[#Journal ] Le 19H30 du 08 Octobre 2024
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00:00Mardi 8 octobre 2024, soyez les bienvenus dans votre 19h30. Voici les titres de votre
00:22principale édition d'information. Le coût du forfait internet vendu par l'opérateur
00:27Ertel Gabon connaît ces derniers jours une majoration de 200 francs CFA. 35% de taux
00:33de redoublement annuel, c'est le triste constat qui ressort d'un rapport de l'inspection
00:37générale des services du ministère de l'éducation nationale. Nous en parlerons dans ce journal.
00:42Mesdames et messieurs, bonsoir. Le président de la transition, chef de l'État, le général
00:47Brice Clotaire Oliginguéma, par ailleurs président du conseil supérieur de la magistrature,
00:52a officié ce mardi 8 octobre 2024 au palais de justice de Libreville, la traditionnelle
00:58cérémonie de rentrée judiciaire des courts et tribunaux. Occasion pour le numéro un
01:03Gabonais d'exhorter les justiciers à tenir leur rang pour une stabilité dans leur secteur
01:09d'activité. Nous y reviendrons au cours de nos prochains programmes.
01:12Un colloque sur la fonction publique se tiendra à Libreville la semaine prochaine. L'annonce
01:22de cette rencontre par le premier ministre ce lundi vise à faire le bilan de cette administration
01:28douze mois après le coup d'État. Presse premature. Venu inaugurer l'hémicycle rénové
01:34du ministère de la fonction publique, le premier ministre Raymond Dong Sim a annoncé
01:38l'organisation la semaine prochaine d'un colloque consacré à la fonction publique.
01:43J'ai convoqué pour lundi prochain une réunion sur la fonction publique. A cette réunion j'espère
01:52trouver l'ensemble des ministres présents sur le territoire mais également l'ensemble des
01:58inspecteurs généraux des services, les secrétaires généraux des ministères, les directeurs généraux
02:06et leurs adjoints et l'ensemble des directeurs sur la place de Libreville. Je pensais venir ici
02:12mais cet hémicycle n'est pas assez grand pour nous. Nous irons donc à notre lieu pour nous
02:16voir et parler de la fonction publique. Ce rendez-vous qui va réunir l'ensemble des
02:23administrations publiques va poser les bases d'une fonction publique performante dans un
02:28contexte de restauration des institutions. Durant cette rencontre le gouvernement fera
02:33le bilan de toutes les actions menées depuis un an. Il s'agira de regarder le nombre de postes
02:40budgétaires mis à disposition durant ces douze derniers mois dans différents secteurs tout comme
02:46il sera donné au ministre du budget des comptes publics d'édifier l'opinion sur les coûts
02:51salariaux et les critères de convergence communautaire. De même que le dossier des 13 000
02:58fonctionnaires mis sur banc de caisse cette fin du mois connaîtra une suite. Sur ce dossier précis
03:05le gouvernement veut réutiliser les postes budgétaires des fonctionnaires qui n'auront pas
03:11justifié leur absence au profit d'autres catégories des gabonais demandeurs d'emploi à la fonction
03:17publique. Dans tous les cas lundi prochain toutes les problématiques d'une administration compétitive
03:22seront mises sur la table. Alors que les débats sont vifs au sujet du référendum à venir certains
03:34groupuscules tapis dans l'ombre s'amusent à entretenir cyniquement un amalgame entre le texte
03:40de la constitution censé déterminer l'avenir du pays pour les 30 prochaines années et la personne
03:46du général brisclotaire oliguine guémard qui à l'évidence jouit d'une réelle popularité une
03:52culpabilisation de nature a faussé l'ojet démocratique. Regardons. Le débat autour de
03:59l'opportunité de voter oui ou non au référendum portant sur l'adoption de la nouvelle constitution
04:03donne lieu depuis plusieurs jours à un certain nombre de manipulations. La preuve avec le discours
04:10ambigu porté par certains partisans du oui qui dans leur vaux de ville insinuerait face aux
04:15populations que ce vote serait lié au statut du président de la transition le général brisclotaire
04:21oliguine guémard et que voter contre serait un affront fait à ce dernier. Plus subtil que le
