• il y a 2 mois
L’avis de Ludovic-Hermann Wanda, écrivain et formateur en maîtrise du langage soutenu et du LOGOS.
Face à lui, Douce Dibondo, journaliste, chercheuse indépendante et poétesse. Dans son premier essai « La charge raciale - Vertige d’un silence écrasant », Douce Dibondo analyse en profondeur la charge raciale et le silence qui l’entoure.

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Transcription
00:00Le racisme en France, c'est un besoin psychologique pour le peuple prolétaire français, un impensé collectif.
00:08Ma plus grande fierté, c'est l'amour de nous-mêmes, mes enfants.
00:12J'ai déjà changé ma manière d'être pour faire honneur à mes ancêtres
00:17nobles et royaux, pour m'intégrer, me suradapter et malheureusement ça n'a pas servi donc désormais je ne suis que 100% moi-même.
00:25Je suis excédée par les médias,
00:28l'hégémonie culturelle,
00:29Bolloré, la faim, le mauvais goût, tellement de choses mais principalement le racisme, la victimisation
00:37impuissante. Les médias sont
00:39le premier pouvoir duquel
00:42il faut
00:43impérativement
00:45s'inspirer, voire même en faire partie. Des vecteurs très puissants du quatrième pouvoir et il faudrait
00:51éminemment qu'ils s'en rendent de plus en plus compte.

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