourgte, bonne faute, et quel match, mais quel match de Paris,
00:33:26imaginez-vous 19-10 face à Rifa, moi je dis c'est normal, et là je peux vous dire que quand vous
00:33:36êtes Amsterdam et que vous voyez le match qu'est en train de réaliser Paris, vous n'êtes pas si
00:33:41serein que ça, mais de toute façon Amsterdam, j'ai envie de vous dire, ils sont dans leur bulle,
00:33:46ils sont dans leur bulle, ils reviennent des abysses, ils perdent contre Oulain-de-batard,
00:33:53c'est un game winner 21-20, ils auraient pu être éliminés en face de Poulle, contre Ouh,
00:34:00mais ils auraient pu être éliminés aussi, ils reviennent de nulle part, donc pour eux c'est que
00:34:03du bonus, ils sont en finale, alors que techniquement, soyons très honnêtes,
00:34:06ils le méritent même pas, ils le méritent même pas Lucien, donc maintenant, c'est simplement pour
00:34:12venir souffrir et perdre en finale contre Paris, voilà pourquoi ils sont là. Vengeance des Gilets jaunes,
00:34:17Vengeance aux Sueurs, alors qui va permettre à Paris de prendre le ticket pour eux ?
00:34:23La finale, Séguéla a un point, tranquille on sécurise, avantage physique une fois de plus, bien sûr,
00:34:30Wermurthe, bien pris, on a deux points à donner encore, Jonas Sportz on le laisse aller au cercle,
00:34:35évidemment, allez les gars, allez Franck, allez Franck, il en a presque pu les prendre,
00:34:41Wermurthe qui fait sauter Franck Séguéla, mais c'est trop court, on a réussi à complètement museler
00:34:52ce trio offensif qui a fait tellement de mal à toutes les équipes depuis le début de la compétition,
00:34:56Fortz est passé à côté, passé à côté évidemment grâce à la défense parisienne, Wermurthe est
00:35:05resté quasiment muet, Donkor a fait 2-3 actions, il a réussi à percer cette défense, mais c'est pas
00:35:10le Donkor qu'on a pu voir en saison régulière, qui est le deuxième meilleur scoreur, je sais même pas
00:35:14pourquoi on perd le temps à regarder le challenge, il avait, il était tellement hors des limites du
00:35:20terrain, merci, au revoir, balle à Paris, en plus c'est la fin du ralenti que vous voyez, il avait
00:35:28le pied complètement en douche, bon, allez les gars, allez, ah mais c'est agréable, faites-nous
00:35:38kiffer, prolongez votre plaisir Hugo Suard, alors prolongez votre plaisir mais pas trop non plus,
00:35:46Suard avec Séguéla qui n'est autre que lui pour donner la victoire, ticket en finale, toujours pas,
00:35:54le coup de sifflet qui ne vient pas et ce sera une faute de Jules, ils aiment bien nous faire un peu
00:36:02patienter nos Frenchies, non mais ce match là, ce match là, je vous le dis tout de suite, il n'y aura
00:36:06pas de comeback miraculeux, non, non, non, il n'y en aura pas, non, non, non, c'est sûr, il faut oublier les
00:36:11garçons, il faut oublier, il n'y en aura pas des comebacks, c'est la première fois que Paris, qu'une équipe
00:36:17française est qualifiée pour les finales du World Tour et pour leur première participation, ils vont
00:36:23aller en finale, c'est complètement dingue, 8 masters, 6 finales, c'était logique, c'est complètement dingue, y a-t-il
00:36:29une équipe qui mérite plus que Paris d'être en finale aujourd'hui, je ne sais pas, je ne pense pas,
00:36:35allez, laisse le score, qui va aller s'amuser et placer ce petit dunk mais la victoire va
00:36:43revenir à Paris, Suar, l'écran de Rambo, Don Choco à 2 points pour sceller le match, va au cercle Paul,
00:36:5320-12, il ne défend pas, va au cercle, dans tous les cas, voilà, il va poser son dunk, ça finira dans
00:37:08la highlight, la victoire est dite qu'en finale, il sera parisien, il sera français, Rambo, Rambo face à
00:37:14Werburt, Rambo, et voilà, et voilà, Paris dans l'histoire, en finale, ici à Hong Kong, incroyable, pour leur
00:37:27première participation au FIBA 3-3 World Tour Finals, et bien ils se retrouvent en finale face à
00:37:36Amsterdam, pour ce qui sera un remake des JO de Paris, PIBA France, à suivre dans quelques instants, on va se régaler,
00:37:44oh ça fait plaisir, ils sont fous, ils sont complètement fous ces gars-là, et n'ont pas scellé là,
00:37:55un moment d'histoire pour le basket 3-3 français, pour sa première participation au World Tour Finals,
00:38:11Paris est en finale, allez messieurs, rendez-vous avec l'histoire, 10 minutes pour briller, 10
00:38:19minutes pour gagner, Wuoxi Deyong, qui marque le premier point, encore lui, le MVP de la saison,
00:38:26MVP des deux Masters remportés par Amsterdam, Frank Seguela, le rebond de Jules Rambo, non, ça retombe dans les mains de Driessen,
00:38:35Frank qui remet un petit peu trop là sur la planche, il aura deux points, Joko Rambo, ils vont jouer dedans bien sûr, bien la passe lobée,
00:38:43dommage pour le petit tir de Frank, qui aura égalisé tout de suite, mais bonne identification, de l'avantage physique sur Wuoxi Deyong à l'intérieur,
00:38:58et on va jouer sur la vitesse de Paul Joko, bien, oui monsieur Joko,
00:39:06un partout, Albert lui avait fait une grosse finale face à Paris, celui-là avec Rambo,
00:39:18allez Paul Joko, quelle passe, le caviar, avec la main gauche, Lucien, enroulé, il faut une science du jeu pour comprendre où doit être positionné ce joueur,
00:39:35regardez, dans la course avec la main gauche, il contourne, il contourne Driessen, on pourrait dire Yokichesque, je ne sais pas comment on dirait,
00:39:44pas facile à dire, Ramboesque, Yokichesque, Ramboesque sinon on peut lui attribuer Jules, mais Rambo c'est brut,
00:39:52et oui, le rebond de Driessen, là on a beaucoup de joueurs qui ont disputé les jeux, Deyong, Driessen, Segella, Rambo, c'est doux la finition,
00:40:03attention la cheville de Wuoxi Deyong, parce que même si on est chauvin, on ne veut pas que Deyong se blesse, on veut battre les meilleurs,
00:40:13bien sûr, bien sûr, c'est sur la retombée, Segella qui tombe complètement, j'ai du mal à comprendre, qu'est-ce qu'il s'est passé là ?
