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Les agriculteurs qui ne veulent pas d'un traité entre l'Union européenne et le Mecorsur ont pris la Bastille - Le leader du NPA Philippe Poutou en soutien des salariés grévistes de Vencorex à Pont-de-Claix - La préparation et l'installation des chalets du Marché de Noël de Grenoble - De nouveaux locaux pour la Banque alimentaire de l'Isère qui lance sa collecte annuelle ce weekend.

A Grenoble comme sur plus de 80 points en France, les agriculteurs ont manifesté mardi soir contre le traité de libre échange qui pourrait être signé entre l'Europe et le Mercosur. Réunis Porte de France ils ont ensuite gravi la Bastille.
Le village de cabanes en bois est tranquille mais dans 3 jours ce sera l'effervescence sur la place victor hugo pour l'ouverture du marché de noël de Grenoble. Plus de 70 exposants ont répondu présents cette année
Et puis la grande collecte de la banque alimentaire aura lieu les 22,23 et 24 novembre dans plus de 140 grandes surfaces du département. Le président de la banque alimentaire de l'Isère Eric Lavis, qui a inauguré aujourd'hui de nouveaux locaux, est l'invité du JT

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00:00A Grenoble, comme sur plus de 80 points en France, les agriculteurs ont manifesté mardi
00:13soir contre le traité de libre-échange qui pourrait être signé entre l'Europe et le
00:17Mercosur.
00:18Réunis porte de France, ils ont ensuite gravi la Bastille.
00:21Le village de Cabane en bois est tranquille mais dans trois jours ce sera l'effervescence
00:26sur la place Victor Hugo pour l'ouverture du marché de Noël de Grenoble.
00:29Plus de 70 exposants ont répondu présents cette année.
00:33Et puis, la grande collecte de la Banque Alimentaire aura lieu les 22, 23 et 24 novembre dans plus
00:39de 140 grandes surfaces du département.
00:41Le président de la Banque Alimentaire de l'ISER, Eric Lavi, qui a inauguré aujourd'hui de
00:46nouveaux locaux, est l'invité de ce JT.
00:50Bonsoir à toutes et à tous, bienvenue dans ce JT du mardi 19 novembre 2024, du lundi
00:58au vendredi à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:03On les avait quittés en février sur la 480, les agriculteurs reviennent mais pour une
01:09opération one-shot pour l'instant, lundi soir, c'est pour protester contre l'accord
01:14entre l'Union Européenne et le Mercosur qu'ils sont montés sur leur tracteur à
01:18l'appel de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs 38.
01:21Mirko Pesci.
01:22Concurrence déloyale, revenus trop faibles et trop de normes, moins d'un an après
01:27les actions de l'hiver dernier, les agriculteurs relancent un mouvement de contestation.
01:31Cette fois, ils n'ont pas hésité, direction La Bastille au volant de leur tracteur pour
01:36faire entendre leur voix.
01:37Aujourd'hui, c'est la reprise de La Bastille, on va dire, entre guillemets, on nous a promis
01:42des choses en début d'année qui n'ont pas été forcément toutes tenues et on est
01:46là pour défendre l'agriculture, mais on est aussi là pour montrer qu'il y a quand
01:50même un sérieux problème économique sur le pays.
01:53Aujourd'hui, les normes sont trop étouffantes, en fait, dès qu'on commence à parler, alors
01:58nous on est en agriculture biologique, on ne met pas d'engrais, on ne met pas forcément
02:01de phyto, etc.
02:02Mais par contre, on va mettre du fumier, par contre, pour le fumier, on a des cahiers qu'il
02:08faut remplir parce qu'il faut marquer le nombre de tonnages, le jour, la date.
02:12En fait, on en est arrivé à un truc, c'est même plus du contrôle, c'est de la répression.
02:16Ces manifestations ont lieu en même temps que l'EG20 qui se tient à Rio, car les agriculteurs
02:20dénoncent le possible accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur,
02:25qu'ils jugent dangereux.
02:26Ils craignent une chute des prix sur le marché.
02:29On produit de la viande bovine, ovine et de porc, et en fait, on produit, comme beaucoup
02:35de fermes françaises, on produit toute la nourriture que nos animaux consomment.
02:38L'accord, oui, il nous touche parce qu'en fait, on va importer des choses sans aucune
02:42traçabilité, et que nous, l'agriculture française, on a une traçabilité surtout.
