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00:30politique, élite et population du centre accueillait ce mercredi la caravane de
00:35diffusion du film. Générique des réactions dès le début du 20h30.
00:40Diplomatie, le style du Camerouno Club des gentlemen. Entrée en scène du premier
00:45ministre par son arrivée à Apia, capitale des îles de Samoa,
00:49Joseph Dionne-Goutet représente le président de la république au sommet des
00:53chefs d'état et de gouvernement du Commonwealth.
00:56Nous irons au bord des Pacifiques dans cette édition. Dans le dossier rendez-vous
01:01ce soir au cinéma, rêve et réalité du 7e mars en Afrique à l'occasion du
01:07festival Écran Noir, toute une entreprise et j'annonce dans quelques minutes le
01:12ministre des petites et moyennes entreprises Achille Basilekine III,
01:14invité de cette édition. Voilà donc pour les titres, restez sur la CRTV pour
01:20regarder le 20h30 et je vous dis tout sur tout cela tout de suite.
01:27Commençons par ce documentaire Paul Biya, un grand homme d'état au destin
01:33prodigieux. La projection Ayaoundé a réuni ce mercredi même près de 20 000
01:39personnes à l'hôtel de ville. Membres du gouvernement, responsables du
01:43parlement, autorités administratives et dignitaires, religieux et chefs
01:47traditionnels ont répondu au rendez-vous. Joseph Clément Omba, portant
01:54dignement son étiquette des sièges des institutions républicaines, la capitale
01:58cambronaise sur la mythique esplanade de l'hôtel de ville, l'État de Yaoundé était
02:03assurément la plus attendue. Ce fut un grand succès populaire.
02:09Bien que figurant en huitième position de la caravane de diffusion de films
02:19documentaires, Paul Biya, un grand homme d'état au destin prodigieux, le défi de la
02:24mobilisation est largement relevé. Sous des tentes finement dressées et venant
02:28des quatre coins de la région du centre, près de 20 000 personnes cinéphilent du
02:32jour. Dans les rangs, les militants du RDPC qui font le plein et à leur côté
02:37des alliés de l'UPC. A la loge d'honneur, autour du gouverneur Nasseri Paul Biya,
02:42plusieurs personnalités de haut rang, le président du conseil régional, des membres
02:46du gouvernement, des parlementaires, des invités spéciaux de tous bords,
02:50répondant à l'invitation du président du conseil régional, président du comité
02:55local d'organisation, Gilbert Simévouna, admiratif du parcours exceptionnel de Paul Biya.
03:01La projection cinématographique de ce jour nous donne l'opportunité d'exalter la grande
03:08oeuvre du président de la république depuis son avènement au pouvoir le 6 novembre 1982.
03:17Entre deux artistes qui agrémentent l'événement de l'ère Decibel, des allocutions. Président
03:28de la section RDPC, Jean-Marie Abouna, voit en ce film documentaire une leçon d'histoire qui
03:35nous interpelle. A la suite de cette interpellation, les deux co-réalisatrices, Solange Edimou et
03:41Cathy Meba, avouent leur admiration de l'homme du 6 novembre, puis présentent leur équipe de
03:47production. Ministre des arts et de la culture, Bidung Bat, salue une oeuvre captivante qui
03:53restitue la sacralité des faits. La trame du film est d'un intérêt avéré et d'une importance
03:59incommensurable car il s'agit de l'oeuvre mémorable du chef de l'état, du fonctionnement et du
04:07développement de l'institution qu'il incarne. Plus que la projection du film documentaire dont
04:13la supervision générale est signée du cabinet civil de la présidence de la république, la
04:18projection est une occasion de rendre hommage au chef de l'état.
04:22Malgré l'invitée surprise qu'a la pluie, l'enthousiasme des cinéphiles ne s'émouve pas et rouler a assuré.
04:35Au sortir de cette projection, plusieurs personnes et personnalités ont donné leur
04:44sentiment sur le documentaire. Les réactions exaltent globalement le parcours et l'oeuvre
04:49du chef de l'état qui devrait inspirer ses contemporains et les générations futures.
04:54Emmanuel Bicombe, Dessy Art TV Centre.
04:57Les populations par milliers massées à l'esplanade de l'hôtel de ville de Yaoundé
05:04n'ont pas vu le temps passer. Le titre du film documentaire à lui tout seul dévoilait
05:10l'infinitude du président Paul Biya.
05:12Beaucoup d'admiration pour ce parcours et l'oeuvre en 40 ans.
05:21Après avoir vu un tel film, on ne peut que dire béni soit le nom de Paul Biya,
05:26loué soit Paul Biya.
05:28Un moment de communion qui a permis à l'élite et aux populations d'être unanimes sur l'homme
05:34des grandes réalisations qu'est son excellence Paul Biya.
05:37Il faut revivre ces grands moments de l'histoire du Cameroun ces 40 dernières années.
05:42Des réalisations qui font aujourd'hui que le Cameroun soit un pays envié dans la sous-région
05:50et même dans le monde. Nous ne pouvons que dire au président bravo pour cette belle oeuvre et
05:56nous continuons en tant que militant du RDPC de lui apporter tout le soutien qu'il mérite.
06:04Tout ce que le chef de l'état a fait dans ce pays et je crois que c'est un exemple qu'on
06:11doit suivre aujourd'hui au Cameroun.
06:12Très reconnaissant vis-à-vis de tout ce que le président a pu faire pour la Mofoakono et
06:18très particulièrement pour la commune de Mankomo.
06:20Tout s'est bien déroulé comme elle l'a prévu. La région du centre a fait carton plein.
06:25Et après tout ce qui a été dit et entendu sur le chef de l'état et son séjour officiel à
06:32l'étranger. Parole ce soir aux spécialistes de la politique et de la communication politique.