00:40:21En fait Segella a voulu prendre le rebond et sur la phase de descente, il est retombé sur, si c'est un coup ça devrait aller,
00:40:29allez deux partout, match accroché, on pouvait s'en douter, Deyong sur le banc pour l'instant peut-être,
00:40:37le moment pour Paris 3-3 pour enchaîner les paniers, Jules Rambo qui continue sur sa lancée, qui démolit tout sur son passage,
00:40:44donner la balle à Jules, allez messieurs, une grosse défense, voilà voilà, Albert c'est difficile, le rebond, la main de Rambo,
00:40:54et malheureusement, Franck qui n'a pas réussi à garder Driessen dans son dos,
00:41:02mais on est dans le coup, on est dans le coup, on a la bonne attitude, c'est une finale mondiale,
00:41:11on peut littéralement dire champion du monde quand on gagne, sur le toit du monde, et on espère pouvoir le dire tout à l'heure,
00:41:19troisième faute collective pour les français, attention on avait été très discipliné face à Rifa,
00:41:26là on est déjà à trois fautes, Amsterdam une seule, après ce sont des fautes qui sont aussi provoquées,
00:41:31c'est à dire que ce ne sont pas simplement des fautes qui sont commises par manque de concentration,
00:41:36on joue contre des adversaires redoutables, Albert c'est un shoot turné, ça ne rentre pas,
00:41:42allez Paris un petit point d'avance, l'écran de Seguella, Seguella à deux points, Franck Seguella, un niveau de MVP,
00:41:51un niveau de MVP il l'a dit, c'est moi le meilleur joueur ici, 5-2 pour Paris, tout va bien pour l'instant,
00:41:58Slakter qui va finir tranquillement avec la planche, plein d'expérience et de bon sens Slakter,
00:42:05Tchoko, Tchoko en pénétration, c'est que c'est son secteur, contre et refusé, il est allé un petit peu trop loin, il faut shooter Paul,
00:42:11par Albert, allez Tchoko, mais oui, mais oui, mais oui, voilà c'est une finale, les dieux sont avec nous,
00:42:20rien ne peut nous arriver si Paul Tchoko commence à balancer des fade away à deux points Lucien,
00:42:25regardez il se fait contrer violemment par Albert, c'est derrière, c'est lui qui vient planter ce shoot,
00:42:32et la réaction du public ne trahit pas ce qui est en train de se passer, faute offensive,
00:42:397-3 Ancelo et on va récupérer le ballon, c'est écrit Lucien, c'est écrit, c'est ce que j'ai dit à Karim Souchu, c'est écrit,
00:42:50je me suis permis d'envoyer un petit message à Franck Seguella en lui disant mais les gars, on vit des émotions de dingue,
00:42:55et grâce à vous Franck Seguella avec la faute, oui, toute faute provoquée, parfaitement bien Ancelo,
00:43:05je ne sais pas si c'est parfait, parfait, mais le scénario en tout cas pour l'instant, la faute alliée clairement,
00:43:11on voit le coup sur le coude de Franck, maintenant il faut être solide sur la ligne des lancers, on ne gage pas de points,
00:43:19allez Franck Seguella, le seul titre remporté cette saison par Paris, je le disais, si Paris vient à s'imposer,
00:43:32il sera logiquement élu MVP, un énorme Franck Seguella sur ce tournoi, Warsi de Jong, voilà regardez ce duel d'Olympiens,
00:43:42et Warsi de Jong, il a fait passer la balle entre les jambes de Franck ?
00:43:46Oui, j'ai l'impression, j'ai hésité, on va voir le ralenti, mais il me semble, regardez ce coquin, oh le coquin,
00:43:55et ça on n'aime pas ça, ça à tout niveau on n'aime pas, donc sur une finale mondiale, je peux vous dire que ça va, la chute va très bien.
00:44:01Bonne défense, bonne défense, il faut qu'il mérite son panier là, il faut qu'il mérite son point sur la ligne des lancers,
00:44:08La concentration de de Jong, ça rentre, si on peut compter sur quelqu'un pour avoir des nerfs solides, c'est bien Warsi de Jong.
00:44:19Et là Slakter, et pour le coup Slakter dit c'est toi qui me fais la clé de bras, et la vidéo lui donne raison,
00:44:29mais cette bonne guerre, surtout que ça ramène Paris à une faute du bonus, donc attention les garçons, pas de lancer Franck gratuit,
00:44:41je sais que Noël approche, mais le mois de décembre n'a pas encore commencé.
00:44:47Ah ouais mais je peux vous dire que si Paris s'impose c'est Noël avant l'heure, c'est le meilleur des cadeaux, le plus beau.
00:44:55Alors qu'est-ce qu'ils vont faire, temps mort.
00:44:59Six fautes déjà pour Paris, 5 pour Amsterdam.
00:45:04Ah ouais Warsi de Jong, en 1 contre 1 c'est le meilleur joueur du circuit je pense, à égalité peut-être avec un Strain à Stojacic.
00:45:17On est dans le coup, on est largement dans le coup.
00:45:21Pour l'instant on contrôle le match.
00:45:309-4, on connait cette discipline, ça peut aller très vite dans un sens comme dans l'autre, et ça discute entre de Jong et Djoko.
00:45:39Regardez Suar et De Jong là, la bataille pour prendre position.
00:45:43Allez, donne dedans, donne dedans Hugo.
00:45:45Hugo Suar à 2 points.
00:45:47Il faut donner dedans Hugo.
00:45:49Ouais on commence à repartir un peu peut-être dans nos travers là.
00:45:51Non mais surtout De Jong est derrière, Franck a fait le boulot et si on ne donne pas ce genre de situation où on peut arriver dans le bonus, maintenant il y a 6 fautes d'équipe de chaque côté.