02:46On sait vous dire où a été produite l'alimentation qu'ont mangé les animaux, qu'est-ce qu'ils
02:53ont mangé, on a une traçabilité.
02:55Six points de mobilisation étaient prévus en Isère.
02:58Au total, en France, 7 180 agriculteurs ont répondu à l'appel dans la nuit de lundi
03:04à mardi.
03:05Du côté du gouvernement, la porte-parole Maude Bréjon a assuré que la France tiendra
03:09le bras de fer avec Ursula von der Leyen.
03:12La présidente de la Commission européenne.
03:14L'Italie a également rejoint la France dans ce combat, et ce mardi, on a appris que le
03:20débat et le vote sur le traité prévu à l'Assemblée nationale le 10 décembre seraient
03:24avancés au 26 novembre.
03:26Un vote sans réel enjeu juridique toutefois.
03:28S'il ne prend pas part à ce vote, c'est aussi parce que le 26 novembre, Fabien Roussel,
03:34le secrétaire général du Parti communiste, doit venir soutenir les Vancorex sur leur
03:39piquet de grève.
03:40L'entreprise chimique de Pont-de-Clay, en redressement judiciaire, pourrait bien fermer
03:43et provoquer non seulement le licenciement de 450 salariés, mais ce qui inquiète aussi
03:47les élus du territoire, c'est la chute de la plateforme et de ses 5000 employés.
03:51En attendant l'élu du PC et après, Sophie Binet de la CGT, vous l'avez vu, c'est
03:55Philippe Poutou, porte-parole du NPA, l'anticapitaliste, qui a rencontré les grévistes lundi soir.
04:00On a 27 jours aujourd'hui et les négociations pour le plan social ont été suspendues.
04:05On est toujours dans l'attente d'avoir du concret, d'avoir de nouvelles actions,
04:11d'avoir une reprise d'activité.
04:13Aujourd'hui, rien de plus.
04:16On est vraiment en attente d'un soutien qui nous permette qu'au niveau du gouvernement
04:21ils prennent conscience de la situation, de l'impact sur les emplois, de la casse industrielle
04:27et sociale.
04:28Le seul repreneur viable, ce serait l'État.
04:30C'est la seule discussion sérieuse parce que malheureusement, le coût du repreneur,
04:34en plus du repreneur qui reprend un petit bout de l'activité, un petit bout du nombre
04:38de salariés, ça s'avère souvent juste un report d'une fermeture totale, on l'a vu.
04:44Il y a des secteurs économiques, on pense que c'est fondamental, ça doit être socialisé,
04:47ça doit être complètement public.
04:48Il faut enlever les moyens de nuire aux privés et donc la santé, évidemment, il y a des
04:52secteurs comme ça qui sont évidents.
04:54Mais la chimie, ça pourrait aussi se discuter de cette manière-là, c'est que quand ça
04:58concerne à ce point-là les questions de protection de l'environnement, y compris
05:02les questions de protection de la population, on pourrait imaginer qu'ils ne vont mieux
05:05pas laisser ça à des boîtes privées qui font un peu n'importe quoi, qui viennent,
05:08qui s'en vont quand bon leur semble.
05:10Donc il y a besoin d'un contrôle politique de la société et un contrôle des salariés
05:16qui sont quand même les mieux placés pour savoir comment on peut protéger, comment
05:19on peut défendre un outil de travail.
05:21On ne pourra jamais fermer du jour au lendemain.
05:23Là, on nous a fixé un emploi du temps pour la décontamination, ce qu'ils appellent la
05:26décontamination.
05:27La direction fixe des délais et des temps de décontamination très courts, mais qui
05:32sont incompatibles avec la situation dans laquelle se retrouvent nos ateliers.
05:37Du coup, ils mettent en danger les riverains, les habitants de Grenoble, ils nous mettent
05:41en danger nous-mêmes et ils mettent en danger aussi l'Etat parce qu'en fait, quand ça sera
05:46fini, quand le tas sera de 4 mois, c'est soit on arrête de décontaminer, on laisse tout
05:49comme ça, soit l'Etat va devoir prendre le relais et mettre l'argent encore à la poche.
05:53Philippe Poutou est ensuite allé à la rencontre des grévistes de la clinique du Dauphiné
05:58à ses sains propriétés de l'entreprise Ex Orpea.