06:37Il dégage l'impact et la portée des différents messages sur l'image du président de la République.
06:44Joseph Itoté.
06:45Pour les universitaires et autres stratèges en marketing politique, ce serait proprement
06:52avoir les yeux fermés sans tâcher jamais de les ouvrir que de penser que le random
06:56médiatique de ces derniers temps autour du chef de l'état Poulbilla n'était pas l'oeuvre des
07:01bonimenteurs du chaos. En allant à penser que parce qu'il n'est plus en vie, nous allons lui
07:07succéder. C'est une bassesse. Même quand le président de la République est en vacances, il traite les
07:13affaires de la République. Homme de grande patience qui dédaigne micros et caméras, le chef de l'état
07:18Poulbilla a construit son image d'homme politique emblématique, loin de l'exhibitionnisme. C'était
07:25un monsieur qui a une perception beaucoup plus scientifique et technique des questions de
07:33politique. Dans cette dynamique de la communication politique malsaine, il y a eu un effet inverse.
07:39Je peux, avec une marge d'erreur faible, vous dire que si le président Biya devait se présenter à
07:46une élection cette semaine, il la gagnerait à 98% au moins. Parce qu'on a vu la ferveur le
07:54long des rues. Les Camerounais sont viscéralement attachés au président de la République, à leur
08:01chef d'état. Le président de la République est l'incarnation de la paix. Dans les filières
08:06philosophie, des facultés des lettres et sciences humaines, les noms tels que Frantz Fanon, Kwame
08:11Krumah font l'objet d'unités d'enseignement. D'autres noms méritent d'y être intégrés et ce ne sera
08:16qu'une reconnaissance vivante. C'est du moins ce que pensent de nombreux spécialistes. Les réactions
08:23pleuvent d'ailleurs depuis le retour de Paul Biya. Dans la région du sud-ouest, les forces vives vont
08:28exprimer leur détermination à accompagner le président de la République dans l'accomplissement
08:33de ses missions à la tête du Cameroun. Vous pouvez entendre quelques avis dans cette compilation de
08:40Stéphane Talla.
08:46Président de la République.
08:48Avec beaucoup d'articles que les gens écrivent à lui.
08:52Quand je l'ai vu, il est descendu de l'avion, il était franchement en forme. Donc j'étais franchement contente.
08:59Il est rentré, il est en bonne santé et je me remercie Dieu.
09:03A l'Imbé, l'on dit être resté confiant jusqu'au bout.
09:06Cet homme d'état, c'est un don de Dieu à cette nation.
09:10La population de l'Imbé était soulagée de savoir qu'il est revenu et qu'il est revenu en forme.
09:15Je pense qu'il n'y avait pas meilleure manière de démentir les prophètes de malheur et les oiseaux de mauvaise aiguille.
09:21D'autres acteurs politiques soutiennent que l'accueil chaleureux de la population est une interpellation et un signe révélateur.
09:28La première chose, il faut aimer votre pays.
09:31Deuxième chose, quand votre ennemi parle de choses négatives de vous, voilà un test pour mettre en jeu votre popularité.
09:42C'était clair, il est très populaire.
09:44L'enthousiasme des forces vives du sud-ouest traduit leur volonté d'accompagner le président Paul Biard dans son combat pour la paix gage des développements à mon lieu.
09:55Et toujours au sujet de cette arrivée, vive émotion au sein des populations de la région de l'Est.
10:01Les jeunes acteurs politiques et autorités traditionnelles saluent le triomphe de la vérité sur les fake news.
10:08Alvin Baongazier
10:14Loin de Yaoundé, mais en connexion directe grâce à la chaîne au cœur de la nation,
10:18c'est devant les écrans de la CRTV que les populations de la région de l'Est ont vécu le retour du chef de l'État au Cameroun.
10:25Chez les jeunes, chacun y est allé de ses sensibilités.
10:29Quand j'ai vu le père en direct à la télé, j'ai eu ce qu'on appelle la chaire de poule vraiment.
10:34Mes yeux se mouillaient, j'ai compris que je n'étais pas prête à vivre ce que j'entendais.
10:40C'est notre président et nous l'aimons beaucoup.
10:43Pour la classe politique et les chefs traditionnels, ce retour est une victoire sur les détracteurs du Cameroun.
10:49L'homme debout, vigoureux, nous comprenons que le Cameroun tient de part son chef, son guide.
10:59Pour les conservateurs des valeurs africaines, les souhaits malveillants et les fake news,
11:04seront toujours voués à l'échec et ne renforceront que la stature et la longévité du chef de l'État.
11:10J'ai toujours dit aux gens, plus que vous annoncez sa mort, vous lui ajoutez des nombres d'années.
11:15La région de l'Est reprend son souffle et les regards résolument tournés vers la réalisation des projets structurants
11:22déjà engagés grâce à la politique du président Paul Biya.
11:27Aversée dans ses réactions, cette motion de soutien des responsables militants et forces vives de la section RDP Séunion
11:34est au ouest à Ngométzab, sous la roulette de Guinoa et Somba, le président de la dite section.
11:41La voix du Cameroun sera entendue au 27e sommet des chefs d'État et de gouvernement du Commonwealth,
11:47le 1er mai 2021.
11:50La voix du Cameroun sera entendue au 27e sommet des chefs d'État et de gouvernement du Commonwealth,
11:56le 1er ministre Joseph Dionne Goutet, qui y représente le président de la République,
12:01est arrivé à Apia, aux îles de Samoa, dans le Pacifique.
12:05Femmes, jeunesse, changement climatique ou encore pauvreté participent des thèmes de ces assises.
12:11Laurentine Bokono
12:14Il est exactement 20h42 en un local, 8h42 au Cameroun.
12:20Lorsque l'avion ayant à son bord, le représentant personnel du chef de l'État camerounais Paul Biya
12:26a atterri à l'aéroport international d'Apia Falelo.