00:46:03Jules Ramaux, allez jeu à 2, balle dedans.
00:46:06Voilà l'écran posé, il va rouler vers le cercle et prendre position sur Albert.
00:46:10Le ballon est donné à Jules Ramaux.
00:46:12Allez fini le travail, très bonne défense, excellente défense d'Albert.
00:46:17Pas de fautes, pas de fautes Jules, pas de fautes.
00:46:19Ouais l'action de grande classe là d'Albert.
00:46:22Bien Paul, bien Paul, remonte.
00:46:24Mais oui, oui.
00:46:26La négation, la détermination de Jules Ramaux.
00:46:29Bien Paul, bien Paul, remonte.
00:46:30Mais oui, oui.
00:46:31La négation, la détermination de Jules Ramaux.
00:46:33Et Wawe De Jong au sol, il a pris un coup dans le visage.
00:46:36Paul Joco dit non, non, non.
00:46:39Alors qu'il sera complètement accidentel pour le coup.
00:46:41Bien sûr.
00:46:42Bah là pour le coup c'est lui qui met le taquet.
00:46:46C'est Wawe De Jong qui met le taquet.
00:46:50En tout cas sur les images qu'on vient de voir oui.
00:46:52C'est lui-même qui va au taquet là, qui fait tomber le marteau.
00:46:55Donc bon, je suis pas sûr, même sur cette image, où est-ce que le coup a eu lieu.
00:47:01Alors peut-être que, est-ce qu'il s'est auto-tapé dans la mâchoire ?
00:47:07C'est possible aussi ?
00:47:08Ouais ça se peut, en tout cas on a tout de suite vu Paul Joco dire non, non.
00:47:11Rien du tout, je n'ai rien fait.
00:47:14Les habitants qui regardent les images.
00:47:18En tout cas moi ça me va, si on a un petit matelas de 5 points d'équilibre.
00:47:21Ah ah c'est le coude.
00:47:22C'est le coude.
00:47:23C'est le coude sur la phase.
00:47:24Ouais mais bon, c'est accidentel.
00:47:26Oui, ah bah bien sûr.
00:47:28C'est sûr, aucune volonté de blesser Wawe De Jong de la part de Paul Joco.
00:47:34Mais en effet sur la phase de montée là.
00:47:36Ouais mais bon, c'est un fait de jeu, je veux dire, c'est son cylindre.
00:47:39Il n'est pas non plus en train de mettre un coup volontaire.
00:47:43Il va vers le cercle, il doit monter fort.
00:47:45Justement on voit Worthy qui arrive à lui subtiliser la balle le temps de quelques instants.
00:47:51Oui et puis alors j'ai envie de dire là, Paul Joco met un coup de coude involontaire.
00:47:55De Jong nous a mis un coup de poignard pendant les Jeux Olympiques.
00:47:58Et cette finale qui reste toujours dans les esprits.
00:48:01J'aime beaucoup votre esprit aiguisé Lucien.
00:48:04Hébert, un air de revanche ici à Hong Kong.
00:48:08Bonne défense Paul.
00:48:09Hébert, c'est fort, c'est fort, c'est fort.
00:48:11Il arrive à s'équilibrer.
00:48:12Surtout il a réussi à se projeter à l'opposé de Paul.
00:48:16Allez Tissis.
00:48:17Attention les garçons.
00:48:18Les gars, les gars, les gars.
00:48:19Les mains à main, les détails.
00:48:21On ne perd pas les ballons bêtement.
00:48:23Mais Lucien, les erreurs font tout de même, sont une partie intégrante du jeu.
00:48:29Que ce soit 3-3 ou 5-5.
00:48:32Donc à un moment donné, il faut tolérer.
00:48:34Il faut juste les minimiser.
00:48:35Avec Driessen, c'est tellement bien joué cette action.
00:48:38Et puis on ne peut plus faire faute.
00:48:39Personne ne veut maintenant effleurer l'adversaire.
00:48:42Suhaar, allez les gars, retrouvez un peu de construction.
00:48:45Séguéla, mais pourquoi ?
00:48:47Pourquoi demander de la construction comme Franck Séguéla ?
00:48:50Mais c'est construit.
00:48:51Mais c'est construit.
00:48:52Il y a l'écran opposé de Jules pour libérer Franck sur la remontée.
00:48:55Il est énorme.
00:48:56Il est énorme Franck Séguéla.
00:48:58Et lui aussi.
00:48:59Albert, il fait vraiment un grand match, une grande finale.
00:49:02La qualité technique, les tirs à mi-distance, la compression.
00:49:06Franck Séguéla, j'ai l'impression qu'il peut prendre des shoots quand il veut de n'importe où.
00:49:11Il est en trance.
00:49:12Suhaar dans les cieux de Hong Kong.
00:49:14Franck qui voulait la balle.
00:49:16On s'est retrouvé à beaucoup trop dribbler sur place.
00:49:2012-8.
00:49:22On brille quand le ballon bouge, Lucien, on brille quand on donne du mouvement.
00:49:26Ça permet de libérer Franck.
00:49:27Ça permet que Paul attrape sur de la vitesse et que la défense soit prise au dépourvu.
00:49:33Chacun a ses qualités, mais le danger vient de partout.
00:49:36Et le danger à Amsterdam vient de cet homme, mais très bien défendu par Paul Joko.
00:49:41Regardez, il est malin.
00:49:43Il est bourré de talent.
00:49:46Et pourtant, rien à reprocher à Joko là-dessus.
00:49:48Faute offensive.
00:49:50Ou ce sera une faute de Worldy.
00:49:52Il a joué bien.
00:49:53Faute initiale de Worldy, mais Paul qui écarte le bras, prend un risque.
00:50:03Vous voyez là.
00:50:05Faute initiale certes, mais si Yassmina Youras ne siffle pas cette faute initiale
00:50:10qui n'est pas si sévère que ça, c'est pas non plus...
00:50:15Au 3-3, on en voit beaucoup.
00:50:19Ça tourne du bon côté de la pièce.
00:50:21C'est ce qu'on appelle les 50-50.
00:50:23C'est les coups de sifflet 50-50.
