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L'ancien défenseur de l'Olympique de Marseille de 2002 à 2005 se souvient de ses bons et moins bons moments au club.

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Transcription
00:00Johnny Ecker, numéro 21, trois années à l'Olympique de Marseille.
00:06J'ai fait trois années, donc trois belles années,
00:08mais il y a quand même eu cette finale de Coupe d'Europe,
00:11malheureusement perdue à Gautborg contre Valence.
00:14Donc, je vais dire la finale, mais franchement, pendant trois ans, ça a été le kiff.
00:20Lors de ma troisième année, ma blessure qui a duré quatre mois,
00:22donc très difficile à revenir et une troisième année un peu plus compliquée
00:26en termes de temps de jeu, mais je pars du principe que quand on est blessé,
00:30c'est la pire chose qui puisse arriver à un sportif de haut niveau.
00:34Alors, j'espère que je ne vais pas en français, parce qu'il y en a quand même.
00:36Je pense à Jean-Pierre Papin, je pense à Josip Skoblar, je pense à Basile Boli.
00:41J'ai évolué avec un garçon qui est exceptionnel, qui s'appelle Didier Drogba,
00:44Fabien Barthez, pour ne citer qu'eux.
00:49Oui, c'était en Coupe de France, au Vélodrome contre Strasbourg.
00:51C'était la première de Fabien Barthez, qui d'ailleurs a été plus ou moins le héros,
00:54puisqu'on va aux pénaltys et donc il marque son pénalty, si je ne me trompe pas.
00:58Il fait l'arrêt décisif aussi pour repasser ce tour-là.
01:00Mais c'était quand même un immense plaisir de pouvoir évoluer
01:02et de marquer, par exemple, au Vélodrome.
01:04Joyeux 125 ans à l'Olympique de Marseille et je suis très fier d'y être passé.
01:08Et donc, tous les ans, c'est l'anniversaire, mais particulièrement celui-ci.
01:11Joyeux anniversaire.

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