12:31Le 1er ministre chef du gouvernement Joseph Dionne Goutet a été accueilli par l'honorable Moulie Lola,
12:37en grosse, ministre Samoan de la Femmes.
12:40En bonne place également, le haut-commissaire du Cameroun en Grande-Bretagne Albert Fotabon,
12:46car le ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures,
12:50en charge du Commonwealth, Félix Mbayou, étant le team officer.
12:55Le 1er ministre chef du gouvernement et sa suite ont été conduits à Retorn Paradise Hotel,
13:01où ils ont déposé leurs valises.
13:03C'est de là que repartira le représentant du chef de l'État
13:08pour rejoindre le Tumanto Conference Center,
13:11qui abritera les travaux du 27e sommet des chefs d'État et de gouvernement
13:16des 56 pays membres du Club des Gentlemen.
13:19Au nom du président de la République du Cameroun,
13:22le 1er ministre chef du gouvernement Joseph Dionne Goutet
13:25sera concentré sur les points inscrits à l'agenda de cette réunion tant attendue.
13:30Le sommet offre également comme une nouvelle occasion
13:33pour discuter de l'héritage de l'Empire britannique en particulier
13:37lorsque les dirigeants présents devront élire un nouveau secrétaire général
13:41censé venir du continent africain en remplacement
13:45de la très honorable Patricia Scotland en poste depuis 2016.
13:50Le sommet d'Apia aux îles Samoa offrira également une réelle opportunité
13:55pour réaffirmer les valeurs qu'ilient les États membres du Club des Gentlemen.
14:01Et je signale au bas de cette actualité politique
14:04la convocation du Parlement en sa 3e session ordinaire de l'année législative 2024.
14:10Ce sera mardi 12 novembre dès 11h pour l'Assemblée nationale
14:15et à partir de 16h en ce qui concerne le Sénat.
14:19Substance d'arrêté signé du 1er vice-président du Sénat,
14:24Abou Bakary Abdoulaye, et du président de l'Assemblée nationale,
14:29Kava Yegi Dibril, des textes parvenus à notre rédaction ce soir.
14:35Fin du 1er colloque international sur la diffusion de la culture entrepreneuriale
14:41au Cameroun, quelques recommandations pour le gouvernement,
14:45notamment la production d'un manuel d'orientation des jeunes
14:49vers des formations en création d'entreprises.
14:52Les travaux de deux jours ont été clôturés par le ministre
14:56des petites et moyennes entreprises, Achille Basilekintroi,
15:01qui vient justement de me rejoindre dans ce studio.
15:05Monsieur le ministre, bonsoir.
15:07Bonsoir, monsieur.
15:08Une journée marathon pour vous qui s'achève finalement.
15:11Oui, une journée marathon parce que nous sommes parvenus
15:15aux termes de travaux dont la préparation a duré près de 3 ans.
15:20Il était question de mobiliser tous les acteurs de l'écosystème
15:25pour se pencher sur, justement, les déterminants
15:29de la culture entrepreneuriale dans notre pays,
15:32mais également comment ce chaînon peut contribuer
15:36au développement accéléré du Cameroun.
15:39On attend la création d'entreprises, notamment par le secteur privé,
15:43impulsées par le gouvernement.
15:45Vous nous organisez un colloque.
15:47Quel est l'intérêt, quelle est l'importance dans notre contexte?
15:51Alors, effectivement, la thématique de ce colloque,
15:54c'était sur la diffusion de la culture entrepreneuriale
15:57au Cameroun, ce chaînon manquant.
15:59Ce chaînon manquant, pourquoi?
16:01Parce qu'aujourd'hui, il y a une réalité qui s'impose à nous,
16:05c'est que de nombreuses unités de production sont dites informelles.
16:10Et précisément, le travail que nous avons,
16:13qui est en fait d'amener tous ces acteurs du secteur informel
16:16vers la création d'entreprises modernes,
16:19passe également par la dissémination au sein de la société
16:23de cette culture entrepreneuriale.
16:25Et c'est la raison pour laquelle nous avons tenu à organiser
16:28ce colloque scientifique, pour aller vraiment
16:31dans les fondements de cette culture.
16:34Comment est-ce qu'elle se déploie dans notre société?
16:37Comment est-ce qu'on peut effectivement avoir une société
16:40dont le changement d'état d'esprit peut accompagner l'accélération,
16:45mais surtout la transformation structurelle de notre économie?
16:48Les entreprises, c'est évidemment un pas vers plus d'emplois
16:52et plus de richesses, et selon la Banque mondiale,
16:55la création d'emplois par un secteur privé fort garantit
16:58justement la croissance.
17:00Que fait votre ministère pour donner donc au secteur privé
17:03à la fois les outils et les moyens?
17:06Alors, il faut dire que dans le cadre du dialogue
17:09secteur public, secteur privé, nous avons,
17:12et il ne vous a pas échappé, il y a quelques jours encore,
17:15nous étions au GECAM, dans sa nouvelle configuration,
17:18pour justement consolider ce pacte de consolidation
17:21de notre dynamique de travail avec le secteur privé.
17:24Qu'est-ce que nous faisons?
17:27Nous avons, et le chef de l'État, précisément,
17:30avait mis sur pied des instruments d'accompagnement
17:33financiers et non financiers pour la structuration
17:36de notre écosystème entrepreneurial.
17:39Je peux vous le dire en quelques mots,
17:42à travers de nombreux départements ministériels,
17:45il y a une juxtaposition d'initiatives de soutien
17:48à l'entrepreneuriat, qu'ils soient agricoles,
17:51qu'ils soient dans le secteur de l'élevage,
17:54qu'ils soient finalement dans le secteur du commerce
17:57et autres là.