00:50:25Oui, mais c'est ce dont vous parliez tout à l'heure.
00:50:28Avoir une cohérence aussi dans l'arbitrage.
00:50:30Pour l'instant, il n'y a rien à dire.
00:50:33Pour l'instant, c'est propre.
00:50:34Allez Paul, surtout prendre tous les points comme en demi-finale face à Reifen.
00:50:38Il n'y a rien à laisser au hasard.
00:50:40Elle est lancée, il faut les marquer.
00:50:421 sur 2 pour Ponjoukou.
00:50:46Oh oui !
00:50:47Oh ça c'est rare !
00:50:49Oh mais regardez, il a réussi à chipper le ballon.
00:50:52Et ce sera une faute sur Franck !
00:50:53Oh non !
00:50:57Et surtout Worldy de Young qui nous fait un cadeau.
00:50:59Regardez ça !
00:51:01Alors que Franck...
00:51:02Mais non, mais non, mais on ne peut pas siffler une faute sur ça !
00:51:05Regardez, Franck il serre le point en pensant évidemment que le ballon leur revient.
00:51:09Mais on ne peut pas siffler une faute sur ça !
00:51:12Allez, toujours un avantage pour Paris même si Amsterdam commence à revenir dans le match.
00:51:2113-10 et peut-être 13-11.
00:51:25Avec l'homme fort, l'homme a tout fait.
00:51:27Warcy de Young déjà à 5 points.
00:51:30Et le sixième, le voici !
00:51:326 points sur les 11 inscrits.
00:51:34Rambo !
00:51:37Il est au sol, il est au sol Seguera.
00:51:39Voilà.
00:51:40Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
00:51:41Il y a beaucoup de contact dans ce match Angelo.
00:51:44On sent que c'est tordu, on sent que c'est une finale.
00:51:50Que s'est-il passé ?
00:51:51J'avais les yeux levés sur le ballon.
00:51:52Ah oui, oui, oui.
00:51:53Oui, coup derrière la tête.
00:51:59Alors après, j'aimerais bien le revoir un petit peu plus tôt.
00:52:01Parce que là on voit juste, voilà, maintenant...
00:52:05Oui, oui, oui, oui, oui, oui.
00:52:06Ah oui, ça, ça, le coup de coude.
00:52:08Il a pris un coup de coude par Paul Tchoko et il l'a rendu à Franck Seguera.
00:52:15C'est rugueux cette partie, cette finale Angelo.
00:52:18Oui.
00:52:26Bon, c'est un coup accidentel bien sûr.
00:52:28Oui, évidemment.
00:52:29Il faut le préciser aussi, il y a beaucoup de respect entre tous les joueurs du circuit
00:52:32qui se connaissent parfaitement.
00:52:33Ils ont l'habitude d'évoluer sur toute la saison, sur les différents Masters aux quatre coins de la planète.
00:52:41Suivez-le.
00:52:42Bien, le jeu à deux, trois.
00:52:43Voilà.
00:52:45Par contre, je n'avais pas regardé l'horloge.
00:52:47Moi non plus, on a tous été surpris par l'horloge.
00:52:50Oui, mais en fait, le jeu avait été complètement haché par la revue vidéo de l'arbitrage.
00:52:56Pour moi, je partais du principe qu'on avait les douze secondes.
00:52:59Je n'ai pas pris le réflexe de regarder.
00:53:01Slakter, de main en main avec De Jong.
00:53:03Je pense même que les garçons ont fait la même erreur.
00:53:05Ah, c'est magnifique.
00:53:06Regardez, il va pouvoir finir la vista de voir si De Jong, on le connaît ce coureur, il est aussi créateur.
00:53:15Et Amsterdam qui revient, un petit point.
00:53:18Et oui, faute de Slakter.
00:53:21Slakter, c'est un bon boucher, vous savez.
00:53:23Il aime bien mettre les coups de hachette.
00:53:26Découper les côtes et les pieds.
00:53:31Allez Jules.
00:53:35Qui a commencé doucement ces finales à Hong Kong.
00:53:38Peu servi sur la face de groupe.
00:53:41Et puis on l'a retrouvé aujourd'hui, Jules Rambaud, comme on le connaît.
00:53:44Cinq points de rebond face à Miami.
00:53:45Huit points de rebond face à Rifa.
00:53:48Avec 100% de réussite au tir.
00:53:51Et voici le rallonge.
00:53:55Il faut tous les prendre, il faut tous les mettre.
00:53:57Bien, bien, bien Paul, bien.
00:54:04On ne donne pas de panier facile.
00:54:13De Jong face à Djoko.
00:54:16Slakter, Slakter il est passé.
00:54:19Allez Franck, reste bien devant.
00:54:21Conteste-le au maximum.
00:54:22Slakter, c'est quand même une assurance tout risque quand vous êtes à Amsterdam.
00:54:28L'homme est fiable.
00:54:30Djoko, Djoko.
00:54:33Dans les airs, Paul Djoko.
00:54:35Un phénoméno.
00:54:37Ce coup de cœur.
00:54:40Il va se lever, il va se lever, attention.
00:54:42Bien sûr, bien sûr qu'il va se lever.
00:54:43Mais il est bien contesté par Franck Seguera.
00:54:44Ce sera une faute.
00:54:49Que c'est dur de défendre sur Worsi de Jong.
00:54:51Deuxième temps mortelé.
00:54:53Ces deux équipes qui se rendent coup pour coup.
00:54:55C'est toujours des batailles légendaires.
00:54:57Incroyable.
00:54:58Et oui, regardez, il a raison.
00:54:59Paul Djoko, c'est là que ça se passe.
00:55:01C'est dans la tête.
00:55:05Allez messieurs, toujours devant.
00:55:0715-13, deux points d'avance pour Paris 3-3.
00:55:11On rappelle que c'est le tout dernier match de cette équipe sur le circuit du World Tour, Angelo.
00:55:17Finir en apothéose, de la plus belle des manières.
00:55:32Bon, Worsi va nous en donner un.
00:55:34Voilà, je l'annonce.
00:55:36C'est écrit, il nous en donne un maintenant.
00:55:39Mais oui, continuez, continuez.
00:55:42Mais oui, continuez, continuez.