04:27recours à la force, l'art de la manipulation politique consiste à modifier le comportement
04:32d'une cible déterminée en transformant sa perception du réel. Une technique usitée dont
04:38le discours politique qui a fait un bonhomme de chemin au gabon et qui semble avoir pris de
04:44l'ampleur depuis l'avènement au pouvoir du comité pour la transition et la restauration des
04:49institutions présidée par le général brisclotaire oliguine guémard. Il faut dire que plusieurs
04:54observateurs n'ont de cesse d'alerter sur l'entourage de plus en plus controversé du chef de l'état qui
05:00ont fait de l'usage de cette forme de manipulation un marchepied pour se frayer une place au soleil
05:06et ainsi donner l'illusion au président de la transition d'une maîtrise du terrain. D'ailleurs
05:11dans cette veine le débat autour du projet de constitution serait désormais l'occasion pour
05:15certains d'insuffler auprès des populations des contre-vérités susceptibles de semer le doute
05:21lors du scrutin référendaire. En effet dans le cadre de leur campagne contrevenant d'ailleurs aux
05:26dispositions légales notamment l'article 69 nouveau de la loi 07 bar 96 du 12 mars 1996 portant
05:35disposition commune à toutes les élections politiques modifiées, ces derniers insinueraient
05:40subtilement que voter non au référendum serait voter contre le président de la transition. Une
05:46assertion qui serait loin de la réalité puisque tout logiquement l'élection référendaire n'a rien
05:51à voir avec le plébiscite en faveur ou non du président. Une position d'ailleurs appelée par
05:57le sénateur de la transition Jean-Rémi Yama qui dans une interview accordée à Gabon Media Time
06:02a indiqué que ceux qui relient le oui ou le non à la situation du président Oligui font preuve de
06:08faiblesse. Le non a-t-il dit n'est pas un non au président Oligui Nguema parce que le président
06:13n'est pas lié à cette constitution a-t-il rappelé ? Gageons que l'esprit de responsabilité saura
06:19prévaloir à l'avenir comme l'a d'ailleurs appelé de ses voeux le ministre de l'intérieur
06:24Herman Imogo lors de son point de presse du 1er octobre. Le pouvoir d'achat l'une des principales
06:35préoccupations des gabonais et qui par ailleurs a contribué à la chute du régime talibango.
06:41Depuis leur arrivée au pouvoir les autorités de la transition ont multiplié les coups de pouce
06:47à l'endroit des ménages gabonais. Faisons le point dans cet élément. Face à la hausse des prix des
06:53produits de première nécessité le gouvernement gabonais a réagi une première fois en adoptant
06:58des mesures pour lutter contre la vie chère. Parmi ces actions la baisse des prix des carburants,
07:03la réduction du prix de la bouteille de gaz et la subvention de la farine de blé ont été des
07:09éléments centraux. Ces initiatives visaient à alléger le fardeau des ménages touchés par la
07:14flambée des prix des biens de première nécessité. Le gouvernement a également mis en place des
07:19mesures spécifiques pour soulager les ménages les plus modestes. A titre d'exemple la gratuité du
07:25transport public a été maintenue et les frais d'inscription dans les établissements publics
07:28ont été supprimés. Ces mesures ont permis à de nombreuses familles de réduire leurs dépenses
07:33quotidiennes tout en bénéficiant d'un accès facilité aux services essentiels. Mais la gratuité
07:39a un prix, celui de la réduction de la mobilité urbaine. Il faut parfois attendre des heures pour
07:44monter dans le Ngori, seulement quelques bus sont en circulation alors que plus d'une centaine sont
07:50stationnés à la base de l'opérateur en charge de cette question. C'est à n'y rien comprendre.
07:55Si le plafonnement des prix de plusieurs produits alimentaires a été instauré notamment pour la
08:00viande, le poisson et les produits laitiers, cette mesure également semble teinter de
08:04cosmétique pour reprendre une expression chère au chef du gouvernement qui, pour sa part, œuvre en
08:10faveur de la relance des filières bovine, ovine et caprine en plus de l'agriculture. Des mesures
08:16qui auront un vrai impact à moyen terme dans le niveau des importations dans le pays est élevé.