06:01Pour ceux qui croient encore au Père Noël, c'est bientôt l'heure de venir présenter
06:05sa liste au Grand Barbu, dans un des chalets du marché de Noël, installé depuis quelques
06:09jours sur la place Victor Hugo de Grenoble.
06:11Il se tiendra du 22 novembre au 24 décembre et cette année, ça s'est bousculé au portillon.
06:16Sur 114 candidatures, 72 exposants ont pu être retenus, soit 32 de plus qu'en 2023.
06:22Même si la configuration a un peu changé.
06:24Nous avons aujourd'hui cette nouvelle configuration qui se met en place, avec notamment une scène
06:30qui est disposée autour du bassin de la fontaine de la place Victor Hugo, qui prochainement
06:36sera remise en eau.
06:37Les éditions précédentes étaient encore très marquées par les effets de la pandémie
06:41de Covid-19.
06:42Donc beaucoup de petits artisans, de petits commerçants étaient encore exsangues financièrement
06:46et n'avaient pas les moyens de louer un chalet sur le marché de Noël.
06:49Là, on sent quand même que l'activité économique, au moins dans ce domaine-là,
06:53a repris un cours un peu plus normal.
06:55Donc on a eu beaucoup, beaucoup de candidatures.
06:57Il y a un tarif privilégié pour les artisans, les exploitants agricoles et les structures
07:02qui sont aussi de l'économie sociale et solidaire.
07:03Mais il y a une échelle entre 1 500 et 8 000 euros en fonction de la taille du chalet
07:09et le nombre de prises électriques qu'ils vont demander.
07:11Alors on a 63 chalets de commerçants qui proposent des produits divers, qui vont du bijou à
07:18la restauration.
07:19D'accord.
07:20On a deux dispositifs de restauration assises qui sont tenus par le Père Gras et le Palais
07:28de la Bière.
07:29On a aussi une grande tente où on va avoir notamment le Pôle ESS, donc Grenoble Équitable,
07:37le Baobab, il s'appelle ça, deux churros aussi, un manège, le chalet du Père Noël.
07:45Voilà.
07:46L'enveloppe globale du marché de Noël se monte à 450 000 euros, un tiers du budget
07:52est consacré à la sécurité.
07:54A l'approche de Noël, on peut aussi penser aux autres.
07:57Le réseau des banques alimentaires existe depuis maintenant 40 ans et les besoins n'ont
08:01jamais été aussi grands.
08:02Plus grand aussi le nouveau local de la banque alimentaire de l'Isère qui a déménagé
08:07cet été de Sassnage à Fontaine dans un local des bâtiments achetés par le département
08:11de l'Isère qu'il met à disposition de l'association.
08:14Eric Lavi, bonsoir.
08:16Bonsoir, merci de votre invitation.
08:18Merci, vous êtes le président de la banque alimentaire de l'Isère.
08:22Je le disais, il a fallu déménager, changer de commune.
08:27C'était devenu trop petit, Sassnage ?
08:29Oui, nous avions à Sassnage un entrepôt qui faisait à peu près 1200 mètres carrés
08:33et qui manquait beaucoup de hauteur pour stocker les denrées alimentaires que nous gérons
08:37chaque année.
08:38Et le président Barbier du département nous a permis d'emménager, le 1er juillet, dans
08:45des locaux beaucoup plus vastes, 3000 mètres carrés d'entrepôt, 500 mètres carrés de
08:49bâtiments administratifs avec une hauteur qui nous permet de stocker de manière extrêmement
08:54favorable toutes les denrées que nous gérons dans l'année.
08:57Nous gérons 2700 tonnes de produits chaque année que nous distribuons aux associations
09:03qui elles-mêmes s'occupent des bénéficiaires.
09:05Cela vous permet d'aider combien de personnes ?
09:08Alors, nous aidons chaque semaine à peu près 10 000 bénéficiaires, 10 000 personnes
09:12accueillies, qui sont accueillies dans une centaine d'associations et de centres communaux
09:18d'action sociale.
09:19Quel est le profil de ces bénéficiaires ?
09:21Alors, ces bénéficiaires, ces personnes accueillies, nous voyons de plus en plus de travailleurs
09:26pauvres, des personnes qui ont un emploi mais qui ne peuvent pas arriver à s'en sortir
09:32à la fin du mois.
