David Rosemberg et Carine Prévot, les deux auteurs de la série "Les lionnes", ont prévu plus de deux mois de tournage à Salon et dans la région. Le point sur cette série où jouent Jonathan Cohen et François Damiens et qui fait jaser.
"Silence, ça tourne !". La cité Francou est connue pour son calme, mais alors en ce jour de tournage de la série Netflix Les lionnes, on aurait pu entendre une mouche voler. Vraiment disciplinés les 150 figurants présents !
C'est une scène de fête foraine qui est jouée ce jour-là, avec les actrices principales, les fameuses lionnes donc : "Ce sont quatre copines pauvres, que la société a mises à son ban, elles sont interdites bancaires et elles vont braquer des banques déguisées. Et le titre, c'est parce que les lionnes, dans la savane, ce sont elles qui vont chasser, qui protègent les petits", explicite David Mitnik, le sympathique directeur de production de la série.
Il a accepté de nous recevoir sur le tournage dont tout le monde parle à Salon : l'un a croisé Jonathan Cohen et François Damiens, deux des acteurs principaux, buvant un coup sur la place Morgan, un autre est tombé par hasard sur une scène en cours de tournage en plein centre-ville ou enfin, il y a ceux qui ont eu la chance d'être retenus pour être figurants.
Bref, depuis le 26 septembre 2024, date où le tournage a commencé, et la fin novembre, quand il doit se terminer, difficile de passer à travers.
Le cadre principal en est d'ailleurs la cité Francou, gérée par 13 Habitat : "Guilhem Malgoire, notre repéreur, est Salonais. Olivier Rosemberg et Carine Prévot, les deux auteurs ont aimé les photos qu'il en a prises, son côté western, isolé, calme et la topographie en triangle, ça sortait de l'ordinaire. Et puis il a vérifié qu'on n'allait pas se faire jeter des frigos par les fenêtres", s'amuse David Mitnik.
"On a rayonné autour de Salon pour trouver nos décors"
Aucune chance à la cité Francou, du nom du maire de Salon de 1956 à 1989. Hasard, la série évoque la politique : "Le président de la Région veut montrer au méchant de la cité qu'il peut arrêter toutes les activités de celle-ci, quelles qu'elles soient", dévoile le directeur de production.
D'autres endroits de Salon ont été filmés : la place Gambetta avec le salon Tchip Coiffure, les allées de Craponne, le boulevard du Maréchal-Foch... Mais aussi d'autres villes des environs, comme Pertuis ou Arles. "On a rayonné autour de Salon pour trouver nos décors. Dans des hôtels, des châteaux, des domaines, puisque l'histoire met en avant le déclassement, avec ces mères célibataires qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts et l'héritier d'une banque d'affaire, qui vit dans le luxe. Ces deux milieux vont se confronter".
Voilà pour ce qui est de l'intrigue de cette série que même le maire, Nicolas Isnard, est venu découvrir. C'est d'ailleurs l'un de ceux qui a fait fuiter le nom des acteurs et celui de la plateforme sur son Facebook : "Il a été curieux de voir comment ça se passait. Et c'était amusa
"Silence, ça tourne !". La cité Francou est connue pour son calme, mais alors en ce jour de tournage de la série Netflix Les lionnes, on aurait pu entendre une mouche voler. Vraiment disciplinés les 150 figurants présents !
C'est une scène de fête foraine qui est jouée ce jour-là, avec les actrices principales, les fameuses lionnes donc : "Ce sont quatre copines pauvres, que la société a mises à son ban, elles sont interdites bancaires et elles vont braquer des banques déguisées. Et le titre, c'est parce que les lionnes, dans la savane, ce sont elles qui vont chasser, qui protègent les petits", explicite David Mitnik, le sympathique directeur de production de la série.
Il a accepté de nous recevoir sur le tournage dont tout le monde parle à Salon : l'un a croisé Jonathan Cohen et François Damiens, deux des acteurs principaux, buvant un coup sur la place Morgan, un autre est tombé par hasard sur une scène en cours de tournage en plein centre-ville ou enfin, il y a ceux qui ont eu la chance d'être retenus pour être figurants.
Bref, depuis le 26 septembre 2024, date où le tournage a commencé, et la fin novembre, quand il doit se terminer, difficile de passer à travers.
Le cadre principal en est d'ailleurs la cité Francou, gérée par 13 Habitat : "Guilhem Malgoire, notre repéreur, est Salonais. Olivier Rosemberg et Carine Prévot, les deux auteurs ont aimé les photos qu'il en a prises, son côté western, isolé, calme et la topographie en triangle, ça sortait de l'ordinaire. Et puis il a vérifié qu'on n'allait pas se faire jeter des frigos par les fenêtres", s'amuse David Mitnik.
"On a rayonné autour de Salon pour trouver nos décors"
Aucune chance à la cité Francou, du nom du maire de Salon de 1956 à 1989. Hasard, la série évoque la politique : "Le président de la Région veut montrer au méchant de la cité qu'il peut arrêter toutes les activités de celle-ci, quelles qu'elles soient", dévoile le directeur de production.
D'autres endroits de Salon ont été filmés : la place Gambetta avec le salon Tchip Coiffure, les allées de Craponne, le boulevard du Maréchal-Foch... Mais aussi d'autres villes des environs, comme Pertuis ou Arles. "On a rayonné autour de Salon pour trouver nos décors. Dans des hôtels, des châteaux, des domaines, puisque l'histoire met en avant le déclassement, avec ces mères célibataires qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts et l'héritier d'une banque d'affaire, qui vit dans le luxe. Ces deux milieux vont se confronter".
Voilà pour ce qui est de l'intrigue de cette série que même le maire, Nicolas Isnard, est venu découvrir. C'est d'ailleurs l'un de ceux qui a fait fuiter le nom des acteurs et celui de la plateforme sur son Facebook : "Il a été curieux de voir comment ça se passait. Et c'était amusa
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