08:21On parle de plus de 500 milliards de francs CFA d'importation de produits par an. Le gouvernement
08:27qui a également organisé des événements comme la foire aux poissons où 120 tonnes de poissons ont
08:32été vendues à des prix très bas, ce qui a permis à de nombreuses familles de s'approvisionner en
08:37denrées alimentaires à des tarifs abordables, n'a donc pas encore réellement été en mesure de mettre
08:42en place de réels mécanismes circulaires pour faire baisser l'inflation. La lutte contre la vie
08:47chère étant un enjeu de long terme, des efforts supplémentaires devront être déployés pour
08:52stabiliser durablement les prix sur le marché. Gageons que Maïs Mouissi et ses équipes en prennent
08:58la mesure. C'est une donnée accablante pour le département de l'éducation nationale et la
09:07formation professionnelle. En effet, un récent rapport de l'inspection générale des services
09:12du ministère de l'éducation nationale a mis en lumière une dégradation du niveau d'enseignement
09:17dans les établissements du pays avec un impact réel sur les performances des élèves. Ce rapport
09:23note par exemple que 35% des élèves sont en situation de redoublement, de quoi inquiéter
09:29plus d'un. Iris Obanga. Avec 35% de redoublement annuel, le Gabon figure parmi les pays d'Afrique
09:36ayant les taux les plus élevés, bien au-dessus du Sénégal 11% et du Cameroun 25%. Ce chiffre
09:45préoccupant révélé par une récente étude de l'inspection générale des services du ministère
09:50de l'éducation nationale met en lumière les défis persistants auxquels le système éducatif
09:56gabonais est confronté. Alors que la réussite scolaire constitue un pilier fondamental pour
10:02le développement national, ces résultats témoignent d'une situation alarmante qui
10:07nécessite des réformes urgentes. L'étude révèle plusieurs facteurs qui expliquent ce taux de
10:11redoublement élevé. L'un des éléments les plus frappants est le déséquilibre dans l'attribution
10:17des coefficients dans les différentes matières pratiquées. Cette disparité des coefficients joue
10:22un rôle crucial dans les résultats des élèves et a des conséquences directes sur le taux de
10:27réussite. Les matières à plus fort coefficient, souvent difficiles pour les élèves, deviennent
10:32déterminantes dans leur passage en classe supérieure. Face à cette situation, l'inspection
10:38générale des services du ministère de l'éducation nationale propose une piste de solution qui
10:43pourrait avoir un impact significatif sur les résultats scolaires. L'uniformisation des
10:48coefficients. Selon l'étude, cette réforme pourrait permettre une augmentation du taux de
10:53réussite de 15 %, ce qui représenterait environ 19 513 élèves supplémentaires réussissant chaque
11:02année sur un total de 130 000 élèves. Cette mesure initiée par Camille Antoontoum-le-Clerc,
11:07ministre en charge de l'éducation nationale, vise à harmoniser le poids des différentes matières
11:13dans les moyennes générales, permettant ainsi aux élèves de bénéficier d'une meilleure chance de
11:17réussite en répartissant de manière plus équitable les efforts sur toutes les disciplines. Cela
11:24pourrait également inciter à revoir les méthodes d'enseignement pour s'adapter aux besoins réels
11:28des élèves et réduire l'échec scolaire. L'harmonisation des coefficients est-elle
11:34un obstacle pour la naissance de vocation en sciences et technologies ? C'est en tout cas
11:40la lecture que font certains parents. En effet, dès leur arrivée au pouvoir, les autorités de la
11:45transition, en tête desquelles le général Brice Clotaire au Léguinguémat, ont exprimé leur
11:51ambition de former une jeunesse excellente capable de répondre aux défis contemporains. À cet effet,
11:57le gouvernement a invité les apprenants à s'intéresser davantage aux sciences et technologies,
12:02car, rappelons-le, le Comité pour la transition et la restauration des institutions a fixé le
12:08quota d'emploi des étrangers à 30 % afin de réduire le taux de chômage. Il faut donc
12:13trouver cette main-d'œuvre sur le territoire. La proposition telle que présentée laisserait
12:18penser qu'il y aurait moins de redoublements à l'avenir, mais davantage d'élèves en
12:23série littéraire. Répondront-ils aux besoins du marché à l'heure de l'adéquation formation-emploi ?
12:28Comment réaliser les objectifs annoncés avec cette uniformisation ? Ce sont là les
12:34grandes interrogations adressées aux autorités éducatives. Nous vous l'annoncions au titre,
12:44certains d'entre vous ont peut-être déjà pu le constater. Ertel, l'opérateur de téléphonie
12:49mobile, a mis à jour sa grille tarifaire de forfait internet, la majorant ainsi de 200 francs CFA,
12:56sans que les consommateurs n'aient été préalablement informés. De quoi plomber un
13:01peu plus le pouvoir d'achat des gabonais. Suivons cet élément. Quelques jours après
13:05l'annonce de l'instauration d'une redevance sur les émissions de monnaie électronique fixée au
13:10taux de 5 %, les maisons de téléphonie mobile semblent d'ores et déjà avoir amorcé le pas
13:16vers des mécanismes devant permettre de supporter cette nouvelle charge. A Ertel Gabon,
13:21le coût du forfait a été majoré de 200 francs CFA à partir de 2 gigas. C'était dans les tuyaux,
13:27c'est désormais officiel, les maisons de téléphonie mobile semblent à pied d'œuvre
13:31pour récupérer leur charge après l'imposition de la redevance de 5 % qu'ils vont désormais
13:37reverser à l'État. Pour preuve, les consommateurs du dit réseau ont été surpris ce mardi,
13:438 octobre 2024, par la nouvelle tarification. En effet, en tapant étoile 150 dièse ou via
13:49l'application My Ertel, la situation est la même. C'est la triste constatation faite. Désormais,
13:55pour bénéficier d'un forfait Ertel via le mobile monnaie, il faudra prévoir 200 francs CFA en plus.