00:55:45Monsieur Angelo Tsagarakis, le visionnaire.
00:55:50Ce sont des choses qui se sentent, Lucien.
00:55:52Je ne peux pas les expliquer.
00:55:53Vous ne sentez aussi celui-là ?
00:55:54Non, non, le deuxième c'est Swish.
00:55:57Le deuxième, Swish.
00:56:02Il ne faut pas pousser.
00:56:05Oh, la défense de Worsi de Jong.
00:56:06Et oui, et oui, et oui.
00:56:09La pression, le pressing.
00:56:12L'Amsterdam a fait la différence.
00:56:15Lennear Landé récupère le ballon.
00:56:18C'est Franck déjà qui, sur l'action, se met un peu en difficulté.
00:56:22Dribloter devant de Jong, ce n'est pas une bonne idée.
00:56:25L'homme est un Arsène Lupin renommé.
00:56:28Et attention là, à deux points, ça permettrait à l'Amsterdam de passer devant.
00:56:31Ils ont aussi la possibilité d'égaliser, c'est fait.
00:56:33Meilleure attaque.
00:56:35Égalité, 15 partout, il reste 3 minutes 27.
00:56:38Allez, pas de fébrilité là.
00:56:40Suard, Suard à deux points pour relancer la machine.
00:56:43Le rebond.
00:56:44Balle à Paris.
00:56:45Oui.
00:56:46Balle à Paris.
00:56:47Oui, en effet, balle à Paris.
00:56:54Oh, que c'est tendu.
00:56:55Mais on a une belle finale, on a une finale digne du standing de cet événement.
00:57:01Imaginez-vous, hier, on est passé tout proche de l'élimination.
00:57:04Les deux, les deux.
00:57:05De ces deux équipes, exactement.
00:57:06Bien sûr.
00:57:07De Paris et d'Amsterdam, qui ont toutes les deux perdu leur premier match.
00:57:12Bonne passe, Hugo.
00:57:13Allez, allez.
00:57:14Chippé, Alberts.
00:57:15Il est partout, ce joueur.
00:57:19Ce serait une faute d'Hugo.
00:57:23Mais Alberts, qui a déjà subtilisé la gonfle des mains de Jules Rambeau tout à l'heure,
00:57:27qui fait la même au niveau de cette situation avec Franck.
00:57:32C'est tellement bien joué.
00:57:38Maintenant, Paris ne peut plus se permettre, quoi qu'il arrive, de commettre la moindre faute.
00:57:45Ne faites pas cette erreur, les garçons, s'il vous plaît.
00:57:52Allez, les gars.
00:57:53Vous avez fait vibrer la France entière aux Jeux Olympiques.
00:57:59Il faut faire de même aujourd'hui, ici, à Hong Kong, pour la toute dernière de cette magnifique équipe.
00:58:08Qui a débuté sur le circuit du World Tour en 2022.
00:58:11C'est très récent.
00:58:12Il y a assez peu d'expérience, finalement.
00:58:15Mais les résultats parlent de même.
00:58:18Six finales cette saison.
00:58:19C'est la septième aujourd'hui.
00:58:24On prend ?
00:58:25Bien sûr.
00:58:26Non, mais avec Driessen, je n'ai pas besoin d'annoncer.
00:58:30Pas besoin d'annoncer.
00:58:31Je conserve mon énergie pour des joueurs qui le méritent.
00:58:36Bon, après, vous savez bien que je taquine.
00:58:38Sachant ce que je pense de Driessen, je l'ai dit suffisamment.
00:58:40Bien sûr.
00:58:41Bien sûr.
00:58:42Allez, ça ressort !
00:58:43Oui !
00:58:44Oui !
00:58:45Mais voilà !
00:58:46Et c'est pour me rendre la monnaie de la pièce que Driessen rate les deux.
00:58:49C'est bien, mon petit, c'est bien.
00:58:51Tiens, Spartou, on est rentré dans les trois dernières minutes de cette finale d'anthologie.
00:58:57Entre Amsterdam et Paris.
00:59:01Hugo Bandriassassine.
00:59:03Hugo Bandriassassine.
00:59:04Allez, Hugo qui préfère pénétrer, qui va venir proche du cercle.
00:59:07Bien, mon petit, bien, mon petit.
00:59:10Hugo Suar.
00:59:11Et ce sera une faute offensive de Slakter, à moins que ce soit un marché de Albers.
00:59:29Allez, l'occasion de creuser un peu l'écart.
00:59:30Franck Segné, là, à deux points.
00:59:33Un peu précipité, là.
00:59:36Slakter.
00:59:37Allez, pas de faute, pas de faute.
00:59:38Faute offensive, faute offensive !
00:59:39Mais oui !
00:59:40Faute offensive !
00:59:41Bien sûr, faute offensive !
00:59:42Évidemment, évidemment !
00:59:46Slakter qui conteste, mais si, allié, évidemment.
00:59:53Regardez, on va le voir avec ce ralenti.
00:59:58Bon, mais il n'y aura pas de faute antisportive.
01:00:00Non.
01:00:01Non, non, non, c'est juste une faute offensive.
01:00:03Après, Franck joue très bien le coup.
01:00:05Ah, évidemment.
01:00:07Parce que c'est vraiment toute la subtilité de cette discipline du 3-3 où on tolère beaucoup plus les accrochages et les coups.
01:00:19Il commence à avoir un peu de métier, Franck Segné, là.
01:00:22Pas qu'un peu.
01:00:24Et on parle souvent de la fin de cette équipe de Paris 3-3, mais ne vous inquiétez pas, l'aventure continue dans un autre lieu, dans une autre ville, sous les couleurs de Toulouse.
01:00:42Un autre projet se met en place un peu plus loin du système fédéral, même si la FED de basket va aider, bien entendu, encore.
01:00:51Elle va soutenir le projet en coulisses, comme elle le fait depuis des années au niveau du basket 3-3 dans sa globalité.
01:00:59C'est ça, mais ce qu'il faut expliquer aux gens, Angelo, c'est que là, on était vraiment sur un projet olympique.
01:01:02Voilà, c'était un projet olympique.
01:01:04C'est pour ça que le DTN, à l'incompte en soi, a annoncé, directement après les Jeux, l'officialisation de la fin de Paris 3-3.
