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Dans son édito du 28/10/2024 dans Punchline, Laurence Ferrari revient sur la lutte contre les narcotrafiquants.

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Transcription
00:00Bonsoir à tous et bonsoir à toutes, bienvenue dans Punchline, ce soir sur CNews et sur Europe.
00:04A l'époque, on les appelait les voyous, les truands, les brigands, les margoulins, les vauriens.
00:09Aujourd'hui, plus rien de comparable.
00:11On les appelle les narco-terroristes, les narco-racailles.
00:14Ils n'ont plus aucun code, si ce n'est celui de la barbarie, de la violence et du cash qui doit couler à flot.
00:20Ce sont eux qui, à Rennes, n'ont pas hésité à ouvrir le feu sur la voiture d'un de leurs concurrents
00:24alors que son petit garçon de 5 ans était dans la voiture.
00:27Il est toujours dans un état grave à l'hôpital.
00:29La loi des trafiquants ne se préoccupe pas de la loi de la République
00:32et pour l'instant, ils ne sont pas freinés par la volonté politique du gouvernement.
00:36Alors oui, on peut décréter que la lutte contre le narco-trafique doit être une priorité nationale.
00:40On peut créer un parquet national antistupéfiant.
00:43Mais tant qu'il y aura des hommes et des femmes politiques qui trouveront que
00:46ce n'est pas grave d'être un consommateur de drogue, même quand on est député, on n'avancera pas.
00:50Tant qu'il y aura des maires qui diront que
00:52non, les caméras de vidéosurveillance, ça ne sert à rien, on n'avancera pas.
00:56Tant qu'il y aura des consommateurs de plus en plus addicts, on n'avancera pas.
01:00C'est là qu'il faut aller chercher la solution.
01:02Car tant qu'il y aura des acheteurs, il y aura des dealers.
01:04On va en débattre ce soir dans Punchline.

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