18:00À travers les départements ministériels,
18:03c'est près de 180 milliards qui sont ainsi disséminés
18:06dans différents projets et programmes.
18:09Eh bien, nous avons donc cette mission
18:12d'accompagner la promotion du secteur privé,
18:15mais ceci ne peut se faire qu'avec l'appui
18:18aussi bien de ses destinataires
18:21de notre accompagnement,
18:24mais surtout avec des synergies utiles
18:27pour qu'on puisse non seulement atteindre
18:30au mieux nos cibles, mais surtout leur fournir
18:33les outils nécessaires pour que finalement
18:36les entrepreneurs et l'environnement
18:39qui leur permet de pouvoir produire
18:42davantage de richesses et qui en fait
18:45en font des outils de développement accéléré
18:48de notre pays.
18:51L'esprit d'entreprise que nous recherchons
18:54doit tenir compte en fait du contexte
18:57et j'ai observé que vous êtes allé chercher
19:00très loin certains de vos conférenciers.
19:03Je ne cite que le cas du président-directeur
19:06général de Entrepreneurial Learning Initiative.
19:09Qu'est-ce qu'il peut nous apporter?
19:12Qu'est-ce qu'il va nous apporter
19:15que nous n'avons pas ici sur place?
19:18Alors il faut dire que là vous parlez
19:21en fait de M. Gary Schoeniger
19:24qui est aujourd'hui une sommité mondiale
19:27qui est à la tête en fait d'un groupe
19:30qui conseille le gouvernement américain
19:33et qui a tout un ensemble de recettes
19:36permettant justement de libérer
19:39en fait l'esprit entrepreneurial
19:42dans tous les segments et les sphères
19:45de la société et justement
19:48ces recettes nous en avons besoin
19:51parce qu'aujourd'hui si l'esprit entrepreneurial
19:54pénètre tous les segments de notre société
19:57et incorporer précisément dans notre système
20:00éducatif qui parfois n'est pas propice
20:03en fait à la libération du potentiel
20:06entrepreneurial qui sommeille
20:09en chacun d'entre nous parce qu'il s'agit
20:12en fait de la capacité à la créativité
20:15de cette capacité à l'innovation
20:18de cette volonté de se réaliser
20:21c'est cela en fait l'esprit entrepreneurial
20:24et donc naturellement avec M. Gary Schoeniger
20:27qui a donc de nombreuses recettes
20:30il est arrivé au Cameroun et nous avons
20:33donc nous l'avons comme guest speaker
20:36et avec lui précisément nous avons pour ambition
20:39de lancer un programme spécifique
20:42qui va permettre comme il le fait en Afrique du Sud
20:45il y a 280 enseignants pilotes
20:48qui ont été identifiés
20:51et qui aujourd'hui en termes de pédagogie
20:54permettent justement à ce pays-là
20:57de renouveler avec un nouvel état d'esprit
21:00la marche vers la massification
21:03de l'entrepreneuriat et c'est ce que nous voulons
21:06dans notre contexte. Terminons en quelques mots
21:09par ce que vous souhaitez qu'on retienne
21:12finalement de ces travaux. Eh bien je retiens
21:15que d'abord il faudrait que nous changions le regard
21:18sur l'entrepreneuriat et le statut de l'entrepreneur
21:21dans notre société. Donc la formation, la préparation
21:24en fait à la carrière entrepreneuriale doit commencer
21:27au sein de la famille. Donc il y a des évolutions
21:30sociologiques, il y a des perceptions qu'il va falloir faire bouger.
21:33Ensuite, ce qu'on peut retenir également c'est que nous avons besoin
21:36au-delà des modules de formation spécifique
21:39que notre système d'enseignement puisse
21:42également laisser libre cours
21:45à l'initiative par des compétences
21:48qui peuvent être valorisées et qui permettent en fait
21:51aux uns et aux autres d'être assez créatifs et par conséquent
21:54de pouvoir construire des réseaux qui permettent aussi
21:57parallèlement et là c'est à l'adresse du patronat
22:00que certains de nos entrepreneurs à succès
22:03soient des mentors de jeunes entrepreneurs
22:06parce qu'ils ont besoin de modèles,
22:09ils ont besoin d'être pour certains de nos jeunes accompagnés
22:12et là aussi c'est un autre type de pédagogie
22:15qui correspond à cela. Bref, nous voulons précisément une société
22:18où l'esprit entrepreneurial irrigue
22:21tous les segments de la société
22:24pour que finalement on puisse tirer les leçons
22:27de ses échecs, qu'on puisse être
22:30résilient, qu'on puisse participer à la création
22:33de la richesse nationale et que de ce point de vue
22:36la vision du chef de l'État qui est de faire du Cameroun
22:39un pays émergent et bien cela passe déjà par
22:42la massification des entrepreneurs et qui est
22:45justement cet état d'esprit à la créativité.
22:48Achille Basselekin, trois ministres
22:51députés et moyennes entreprises de l'économie sociale
22:54et de l'artisanat, merci de tous ces éclairages
22:57en direct sur le plateau du 20h30.
23:00C'est moi qui vous remercie.
23:03Avant de partir, je voudrais vous inviter à regarder
23:06aller au cinéma, en tout cas,
23:09Allons-y donc au cinéma, à l'invitation du dossier
23:12de la rédaction. Vous savez que le 7ème art
23:15est dans l'air du temps en ce moment avec la 28ème
23:18édition du Festival Écran Noir.
23:21Coup de projecteur sur les têtes d'affiches du continent
23:24pour visionner un peu leur impact. C'est la première
23:27séquence du dossier signé Elvira Angelini-Ballet.
23:33Elles crèvent les écrans par leur talent singulier.
23:39Dans ces écrans noirs longs au coup
23:42mécrage, les têtes d'affiches semblent parfois
23:45hors de la scène. On voudrait voir aussi
23:48c'est-à-dire des cinémas lancer une maison de production.