01:01:11Oui, il y avait une prise en charge budgétaire conséquente.
01:01:12Voilà, c'est ça.
01:01:14Allez, Suar, à deux points.
01:01:16Mais oui ! Mais oui ! Evidemment, Hugo Suar ! Non, non, non !
01:01:24Wervy, on va discuter, Wervy.
01:01:28Pas toi, le cauchemar des Jeux olympiques ne doit pas se reproduire.
01:01:33Allez les gars, deux points pour remporter le plus beau titre de l'histoire du basket français.
01:01:41Oh là là, Angelo ! Hugo Suar ! Hugo Suar ! Pour envoyer Paris sur le toit du monde !
01:01:47Oh, folie au cercle !
01:01:48Non, les gars !
01:01:49Folie au cercle !
01:01:50Jules Rambaud qui a tenté de mettre une petite retournée acrobatique.
01:01:53Vous saviez quelle était mon anticipation ? J'aurais popé si j'étais Jules.
01:01:58Jules joue tellement bien, j'aurais popé.
01:02:00Mais parce qu'en fait, Jules n'est ni sur la descente vers le cercle, ni sur le pop.
01:02:05Il est vraiment dans une sorte de zone bâtarde, un peu intermédiaire.
01:02:10Bon, messieurs-dames, si vous ne le savez pas, Lucien est debout.
01:02:14Il ne tient plus en place.
01:02:15Je ne peux plus tenir sur une chaise. C'est impossible, ils nous font tellement vibrer.
01:02:22Quelle aventure, quelle histoire pour cette équipe.
01:02:28Quatre gars qui sont arrivés sur le 3-3 et qui ont brillé rapidement, qui ont fait leur preuve.
01:02:34Et dire que j'ai rencontré Paul Giocco en 2017 quand il était U18.
01:02:38C'est dingue.
01:02:39Et il faisait le stage équipe de France avec nous déjà à l'époque.
01:02:42Et maintenant, il est sur le toit du Monde 3-3.
01:02:48Allez, les gars, Warsi de Jong.
01:02:51Pas de faute.
01:02:52Slakter, ils vont chercher le point de Jong.
01:02:55Il est bien contesté, ça ne rentre pas.
01:02:58Ah, ça sera récupéré.
01:03:01Allez, allez, mais oui !
01:03:04C'est maintenant, les gars.
01:03:07L'histoire s'écrit maintenant.
01:03:1019-17.
01:03:12Un deux-point et Paris remporte.
01:03:15On n'a pas besoin d'un deux, on prend ce qu'il y a à prendre.
01:03:18Ce qui est disponible, sans forcer.
01:03:20Si c'est un lay-up, c'est un lay-up.
01:03:22Bien sûr, bien sûr.
01:03:23Il ne faut pas attendre trop longtemps, il va falloir shooter là.
01:03:25Attention, il se met dans une position difficile.
01:03:28Ça touche le cercle, ça touche le cercle.
01:03:30Allez, allez, oui !
01:03:32Qu'est-ce qu'il nous fait là, Vlad ?
01:03:35Ça touche le cercle.
01:03:36C'est sûr que ça a touché le cercle.
01:03:38On l'a entendu.
01:03:40Ah là là là là !
01:03:41On ne peut pas faire ce genre d'erreur.
01:03:43La balle est à Paris, de toute manière.
01:03:44Surtout que Hugo Suar avait un shoot complètement ouvert.
01:03:47Mais oui, la balle touche le cercle.
01:03:50Alors, on va revoir les images.
01:03:54On a du mal à tenir en place.
01:03:56On vous avoue, on vous donne un peu les coulisses.
01:03:58Regardons ça.
01:03:59Mais elle n'est pas dehors non plus.
01:04:02Oui !
01:04:03Ah là là, Maïman !
01:04:04Oui, Yasmina, Jumbal.
01:04:05Ah ouais, mais là c'est dur.
01:04:06Là c'est dur parce que…
01:04:07Non, non, non, mais attends.
01:04:08Si on a la balle, pas de soucis, hein !
01:04:09Oui, mais sauf qu'il y avait un shoot complètement ouvert.
01:04:11Ouais, c'est mieux, on construit.
01:04:13Allez, reprenons nos esprits.
01:04:15Bien sûr, bien sûr.
01:04:17Une minute.
01:04:18Il n'y avait aucune garantie déjà de récupérer ce ballon, Lucien.
01:04:21Allez.
01:04:22Bien sûr, il ne peut pas se lever.
01:04:23Avec Seguella.
01:04:24Seguella.
01:04:25Oui !
01:04:26Non, je pense qu'il a sifflé une faute offensive.
01:04:28Non, mais non !
01:04:30Bon.
01:04:31Ah, il joue avec de l'honneur, là.
01:04:32Bon.
01:04:33Hé !
01:04:34On n'est pas sous cette pression d'être à nous à moins deux.
01:04:37Bien sûr.
01:04:38On défend, pas de fautes.
01:04:39Oui, oui, il ne faut pas oublier qu'on est devant au score.
01:04:41On maîtrise notre sujet.
01:04:42Pas de fautes, pas de fautes.
01:04:43Pas de fautes de Long qui va finir et inscrire ce point.
01:04:47Un point d'écart.
01:04:49Paris a toujours l'avantage.
01:04:54Slakter et Seguella qui en rigolent.
01:04:57Slakter qui fait une intervention sur le ballon, Lucien.
01:04:59Et la règle, on n'en a pas vraiment parlé pendant ce week-end,
01:05:03quand le joueur offensif vient de récupérer la position après un panier marqué,
01:05:07il est dans le demi-cercle et il a la liberté de pouvoir poser un dribble ou de faire une passe
01:05:11sans avoir le défenseur qui ait le droit d'intercepter ou de faire une action sur la balle.
01:05:16Donc là, il y a un warning.
01:05:18Allez.
01:05:19Allez.
01:05:20On prend ce qu'il y a à prendre.
01:05:21Djoko.
01:05:23Djoko.
01:05:24Oui, Djoko.
01:05:25Il va pénétrer.
01:05:27Bon.
01:05:28Slakter a bien joué le coup.
01:05:29A très bien joué le coup.
