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00:00Aujourd'hui, qu'est-ce qui se passe dans les cités, dans les banlieues, les RICS à tout va ?
00:05Et on sait que c'est nos enfants, c'est nos petits frères, c'est pas Pierre, c'est pas Paul, c'est pas Daniel, c'est nous !
00:11Vous vous entretuez, vous vous mettez des coups de hache, des coups de couteau, des coups de marteau, c'est quoi cette dinguerie ?
00:17Et vous les parents, dans tout ça, vous êtes où ?
00:19C'est quand les parents, vous allez faire votre taf, votre boulot de merde.
00:22Vous mettez des enfants au monde, ça devient des criminels.
00:25Ton petit, il a 15 ans, il sort dehors à je sais pas quelle heure, comment ça se fait ?
00:28Tenez vos putains d'enfants, éduquez vos putains d'enfants, y'en a marre !
00:31Réveillez-vous parce qu'un jour ou l'autre, ça va péter, et quand ça va péter, vous allez pas assumer.
00:35La France, elle en a marre de nous !
00:37Alors, ça c'est incroyable.
00:39Bravo à lui, mais la seule chose qui m'étonne, c'est qu'il soit masqué, parce que c'est lui qui a un discours de vérité,
00:43alors que tout le monde qui a des discours, eux, le font un visage découvert sur Snapchat, dire « ouais, on est incroyables », etc.
00:48Et lui, il a un discours parfait pour moi, il s'exprime d'une manière très juste, je pense que ça paraît tout le monde.
00:53Vous vous rendez compte ? Et lui, il est obligé de se masquer.
00:55C'est ça qui est terrible, parce qu'il perdrait peut-être en crédibilité, alors peut-être qu'il n'a pas envie qu'on le voie,
00:59mais il perdrait peut-être en crédibilité au sein de son quartier, et je trouve ça déplorable, parce que c'est lui la voie de la raison.
01:03Incroyable, incroyable.
01:04C'est pas en crédibilité, c'est la peur.
01:06Bien sûr, c'est la peur.
01:07La crédibilité, c'est ça que je clingue, c'est que pour dire des vérités, on en pense ce qu'on en pense,
01:13mais pour dire quelque chose comme ça, qui visiblement sort du cœur, en France aujourd'hui, vous êtes obligés de vous masquer
01:18pour ne pas être reconnus, parce que vous avez peur, après une agression dramatique à Sainte-Geneviève-des-Bois.
01:23C'est hallucinant.
01:24Ça m'a halluciné, ce côté masqué.
01:26Donc lui, il est dans le réel, et il constate un ensauvagement de la société que Thomas et Gilles, vous, vous ne voulez pas voir.
01:31L'ensauvagement est une expression d'extrême droite inventée par Laurent Roberton, qui explique que si les crimes sont de plus en plus sauvages en France,
01:38c'est parce qu'il y a de plus en plus de problèmes arabes.
01:40Fais attention au Mouction.
01:42Maitre Capello, Maitre Capello, on ne vous a pas donné la...
01:45C'est Géraldine.
01:48Moi, je m'en fous de tes théories, on ne fait pas de l'académisme, en fait, on s'en fout de ça.
01:51Je suis d'accord avec vous, Géraldine.
01:52C'est insupportable, les théoriciens qui nous apprennent la vie alors qu'ils ne sont jamais solitaires et qu'ils ne connaissent rien.
01:58Mais bien sûr, c'est moi qui fais monter l'extrême droite.
02:00Oui, oui, c'est moi qui fais monter l'extrême droite.
02:01Bien sûr, je suis d'accord avec vous, Géraldine.
02:04Ce type qui est en train de faire une généralisation à fond les ballons alors que la quasi-totalité des jeunes arabes, noirs et pauvres dans ce pays
02:13ne sont ni des délinquants, ni des criminels, ni des violents.
02:16C'est lui qui en a parlé en disant c'est pas des Mathieu, c'est pas des trucs, etc.
02:20C'est vous qui avez parlé de ça.
02:22Oui, oui, c'est moi qui suis assez bien.
02:24En tout cas, c'est incroyable de refuser de voir...
02:29Pendant combien de temps les immigrés dans ce pays vont servir de punching ball ?
02:32Et les descendants d'immigrés ?
02:33Pendant combien de temps on va continuer à les emmerder ?
02:35Alors que les crasants peu majoritaires ont un boulot, ne causent aucun problème et ne sont pas des délinquants ?
02:41C'est vous qui parlez de ça, il n'a pas parlé de ça lui.
02:43Bien sûr, il n'a pas parlé de ça.
02:45T'as préparé ton texte avant et tu voulais vraiment le placer.
02:48Parce qu'en fait, on n'a jamais dit ça.
