• il y a 2 mois
Démarchages téléphoniques avec Madame NaRdine les délires de Jean-Claude juste pour rire Vol 66 by Ciné Art Loisir

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Démarchages téléphoniques en détente juste pour rire Les délires de Jean-Claude avec (Madame NaRdine) Vol 66 by Ciné Art Loisir

Démarchages téléphoniques ma solution !!!
Comment rendre agréable les appels désagréables
Les délires de Jean-Claude (Madame NaRdine et Shérafina la bonne)

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Ciné Art Loisir présente Juste pour rire canulars téléphoniques

Transformez les démarchages téléphoniques en détente avec (Madame NaRdine) et ( Shérafina la bonne ) Vol 66

Le démarchage téléphonique limité en semaine
À partir du 1er mars 2023, le démarchage téléphonique des consommateurs sera autorisé uniquement du lundi au vendredi, de 10 heures à 13 heures et de 14 heures à 20 heures.

Il sera interdit le samedi, le dimanche et les jours fériés.
Les consommateurs ne pourront pas être sollicités plus de quatre fois par mois (30 jours calendaires) par voie téléphonique à des fins de prospection par le même professionnel ou par une personne agissant pour son compte.

Enfin, si le consommateur refuse ce démarchage lors de la conversation, il ne pourra pas être recontacté avant l'expiration d'une période de soixante jours calendaires révolus à compter de ce refus.

Ce décret fait suite à la loi du 24 juillet 2020 qui vise à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les pratiques frauduleuses.