01:05:30Il faut le souligner.
01:05:31On est chez Auvain, mais il faut quand même souligner que cette équipe d'Amsterdam est redoutable.
01:05:37Bonne défense de Slakter, rien à dire.
01:05:40Récupéré.
01:05:42Possession pour Amsterdam qui a l'occasion d'égaliser, voire de passer devant.
01:05:46Si ce diable de Albert se rende dedans.
01:05:49La main d'Hugo.
01:05:50Voilà.
01:05:52Pas de fautes.
01:05:53Pas de fautes.
01:05:54Pas de fautes.
01:05:5619 partout.
01:05:58Le scénario est en train de se répéter.
01:06:01C'est très serré comme aux Jeux Olympiques.
01:06:04Monsieur Franck Seguela qui prend le chute à deux points.
01:06:08Franck Seguela.
01:06:10Mais oui.
01:06:11Mais oui.
01:06:12Mais oui.
01:06:13Paris sur le toit du monde.
01:06:16Ils vont peut-être vérifier.
01:06:17Ils vont peut-être vérifier que c'est bien à deux points.
01:06:20Wow.
01:06:22Ils vont peut-être vérifier.
01:06:25Où est-ce qu'ils vont ?
01:06:26Je pense que Yasmina vérifie.
01:06:28C'est à deux ou pas ?
01:06:29Oui.
01:06:30C'est à un point.
01:06:31Un point.
01:06:32Un point.
01:06:33Un point.
01:06:34Wow.
01:06:35Mais quel scénario.
01:06:36Quel scénario.
01:06:37Il y avait un peu l'angle de la caméra tournée.
01:06:38Je pensais qu'il y avait un deuxième point quand c'est du premier.
01:06:41J'ai eu un doute énorme parce que je me suis dit que c'est quand même diablement proche de la ligne.
01:06:45Mais on ne sait jamais.
01:06:47Ça veut dire que maintenant Amsterdam a la balle avec 27 secondes.
01:06:51Non, non, non.
01:06:52Le scénario se répète.
01:06:53Pitié.
01:06:55On va voir si De Jong ne doit pas rentrer ce shoot à deux points, s'il vous plaît.
01:06:59Oui, mais Adler c'est capable et le facteur aussi.
01:07:01Bien sûr.
01:07:02Bien sûr.
01:07:03Si vous défendez que vous êtes Paris, vous leur donnez, excusez-moi de le dire, ce putain de lay-up.
01:07:08Oh, les pieds à Kevin Durant, Franck.
01:07:10Oh non.
01:07:11Oh non, Franck.
01:07:12Pourquoi ?
01:07:13Pourquoi fais-tu cette pointure ?
01:07:14Donc, donc, donc, donc.
01:07:15Il faut absolument jouer en overplay.
01:07:17On ne donne pas le tir, Lucien.
01:07:18On leur donne le lay-up.
01:07:20Comme ça, c'est nous qui avons le contrôle du match.
01:07:22On ne donne pas le tir.
01:07:23On les laisse marquer à un point.
01:07:25Marangelo, vous savez ce qu'il va se passer.
01:07:27Voir si De Jong va prendre le ballon et va se créer un tir.
01:07:29Il va tenter le tir à deux points.
01:07:31C'est sûr.
01:07:32C'est écrit.
01:07:35On est tous les deux debout.
01:07:37Oh non.
01:07:38Oh non, mais imaginez-vous s'il voit que c'est gay là.
01:07:41Au lay-up.
01:07:42Au lay-up.
01:07:43Pas de deux points.
01:07:44Pas de deux points.
01:07:45Ça me rappelle le Basket 5-5 finale France-États-Unis.
01:07:48Gabby Williams qui prend le shoot.
01:07:51Et il y a une pointure en plus.
01:07:52Une pointure en plus.
01:07:53Allez, pas de deux points.
01:07:54Pas de deux points.
01:07:56Voir si De Jong…
01:07:57Evidemment que c'est lui qui va aller le prendre.
01:07:59Oui, les gars.
01:08:00Ça c'est super.
01:08:01C'est l'acteur.
01:08:02Non, ça doit faire un pas de temps.
01:08:05Oh, c'est récupéré.
01:08:08Il reste 15 secondes.
01:08:09De Jong, il va tenter de le prendre.
01:08:12Non, il va pénétrer.
01:08:13C'est bien fait.
01:08:14C'est montré.
01:08:15OK.
01:08:16Égalité.
01:08:17Allez, les gars.
01:08:18Joue-le en vitesse, Paul.
01:08:19Joue-le en vitesse, Paul.
01:08:20Trois secondes.
01:08:21Trois secondes pour l'histoire.
01:08:22Pour marquer l'histoire du basket français, du sport français.
01:08:25Prolongation.
01:08:27Angelo Tsakarakis.
01:08:28Mais qu'est-ce qu'il se passe ?
01:08:29C'est le remake des Jeux Olympiques.
01:08:33J'aurais tellement voulu que Paul aille le jouer dans l'intervalle.
01:08:37Qu'il le prenne de vitesse.
01:08:38En tout cas qu'il y joue physique.
01:08:40Bon, je n'avais pas envie de le mentionner tout à l'heure.
01:08:43Je n'avais pas envie de dire, c'est un match qui pue la prolongation.
01:08:46Je ne voulais pas le dire parce que je me dis, depuis tout à l'heure,
01:08:48tout ce que j'énonce se met en existence.
01:08:51Angelo, on explique pour les téléspectateurs.
01:08:53Prolongation.
01:08:54Vous l'avez peut-être vu pendant les Jeux Olympiques.
01:08:56Première équipe qui marque deux points.
01:08:58Remporte la victoire.
01:09:00Voilà.
01:09:01Il n'y a plus d'horloge de match.
01:09:04Il y a bien entendu l'horloge des douze secondes de possession offensive qui est conservée.
01:09:08Parce qu'on ne peut pas non plus avoir une heure pour shooter.
01:09:10Mais par contre, les compteurs sont à zéro.
01:09:14Première équipe à deux points.
01:09:16Alors les deux points, Lucien, ça peut être de lancer franc.
01:09:18Ça peut être de panier à un point.
01:09:19Peu importe.
