L’élue nordiste tenait par sa présence à apporter son soutien à Gisèle Pelicot mais elle a choisi de ne pas s’exprimer auprès de la presse.
C’est la première figure politique nationale à se déplacer au tribunal judiciaire d’Avignon depuis le début du tentaculaire procès des viols de Mazan. La secrétaire nationale d’EELV Marine Tondelier est présente dans la matinée de ce mardi 8 octobre.
Elle a choisi de ne pas s’exprimer auprès de la presse, mais sa présence est une marque de soutien forte pour la victime Gisèle Pelicot. Affublée de sa célèbre veste verte, on a vu l’élue nordiste en grande discussion avec des membres du public, attendant son tour pour entrer dans la salle de retransmission en direct du procès. Presque incognito.
Lors des premiers jours du procès, la députée MoDem Sandrine Josso s’était déjà déplacée, elle qui est particulièrement impliquée dans la lutte contre la soumission chimique, en ayant été elle-même victime. Elle préside d’ailleurs une commission parlementaire sur le sujet à l’Assemblée et est la marraine de l’association fondée par la fille du couple Pelicot Caroline Darian.
Le sénateur LR de Vaucluse Jean-Baptiste Blanc était aussi venu dans la salle d’audience il y a quelques jours. Hormis ces passages ponctuels, les réactions politiques au procès sont peu nombreuses malgré la couverture médiatique exceptionnelle et le retentissement de l’affaire dans la société.
C’est même sans doute l’un des angles morts de ce proces pour le moment. Même si le nouveau ministre de la justice Didier Migaud a lui aussi réagi la semaine dernière indiquant qu’il envisageait l’intégration de la notion de consentement à la définition du viol dans le code pénal.
C’est la première figure politique nationale à se déplacer au tribunal judiciaire d’Avignon depuis le début du tentaculaire procès des viols de Mazan. La secrétaire nationale d’EELV Marine Tondelier est présente dans la matinée de ce mardi 8 octobre.
Elle a choisi de ne pas s’exprimer auprès de la presse, mais sa présence est une marque de soutien forte pour la victime Gisèle Pelicot. Affublée de sa célèbre veste verte, on a vu l’élue nordiste en grande discussion avec des membres du public, attendant son tour pour entrer dans la salle de retransmission en direct du procès. Presque incognito.
Lors des premiers jours du procès, la députée MoDem Sandrine Josso s’était déjà déplacée, elle qui est particulièrement impliquée dans la lutte contre la soumission chimique, en ayant été elle-même victime. Elle préside d’ailleurs une commission parlementaire sur le sujet à l’Assemblée et est la marraine de l’association fondée par la fille du couple Pelicot Caroline Darian.
Le sénateur LR de Vaucluse Jean-Baptiste Blanc était aussi venu dans la salle d’audience il y a quelques jours. Hormis ces passages ponctuels, les réactions politiques au procès sont peu nombreuses malgré la couverture médiatique exceptionnelle et le retentissement de l’affaire dans la société.
C’est même sans doute l’un des angles morts de ce proces pour le moment. Même si le nouveau ministre de la justice Didier Migaud a lui aussi réagi la semaine dernière indiquant qu’il envisageait l’intégration de la notion de consentement à la définition du viol dans le code pénal.
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