09:33Nous avons des familles monoparentales avec une mère ou un père d'ailleurs, nous avons
09:39des retraités et nous avons aussi des personnes de plus en plus jeunes et notamment des étudiants.
09:44D'ailleurs, vous avez ouvert le 5 novembre en centre-ville de Grenoble une épicerie
09:47solidaire et étudiante, ça ne désomplit pas ?
09:49Non, ça ne désomplit pas, on a démarré, vous l'avez dit, il y a une quinzaine de
09:53jours et on est extrêmement satisfait de la manière dont les choses se passent.
09:56Déjà 300 étudiants qui ont été admis à l'épicerie sociale et qui donc viennent
10:03faire leur course, à peu près 8 kg de denrées par personne pour un montant d'à peu près
10:087 euros.
10:09Mais comme nous proposons des produits à 20% de la valeur marchande moyenne, ils dépensent
10:157 euros mais en réalité ils ont un panier qui coûte 35 ou 40 euros.
10:20Depuis le Covid, on a constaté de plus en plus de bénéficiaires, c'est encore le cas cette année ?
10:25Oui, ça a encore augmenté, alors depuis, pour les derniers mois, on a eu une augmentation
10:30de 3% à peu près mais depuis la crise Covid, on a augmenté de 20% et dans les dix dernières
10:37années, le nombre de bénéficiaires a doublé.
10:39Ce week-end, 22, 23, 24 novembre, c'est le moment de la grande collecte dans 140 grandes
10:49et moyennes surfaces du département.
10:51De quoi avez-vous le plus besoin ?
10:53Alors, nous avons besoin de tous les produits de longue conservation, des produits secs
10:59que nous pourrons stocker dans nos entrepôts pour les distribuer tout au long de l'année.
11:03Alors, évidemment, des féculents, c'est ce que les gens nous donnent régulièrement
11:07mais peut-être insister sur les protéines, on essaie de travailler avec les associations
11:12sur les équilibres alimentaires et on a besoin d'enrichir les colis qu'on donne aux associations
11:17en protéines, protéines végétales, donc du haricot, des lentilles, etc.
11:23Et puis, protéines animales, conserves de poissons qui, en général, sont données au moment de la collecte.
11:29On peut aussi donner en ligne sur le site Montpanier Solidaire si on ne peut pas se déplacer ?
11:33Oui, il est tout à fait possible de donner en ligne sur Montpanier Solidaire,
11:36donc en allant sur le site internet de la Banque Alimentaire de l'Isère,
11:40vous aurez le lien vers la plateforme qui permet de faire un don financier.
11:44Voilà, ça ne veut pas dire qu'on peut mettre ce qu'on veut dans son panier, mais on choisit son montant
11:47et ça peut simplifier les choses ?
11:50Complètement, ça peut simplifier, mais la collecte annuelle, c'est vraiment dans notre ADN,
11:54ça nous permet de...
11:55Ça permet de discuter aussi, ça crée du lien avec les bénévoles qui...
11:59Voilà, complètement, c'est vraiment sur ce point-là que je voulais insister.
12:02Ça nous permet de rencontrer les clients des magasins et donc de faire cohésion
12:08autour de l'accompagnement de nos concitoyens les plus fragiles.
12:12Et je veux d'ailleurs remercier les 3 500 bénévoles ponctuels qui, chaque année,
12:17sans des fidèles, participent à cette CODEC pour nous accompagner.
12:21Ce ne sont pas que les dons des particuliers, évidemment, qui alimentent vos stocks ?
12:25Non, alors nous avons des approvisionnements extrêmement variés.
12:29Nous avons des approvisionnements de l'Europe, nous avons des approvisionnements de l'État français,
12:34mais de plus en plus, nous avons des plateformes de la grande distribution qui nous accompagnent,
12:41nous avons des industriels de l'agroalimentaire,
12:43mais comme notre ramasse du matin diminue fortement en quantité et en qualité,
12:49de plus en plus, nous nous tournons vers de l'achat
12:52et nous faisons de l'achat solidaire auprès des agriculteurs du département.
12:55Voilà, les agriculteurs locaux qu'on a peut-être croisés au début de ce JT,
12:59leurs bons produits peuvent aussi se retrouver pour les bénéficiaires de la banque alimentaire et c'est important.
