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Jean-Claude Dassier, se réjouit des propositions du ministre de l'Intérieur. «Bruno Retailleau est l’homme de la situation», selon lui.

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Transcription
00:00Non, non, je crois que ce serait bien de centraliser les recherches, de regrouper, de faire une politique globale, cela dit vous avez raison, encore faut-il avoir les moyens, et c'est pas seulement les hommes, il en faut évidemment, il faut des moyens en tout genre, mais je sais même pas où on en est, encore faut-il savoir faire autre chose que de la gestion carcérale, si on réforme la politique pénale, je suis pas sûr qu'il y ait une prison qui soit actuellement en cours de construction,
00:27on parle de, par exemple, de regarder ce que donnerait, comme au Danemark ou ailleurs, les courtes peines pour les petits trafiquants, les gamins, qu'on veut essayer de redresser en disant, bon, pendant 15 jours ou 3 semaines ou un mois, vous allez en prison, on va vous parler tous les jours,
00:41et essayer de vous mettre dans la tête autre chose que ce que vous y avez, je suis même pas sûr qu'on ait les moyens de faire cette politique pénale, je ne le crois pas, donc c'est vraiment,
00:51M. Retailleau sera l'homme de la situation, moi je lui fais confiance, parce que je pense qu'il est parfaitement décidé, et veut faire un certain nombre de choses,
00:58oui mais lui aussi il est tributaire des moyens, des enveloppes budgétaires, il peut pas déshabiller Pierre pour habiller Paul, on a, voilà, on se mord, bon, je passe, on a plus un sou en caisse, donc ça va être très très difficile,
01:12M. le garde des Sceaux a obtenu 250 millions de plus, ce qui fait que, quelle est sa philosophie, quelle est sa politique, moi j'attends avec impatience, non seulement la loi qui interviendra en principe,
01:24et qui regroupera les décisions de, et du garde des Sceaux et du ministre de l'intérieur au début de l'année, mais on nous annonce, je crois pour demain, un certain nombre de nouvelles, à Marseille,
01:35c'est la raison, l'effondrement de l'Etat, mais regardez-le, enfin regardez les sondages, regardez les résultats, les français ont le sentiment, à raison, de pouvoir, de ne plus pouvoir sortir à certaines heures,
01:49sans prendre un certain nombre de risques, et c'est vrai dans un certain nombre de villes de France, ce n'est plus acceptable.

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