Emmanuel Macron assistera jeudi au match de football qui opposera, sous haute sécurité, la France à Israël au Stade de France, à Saint-Denis, a indiqué dimanche l'Elysée à l'AFP, confirmant une information de RTL. Selon l'entourage du président de la République, il s'agit notamment «d'envoyer un message de fraternité et de solidarité après les actes antisémites intolérables qui ont suivi le match à Amsterdam cette semaine». Mais pour Gilles-William Goldnadel, avocat, «depuis qu’Emmanuel Macron n’a pas marché contre l’antisémitisme, moi je ne marche plus».
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00:00Et c'est un signal positif.
00:03Une marque de fraternité à l'égard d'Israël.
00:07Peut-être qu'il manque un ou deux mots, mais c'est positif.
00:11Pour vous dire le vrai,
00:13je suis un peu là de suivre M. Macron
00:16dans ses zigues et dans ses zagues.
00:19Il a tellement, ces derniers temps,
00:24reféré quand même des choses désagréables
00:27à l'égard du Liban,
00:29de ne pas voir les crimes du Hezbollah,
00:33des choses sur la création de l'Etat d'Israël.
00:36Je veux dire... Et surtout,
00:38depuis... La réalité, c'est que depuis
00:41qu'il n'a pas marché contre l'antisémitisme,
00:44moi, je ne marche plus.
00:45Voilà. Je veux pas être inutilement offensant
00:50à l'égard du chef de l'Etat, qu'il demeure,
00:53notamment à la suite de ce geste quand même positif,
00:56mais je vous dis franchement, je suis un peu là.