Montage et réalisation Jean-Claude Guerguy

www.cine-art-loisir.com


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Amusant
Transcription
00:00Oui, j'écoute, oui j'écoute.
00:14Voilà, c'est Nathalie Donio d'Handicap International.
00:18L'Handicap International ?
00:21Oui, madame.
00:22Oui, c'est pour quel sujet ?
00:24En fait, c'est une compagne de sensibilisation.
00:27Les sensibilisés ? Pour qui les sensibilisés ?
00:30Pardon, madame ?
00:31Les sensibilisations, pour qui ?
00:33Donc, en fait, on mène une compagne de sensibilisation.
00:36C'est une agitation humanitaire.
00:38Ah, l'humanitaire, c'est pour les Palestiniens à Gaza ?
00:42Exactement.
00:43Ah, les pauvres, les Palestiniens, les pauvres, ils ont beaucoup de problèmes.
00:47Exactement.
00:48Donc, madame, sachez justement que le combat majeur d'Handicap International
00:51est une lutte contre les armes explosives qui font encore aujourd'hui
00:55Ah, ben oui, les morts, il y en a toujours des morts de partout.
00:58Regardez en France, c'est la délinquance de partout.
01:00Tous les petits jeunes de 15 ans, ils sont poignardés.
01:03Ils n'arrêtent pas de faire des poignardages en France.
01:06Malheureusement.
01:07Ce n'est pas normal, ça.
01:08Je suis complètement d'accord avec vous.
01:09Ben oui, le gouvernement, il ne fait rien du tout.
01:11Et puis après, on fait des trucs pour...
01:14Moi, ça me fait de la peine.
01:15Oui, je suis complètement d'accord avec vous.
01:17Le congé Girac, là, qui s'est fait les fautes de suicide,
01:20que sa femme, elle voulait le quitter.
01:22Ce n'est pas normal.
01:23Oui, j'en ai entendu parler.
01:25Oui, vous aussi.
01:26Moi, tous les journaux, ils en parlent.
01:28Oui, je suis d'accord avec vous.
01:30Ce n'est pas normal.
01:31Oui, j'ai vu.
01:32J'ai suivi l'affaire un petit peu de près.
01:34Je suis d'accord avec vous.
01:35Nous sommes dans un bien triste monde.
01:37Donc, vous savez très bien ce qui se passe actuellement.
01:39Ben, de partout, c'est la guerre.
01:40Malheureusement, en Ukraine, c'est la guerre.
01:44En Ukraine, en Afghanistan aussi.
01:46Et puis, la guerre qui descend, elle est grande de partout.
01:49Exactement.
01:50Justement, Madame, pour aller droit au but,
01:52et sans trop vous retenir,
01:53l'Ontario international intervient dès que possible
01:55pour apporter en premier lieu des soins post-traumatiques,
01:58avec notamment du soutien psychologique.
02:00Ils vont faire l'hôpital à domicile pour les malades ?
02:04Non.
02:05Alors, je vous explique justement, Madame.
02:07Nous avons des unités mobiles sur place.
02:09Ah, les mobilités qui vont d'un hôpital à l'autre ?
02:14Non, en fait, on vient en aide aux victimes sur place.
02:17Ah, sur place.
02:18Ah oui, sur place.
02:19Parce que, Madame, vous savez, là où on agit,
02:20il n'y a malheureusement pas de structure hospitalière.
02:22Et les structures gouvernementales forment tellement de principes...
02:25Ben, en France, c'est la pénurie dans les hôpitaux.
02:28Pour aller faire...
02:29Moi, je voulais prendre un rendez-vous pour me soigner les oreilles,
02:33et il me fait...
02:34J'ai des tumeurs dans les oreilles.
02:36Vous savez qu'est-ce qu'ils me disent, les médecins,
02:38pour prendre les rendez-vous ?
02:39On est au mois d'aujourd'hui, on est le 28, 29 avril.
02:43Ils me prennent les rendez-vous le 20 septembre.
02:46C'est pas normal ?
02:49Oui, je suis là-bas avec vous,
02:50j'essaie qu'il y ait une pénurie de médecins.
02:51Des pénuries de partout, les médecins de partout.
02:53Prendre un rendez-vous, c'est un petit peu logique.
02:55Oh là là, je dis au mois de septembre, il me dit
02:57qu'il est de cancer, il peut venir 50 000 fois.
03:01Ben, ah !
03:03Ben oui.
03:04Vous vous en dites pas ?
03:05Oui, vous vous rendez compte ?
03:06Ben, c'est terrible.
03:07Ben, c'est terrible, c'est terrible.
03:09Les médecins d'aujourd'hui...
03:12Et après, on parle des bêtises.
03:14Monsieur Pelloux, il a trapité les petites jeunes filles à l'hôpital.
03:19Mais ils ont toujours fait ça, des petites caresses, gentiment.
03:22Qu'est-ce qu'ils respectent, les gens ?
03:24Les bonnes femmes, quand ils se faisaient des caresses,
03:26et qu'ils rigolaient, qu'ils buvaient des coups,
03:28ou faisaient des arrosages,
03:29eh ben, ils étaient contents, ils riaient tous.
03:31Et puis, 20 ans après, ils vont se plaindre.
03:33Il n'y a pas de problème, là.
03:37Oui, voilà, voilà.
03:38Comme ça, tout est...
03:39Moi, j'ai fait, madame, j'ai fait des photos,
03:41tant de photos comme il faut,
03:43de l'hôpital, que j'ai travaillé dans l'hôpital.
03:45J'ai fait des jolies photos avec des copines et tout,
03:48que je me fais arroser des champagnes de partout,
03:50parce que c'était la fête et tout.
03:52Mais attendez, on soignait bien les malades.