23:51Chez nous, ce n'est pas encore ça. On a souvent tendance
23:54à croire que la tête d'affiche, c'est celle-là qui est le plus souvent
23:57sur les réseaux sociaux. On va voir cette tête d'affiche-là
24:00aussi, on n'a pas de salle de cinéma. Il faut former la relève.
24:03Si nous qui sommes en train de vouloir
24:06avancer, quand on ne voit pas où on va,
24:09est-ce qu'on va se sentir, l'enfant là, il va voir celui qui veut
24:12venir faire ce métier. Projecter le rêve, celui
24:15du cinéma africain, les têtes d'affiches sont des labels
24:18porteurs de projets. C'est donc un tournage où
24:21les horizons créatifs affichent entre autres la valorisation
24:24du marketing et celle de la maison de production.
24:27Porter ce que je sais faire, pourquoi ne pas avoir
24:30une grosse maison de production pour permettre
24:33aux jeunes producteurs de pouvoir aussi se promouvoir.
24:36C'est vrai que l'État fait du maximum. On a besoin
24:39de structurer ce métier parce que
24:42ce n'est pas encore l'industrie qu'on aurait souhaité avoir.
24:45Aussi, il faut des partenaires de diffusion.
24:48Il faut se former parce que le métier, il grandit,
24:51il change. Il faudra aussi que nous aussi, on s'arrime
24:54à cette évolution-là. De faire le déplacement,
24:57tous ces kilomètres pour venir ici, c'est un grand apport.
25:01Des visages forts sortis des écrans noirs
25:04qui s'accrochent à l'espoir d'un avenir meilleur
25:07pourvu que le financement suive.
25:10Pour le Camerounais ordinaire, les acteurs
25:13des cinémas sont des vedettes qui roulent sur de l'or.
25:16La réalité est souvent en cailloux car
25:19l'industrie locale du septième arrête encore en structuration.
25:22Les cachets sont donc modestes et les salaires
25:25du personnel de production ne font pas toujours rêver.
25:28Les gars et le train de vie de tous au beau monde
25:31avec Daniel Menenga.
25:34Hiver du cinéma, comme on l'imagine,
25:37belles voitures, beaux gosses, fréquentation de coins huppés.
25:40Ce n'est pas du cinéma pour Dex Willy,
25:43trois films et cinq ans de carrière.
25:46Mon premier rôle, c'était de Blaise Option,
25:49le producteur, Tourbillon. J'ai été payé dans les 2,4 millions.
25:52En coulisses, le septième arrêt au Cameroun
25:55projette une certaine instabilité.
25:58Les séquences de la structuration sont tournées progressivement.
26:01Et donc, pour le commun des acteurs, c'est le sacerdoce.
26:04Le premier film que j'ai eu a produit Broken Love.
26:07Je donnais à chaque acteur 5 000 en moyenne pour une scène.
26:12Les acteurs ne peuvent pas avoir un cachet
26:15parce qu'il se fait par affinité.
26:1821 ans de carrière dans le cinéma, de nombreuses productions,
26:21un nom et toujours ce besoin de sécurité.
26:24Généralement, les coûts de métrage au Cameroun
26:27se situent entre 50 et 100 000.
26:30Alors quand quelqu'un vient vers moi pour me demander
26:33ce qu'il veut, généralement, s'il me propose il y a 100 000,
26:36moi je vais aller à 5 fois plus ce qu'il me propose.
26:39Nous pouvons nous situer dans un long métrage,
26:42généralement dans les 600, 800 000.
26:45Je suis fonctionnaire, je suis enseignant.
26:48Faire du cinéma aux 237 exige un gros investissement personnel
26:51dans un environnement économiquement difficile.
26:54J'ai pu m'imposer parce que non seulement
26:57je suis parti à l'école pour ça,
27:00j'ai appris ce que c'est que la négociation,
27:03mais aussi j'ai appris qui je suis.
27:06Travailler son branding, travailler sa présence sur les réseaux.
27:09Je suis producteur moi-même, c'est-à-dire que je suis développeur de talent.
27:12Passonner son image en imposant une personnalité à la hauteur,
27:15c'est le deal de toute une carrière d'acteur.
27:18Les salles de cinéma au Cameroun ne sont pas vides en tant que telles,
27:21elles sont plutôt invisibles.
27:24Producteurs et investisseurs plaident pour la révision
27:27et l'application de la loi de 1988
27:30sur l'orientation de l'activité cinématographique.
27:33En plus de cela, quelles autres mesures
27:36pourraient remettre au goût du jour
27:39les nuits lumineuses au cinéma ?
27:42Question à Aboubakar Abou.
27:45Le cinéma camerounais derrière les barreaux,
27:48enfermé pour manque de financement.
27:51Alors qu'il faisait les beaux jours de la liberté
27:54du divertissement dominical à l'époque,
27:57le capital, lui, est carrément mort.
28:00Enterré sous les gigantesques projets économiques
28:03qui pousseront sur sa tombe.
28:06La brique, non plus, n'a pas pu construire un avenir
28:09pour la salle de cinéma Lorex.
28:12Le cinéma Lorex, à l'intérieur,
28:15c'est une autre affaire qui joue sa séquence.
28:18L'urgence est donc là.
28:21Comment rebâtir les salles de cinéma au Cameroun ?
28:24Un film inspiré d'une histoire réelle
28:27dans laquelle cet acteur principal maîtrise le scénario.
28:30Il faut nécessairement que l'état du Cameroun
28:33applique déjà la loi sur le mécénat,
28:36donner l'opportunité aux opérateurs
28:39de construire des salles de cinéma.
28:42Mais il s'avère que le film
28:45de la renaissance des salles de cinéma
28:48est un long métrage intriguant,
28:51difficile à vendre aux investisseurs.