14:01Pour le forfait de 2 gigas commercialisé jusqu'à hier à 1 000 francs CFA, il faudra dorénavant
14:071 200 francs CFA. Même chose sur le forfait internet de 5 gigas qui est désormais accessible
14:13à 2 200 francs CFA. Difficile de cerner cette augmentation qui a été actée sans communication
14:20préalable. Pour l'heure, l'hypothèse d'une corrélation avec la mesure du gouvernement
14:25de la transition tient la route mais demeure une simple spéculation. De son côté, l'entreprise
14:30indienne semble avoir décidé de se taire dans un mutisme qui fait déjà grand bruit. Car les
14:36consommateurs feruent des avantages fournis par l'opérateur de téléphonie mobile commence à
14:40grogner. Joint par nos soins, un des responsables s'est dit non informé par cette mesure. Dans
14:46l'expectative, les populations gabonaises déjà asphyxiées par la cherté de la vie craignent
14:52le pire. Après les indispensables électricité, gaz, eau et nourriture, voilà que ce sont ceux des
14:58forfaits mobiles avec lesquels devront désormais s'accommoder les populations. Sans quoi il faudra
15:04accepter de vivre partiellement sans internet. Une situation qui remet au goût du jour le coût
15:09élevé du méga octet dans notre pays qui demeure trop cher comparativement aux pays voisins. Nous y
15:16reviendrons. 42 ans après avoir fonctionné en toute illégalité, le CNTS, Centre National de
15:27Transfusion Sanguine, s'apprête à avoir son statut juridique reconnu. Si le projet de loi avait
15:33été adopté en juin dernier en Conseil des ministres, le texte est désormais sur la table du
15:38Parlement de Transition. Reportage. Après son adoption en Conseil des ministres, le projet de
15:44loi portant création, attribution, organisation et fonctionnement du Centre National de Transfusion
15:49Sanguine a été enregistré à la Commission de la Santé et de l'Éducation des Affaires Sociales et
15:55Culturelles de l'Assemblée Nationale de Transition le 27 septembre 2024. Une démarche qui vise à
16:00formaliser la banque de sang qui, depuis 42 ans, ne dispose pas d'un cadre juridique légal empêchant
16:06le bon fonctionnement de cette structure. C'est dans le cadre de la deuxième session ordinaire
16:10du Parlement de Transition, qui se tient du 2 septembre au 30 décembre 2024, que députés
16:16et sénateurs de la Transition seront amenés à examiner le projet de loi visant à régulariser
16:21la situation administrative du Centre National de Transfusion Sanguine. Le CNTS qui, malgré son
16:27existence, ne dispose pas aujourd'hui de fondements juridiques appropriés permettant une évolution de
16:33son statut juridique, indique le texte porté par le ministre de la Santé, professeur Adrien Mougougou.
16:39Cette initiative du ministre de la Santé s'inscrit en droite ligne de la volonté du président de la
16:44Transition, Brice Clotaire Oliguenguema, qui, lors du Conseil des ministres du mardi 25 juin 2024,
16:50a décidé de remettre sur les rails le CNTS et ce, 42 ans après la mise en service. Ainsi,
16:56grâce à cette reconnaissance juridique, le CNTS pourra garantir à la population gabonaise la
17:02qualité et la sécurité de la transfusion sanguine au niveau national, conformément à l'article 47 de
17:09la loi numéro 3 barre 91 du 26 mars 1991. Toute chose qui permettra l'extension du CNTS dans
17:16l'Interland comme le veulent les autorités de la Transition. Le CNTS, créé en 1982,
17:22est une structure sanitaire placée sous la tutelle du ministère de la Santé, qui est
17:26composée d'un conseil d'administration, une direction générale, une agence comptable et
17:31d'un comité national de sécurité transfusionnelle. Rappelons que l'absence de cette régularité
17:37juridique constitue un véritable handicap et entrave son déploiement à travers le pays.
17:42Cette situation avait d'ailleurs eu une incidence sur le prix de la poche de sang et engendré la
17:48création d'un circuit informel de vente de sang et de dérivés sanguins. Le chiffre du jour est 35%
17:59qui correspond au taux de redoublement annuel au Gabon, si l'on en croit l'inspection générale
18:04des services du ministère de l'éducation nationale. Le verbatim de ce soir est du député
18:09de la Transition, par ailleurs quatrième vice-président de l'Assemblée nationale de
18:13Transition, Geoffroy Foumboula-Libeca, qui s'est exprimé le 6 octobre dernier à propos de la
18:20polémique sur la campagne référendaire en cours. Le danger est de voir des intellectuels appelés
18:25à voter oui ou non en dehors de la période de campagne. A cet instant, vous réalisez que le
18:31diplôme n'est qu'un papier. Fin de cette édition d'information. Merci de nous avoir regardé. A
18:37bientôt pour un nouveau rendez-vous.
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