02:50Du coup, je ne parle pas dans Sauvagement tous les soirs quand je ne sais pas quoi dire.
02:53Mais t'as préparé, t'as un texte et tout, tu veux le dire absolument ce soir ?
02:56Non, je réagis à ce qu'il dit et ça m'énerve prodigieusement.
02:59C'est insupportable de faire des généralisations sur les gens de banlieue.
03:03Oh, qu'est-ce que je vous ai dit ?
03:05C'est moi qui décide ici, d'accord ?
03:07C'est moi, c'est tout.
03:08Donc arrêtez de regarder Géraldine.
03:10Quand on vous dit stop, c'est stop.
03:12C'est insupportable pour les téléspectateurs.
03:13Vous parlez toujours sur les autres.
03:14Donc laissez Raymond qui va nous parler.
03:16En plus, Raymond qui a eu un petit coup moral.
03:18Non seulement j'ai eu un coup moral, mais il m'a fait quelque part, il m'a fait un peu de bien.
03:23Ce que tu dis, nous, on ne dit rien.
03:25C'est lui-même qui veut.
03:26Parce que lui, il habite là.
03:27Il vit dedans.
03:28Il vit dans le quartier.
03:29Ce n'est pas nous.
03:30On ne vit plus dans le quartier.
03:31Arrêtez de faire beau.
03:32Arrêtez un peu.
03:33Vous avez vécu au Lilac.
03:34Arrêtez de dire des conneries à Montreuil.
03:35Je sais ce que c'est.
03:36De dire j'habite au Montreuil, ça ne veut rien dire.
03:38On ne sait pas ce qui se passe dans le Montreuil.
03:41Je suis des Lilacs.
03:42Qu'est-ce que tu connais ?
03:43Mais non, mais ce n'est pas un concours.
03:44Sauf que lui, Thomas, il y est encore et c'est lui qui fait ses références.
03:54Quand on dit qu'il faut que les parents arrêtent les conneries et tiennent les enfants.
03:58C'est ce qu'il est en train de dire.
03:59Les grandes soeurs, les tatas, les grands frères, les tontons.
04:02Occupez-vous des gamins.
04:03Il y a toujours eu des bagarres de cités entre cités, de quartiers.
04:06Ça a toujours existé.
04:07Sauf qu'avant, c'était des droites.
04:08Tu rentrais chez toi, tu mettais un petit coup dans le nez, c'est fini.
04:11Là, ils se bagarrent à coups de marteau.
04:13Ils se tirent dessus.
04:14Lui, l'exemple qu'il dit, il dit que tout part en vrille et qu'il faut vraiment reprendre nos enfants.
04:18Et son message, il fait du bien.
04:20C'est dommage ce qui doit se passer.
04:21C'est des conneries.
04:22Il sait pas compter.
04:23C'est des conneries.
04:24Il le vit.
04:25C'est pas des conneries, Thomas.
04:26Comment tu peux dire que c'est des conneries ?
04:27T'es là avec nous tous les soirs.
04:28T'es là avec nous tous les soirs.
04:30On peut faire un festival d'anti-autoritarisme.
04:32Thomas, Thomas, Thomas.
04:33T'es là avec nous tous les soirs.
04:34À Boulogne-Biancourt.
04:35Bien sûr.
04:36Tu posais sur une chaise pendant trois heures.
04:37Tu vas rentrer chez toi.
04:38Demain, tu vas aller chercher tes petits pains au chocolat.
04:40Il est dedans, lui.
04:41Il y est dans le quartier.
04:43Le mois dernier, tu m'as expliqué que je sais pas de quoi tu parles.
04:47Arrête.
04:48Mais bien sûr que si.
04:49Il a un quartier à côté de chez moi.
04:51Vous habitez dans un petit pavillon, non ?
04:53Et alors ?
04:54Mais j'habite dans le Haut-Montreuil.
04:56Mais j'habite pas dans un pavillon.
04:57Arrête avec le Haut-Montreuil.
04:58Thomas, Thomas, Thomas.
05:03Thomas, Thomas.
05:04Entre habiter dans le Haut-Montreuil et moi, je vais te dire oui, je travaille à Gennevilliers.
05:09Oh, je suis passé à Angers.
05:11Oh, j'ai été à Argenteuil.
05:12Oh là là, à Sartre-aux-Villes, j'ai vu une bagarre.
05:14Entre ce que t'as vu, toi, et ce que vivent nos gamins.
05:17C'est ça qu'il faut que tu comprennes.
05:19Non, non, tu vas pas m'opposer le pays réel comme si j'y vivais pas.
05:22C'est des conneries.
05:23Mais non.
05:24Mais non.
05:25Entre ce que vous voulez.
05:26Arrête.