28:54Il faut une dynamique professionnelle.
28:57Les hommes d'affaires ne vont pas faire la création.
29:00Les hommes qui auront des salles,
29:03ce n'est pas eux qui vont produire le film.
29:06Le Cameroun ne doit pas être un figurant.
29:09Son rôle est très important,
29:12car c'est lui le gendarme de la loi
29:15qui doit absolument consecuter le choc bandit.
29:18Le soutien à la production,
29:21le soutien à la distribution.
29:24Maintenant, le soutien aux infrastructures culturelles,
29:27on n'en a pas.
29:30Parce que le cinéma coûte cher.
29:33Et tous les Camerounais pourront enfin retourner en salle,
29:36à guichets fermés.
29:39Un sujet qui pourrait bien faire l'objet d'un film,
29:42il s'agit des retards
29:45dans les délais de paiement
29:48qui regroupent Ayaoundé,
29:51plusieurs pays d'Afrique.
29:54La cérémonie d'ouverture était présidée par le ministre délégué
29:57à la présidence chargée des marchés publics,
30:00mais 29% d'entreprises du continent sont concernées
30:03par le retard de paiement.
30:06Agnès Oulange à Bessolo.
30:09Les économies africaines sont lourdement imparties
30:12par les retards de paiement et de délai.
30:15Le GICAM et la Direction internationale pour le développement des ressources
30:18en ont fait le constat.
30:21Les impayés restent donc la principale cause
30:24des tensions de trésorerie en Afrique.
30:27Dans ces trois derniers exercices,
30:30l'Etat a payé 20 milliards en termes d'intérêts moratoires
30:33pour les retards de paiement uniquement en trois ans.
30:36Un préjudice mondial de 3000 milliards d'euros.
30:39En percevant les enjeux,
30:42le sujet devient un problème de politique publique majeure au Cameroun.
30:45Cette problématique qui n'est pas
30:48l'apanage du Cameroun,
30:51mais qui touche tous les pays en développement,
30:54voire les pays développés,
30:57est réelle et mérite de susciter
31:00une concertation internationale
31:03comme celle qui nous réunit à partir d'aujourd'hui.
31:06Les partenaires techniques et financiers ainsi que le GICAM
31:09ont pour objectif principal de stabiliser
31:12les dépenses de l'Etat.
31:15Ces premières assises ambitionnent de sécuriser les activités des PME
31:18parce qu'elles représentent 47% des entreprises
31:21affectées par les conséquences des retards de paiement.
31:24Le ministre d'Etat, ministre de l'Enseignement supérieur
31:27a ouvert ce mercredi
31:30le Salon de l'Orientation Professionnelle et Académique 2024.
31:33Le rôle des conseillers d'orientation
31:36pour stimuler le génie créateur et entrepreneurial
31:39en milieu scolaire et universitaire
31:42est en lame de fond.
31:45Le professeur Jacques Famendongo a invité les étudiants
31:48à être des créateurs de richesses.
31:54Le basculement vers la professionnalisation des enseignements
31:57dans les universités camerounaises depuis une dizaine d'années
32:00produit des résultats escomptés.
32:03Des ressources humaines de qualité adaptées aux besoins
32:06du marché de l'emploi et de l'auto-emploi.
32:09Tout ceci grâce à l'orientation.
32:12La nouvelle loi d'orientation de l'enseignement supérieur
32:15permet aux jeunes de la région de l'Ouest
32:18de parcourir l'éventail de possibilités de formation
32:21qu'offrent les universités camerounaises
32:24et les instituts privés agréés.
32:27En parcourant les stands d'exposition,
32:30le ministre d'Etat, ministre de l'Enseignement supérieur
32:33touche du doigt le génie créateur et entrepreneurial
32:36de l'Université Camerounaise.
32:39L'enseignement supérieur est un objectif
32:42et le ministre de l'Enseignement supérieur
32:45touche du doigt le génie créateur et l'inventivité
32:48de la genèse camerounaise.
32:51J'ai été séduit par la qualité des produits
32:54qui sont fabriqués par les étudiants.
32:57Le rôle du conseiller d'orientation dans la mise en oeuvre
33:00du statut de l'étudiant entrepreneur
33:03vers l'explosion et l'esprit entrepreneurial,
33:06c'est le thème qui va orienter les échanges
33:09L'institut supérieur de management public
33:12accueille ses nouveaux étudiants.
33:15La cérémonie de rentrée solennelle a eu lieu ce mercredi
33:18au cercle municipal de Yaoundé.
33:21La nouvelle année est placée sous le signe de la promotion
33:24de l'excellence. Stéphane Ndou.
33:27La joie de se retrouver, la joie de reprendre le chemin
33:30de l'école. 150 auditeurs entament leur cursus
33:33de formation à l'institut supérieur de management public
33:3612 issus des administrations publiques et privées
33:39concrétisent ainsi un rêve bien nourri.
33:42Si on apprend la performance, on apprend la qualité,
33:45on apprend même à diriger.
33:48C'est le bon temps de pouvoir acquérir des compétences
33:51plus pointues, plus outillées pour pouvoir amener
33:54l'administration carboneuse vers une performance plus accentuée.
33:57La 7e QV sera moulée dans la gestion permanente
34:00des institutions pendant deux ans. Une formation adoucée
34:03et des enseignements bien pensés par l'institution.
34:06La voie qui conduit au master est exigeante.
34:09La direction générale encourage les promus abriés par l'excellence.
34:12Nous placons cette année sur le signe de succès,
34:15sur le signe de pertinence et sur le signe de performance.
34:18L'administration publique carboneuse est en quête de performance.
34:21La remise des diplômes aux 3e, 4e, 5e et 6e promotions
34:24est prévue le jeudi 24 octobre.
