Shigeru Ishiba a reconnu la frustration et la colère des électeurs suite à sa lourde défaite électorale, mais il a décidé de ne pas démissionner.
## Maintien du premier ministre face à l'adversité
Le gouvernement japonais a perdu sa majorité au Parlement après des élections législatives anticipées, mais le Premier ministre a choisi de rester en fonction. À la suite de l'échec de son parti, le PLD (Parti libéral-démocrate), le 27 octobre, Shigeru Ishiba a affirmé vouloir demeurer à son poste pour protéger le pays et ses citoyens. Il a exprimé sa volonté de ne pas créer de "vide politique". De son côté, Shinjiro Koizumi, responsable des élections au sein du PLD, a démissionné de ses fonctions dès le lendemain.
## Reconnaissance des défaillances et promesses de réforme
Shigeru Ishiba a identifié la méfiance et la colère persistantes des électeurs, notamment en ce qui concerne des questions liées aux financements politiques, comme les principaux facteurs de sa défaite. Il a promis de mettre en place une "réforme fondamentale" pour aborder ces enjeux. Le PLD subit également les effets d'une conjoncture économique difficile et d'une inflation élevée, accentués par un scandale impliquant des "caisses noires" au sein du parti.
## Vers un gouvernement minoritaire
Interrogé par la presse, le Premier ministre a indiqué qu'il n'envisageait pas élargir sa coalition actuelle, ce qui pourrait mener à une configuration de gouvernement minoritaire. "Nous devons d'abord engager des discussions approfondies" pour accueillir des élus d'autres factions, a-t-il précisé, suggérant une approche où l'on traiterait les points un par un.
## Une opposition qui gagne du terrain
Dès son arrivée au pouvoir le 1er octobre, Shigeru Ishiba avait convoqué des élections législatives avec l'espoir de renforcer sa légitimité et celle du PLD, qui a dominé la scène politique japonaise depuis près de sept décennies. Néanmoins, selon les premières informations de la chaîne NHK, le PLD n'aurait pas atteint la majorité absolue des 233 sièges, ce qui constitue un revers pour le parti depuis 2009. Le Parti démocrate constitutionnel (PDC), deuxième force politique au Parlement, apparaît sur le point de connaître une forte progression avec 148 sièges, contre 96 précédemment, d'après les projections.
Si les résultats se confirment, la perte de la majorité par le PLD constituerait l'un de ses pires scores depuis la perte de pouvoir en 2009, avant que Shinzo Abe ne ramène le parti au pouvoir en 2012 grâce à une victoire écrasante.
## Maintien du premier ministre face à l'adversité
Le gouvernement japonais a perdu sa majorité au Parlement après des élections législatives anticipées, mais le Premier ministre a choisi de rester en fonction. À la suite de l'échec de son parti, le PLD (Parti libéral-démocrate), le 27 octobre, Shigeru Ishiba a affirmé vouloir demeurer à son poste pour protéger le pays et ses citoyens. Il a exprimé sa volonté de ne pas créer de "vide politique". De son côté, Shinjiro Koizumi, responsable des élections au sein du PLD, a démissionné de ses fonctions dès le lendemain.
## Reconnaissance des défaillances et promesses de réforme
Shigeru Ishiba a identifié la méfiance et la colère persistantes des électeurs, notamment en ce qui concerne des questions liées aux financements politiques, comme les principaux facteurs de sa défaite. Il a promis de mettre en place une "réforme fondamentale" pour aborder ces enjeux. Le PLD subit également les effets d'une conjoncture économique difficile et d'une inflation élevée, accentués par un scandale impliquant des "caisses noires" au sein du parti.
## Vers un gouvernement minoritaire
Interrogé par la presse, le Premier ministre a indiqué qu'il n'envisageait pas élargir sa coalition actuelle, ce qui pourrait mener à une configuration de gouvernement minoritaire. "Nous devons d'abord engager des discussions approfondies" pour accueillir des élus d'autres factions, a-t-il précisé, suggérant une approche où l'on traiterait les points un par un.
## Une opposition qui gagne du terrain
Dès son arrivée au pouvoir le 1er octobre, Shigeru Ishiba avait convoqué des élections législatives avec l'espoir de renforcer sa légitimité et celle du PLD, qui a dominé la scène politique japonaise depuis près de sept décennies. Néanmoins, selon les premières informations de la chaîne NHK, le PLD n'aurait pas atteint la majorité absolue des 233 sièges, ce qui constitue un revers pour le parti depuis 2009. Le Parti démocrate constitutionnel (PDC), deuxième force politique au Parlement, apparaît sur le point de connaître une forte progression avec 148 sièges, contre 96 précédemment, d'après les projections.
Si les résultats se confirment, la perte de la majorité par le PLD constituerait l'un de ses pires scores depuis la perte de pouvoir en 2009, avant que Shinzo Abe ne ramène le parti au pouvoir en 2012 grâce à une victoire écrasante.
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00:00Shigeru Ueshiba a reconnu la frustration et la colère des électeurs suite à sa lourde défaite électorale, mais il a décidé de ne pas démissionner.
00:08Le gouvernement japonais a perdu sa majorité au Parlement après des élections législatives anticipées, mais le Premier ministre a choisi de rester en fonction.
00:16A la suite de l'échec de son parti, le PLV Parti libéral-démocrate le 27 octobre, Shigeru Ueshiba a affirmé vouloir demeurer à son poste pour protéger le pays et ses citoyens.
00:27Il a exprimé sa volonté de ne pas créer de vide politique, de son côté Sajiro Koizumi, responsable des élections au sein du PLD.
00:35A démissionné de ses fonctions dès le lendemain, Shigeru Ueshiba a identifié la méfiance et la colère persistantes des électeurs, notamment en ce qui concerne des questions liées au financement politique.
00:46Comme les principaux facteurs de sa défaite, il a promis de mettre en place une réforme fondamentale pour aborder ses enjeux.
00:52Le PLD subit également les effets d'une conjoncture économique difficile et d'une inflation élevée.
00:57Accentué par un scandale impliquant des caisses noires au sein du parti, interrogé par la presse, le Premier ministre a indiqué qu'il n'envisageait pas élargir sa coalition actuelle.
01:07Ce qui pourrait mener à une configuration de gouvernement minoritaire. Nous devons d'abord engager des discussions approfondies pour accueillir des élus d'autres factions.
01:16A-t-il précisé, suggérant une approche « longe » traiterait les points bas, dès son arrivée au pouvoir le 1er octobre ?
01:22Shigeru Ueshiba avait convoqué des élections législatives avec l'espoir de renforcer sa légitimité.
01:28Et c'est le PLD qui a dominé la scène politique japonaise depuis près de sept décennies, néanmoins selon les premières informations de la chaîne NHK.
01:37Le PLD n'aurait pas atteint la majorité absolue des 233 sièges, ce qui constitue un revers pour le parti depuis 2009.
01:44Le parti démocrate constitutionnel PDC, deuxième force politique au Parlement, apparaît sur le point d'y connaître une forte progression avec 148 sièges contre 96 précédemment, d'après les projections.
01:57Si les résultats se confirment, la perte de la majorité par le PLD constituerait l'un de ses pires scores depuis la perte de pouvoir en 2009.
02:06Avant qu'Shinzo Abe ramène le parti au pouvoir en 2012 grâce à une victoire écrasante.
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