• il y a 12 heures
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Alors qu'il était question de supprimer le tickets-resto pour payer ses courses en supermarché, cette mesure pourrait est prolongée pour un an, voire pérennisé. La proposition de loi était discutée ce mercredi à l'Assemblée nationale. Mais cette possibilité ne convient pas aux restaurateurs.
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Transcription
00:00C'était au départ une mesure directement liée à l'inflation, utiliser les tickets-restos dans les grandes surfaces pour acheter des produits alimentaires non directement consommables.
00:08Des pâtes par exemple, ou une bouteille de vinaigre, c'est possible depuis une loi d'août 2022.
00:13Et cette dérogation avait été prolongée pour s'arrêter à la fin de l'année.
00:17Bonsoir Aurélien Fleureau.
00:18Bonsoir Pierre, bonsoir à tous.
00:19Finalement c'est reparti pour un an, voire même pérennisé.
00:22La proposition de loi était discutée aujourd'hui à l'Assemblée Nationale.
00:25C'est bon pour le pouvoir d'achat des salariés, beaucoup moins pour le chiffre d'affaires des restaurants et des boulangeries.
00:31Depuis 2022, le manque à gagner est d'un milliard 200 millions d'euros déplore tout un secteur,
00:36dont le groupement des hôtelleries et restaurations de France, par la voix de sa présidente Catherine Quérard.
00:42On sacrifie les restaurateurs et les petits commerces alimentaires de détail au profit de la grande distribution.
00:47On n'achète pas des pâtes et du riz avec un titre restaurant, ce n'est pas son objet originel.
00:5230% de ces titres ont été dépensés dans les grandes surfaces au deuxième trimestre de cette année.
00:57Alors pérenniser la dérogation actuelle reviendrait à tuer l'échec restaurant,
01:01alerte la profession qui se veut malgré tout constructive en proposant une alternative.
01:06Mettre en place un double plafond, 15 euros de dépenses à destination de la grande distribution
01:11et 25 euros de dépenses à destination des restaurateurs et des petits commerces.
01:16L'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie propose même d'aller jusqu'à 38 euros,
01:20soit le plafond qui avait été mis en place après les fermetures liées au Covid.

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