01:09:20Ça ne pouvait pas être autrement.
01:09:23Et on a la balle.
01:09:24Allez.
01:09:28Franck Seguela.
01:09:29Franck Seguela à deux points.
01:09:31Le rebond de Rambo.
01:09:32Bien, Jules.
01:09:33Suar.
01:09:34Prenez le lay-up si nécessaire.
01:09:36Bien défendu par Albert.
01:09:38Quelle défense.
01:09:39Suar qui s'élève.
01:09:40C'est manqué.
01:09:42Elle a fait un salto presque là, Jules Rambo.
01:09:44Elle est à nous.
01:09:46J'ai vu le salto.
01:09:47Je vous assure, il a dû être judoka.
01:09:49Jules Rambo, ça, il faut le souligner.
01:09:51Cette présence là au rebond.
01:09:53Regardez.
01:09:55Magnifique.
01:09:56Oui, judoka, gymnaste, vous choisissez.
01:09:58Un athlète tout simplement.
01:10:00Mais ce que j'aime, c'est que Jules a réussi tout de même à se mettre en situation de protéger son corps malgré la chute.
01:10:10Allez, respirez tranquillement chez vous.
01:10:13Ça va bien se passer.
01:10:15Ils vont faire une vérification.
01:10:17De qui a touché ce ballon.
01:10:21On n'a pas les images pour le coup.
01:10:23On va laisser le corps arbitral décider.
01:10:26Je n'aime pas les laisser décider, pour être honnête avec vous.
01:10:29Mais les gars, j'ai envie de dire, on est dans le match, Angelo.
01:10:33Peu importe le scénario final.
01:10:35On sera fiers de Paris 3-3.
01:10:37Mais là, on est dedans.
01:10:39On est à ça, on n'est à rien.
01:10:41D'être sur le toit du monde.
01:10:45J'aime bien.
01:10:47Le danger n'en est pas moindre, Lucien.
01:10:49Slacker, Albert, bien sûr.
01:10:51Slacker, il a un historique d'assassinat intempestif.
01:10:57Alors c'est Worthy qui touche.
01:10:59Worthy qui touche.
01:11:01Oui, c'est Worthy.
01:11:03Attention, est-ce qu'elle touche ?
01:11:05Non, elle ne touche pas les jambes.
01:11:07Elle ne touche pas les jambes.
01:11:09Elle ne touche pas les jambes.
01:11:11Elle ne touche pas les jambes.
01:11:13Attention, est-ce qu'elle touche ?
01:11:15Non, elle ne touche pas les jambes de Jules.
01:11:17Elle ne touche pas les jambes de Jules.
01:11:19On va laisser les arbitres observer et prendre leurs décisions.
01:11:21Mais normalement, en tout cas, si on se réfère aux images qu'on vient de voir,
01:11:25Paris récupère le ballon.
01:11:27Ça prend du temps, ça prend du temps.
01:11:29Et ça, ça me fait peur.
01:11:33Qui va succéder à Houm titrer les deux dernières saisons en 2022 et en 2023 ?
01:11:39Paris ou Amsterdam ?
01:11:41Amsterdam, faites vos jeux. Nous sommes en prolongation, Messieurs, Dames.
01:11:51Le challenge est gagné.
01:11:55Amsterdam récupère la balle.
01:11:57Je ne comprends pas. Bon, écoutez.
01:11:59On se concentre sur le jeu.
01:12:01Pas de deux points.
01:12:03On se concentre sur le jeu.
01:12:05Non, non, non.
01:12:07Pas encore.
01:12:09Non, non, pas la deuxième fois.
01:12:11Mais non, mais non, mais non, mais non, mais non.
01:12:15Comment c'est possible ?
01:12:17L'histoire se répète.
01:12:19Oh, les vieux démons des Jeux Olympiques de Paris.
01:12:23Le cauchemar, le cauchemar pour Paris 3-3.
01:12:27Warci de Jong est un démon.
01:12:31Quel joueur.
01:12:33Les détails.
01:12:35Mais comment c'est possible ?
01:12:37Paris était à deux doigts d'être sur le toit du monde.
01:12:43Mais ce joueur, Warci de Jong, MVP de cette saison des Jeux Olympiques,
01:12:49en a décidé autrement.
01:12:51Le tir assassin qui vient tout droit dans le cœur de ces quatre gars qui ont été héroïques.
01:12:59Bravo, Messieurs. On est fiers de vous.
01:13:01Encore une fois, on ne le répétera jamais assez.
01:13:03Vous avez été immenses.
01:13:07Vous avez été grands.
01:13:09Vous avez un cœur énorme.
01:13:11Et vous nous avez fait vibrer, crier, pleurer peut-être même un peu plus tard.
01:13:15Mais ça ne sera pas de joie cette fois-ci.
01:13:17On va se quitter avec ces images.
01:13:19La joie d'Amsterdam.
01:13:21Ces quatre gars.
01:13:23C'est l'acteur Albert Trissen et Warci de Jong.
01:13:27MVP de la saison.
01:13:29MVP de ces finales.
01:13:31Pour Albert, c'est une sacrée rentrée dans la matière pour sa première saison.
01:13:35Sachant qu'il n'avait pas fait partie de l'aventure olympique.
01:13:37Il a fait, c'est pas grave les gars, je vais me consoler avec le titre mondial.
01:13:43Angelo, on va se quitter après ce week-end complètement fou.
01:13:47C'est toujours un plaisir de commenter le 3-3 à vos côtés.
01:13:49On le rappelle aussi, vous êtes un pionnier de la discipline.
01:13:51Vous avez œuvré pour avoir ces résultats-là.
01:13:55Aujourd'hui, vous êtes un des précurseurs de la discipline en France.
01:13:59On soulève évidemment ça.
01:14:01C'est important aussi de le rappeler.
01:14:03Aux téléspectateurs, téléspectatrices.
01:14:05Et puis nous, on va vous souhaiter une excellente journée.
01:14:09Et puis merci, merci à Paris 3-3.
01:14:11On vous aime, vous avez été immenses.
01:14:13Et on se retrouve très vite pour encore un peu plus de Basket 3-3 sur Sport en France.
01:14:17Salut tout le monde, à la prochaine.
01:14:19A bientôt.