• le mois dernier
"Il faut absolument qu'on ait plus de moyens, plus de communication, car c'est une maladie qui peut tomber sur tout le monde". En fauteuil roulant, cravate nouée autour du cou et appareil respiratoire installé autour du visage, Gilbert Bouchet a tenu à être dans l'hémicycle pour appeler de sa voix faible et éraillée à une meilleure prise en charge de ceux qui comme lui, sont atteints de cette maladie dégénérative irréversible qui touche 6 à 7.000 personnes en France.

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Transcription
00:00Monsieur le Président, mes chers, je salue bien évidemment aussi Philippe Rouvier qui a beaucoup travaillé sur cette proposition de loi et les rapporteurs et puis bien sûr tous mes collègues sur tous les bancs de l'Assemblée,
00:20parce que je crois qu'il y a eu vraiment des inégalités de tout le monde et cela me fait plaisir. Lorsque la maladie vous tombe dessus, c'est donc qu'il faut la comprendre et c'est ce que j'essaie de faire.
00:35Il faut dire aussi combien ça pose problème lorsque l'on se rend compte d'une certaine situation dans les départements. C'est pas facile, ça prend plusieurs semaines, plusieurs mois quelquefois et toute cette loi d'aller beaucoup plus vite.
00:58Encore une fois, Président Larcher, merci de l'avoir soutenu complètement et j'en suis très heureux. Je mets au combat pour le territoire du département de l'Europe avec mes collègues Bernard Puyet et Marie-Pierre Beaudier,
01:16mais je sais aussi que je mets au combat pour cette maladie qui, de plus en plus, on en parle, mais qu'il faut absolument qu'on ait plus de moyens, plus de communication si tu es une maladie qui peut tomber sur tout le monde. Voilà encore une fois, merci de participer à ce vote. Merci.

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