Roberto De Zerbi est-il calmé après son coup de sang au terme de la rencontre face à l'AJA ? On avait quitté l'entraîneur de l'OM en colère avant la trêve, face à la claque prise par son équipe et les 3 buts encaissés en première période.
"Si le problème, c’est moi, je suis prêt à partir, je rends mon contrat, avait-il déclaré. Je pars sans argent, je m’en fous, ce n’est pas mon problème. Je n’ai pas envie de raconter des bêtises. Je suis là pour dire la vérité, c’est tout ce que je sais faire. On n’y arrive pas, je ne vais pas m’échapper, on doit regarder la réalité en face. C’est ce que l’on va essayer de faire et ce que je vais faire."
Il est revenu sur ces déclarations à la veille du déplacement à Lens ou son équipe devra réagir et a assuré qu'il ne quitterait pas la navire. Que ce n'était pas dans sa nature, même quand le pays où il entraînait entrait en guerre.
'C'est juste que j'assume, si vous pensez que je veux démissionner, je tiens à souligner que je ne fuis pas, je n'ai pas fui de Donetsk quand Poutine a bombardé l'Ukraine. Je n'accepte pas un match comme celui contre Auxerre, je ne parle pas que du résultat mais aussi de la physionomie du match."
Il a ensuite évoqué l'état du groupe avant le match à Lens : "On a dû travailler avec sept ou huit joueurs, on a travaillé sur le physique, pas sur la tactique, on repart avec nos certitudes, celle d'avoir une équipe forte."
"Si le problème, c’est moi, je suis prêt à partir, je rends mon contrat, avait-il déclaré. Je pars sans argent, je m’en fous, ce n’est pas mon problème. Je n’ai pas envie de raconter des bêtises. Je suis là pour dire la vérité, c’est tout ce que je sais faire. On n’y arrive pas, je ne vais pas m’échapper, on doit regarder la réalité en face. C’est ce que l’on va essayer de faire et ce que je vais faire."
Il est revenu sur ces déclarations à la veille du déplacement à Lens ou son équipe devra réagir et a assuré qu'il ne quitterait pas la navire. Que ce n'était pas dans sa nature, même quand le pays où il entraînait entrait en guerre.
'C'est juste que j'assume, si vous pensez que je veux démissionner, je tiens à souligner que je ne fuis pas, je n'ai pas fui de Donetsk quand Poutine a bombardé l'Ukraine. Je n'accepte pas un match comme celui contre Auxerre, je ne parle pas que du résultat mais aussi de la physionomie du match."
Il a ensuite évoqué l'état du groupe avant le match à Lens : "On a dû travailler avec sept ou huit joueurs, on a travaillé sur le physique, pas sur la tactique, on repart avec nos certitudes, celle d'avoir une équipe forte."
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00:00Je ne fuis pas, je reste ici, je n'ai pas fui du Shakhtar même quand Poutine a lancé
00:07des bombardements à Kiev, donc je ne fuirai encore moins ici, je crois fortement en cet
00:12OM, je crois en les joueurs que j'entraîne, on peut tous avoir des limites, mais absolument
00:18je ne vais nulle part ailleurs.
00:20Absolument on n'accepte pas, moi personnellement, mais les joueurs, le club de manière générale,
00:25un match comme celui qu'on a fait contre Serres, je ne parle pas que du résultat,
00:30parce que le résultat ça arrive à la fin, mais de la fusion du match et ce qu'on a
00:33fait sur le terrain, qui n'était clairement pas suffisant pour pouvoir obtenir un résultat,
00:38après j'ai pas employé de mots forts, je pense, mais j'ai juste assumé mes responsabilités,
00:44je ne sais pas à quoi vous êtes habitués en France, mais en Italie on dit que personne
00:47ne veut jamais prendre sa part de responsabilité, mais nous on a joué 5 matchs au Vélodrome,
00:53on a eu une victoire, deux défaites, donc je pense que c'est juste que moi j'assume
00:58mes propres responsabilités aussi, et si vous croyez que j'ai peut-être démissionné
01:04ou que c'est mon idée, que je n'étais pas bien ou quoi, je tiens vraiment à souligner
01:11et à rappeler que je ne suis pas.