34:27Le temps de la nouvelle année a donc été la gare,
34:30au travail.
34:33De la joie dans les cœurs des mamans
34:36du Centre hospitalier de recherche en chirurgie endoscopique
34:39et reproduction humaine.
34:42Cet hôpital inauguré en 2016 par la première dame
34:45camerounaise Chantal Bia, qui en est la marraine,
34:48a fait naître ce mercredi son 500e bébé
34:51issu de la fégondation in vitro.
34:54Une autre prouesse de l'équipe du professeur Jean-Marie Cassia,
34:57le patron du CRASER.
35:038h51, ce mercredi 23 octobre 2024,
35:06au bloc opératoire du CRASER,
35:09des cris des bébés annoncent la naissance
35:12du 500e bébé-fille, fille aussi,
35:15fille des entrailles d'une maman primé par, de 52 ans.
35:18Je suis maman, je suis maman,
35:21grâce à cet hôpital.
35:24Chantal Bia, merci Chantal Bia.
35:27Par la grâce de Dieu, on a pu atteindre ces 500 bébés
35:30et même aujourd'hui, nous allons le dépasser
35:33puisqu'on a fait 4 bébés ce matin.
35:36Inaugurant cet hôpital en 2016,
35:39le dotant d'un plateau technique moderne,
35:42Mme Chantal Bia, sa marraine, dont le CRASER porte la muse inspiratrice,
35:45met la main à la PAC médicale.
35:48Je veux saluer la décision heureuse du chef de l'État,
35:51son Excellence Paul Bia, de créer ce centre
35:54au nom de toutes les femmes et de tous les futurs mamans,
35:57qu'il soit chaleureusement remercié.
36:00Au taux de grossesse, aussi, autour de 33%,
36:03prouve la maîtrise du processus de procréation
36:06médicalement assistée par une équipe dynamique
36:09et professionnelle.
36:12Ces bébés se portent très bien et la suite va consister
36:15à une simple surveillance et bien sûr,
36:19pour les mamans âgées de 49, 52, 36 et 39 ans,
36:22l'émotion est particulière.
36:28Une nouvelle page, la frégondation in vitro s'ouvre au CRASER.
36:31Pour cette sacrée performance,
36:34on peut bien s'appeler le champagne.
36:37La 9e plateforme régionale africaine
36:40sur la réduction des risques des catastrophes
36:43se poursuit à Windhoek, en Namibie.
36:46Un document de référence pour améliorer
36:49l'utilisation des informations sur les risques
36:52a été d'ailleurs présenté au cours des travaux.
36:55Sur l'importance de ce manuel,
36:58écoutons Loretta Heiber-Girardet,
37:01responsable du Bureau des Nations Unies.
37:04C'est dans cet extrait sélectionné par Peches Wirigo,
37:07envoyée spéciale de la CRTV.
37:10Je suis en train de lancer un nouveau handbook,
37:13et j'utilise les informations sur les risques
37:16pour améliorer et pour faire en sorte
37:19que les services d'alerte précoce soient mieux visés
37:22et que tout le système des alertes précoces
37:25va avoir une meilleure base sur qui est le plus vulnérable
37:28et où sont-ils.
37:31Et ça, c'est très important.
37:34Sinon, on risque d'avoir des informations
37:37seulement sur le hazard,
37:40qui sont les plus risquables.
37:43La politique nationale de la jeunesse est en cours de révision
37:46et le ministre de la jeunesse et de l'éducation civique
37:49poursuit les consultations.
37:52Monona Futsu a annoncé dans la foulée
37:55le sommet sur le leadership et l'entrepreneuriat jeune.
37:58Ce sera au mois de novembre prochain à Yaoundé.
38:01Laetitia Onana.
38:04Dans la salle de conférence du ministère de la jeunesse
38:07et de l'éducation civique, ce mercredi après-midi,
38:10deux délégations de jeunes,
38:13le réseau des jeunes conseillers régionaux du Cameroun
38:16et les leaders jeunes issus des milieux universitaires
38:19à chaque groupe ont appliqué la même règle méthodologique,
38:22la présentation des doléances
38:25et la formulation des solutions préconisées.
38:28En termes, par exemple, de participation à la vie politique,
38:31nous avons décelé la perception
38:34que les jeunes ont de la politique.
38:37Ils pensent que la politique, c'est un jeu malsain
38:40rempli de combats.
38:43Le manque de systèmes de gestion des notes
38:46ou encore des programmes de formation
38:49qui malheureusement ne sont plus en adéquation
38:52avec le milieu professionnel.
38:55Un peu plus tôt, le forum sur le leadership
38:58et l'entrepreneuriat jeune,
39:01en novembre 2024 à Yaoundé, est annoncé.
39:04C'était au cours d'une conférence de presse
39:07où le ministre Mounouna Foutsou s'est fait représenter.
39:10Nous sommes là pour montrer comment commencer une petite affaire,
39:13comment évoluer dans l'affaire, comment changer une idée.
39:16Quand t'as une idée, tu changes, ça devient l'agent.
39:19Une initiative louable,
39:22un programme de plus et pas de trop
39:25pour que les jeunes se prennent définitivement en main
39:28à travers l'expression de leurs talents
39:31si divers et si complémentaires.
39:34Ouverture ce mercredi
39:37d'un atelier de renforcement des capacités
39:40des organisations de la société civile cambronaise.
39:43Pendant deux jours, les participants vont tabler
39:46sur la participation de la société civile à la réponse humanitaire
39:49en zone de conflit.
39:52Ils sont 25 représentants
39:55des organisations de la société civile
39:58venues des régions du Cameroun,
40:01impatées par les crises à l'effet d'être plus efficaces
40:04dans leurs interventions pour les actions humanitaires.
