Depuis 2020, les rumeurs de fraude électorale inondent les votants républicains. En cas de victoire de Kamala Harris, Donald Trump pourra se reposer sur ces rumeurs pour contester les résultats et exploiter les failles du système électoral, des bureaux de vote jusqu’à la Cour suprême.
Durant l’été, les responsables républicains du comité électoral de Géorgie ont changé les règles du processus électoral dans leur Etat. Une réforme qui pourrait sembler anecdotique, mais qui changerait le cours de la présidentielle américaine de novembre. Car depuis l’élection de 2020, les partisans de Donald Trump ont mobilisé leurs troupes et œuvrent sur le terrain pour affaiblir le processus de certification des votes. L’enjeu ? Offrir des possibilités de contestation des résultats, voire retarder la nomination du président en cas de défaite de Donald Trump.
Durant l’été, les responsables républicains du comité électoral de Géorgie ont changé les règles du processus électoral dans leur Etat. Une réforme qui pourrait sembler anecdotique, mais qui changerait le cours de la présidentielle américaine de novembre. Car depuis l’élection de 2020, les partisans de Donald Trump ont mobilisé leurs troupes et œuvrent sur le terrain pour affaiblir le processus de certification des votes. L’enjeu ? Offrir des possibilités de contestation des résultats, voire retarder la nomination du président en cas de défaite de Donald Trump.
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