03:54Ça, c'était en dehors des malades.
03:56Eh ben, tout le monde, on riait tous comme il faut.
03:59Mais si maintenant, je montre les photos, maintenant,
04:01les filles qui ont mon âge, qui ont plus de 70 ans,
04:03elles vont me porter plainte contre moi ?
04:05Parce qu'on s'amusait, qu'on riait tous ?
04:08Non, ils veulent gagner du pognon.
04:10Voilà, le problème, c'est maintenant,
04:11tout le monde, il veut gagner des sous.
04:13La notice, ça ne gagne pas.
04:15Les tierces, ça ne gagne pas.
04:16Les jeux de grattage, ça ne gagne pas.
04:18Alors maintenant, ils font la facilité,
04:20ils font les problèmes de 20 ans en arrière,
04:22et voilà, et voilà.
04:30Ben, bien sûr, bien sûr, j'ai tout compris.
04:37Non, moi, je n'ai jamais joué dans les grattages.
04:41Oui, c'est des vices.
04:42Ça, c'est des vices.
04:43Les vices, c'est pas bon.
04:44Parce qu'après, la dame à la maison,
04:46elle n'est pas femme, elle est pleurée
04:48parce que le mari, il a été jouer à la tierce,
04:51il a joué aux tierces, il a joué au grattage,
04:53et puis après, il ne ramène plus l'argent à la maison.
04:59Oh là là, on vit dans un monde de chiens,
05:01dans ce moment.
05:02J'ai dit, moi, je suis RFI.
05:07Je suis d'accord avec vous.
05:08Alors, revenons-en, revenons-en à nos moutons.
05:11Je vous avais contacté, justement.
05:13Oui, attendez, je vais vous appeler ma bonne,
05:15Serafina.
05:16Madame Martine, l'infirmière qui vient.
05:19Ah ben, t'appuies elle.
05:20Serafina, tu peux prendre la conversation pour moi,
05:23parce qu'il paraît que l'infirmière,
05:25elle va venir pour me soigner.
05:27C'est bien, le valet de chambre, il s'est fini.
05:30Serafina, tu viens là deux minutes, s'il te plaît.
05:34Oui.
05:35Oui.
05:38Ben, je vous soutiens, moi, je vous soutiens à 100%.
05:40Il n'y a pas de problème.
05:42Moi, je soutiens, je soutiens, oui.
05:44Comment?
05:47Mais, vous m'envoyez le courrier, moi, je soutiens.
05:50J'ai fait le soutien-gorge, je ne l'ai pas,
05:52aujourd'hui encore, en parlant du soutien.
05:59Je n'ai pas mis le soutien.
06:00Je n'ai pas mis le soutien.
06:02Je n'ai pas mis le soutien.
06:03Et vous savez comment je m'appelle?
06:07Oui, ben, appelez-moi Madame Nardine, je préfère.
06:09C'est comment votre prénom, ma fille?
06:11Oulala, c'est Serafina qui fait du bruit là-bas,
06:14dans la cuisine.
06:17Elle n'est pas fermée, la porte?
06:20Eh, monsieur, il faut ouvrir la porte pour l'infirmière.
06:22S'il vous plaît.
06:23L'infirmière, elle est en dehors.
06:25Il faut ouvrir la porte, il a fermé la porte.
06:28Attendez, je vais parler à ma bonne Serafina.
06:30Elle va aller ouvrir le portail.
06:32Parce que l'infirmière, elle va me faire la piqûre.
06:36Moi, c'est Madame Nardine.
06:38Nardine?
06:39Oui, Nardine, oui.
06:40On m'appelle Nardine.
06:41Appelez-moi Nardine.
06:42Je l'aime bien, ce prénom.
06:43C'est le prénom de mon baptême, de mon papa et de ma maman.
06:47Ah, d'accord.
06:48Et votre nom, s'il vous plaît?
06:50Basiat.
06:51Basiat.
06:53Je suis née.
06:54Je suis née en Tunis, moi.
06:55Basiat.
06:56Oui.
06:57Vous pouvez me l'appeler, s'il vous plaît?
06:58B-A-S-I-A-T.
06:59Non, B-A-B-A-S-I-A-T.
07:06S-I-A-T.
07:07Basiat, Basiat.
07:10Nardine Basiat.
07:12Madame Nardine Basiat, votre adresse, s'il vous plaît?
07:15Oui, j'ai toujours la même adresse, pas de problème.
07:18Je n'ai pas l'adresse, s'il vous plaît, si vous pouvez me la communiquer.
07:21L'adresse, il est sur le boîte aux lettres, l'adresse.
07:26Est-ce que vous connaissez votre adresse?
07:28Ben, je ne me rappelle pas, je sais que je réhabite dans le...
07:30dans le barrier Montgracon,
07:32les côtés de la fictue, les abrières indéfinies.
07:36D'accord, est-ce que vous connaissez le numéro de rue?
07:3838, 38, 490.
07:41Il n'y a pas de rue, il n'y a pas de rue chez moi.
07:43C'est une route, c'est tout.
07:45C'est une route qui s'appelle la route.
07:47D'accord.
07:48Il n'y a pas de nom.
07:49Allez, il fait 38 490.
07:50Tu fais, tu tapis, tu dis 38 490.
07:54Tu trouves, tu trouves le numéro de la rue de Mme Nardine Bassiac.
08:01D'accord.
08:02Tu vas regarder sur le site.
08:03D'accord, très bien, donc.
08:05Tu vas trouver, tu trouves sur le bouton, tu trouves Mme Bassiac, tu vas trouver.
08:09Je m'excuse, cher Madame, il est venu, l'infirmière, il est venu pour le parcours.
08:13Oui, oui, c'est bon, il n'y a pas de souci.
08:15Voilà, vous me rappelez, Madame.
08:16Merci beaucoup.
08:17Merci beaucoup.
08:18Prenez soin de vous, au revoir, vous êtes formidable, au revoir.
08:20Merci, Madame, vous êtes gentille, hein.
08:22Ben, vous aussi, vous aussi, croyez-moi, ça m'a fait plaisir de discuter avec vous.
08:26Merci beaucoup.
08:27Merci beaucoup, hein.
08:28Merci, au revoir.

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