40:07Nous attendons vraiment que nos actions sur le terrain
40:10soient beaucoup plus pertinentes
40:13qu'on n'arrive pas à des situations où on oublie une catégorie de population.
40:16Nous aimerons rentrer avec des connaissances
40:19et puis implanter tout ce que nous avons à faire
40:22en termes de travail, en termes humanitaires.
40:25Avec un accent particulier mis sur l'intégration du genre,
40:28le besoin d'une société civile forte, résiliente
40:31et capable d'apporter une réponse locale efficace
40:34devient alors urgent.
40:37L'idée est de renforcer leurs capacités opérationnelles
40:40à l'effet qu'elles soient aptes en termes d'impact
40:43par rapport à leurs interventions,
40:46mais également par rapport à tout ce qui est fait dans le cadre humanitaire.
40:49Au terme de l'atelier initié par ONU Femmes et Nord Cap,
40:52les participants seront capables de contribuer efficacement
40:55aux stratégies de plaidoyer et de communication
40:58de leurs organisations respectives.
41:01Ce Sucam a célébré plus de milliers d'ouvriers
41:04de l'entreprise.
41:07La cérémonie s'est déroulée en présence du ministre du Travail
41:10et de la Sécurité sociale.
41:13Grégoire Ronald a remis des médailles d'honneur
41:16de l'argent, vermeil et or
41:19à l'usine Dunkoteng.
41:22Nadej Baima.
41:25Argent, vermeil et or brillent désormais
41:28sur la poitrine de 1060 valeureux sucriers
41:31de ce Sucam.
41:34Médaille d'honneur du travail reçue des mains
41:37du ministre du Travail et de la Sécurité sociale.
41:40Messieurs les travailleurs, vous avez raison
41:43le nouveau code du travail.
41:46Comme vous le savez,
41:49les lois ne se votent pas tous les jours.
41:52On a travaillé sur ce code du travail
41:55quelques temps
41:58en collaboration avec les confédérations
42:01des travailleurs qui ont fait des propositions.
42:04Certaines de ces propositions ont été intégrées
42:07au code du travail.
42:10Un moment d'effervescence en présence
42:13de l'autorité locale le mardi 22 octobre
42:16à la cour de Cannes de l'usine Dunkoteng.
42:19J'ai reçu des médailles d'argent
42:22et de vermeil.
42:25Ces médailles représentent pour moi
42:28la récompense de près de 20 années
42:31d'ardeur au travail au sein de la Sucam.
42:34C'est de longues années de travail.
42:37Aujourd'hui, on est fiers, on est satisfaits.
42:40On est comblés que l'entreprise a bien voulu
42:43nous honorer à ce jour mémorable.
42:46La cérémonie a également donné lieu
42:49à un moment d'échange à coeur ouvert
42:52entre ses partenaires sociaux, employeurs et employés.
42:55Au bout, la joie de la reconnaissance
42:58du travail bien fait.
43:01Je suis entré en tant que manoeuvre agricole.
43:04Le directeur général de la société sucrière
43:07du Cameroun, Jean-Pierre Champaud,
43:10n'a pas manqué de remercier le gouvernement
43:13pour les efforts constantis.
43:16Féliciter les travailleurs pour l'application
43:19à partager le trésor rouge et blanc
43:22tout en les galvanisant à plus d'ardeur
43:25au travail pour atteindre les objectifs fixés.
43:28Produire en sucre 100% terroir.
43:31C'est ce que nous faisons avec la tradition
43:34des Opens de golf. En jeu cette fois-ci,
43:3716 millions de francs CFA pour les différentes
43:40catégories du tournoi lancé hier mardi.
43:43Christelle Ngbayso.
43:48Lido Kabur SNH relance le tournoi
43:51Open de golf au Golf Club de Yaoundé
43:54après l'édition de 2008.
43:57Pendant cinq jours, les professionnels et amateurs
44:00du golf vont rivaliser d'adresse.
44:03La SNH à travers l'organisation de ce championnat
44:06s'illustre donc comme un acteur majeur
44:09du mouvement sportif camerounais.
44:12La SNH a toujours été très proche du monde
44:15du golf depuis les années 2000. Cette année,
44:18nous avons mis cette dotation qui est double.
44:21On parle surtout de la dotation de 15 millions
44:24qui est la dotation des professionnels
44:27du golf dans une filière un peu différente
44:30qui est quand même de un million.
44:33Je crois que c'est quand même la première fois
44:36qu'on voit une société qui organise un tournoi
44:39avec des dotations de ce niveau qui sont des dotations
44:42d'un niveau international. On n'a pas encore vu ça
44:45ici au Cameroun et on espère qu'on va continuer
44:48et que l'année prochaine, avec une communication
44:51qu'on va essayer de faire meilleure,
44:54C'est une formidable initiative.
44:57Nous sommes très heureux que la SNH redevienne
45:00un sponsor majeur du golf au Cameroun.
45:03Elle refait un tournoi depuis 2009
45:06et pour ce premier tournoi,
45:09elle a fait une dotation exceptionnelle
45:12ce qui permet d'avoir des joueurs
45:15d'autres pays que le Cameroun.
45:18Nous espérons que dans les années futures,
45:21nous serons capables d'organiser un très grand
45:24tournoi professionnel et d'attirer des Européens,
45:27des gens d'Afrique du Sud, du Maroc
45:30pour faire un vrai tournoi dont le Cameroun a besoin.
45:33La SNH, artisan de la préservation
45:36du patrimoine culturel camerounais,
45:39se positionne ainsi comme une entreprise citoyenne
45:42soucieuse du bien-être des Camerounais.
45:45Ainsi va le Cameroun ce soir.
45:48Merci de votre précieuse attention.
45:51Très belle soirée sur votre antenne,
45:54l'information c'est ici.
45:57Bonsoir.
46:18Sous-titrage Société Radio-Canada