13:05Et puis les chasseurs vous aident encore cette année ?
13:07Oui, les chasseurs vont nous amener des faisans au début, la première semaine de décembre
13:12et donc on va faire une opération pour les accueillir et les remercier du don qu'ils nous font.
13:17Les faisans, ça permet de préparer une cuisine de fête ?
13:22Oui, complètement, et bien sûr ce sont des produits que nous transmettons à notre cuisine 3 étoiles solidaire
13:31qui est hébergée au Collège de Saisse 1, là aussi grâce au soutien du conseil départemental.
13:36Cuisine qui, chaque semaine, prend en charge de l'ordre de 600 kilos de viande
13:41pour produire un grand nombre de plats cuisinés, excellents d'ailleurs,
13:45que nous distribuons à nos associations et à nos bénéficiaires.
13:48Ça peut être des barquettes de viande qui sont juste à la limite mais qui sont encore consommables.
13:54À la cuisine, les produits sont cuits et reconditionnés ?
13:57Oui, complètement, nous récupérons chaque jour entre 150 et 200 kilos de viande
14:02qui est en dernier jour de date de consommation et donc on les cuisine
14:06et on peut les distribuer pendant encore 5 jours après transformation.
14:10Voilà, et on espère que dans quelques temps, la cuisine pourra aussi déménager dans les locaux de Fontaine ?
14:15Oui, c'est un projet qui nous tient à cœur, qui nous permettra à la fois d'avoir les cuisiniers et la cuisine
14:22proches de nos entrepôts, donc des produits que nous pouvons mettre à disposition,
14:27mais aussi de travailler dans de meilleures conditions d'hygiène, de sécurité alimentaire
14:31et puis ça nous permettra d'augmenter aussi les volumes transformés
14:36parce que nous rendons un service important aux bénéficiaires et aux accueils d'urgence organisés par l'État.
14:42Merci beaucoup Éric Lavier, je rappelle que vous êtes le président de la banque alimentaire de l'ISER.
14:47Merci à vous.
14:48Et pour un bon équilibre, les nourritures spirituelles sont aussi importantes, vous les avez lues, venez les rencontrer.
14:55La librairie du Square à Grenoble fait le plein de lauréats, après Miguel Bonnefoy prix féminin la semaine dernière,
15:00c'est Kamel Daoud prix Goncourt qui sera accueilli mercredi à 19h.
15:04Les places assises sont déjà réservées mais 100 places debout ont été rajoutées pour les premiers arrivés.
15:10Pour Gaël Faille à Prix Renaudot, vendredi au Musée de Grenoble, c'est archi complet.
15:14Mais vous pouvez toujours vous consoler avec Livre à vous qui commence mercredi à Voiron et dans le Pays Voironnais,
15:20une 16e édition qui propose une cinquantaine de rendez-vous pour partager autour des lectures.
15:25Les invités d'honneur cette année, Pierre Ducrozel pour les adultes, Corinne Dreyfus pour la jeunesse
15:29avec aussi Alice Zeniter, Haji Makos Clark, Tanguy Vielle ou Jean-Marc Rochette.
15:36Après les livres, le papier également au cœur d'une histoire de soleil.
15:40C'est mercredi au Belvédère, centre culturel Jeannine Cressel de Saint-Martin-du-Riage.
15:45Un spectacle chaleureux et intimiste proposé par la compagnie Léopoldine Papier
15:49qui s'adresse au jeune public, très jeune à partir de 2 ans.
15:5325 minutes d'attention requises pour des séances à 10h30 et 17h.
15:57Un spectacle de et avec Caroline Dormani avec le soutien du centre technique du papier de Saint-Martin d'Air.
16:04Et pour faire de la pâte à papier, il faut bien sûr des arbres.
16:07On boucle la boucle avec mercredi soir à l'hôtel de ville de Grenoble,
16:10une conférence pour repenser nos espaces verts autrement.
16:14Des arbres au patrimoine végétal avec Éric Lenoir, auteur du petit traité du Jardin Punk
16:20qui prône entre autres l'intégration de la végétation spontanée.
16:24Dans l'après-midi, il donnera ses conseils aux employés des espaces verts.
16:28Retour de l'actu dans une heure et en replay sur télégrenoble.net.
16:31A suivre la météo, le froid va s'accentuer.
16:33Excellente soirée à tous.

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