05:27À 22h, un truc.
05:28Raymond, Raymond, il connaît beaucoup plus la réalité que vous.
05:29Arrête tes conneries.
05:30Croyez-moi.
05:31C'est toujours la même histoire.
05:32Si c'est de moi que ça vient, c'est pas la réalité.
05:34Et bah si, désolé.
05:36C'est juste qu'on n'a pas la même lecture de la réalité.
05:37Vous ne dites que des bêtises.
05:38On n'a pas la même interprétation de la réalité.
05:40Et moi, je fais plus confiance à Raymond.
05:42Il connaît bien mieux le terrain que vous.
05:43Vous n'y arrêtez rien.
05:44Mais j'y vis.
05:45J'ai vécu 28 ans.
05:46Vous pouvez l'entendre.
05:47Arrêtez de dire.
05:48Vous habitez dans un pavillon à Montreuil.
05:49Arrêtez de dire que vous le vivez.
05:50Mais non.
05:51Si, vous habitez dans un pavillon.
05:52Non, je n'habite pas dans un pavillon.
05:53Vous habitez pas dans une maison ?
05:54Je n'habite pas dans un pavillon.
05:55Non, je n'habite pas dans une maison.
05:57Je vous invite à bouffer chez moi plus tard que cette semaine.
05:59Vous constaterez que je n'habite pas dans une maison.
06:03Vous habitez dans un immeuble ?
06:04J'habite dans un immeuble.
06:05Absolument, oui.
06:06Je ne sais pas pourquoi vous venez bouffer chez moi.
06:08Mais ce n'est pas le problème de savoir où il habite.
06:10Vous verrez le quartier où j'habite et vous arrêtez.
06:11Ce n'est pas le problème.
06:12Ce n'est pas une bagarre.
06:13Kelly, elle l'a dit.
06:14Ce n'est pas une bagarre.
06:15Moi, j'ai vécu 28 ans cité des faussés gens à Cologne.
06:16Je ne suis plus dans la réalité.
06:18Je ne suis plus là-dedans.
06:19Je suis juste en train de constater que les petits d'aujourd'hui,
06:27Tu ne serais pas là, Thomas.
06:28Tu ne serais pas avec nous.
06:31Géraldine Maillet.
06:32On ne parle des jeunes de banlieue que pour dire que c'est des délinquants,
06:34des criminels, des dealers, des drogués, etc.
06:36Et ce mec est en train de faire des leçons de parent
06:38alors que la quasi-totalité ne sont ni des criminels ni des délinquants.
06:42Est-ce que vous pouvez l'entendre ?
06:43C'est Géraldine Maillet qui est très intéressante.
06:47Thomas, tu l'as écoutée ?
06:48C'est une insulte, en fait.
06:49Est-ce que tu l'as écoutée ?
06:50Oui.
06:51Est-ce que tu l'as écoutée ?
06:52Oui, je l'ai écoutée.
06:53Il est hors sujet, Thomas.
06:54Le monsieur vient en face de toi.
06:55Parce qu'en gros, tu le traites d'extrême-droite.
06:57Non, je n'ai pas dit ça.
06:58Si, parce que tu as dit que ceux qui disent ça...
06:59Parce que moi, j'ai dit qu'on est dans un enseauvagement.
07:00Non.
07:01Oui, ça, c'est une terminologie.
07:02J'ai dit que toi, quand tu parles d'enseauvagement,
07:03tu utilises un concept qui est effectivement d'extrême-droite.
07:05Et pourquoi moi, Géraldine, je suis d'extrême-droite ?
07:07Et pourquoi lui, quand il le dit, alors pourquoi à ce moment-là,
07:09il n'est pas d'extrême-droite ?
07:10Parce que l'enseauvagement ne désigne pas la même chose.
07:13Donc toi, tu t'adaptes à la couleur de peau suivant de qui on parle.
07:15Non, non.
07:16Moi, je suis blanche.
07:17Non, mais je n'ai pas besoin de mentir.
07:18L'enseauvagement est un concept facho, pour le coup.
07:21Arrêtez, arrêtez.
07:23Vous êtes aveuglé.
07:24Je vais vous dire un truc.
07:25Thomas Guénolé.
07:26C'est juste que quand tu parles d'enseauvagement, c'est super grave.
07:29Thomas Guénolé, c'est ici.
07:30Thomas Guénolé, vous avez un seul argument dans toute votre vie.
07:33Dès qu'on n'est pas d'accord avec lui, il dit que c'est une théorie fasciste,
07:36c'est des fachos.
07:37Non, ce n'est pas vrai.
07:38Non, je ne le dis que quand c'est fachiste.
07:40Et l'enseauvagement est un concept fachiste.
07:41Thomas Guénolé.
07:42Je vous jure que c'est vrai.
07:43Mais j'en ai un à foutre, je te jure.
07:44Vraiment, vous me faites beaucoup de peine, parce que je vous trouve tellement,
07:47tellement, tellement hors sol, Thomas Guénolé.
07:50Invitez son grand frère.
07:51C'est moi qui suis hors sol.
07:52C'est moi qui suis hors sol, Guénolé.
07:54Mais Guénolé, tout le monde le dit.
07:55Quand je sors dans la rue, ils me disent quand est-ce que tu vas dire à Guénolé qu'il est hors sol.
07:58Tout le monde le sait, Guénolé.
07:59C'est tellement hors sol que même quand quelqu'un te parle qu'il habite dans un mouleux,
08:02tu trouves qu'il dit des conneries.
08:04Thomas Guénolé.
08:05Ce que vous n'acceptez pas, ce que vous refusez d'accepter,
08:10c'est qu'on n'a pas la même interprétation de la réalité.
08:13C'est ça que vous voyez.
08:14Thomas Guénolé, calmez-vous déjà.
08:15Calmez-vous, parce que j'ai peur à Benaïm.
08:17Non, non, Kelly.
08:18C'est lui qui raconte son plaisir.
08:20Là, je pense que tu as été aveuglé par une expression qui ne te plaisait pas de la part de Géraldine.
08:25Ce qui fait qu'en second plan, tu n'as pas accepté la situation que tu as vue à l'écran,
08:29parce que tu es déjà trop émue par l'expression que Géraldine a eue.
08:33Si Géraldine n'avait pas donné cette expression,
08:35est-ce que tu es d'accord avec nous pour accepter cette vidéo d'un jeune homme
08:38qui vit à l'intérieur de la cité ?
08:40Et est-ce que tu acceptes le fait que nous, on pourrait aussi accepter
08:43de dire que nous ne sommes pas tous des délinquants ?
08:45Est-ce que tu peux accepter différentes situations et ne pas tout mélanger ?
08:49Parce qu'on n'a pas...
08:50C'est bon, vous n'allez pas répondre, on s'en fout, on passe à autre chose.
08:53Si tu me dis qu'il n'y a pas de généralisation...
08:55Mais il n'y en a pas !
08:56Thomas Guénolé, ce n'est pas à vous de dire si vous êtes open ou pas.
08:59On dit chacun ce qu'on veut, et si on a envie de penser le contraire de vous,
09:03je peux vous dire qu'on n'en a rien à carrer.
09:05Je crois que vous vous êtes trompé dans l'écran.
09:07Oui, c'est bon, ne me le demandez pas, on n'en a rien à foutre de ce qu'il pense.
09:10Il ne pense pas comme nous, on n'a rien à carrer.
09:12Il est peut-être très content, puisqu'il donne son avis comme tout le monde,
09:15mais bon, il ne va pas nous dire si je suis open ou pas.
09:17Non, non, c'est parce qu'on m'a interpellé, sinon je ne répondrais pas.
09:19Il n'y a pas de généralité.
09:20Closed, on s'en fout totalement.
09:26N'est-ce pas ?
09:27Ouh là !
09:30Allez, on montre un, c'est chaud !
09:33J'aimerais avoir l'avis de Jean-Michel là-dessus.
09:35Non, mais ça fait tellement plaisir d'avoir quelqu'un,
09:38enfin, le fait qu'il soit masqué, mais qui dise quelque chose que nous,
09:40on n'a pas le droit de dire.
09:41Parce que si on nous le dit, il y a des gens comme toi qui vont dire
09:43« Vous êtes raciste, tu n'as pas le droit de dire que tu aimes le drapeau,
09:45tu es fasciste, tu n'as pas le droit de dire que tu aimes la Marseillaise,
09:47tu es fasciste, tu n'as pas le droit de dire que tu veux lutter contre l'actualité,
09:49tu es fasciste, tu n'as pas le droit d'être contre l'escouadeur,
09:57ou quelqu'un comme moi qui le dit, c'est quelqu'un qui vit la réalité,
09:59qui vit tous les jours ce genre de problèmes,
10:01et qui dit « gardez vos enfants », je trouve que c'est une parole de bon sens.
10:04Est-ce qu'on a lancé un sondage là-dessus, s'il vous plaît ?
10:06J'ai dit que deux fois.
10:07Est-ce qu'on a lancé un sondage là-dessus, s'il vous plaît ?
10:08Pour voir ce qu'en pensent les téléspectateurs.
10:09Voilà, 96%.
10:11Merci Thomas Guénolé, encore une fois, vraiment Thomas Guénolé.
10:13Et il va nous dire que c'est nous qui sommes hors sol,
10:15Thomas Guénolé, comme d'habitude.